Pakistan : Accusée de blasphème, une infirmière chrétienne est ligotée, torturée et enfermée dans un hôpital

Selon des informations portées au Pakistan Christian News, Tabitha Nazir Gill aurait été ligotée et enfermée dans une pièce. La police a ensuite été appelée.

Le pasteur Eric Sahotra s’est rendu au poste de police quand Tabitha y a été conduite. Il affirme que l’intervention rapide de la police sur place a été décisive :

Heureusement, quelqu’un a appelé la police, et ils sont rapidement arrivés sur les lieux et lui ont sauvé la vie. 

La police a conclu dans un premier temps que les charges retenues contre Tabitha étaient sans fondement. Mais le média précise ensuite qu’après les prières du soir, le 29 janvier, « une foule de mollahs et d’extrémistes se sont rendus au poste de police ». Ces derniers auraient accusé la police d’avoir abrité un blasphémateur. À la suite de ces pressions, une plainte pour blasphème en vertu de l’article 295-C du code pénal pakistanais a été enregistrée par la police.

 

 

 

Nasir Saeed, directeur de CLAAS-UK, dénonce l’utilisation « à mauvais escient » des lois sur le blasphème :

Malheureusement, selon notre propre étude, les lois sur le blasphème continuent d’être utilisées à mauvais escient par des individus pour régler leurs comptes personnels. L’an dernier seulement, près de 60 personnes, dont neuf chrétiens et quarante-sept musulmans (40 de la communauté chiite) ont été accusées de blasphème, tandis qu’au moins trois personnes innocentes, un chrétien, un de la communauté ahmadiyya et un musulman, ont été tuées par des individus.

Selon plusieurs sources, Tabitha serait en sécurité dans un endroit inconnu.

InfoChrétienne 

Via Fdesouche

Irak : Marie, chrétienne, vendue 13 fois par Daech, réduite en esclavage dans le cadre de la charia, la constitution islamique

Marie vivait à Qaraqosh en Irak quand les djihadistes de l’État islamique l’ont enlevée en 2014. Sara Daniel, grand reporter depuis 15 ans au Moyen-Orient, et Benoît Kanabus, professeur à l’université d’Erbil, ont réussi à la retrouver pour recueillir son témoignage.

Vous remarquerez qu'il n'y a aucune féministe pour hurler lorsqu'il s'agit de barbares musulmans.

 

 

Visible également sur ce lien : https://sendvid.com/geom2xab

 

Via Fdesouche

Pakistan: Une femme chrétienne brûlée vive pour avoir refusé de se convertir à l’islam et de marier un musulman. “Elle a subi 80% de brûlures sur le visage et le corps.”

LAHORE: Une chrétienne a été brûlée par un musulman à Sialkot pour "avoir refusé de renoncer à sa foi et de l'épouser".

Selon le père de la jeune fille, Yaqoob Masih, sa fille de 25 ans, Asma, travaillait comme domestique à la maison de Saeeduz Zaman dans la région de Mohalla Pakpura à Sialkot.

 

willson-sialkot

 

"Le 17 avril, mon fils Maqsood et moi-même sommes allés à la maison de Zaman pour rencontrer Asma et nous enquérir de la santé de la mère de Zaman. Nous étions assis dans une pièce quand on a frappé à la porte d'entrée. Asma est sortie pour voir qui était venu quand, après quelque temps, nous l'entendîmes crier de douleur.

Nous nous sommes précipités dehors pour voir ce qui s'était passé et avons vu l'accusé Rizwan Gujjar s'enfuir alors qu'Asma était engloutie par les flammes », a déclaré Masih dans le rapport FIR [First Information Report] enregistré auprès de la police de Sialkot.

Masih a affirmé qu'ils ont emmené Asma à l'hôpital civil de Sialkot où elle leur a dit que Gujjar l'avait forcée pendant un certain temps à l'épouser, mais elle avait refusé sa proposition parce qu'elle ne voulait pas se convertir à l'islam.

(...)

Le sous-inspecteur Muhammad Riaz de la police des lignes civiles a déclaré qu'ils avaient arrêté Gujjar et qu'il avait avoué son crime. (...) Asma est actuellement traitée dans le service des grands brûlés à l'hôpital Mayo de Lahore où son état est critique.

"Asma a subi 80% de brûlures sur le visage et le corps", a déclaré Masih, exigeant une punition exemplaire pour l'accusé.

