Michel Garroté - Mais non, ce cardinal - Raymond Leo Burke - ne destituera pas le pape François et d'ailleurs il n'en a pas le pouvoir. En fait, c'est juste la presse progressiste qui allègue : "le cardinal américain qui destituerait le pape François, s’il pouvait". Ridicule.
-
Barbie Latza Nadeau, dans The Daily Beast, écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Le cardinal américain Raymond Leo Burke, un conservateur, a déclaré que les catholiques américains membres du parti démocrate, John Kerry et Nancy Pelosi, devraient se voir refuser la sainte communion parce qu’ils sont pro avortement. Le cardinal Burke veut également obliger le pontife progressiste à préciser la position de l’Eglise sur le divorce et les LGBT. Le pape François a donc des explications à donner. C’est ce que disent quatre cardinaux animés par l'Américain Raymond Leo Burke.
-
Fatigué de dépendre du pontife en ce qui concerne le symbolisme et l'interprétation individuelle du magistère, Burke et les quatre autres cardinaux souhaitent que le pape François explique ce qu’il pense vraiment sur des questions clés comme les couples de même sexe et les catholiques divorcés et re-mariés.
-
En septembre, les cardinaux ont déposé une liste de doutes auprès du pape François et auprès de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi à propos de l'exhortation apostolique du pape 'Amoris Laetitia' (The Joy of Love) dans laquelle il a assoupli les positions de l'Eglise à propos du mariage. Et cette liste de doutes dit que le pape engage l'Eglise vers la désorientation et la confusion.
-
Lorsqu'il est devenu clair que le pape François n’avait pas l'intention de répondre, les cardinaux ont rendu leur action publique. Si le pape ne répond pas, ils lanceront une procédure formelle de correction et une audience du Congrès à la Curie en vertu du principe 'Prima Sedes' du Droit Canon, ajoute Barbie Latza Nadeau (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
-
Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
-
Version française :
-
http://www.atlantico.fr/decryptage/cardinal-americain-qui-destituerait-pape-francois-pouvait-gilles-klien-burke-lgbt-divorce-2886103.html?yahoo=1
-
Version originale : Barbie Latza Nadeau dans The Daily Beast.
-
Blog Archives
Mais nom de Dieu, l’islam veut gouverner le monde !
Michel Garroté - Autisme, déni, lâcheté, le fait est que les gens ne comprennent pas ou font semblant de ne pas comprendre que l'islam veut gouverner le monde. L'islam est d'abord un islam politique. Les musulmans là où ils se trouvent ont le devoir de soumettre toute la population à la charia. Ils ont ce devoir parce que s'est cela que l'islam leur dit de faire.
-
Les zones à forte présence musulmane sont des mini-États islamiques et donc des zones de non-droit. Ce n'est pas ce que chaque musulman désire forcément. Mais c'est ce que l'islam exige de la part de tous musulmans. De plus, les musulmans ne sont pas tous des terroristes. Mais 99% des terroristes sont des musulmans.
-
A ce propos, le Cardinal Burke rappelle quelques évidences "politiquement incorrectes" qui remettent en question le "Padamalgam" (extraits adaptés ; voir liens vers sources en bas de page) : "Il n’y a aucun doute que l’islam veut gouverner le monde" déclare le Cardinal Burke. Interrogé par 'Religion News Service', le Cardinal Burke déclare que l’islam est "d’abord une forme de gouvernement".
-
Le Cardinal s’inquiète du fait que les gens ne comprennent pas que quand les musulmans deviennent majoritaires dans un pays (ndmg - ou région ou quartier), ils ont le devoir de soumettre toute la population à la charia.
-
Cardinal Burke : "Le point que je veux faire passer est le suivant : quand les musulmans deviennent majoritaires dans quelque pays que ce soit (ndmg - ou région ou quartier), ils ont l’obligation religieuse de gouverner ce pays (ndmg - ou cette région ou ce quartier). Si c’est ce que les citoyens d’une Nation donnée désirent, alors ils n’ont qu’à permettre que ça continue. D’un autre côté, s’ils s’y opposent, alors ils doivent trouver une façon de faire face à la situation".
-
Le cardinal indique que, dans certaines villes de France et de Belgique, avec d’importantes populations musulmanes, "il y a des mini-États islamiques" avec des "zones fermées" aux autorités gouvernementales. Il ajoute que "ces phénomènes ne sont pas des anomalies dans l’islam. C’est la façon dont les choses doivent aller" (ndmg - selon les lois musulmanes). "Si vous comprenez cela et que vous n’aimez pas l’idée de vous voir imposer un gouvernement islamique par la force, alors vous avez raison d’avoir peur", dit le Cardinal.
-
Le Cardinal rappelle des exemples historiques d’invasions musulmanes de Nations chrétiennes d’Europe, comme la bataille de Lépante (1571) et la bataille de Vienne (1683) qui s’étaient soldées par des défaites de l’empire ottoman.
-
Le Cardinal Burke : "Ces événements historiques sont directement rattachés à la situation que nous vivons aujourd’hui. Il n’y a aucun doute que l’islam veut gouverner le monde. Je pense qu’on doit insister là-dessus. On doit dire non, notre pays n’est pas disponible pour être transformé en État islamique", conclut le Cardinal Burke (fin des extraits adaptés ; voir liens vers sources en bas de page).