 

Source Source2 Traduction libre Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Cenator

« Les chrétiennes ne sont là que pour une chose, le plaisir des hommes musulmans »

Source par Raymond Ibrahim

  • En Irak, 19 filles yazidis ont été enfermées dans des cages de fer et brûlées vives, pour avoir refusé de copuler avec les djihadistes.
  • « Les femmes appartenant à des minorités religieuses sur des territoires contrôlés par l’Etat islamique passent de djihadiste en djihadiste. Quand l’un se lasse de violer et abuser une fille, il la vend à l’un de ses copains qui la viole et en abuse à son tour ». — Samuel Smith,The Christian Post.
  • Un couple dont les deux filles ont été kidnappées par l’État islamique a trouvé sur le seuil de sa porte un sac contenant les cadavres dépecés de leurs filles et une vidéo retraçant les viols et tortures qu’elles avaient subies.
  • « Les filles chrétiennes sont considérées comme des marchandises qu’on casse à loisir. Abuser d’elles est un droit. Dans la mentalité de de cette communauté, il ne peut s’agir d’un crime. C’est le butin de guerre des musulmans ». — Des villageois du Pakistan.

La loi islamique, toujours sévère, l’est plus encore pour les femmes. Selon le Coran, les hommes ont « autorité » sur les femmes et sont en droit de les battre en cas de « désobéissance » (4 : 34). Selon le prophète Mahomet, les femmes sont moins intelligentes que les hommes – deux femmes sont nécessaires pour égaler le témoignage d’un homme – et la majorité des damnés de l’enfer est composée de femmes qui, comme les ânes et les chiens, ont la capacité de distraire un homme de sa prière et ainsi l’annuler.

Source et suite de l'article

Une chrétienne : “Les musulmans violent jusqu’à la mort les petites filles au Yemen et en Arabie Saoudite”. Témoignage à voir absolument.

 

Christian Hofer: Pour ceux qui douteraient de ce qu'elle dit, j'ai été contrôlé l'histoire de cette captive, Safiya bint Huyay, mariée de force au prophète de l'islam après que celui-ci ait tué sa famille.

Voici la page Wikipedia à ce sujet:

En 624, la tribu des Banu Nadir fut chassée de Médine et émigra à Chaibar. Safiya alla chez la tribu juive d'Abu al-Huqaiq, pour se loger dans leur forteresse Qami. En 627, son père et son frère furent des acteurs de premier plan de la bataille du fossé. Ils furent assiégés dans leur fort de Banu Qurayza par les troupes de Mahomet. Mahomet a demandé à ses soldats lors de bataille de ne toucher ni aux arbres ni aux femmes ni aux personnes âgées ni aux enfants . En 627 ou en 628, à l'âge de 17 ans, Safiya bint Huyay épousa l'un des chefs des tribus juives de Médine, en même temps que Kinana ibn an-Riba.

En 628, Mahomet mena la bataille de Khaybar, et il occupa la forteresse de Qami. Safiya fut prise avec deux cousines et d'autres femmes, et réduites en esclavage. Mahomet la prit pour esclave, bien que Dihya ibn Khalifa, de la tribu de Kalb, lui ait demandé de la lui donner. En retour, Dihya obtint les deux cousines de Safiya. Tous les prisonniers de Chaibar furent partagés entre les musulmans.

Source

Comme vous pouvez le constater, le jihad n'est PAS défensif, le viol des femmes est pleinement accepté dans l'islam de même que l'esclavagisme puisque Mahomet le pratiquait et que ce personnage est l'exemple pour tous les musulmans.

Rappel: Martine Brunschwig Graf, Présidente de la Commission fédérale contre le racisme: «J’ai lu le Coran avec des commentaires. Je n’ai pas vu le rejet des autres religions»

Pakistan: Une jeune chrétienne handicapée enlevée, convertie de force à l’islam et mariée contre son gré. Le ravisseur fait un procès aux parents de l’infortunée !

Une jeune chrétienne handicapée enlevée, convertie de force à l’islam et mariée contre son gré. Que croyez-vous qu’il se passe ? Le ravisseur fait un procès aux parents de l’infortunée !

Une jeune chrétienne pakistanaise sourde-muette est parvenue à échapper au contrôle d’un musulman qui l’avait enlevée et contrainte à se convertir à l’islam et à contracter un mariage islamique. Après cet acte de courage, la jeune femme et sa famille, qui se trouvent à Sialkot, en province du Pendjab, ont été menacées de mort. Selon les musulmans en effet, Asma – qui a été renommé Aysha depuis sa conversion forcée – est désormais convertie à l’islam et se trouve être de plus l’épouse d’un musulman, ce qui fait qu’elle ne peut retourner dans sa famille d’origine. Fides a appris qu’Asma a été enlevée voici cinq mois par son voisin, Ghulam Hussain, musulman particulièrement influent, qui a des relations avec des représentants de la police et du monde politique. Ghulam Hussainmenace actuellement le père d’Asma, Gulzar Masih. Ce dernier s’est rendu au poste de police local pour dénoncer les faits mais la police l’a invité à remettre sa fille à son mari. Maintenant, après le dépôt d’une plainte, l’affaire est arrivée devant le tribunal. Ghulam Hussain a présenté le certificat d’une medersa – école coranique – faisant état de la conversion d’Asma ainsi qu’un certificat de mariage. Naturellement, explique l’avocat d’Asma et de sa famille, les documents sont contrefaits et les signatures ont été extorquées par la force à la jeune femme. Nasir Saeed, directeur de l’ONG CLAAS, qui suit l’affaire, a expliqué à Fides : « Les cas de conversion forcée et d’enlèvement de jeunes chrétiennes et hindoues voient leur nombre augmenter, démontrant l’échec des institutions, qui garantissent l’impunité. La police et la magistrature sont complices et ne défendent pas la légalité. C’est pourquoi de nombreux hindous et chrétiens du Pakistan, découragés, ont commencé à émigrer en direction de l’Inde et d’autres pays car le Pakistan ne les protège pas et qu’ils sentent que leur vie et leurs propriétés sont en danger ». Au Pakistan, l’enlèvement de jeunes femmes appartenant aux minorités religieuses et leur conversion forcée à l’islam représente un phénomène courant. Selon des sources deFides, chaque année, il concerne 700 jeunes chrétiennes et 300 hindoues, sachant que les chiffres en question ne représentent que les cas révélés ou qui arrivent devant les tribunaux.

Source : Agence Fides, 4 août

Nigéria: 5 musulmans tuent une chrétienne

Cinq musulmans ont été inculpés de meurtre pour le lynchage d'une chrétienne de 74 ans soupçonnée de "blasphème" la semaine dernière dans le nord du Nigeria, a indiqué vendredi la police locale.

Les cinq hommes, qui sont jugés dans un tribunal de Kano, métropole du nord majoritairement musulman, sont accusés d'être les auteurs du meurtre de Bridget Agbahime, avec six autres suspects toujours en fuite.

Source et article complet ici

 

Suède. Le chef de la police “comprend” le réfugié musulman qui a tué l’employée chrétienne

Le chef de la police suédoise a suscité la colère après des propos empathiques à l’égard du Somalien, âgé de 15 ans, qui aurait poignardé à mort une jeune employée d’un centre d’accueil pour migrants.

Le commissaire de police Dan Eliasson a en effet déclaré qu’il était « désemparé » pour Alexandra Mezher, la victime de 22 ans, mais aussi pour son meurtrier. « Qui sait quelles horreurs il a vécues ? »

La famille d’Alexandra a blâmé ces propos ainsi que les politiciens suédois [...]

Daily Mail

Rappels:

Zürich : la police taira les origines pour éviter les amalgames…

Allemagne: « La police continuera à cacher les crimes et les viols des migrants »

Suède : La police garde secrètes les affaires impliquant des migrants « Rien ne doit filtrer. »

La priorité pour la presse : Cacher les crimes des étrangers afin de ne pas stigmatiser

Manifestation chrétienne de Britain First dans un quartier musulman de Luton (Bury Park)

Bury Park à Luton est une zone connue pour abriter des extrémistes musulmans, des fanatiques d'ISIS, des prêcheurs de haine et des terroristes. C'est probablement le pire endroit islamisé et le plus chaud de toute la Grande-Bretagne. C'est là que le groupe Britain First est allé manifester en portant haut les valeurs chrétiennes.

Vidéo (en anglais) :

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Source

Merci à Pierre H.

Syrie: Des chrétiennes en 1ère ligne contre l’Etat islamique

Un bataillon composé de dizaines de femmes syriaques et baptisé «les forces de protection des femmes de Mésopotamie» combat l'EI dans le nord-ouest de la Syrie.