-
Michel Garroté
-
http://religionnews.com/2016/07/21/us-cardinal-says-christian-nations-in-west-must-counter-islamic-influx/
-
http://pointdebasculecanada.ca/cardinal-americain-declare-que-les-nations-chretiennes-doccident-doivent-freiner-la-poussee-de-lislam/
-
Islam – Des prélats sauvent l’honneur de l’Eglise catholique
On parlera du synode sur la famille, qui se déroule actuellement au Vatican, lorsqu’il sera achevé, lorsque tous les prélats concernés auront terminé de donner leurs avis, lorsque le pape François communiquera les décisions et conclusions de ce synode très agité. Pour l’instant, parlons de l’Eglise catholique et de l’islam, au vu de ce qui se passe en Syrie et en Irak, et, du fait de l’arrivée massive de clandestins musulmans eu Europe. Une majorité d'Allemands s'inquiètent désormais de l'arrivée de centaines de milliers de clandestins musulmans et la chancelière Angela Merkel, qui a ouvert grand les portes du pays, voit sa popularité chuter.
Plus de la moitié des Allemands déclarent ouvertement et clairement avoir peur de ces clandestins musulmans. De son côté, le ministre allemand de l'Intérieur, Thomas de Maizière, a critiqué le fait que les réfugiés quittent les centres allemands d'accueil et il a également critiqué le fait qu'ils commandent un taxi et disposent étonnement de l'argent nécessaire pour parcourir des centaines de kilomètres à travers l'Allemagne. Les Eglises chrétiennes, elles, s’obstinent à réclamer que l’Europe continue d’accueillir tous ces nouveaux arrivants mahométans que personne n’a invités. Cela dit, notons que sur ce thème, quelques rares prélats sauvent l’honneur de l’Eglise en disant la vérité sur l’islam.
A ce propos, voici quelques extraits d'un entretien accordé par le cardinal, américain et conservateur, Mgr Raymond Leo Burke à Atlantico (voir lien en bas de page) : « Que vous inspirent les angoisses identitaires de l’Europe notamment vis-à-vis de l'islam ? On voit qu'en France et ailleurs en Europe, des gens sont inquiets de la place que prend l'islam sur le continent. Quel regard portez-vous là-dessus ? ».
Cardinal Burke : « Pour moi, l’angoisse ressentie est justifiée. Nous devons nous rappeler que l’islam est aussi un gouvernement, pas une simple religion. Cette religion dans sa dimension politique a l'ambition de gouverner le monde. Lorsqu’une population, par exemple en France, devient de plus en plus musulmane, il faut affronter la possibilité de vivre un jour sous un gouvernement islamique, avec toutes les conséquences que cela implique, conclut le Raymond Leo Burke » (fin des extraits ; voir lien en bas de page).
En 2012 déjà, un autre cardinal, africain cette fois, Mgr Peter Turkson, avait fait sensation en diffusant une vidéo choc sur l'expansion de l'islam en Europe.
En 2010, évêque libanais de rite catholique syriaque, Mgr Raboula Antoine Beylouni, avait eu le courage de rappeler que le Coran « ordonne d'imposer la religion par la force, par l'épée », que « le Coran permet au musulman de cacher la vérité au chrétien et de parler et agir contrairement à ce qu'il pense et croit », que « le Coran donne au musulman le droit de juger les chrétiens et de les tuer par le djihad ». Mgr Raboula Antoine Beylouni avait également eu le courage de rappeler que « les musulmans ne reconnaissent pas la liberté religieuse, ni pour eux ni pour les autres », que le musulman aborde le « dialogue avec cette supériorité et avec l'assurance d'être victorieux », que discuter « sur les dogmes » entre chrétiens et musulmans s'avère impossible.
En 2006, un autre prélat, celui-là d’origine allemande, Mgr Walter Brandmüller, avait donné une conférence où il disait que l’islam (extraits adaptés) « à la différence du Christianisme, exprime un projet global, à la fois religieux, culturel, social et politique s’est imposé par la force d’une domination politique. L’usage de la violence occupe une place centrale dans la tradition musulmane, ainsi que le révèle le recours fréquent au terme de djihad dans de très nombreux documents ».
Cardinal Walter Brandmüller : « L’usage de ce terme (djihad) dans la tradition musulmane, et l’usage qui en est fait aujourd’hui, est substantiellement univoque et indique la guerre faite au nom de Dieu pour l’Islam, une guerre qui est une obligation pour l’ensemble des musulmans adultes de sexe masculin. L’histoire démontre malheureusement que la violence a caractérisé l’Islam depuis ses origines et que Mahomet lui-même a organisé et conduit de manière systématique des razzias contre les tribus qui ne voulaient pas se convertir et accepter sa domination, soumettant de cette manière les tribus l’une après l’autre », concluait le cardinal Walter Brandmüller.
Michel Garroté, 5 octobre 2015
Cardinal Burke : “Face à l’islam, il n’est pas déraisonnable de ressentir une certaine peur. Une peur juste”
Que vous inspirent les angoisses identitaires de l’Europe notamment vis-à-vis de l'Islam ? On voit qu'en France et ailleurs en Europe, des gens sont inquiets de la place que prend l'Islam sur le continent. Quel regard portez-vous là-dessus ?
Pour moi, l’angoisse ressentie est justifiée. Nous devons nous rappeler que l’islam est aussi un gouvernement, pas une simple religion. Cette religion dans sa dimension politique a l'ambition de gouverner le monde. Lorsqu’une population, par exemple en France, devient de plus en plus musulmane, il faut affronter la possibilité de vivre un jour sous un gouvernement islamique, avec toutes les conséquences que cela implique.
Avez-vous l'impression que le Pape François partage votre regard sur le sujet?
Je ne sais pas exactement ce que lui pense de cette situation, peut-être n'ai-je pas lu suffisamment ce qu’il a dit. Je ne sais pas exactement ce qu'il a pu dire sur le sujet, en dehors bien sûr du fait qu'il ait demandé aux paroisses et aux institutions de recevoir les réfugiés de Syrie.