Babylonia a laissé de côté son rôle de mère et son métier de coiffeuse pour rejoindre ses camarades chrétiennes qui combattent le groupe jihadiste Etat islamique (EI) dans le nord-ouest de la Syrie. "Mes enfants Limar (9 ans) et Gabriella (6 ans) me manquent et je pense qu'ils doivent avoir faim, soif et froid mais j'essaie de leur expliquer que je me bats pour protéger leur avenir", raconte cette femme de 36 ans à l'allure robuste, vêtue d'une tenue militaire.

Avant d'être sur le front, Babylonia était coiffeuse. C'est son mari qui l'a encouragée à prendre les armes pour "lutter contre l'idée qu'une femme syriaque n'est bonne que pour les activités ménagères et le maquillage", selon ses propres dires. Lui aussi est devenu combattant contre l'EI alors que la Syrie est déchirée par la guerre depuis 2011. Babylonia fait partie d'un bataillon composé de dizaines de femmes syriaques et baptisé "les forces de protection des femmes de Mésopotamie". Ce nom fait référence aux régions historiquement habitées par cette minorité chrétienne d'Orient entre les fleuves Tigre et Euphrate. Les syriaques parlent et prient en langue araméenne. La majorité est orthodoxe ou jacobite et une minorité catholique, rattachée à Rome au 18e siècle. Ils sont présents au Liban, en Syrie, en Irak et même en Inde.

"Penser à mes enfants me rend plus forte"

L'entraînement de la première promotion du bataillon de femmes a pris fin en août, dans la ville d'Al-Qohtaniyé (Tirbe Sipiyé en kurde et Kabre Hyore en syriaque) dans la province de Hassaké. "Je suis une chrétienne pratiquante et penser à mes enfants me rend plus forte et déterminée dans ma lutte contre Daech (acronyme arabe de l'EI)", explique Babylonia, le regard perçant. Lucia, 18 ans, a elle abandonné ses études pour combattre, comme sa sœur, contre l'avis de leur mère. "Je me bats avec une kalachnikov mais je ne suis pas encore un tireur d'élite", avoue la timide jeune fille, une croix en bois au cou et la tête couverte d'un foulard aux imprimés militaires. "J'ai participé pour la première fois à une bataille dans la localité d'al-Hol mais mon équipe n'a pas été attaquée par des combattants de l'EI", raconte-t-elle.

Cette bataille était la première où les femmes syriaques étaient sur le front aux côtés des Unités de protection de la femme kurde. Elle s'inscrivait dans une campagne des Forces démocratiques syriennes (FDS) qui a permis la reprise de dizaines de villes et de fermes aux jihadistes de l'EI, dont la localité d'al-Hol, le 13 novembre. Regroupant des combattants kurdes, chrétiens et arabes, les FDS ont été créées il y a deux mois pour combattre les jihadistes dans le nord-est de la Syrie. Elles sont soutenues par Washington. Ormia, 18 ans, a elle aussi participé à la bataille d'al-Hol. "J'étais effrayée par les bruits des canons mais la peur s'est vite dissipée. J'aimerais tellement être en première ligne dans la lutte contre les terroristes".

"Éviter un nouveau massacre"

Les femmes suivent des entraînements militaires, sportifs et académiques pour résister à la tension des combats et manier les armes. Ils se tiennent dans un ancien moulin spécialement aménagé dans la banlieue d'al-Qahtaniyé. Le bataillon récemment formé a peu d'expérience et ses responsabilités militaires se limitent principalement à la protection de localités et de régions à majorité chrétienne dans la province de Hassaké. Thabirta Samir occupe "l'un des postes de commandement dans l'entraînement du bataillon de femmes" et affirme que celui-ci compte "environ 50 combattantes syriaques jusqu'à présent". "Je travaillais dans une association culturelle syriaque mais je ressens maintenant du plaisir dans mes activités militaires", confie-t-elle. Elle reconnaît que "des forces étrangères ont supervisé les entraînements", sans en préciser la nationalité. Des forces spéciales américaines assistent les FDS dans la région.

Toujours souriante, Ithraa, 18 ans, affirme s'être engagée dans ces forces il y a quatre mois pour défendre la cause syriaque, "car nous sommes une communauté opprimée par les autres". Certaines combattantes citent ce qui est ancré dans leur mémoire collective comme le massacre de Seyfo, perpétré en 1915 par les Ottomans contre des dizaines de milliers de syriaques, assyriens et chaldéens, dans le sud-est de la Turquie et le nord-ouest de l'Iran. "Nous voulons éviter que les jihadistes réitèrent un nouveau massacre à l'instar de celui commis par les Ottomans quand ils ont tenté d'effacer notre identité chrétienne et syriaque." Les Syriaques représentent en Syrie 15% des 1 200 000 chrétiens. Ils craignent de subir le sort des chrétiens d'Irak, victimes d'exactions des groupes jihadistes.

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Ce sera l’Europe chrétienne qui devra s’adapter aux musulmans et pas le contraire. »

Le politologue américain Edward Luttwak : "L’Europe risque l’islamisation".

Dure attaque du politologue américain contre le gouvernement italien et contre le Pontife qui « ne se rend pas compte qu’il collabore au suicide de l’Europe chrétienne ». Il accuse le président turc Erdogan d’oeuvrer à l’islamisation progressive de l’Europe.

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Pour Vladimir Poutine c’est la Foi chrétienne qui sauvera le monde

 » Evoquer les racines chrétiennes de la France, c’est faire une relecture historique frelatée qui a rendu la France peu à peu nauséabonde  » cette phrase sans fondement et manipulatrice, révèle bien le climat dans lequel la France est plongée depuis de nombreuses années. Elle est de Bernard Cazeneuve, ministre de l’intérieur et des cultes.

Alors que les dirigeants européens se refusent toujours obstinément à reconnaître les racines chrétiennes de l’Europe, la France n’est pas en reste, voir la déclaration de Jacques Chirac à l’époque,  le président Vladimir Poutine, lui, non seulement les reconnait pour la Russie mais il les exalte.

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Ouganda : Une jeune chrétienne violée en réunion par des musulmans

Parce que son père, Pasteur de la New Hope Church de Kiryolo (est de l’Ouganda), refusait de cesser son apostolat dans un district à 65 % musulman, sa fille de 17 ans a été violée en réunion par cinq mahométans. Cette écœurante affaire s’est déroulée le 28 mars dernier, vers 19 h 30, alors que la jeune fille s’approchait de l’église. Pendant cette épreuve, les musulmans lui firent passer un message destiné à son père : « Ton père doit arrêter ses réunions de prière destinées à tenter de faire se convertir des musulmans au christianisme et il doit fermer son église : nous l’avons averti à plusieurs reprises ».

De fait, un des dernier SMS reçus par le Pasteur était sans ambigüité : « Saches qu’on ne veut pas de ton église ici. Si tu continues ton culte ici, alors tu le regretteras toute ta vie »… La jeune fille a été hospitalisée à Kampala, souffrant de graves problèmes psychologiques, et le Pasteur a porté plainte…

Source : Morning Star News via Christianophobie.fr

Comment violer et battre des femmes : l’ignoble guide de l’Etat Islamique

Publié par le "Département des prisonniers et des affaires de la femme" de Daech, un document énonce les règles en matière d'esclavage sexuel, le sort réservé par les djihadistes aux femmes chrétiennes et yézidies du territoire. Parmi ces règles : le viol répété, même sur des jeunes filles vierges, et les coups.

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Pakistan : Conversion forcée et viol “légal” d’une chrétienne

Le quotidien pakistanais Express Tribune a publié le 2 décembre dernier, un article qui en dit long sur la perversité récurrente au Pakistan et sur le sort des chrétiennes dans ce pays. En voici la traduction.

Lahore. Un juge adjoint de tribunal d’instance et de grande instance demande des explications au responsable du poste de police au sujet d’une plainte qu’une femme chrétienne tente de faire enregistrer contre les personnes qu’elle accuse de l’avoir forcée à adhérer à l’islam sous la menace d’un pistolet. La plaignante a déclaré à la cour qu’elle avait été enlevée par un homme le 8 novembre et qu’il l’avait forcée à signer des papiers en blanc sous la menace d’un pistolet. Elle a déclaré que l’homme et un [imam] avaient préparé un faux nikah nama [certificat de mariage en droit musulman], et qu’il l’avait violée pendant plusieurs jours. Elle a déclaré que l’homme l’avait forcée sous la menace d’un pistolet de réciter la kalma [ou chahada, profession de foi musulmane] bien qu’elle ne le voulût pas. Elle a plus tard réussi à s’échapper et a découvert que trois autres personnes étaient impliquées dans son enlèvement et sa conversion forcée. Elle a déclaré qu’elle était allée à la police de la Colonie de Nishtar [de Lahore] mais que le responsable du poste de police n’avait pas voulu enregistrer sa plainte. Elle demande à la cour de lui ordonner d’enregistrer sa plainte contre les suspects.

 

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