Ce qui se joue à Ottawa

Le Canada. C'est loin et il fait froid. Les Canadiens sont gentils et certains parlent français avec un accent rigolo du côté du Québec. Voilà à peu près l'image que l'on a du Canada en Europe. Image à laquelle on pourrait rajouter l'actualité récente: des camionneurs manifestent à Ottawa, la capitale fédérale, et klaxonnent en dérangeant les gens. Visé par les protestations, Justin Trudeau a décidé de répliquer par la force, ce qui est forcément très bien puisque les manifestants sont fascistes / racistes / nazis / extrémistes / partisans de Trump / suprémacistes blancs (ou tout en même temps).

Beaucoup de gens se contenteront de cette "information" sans chercher à en savoir davantage. Pourtant, ce qui se joue de l'autre côté de l'Atlantique est bien plus significatif, et même symbolique du futur de nos sociétés. Pour comprendre de quoi il retourne, je vous propose une traduction d'un texte remarquable de David McGrogan à ce sujet, publié sur le site du Brownstone Institute.

Stéphane Montabert, le 19 février 2022

 


 

La Société civile contre l'État: le Canada révèle le conflit au cœur de notre temps

La confrontation entre Justin Trudeau et les camionneurs canadiens est peut-être l'événement le plus important de la pandémie de Covid - non pas à cause de son éventuel résultat, quel qu'il soit, mais par ce qu'elle symbolise. Elle capture dans un microcosme parfait les tensions entre les impératifs concurrents de notre époque: liberté contre sécurité ; État de droit contre une gouvernance flexible et « réactive » ; priorités des travailleurs contre celles de la bourgeoisie sur Zoom ; besoin d'interaction humaine et d'appartenance ancrées dans le monde réel contre promesses d'un splendide isolement en ligne ; les expériences de l'homme ordinaire, qui sait où ça fait mal, contre celles de la classe des experts professionnels, qui rejettent tout ce qui ne puisse s'exprimer sous la forme d'une expression mathématique.

Et plus que tout cela, cependant, l'opposition nous donne une lentille à travers laquelle nous pouvons apercevoir un conflit bien plus profond, bien plus ancien et d'une portée bien plus vaste – un conflit qui sous-tend non seulement les luttes de l'ère Covid, mais de la modernité elle-même. D'un côté nous avons l'État, qui cherche à rendre l'ensemble de la société perméable à son pouvoir. De l'autre nous avons des sources alternatives d'autorité – les familles, les églises, les communautés, les entreprises privées, les campagnes et l'être humain lui-même en tant qu'individu.

Pendant des siècles, l'État a mené une guerre tranquille contre ces concurrents et les a peu à peu soumis à sa volonté. Il ne l'a pas fait à travers une conspiration ou une stratégie délibérée, mais simplement à travers la poursuite résolue d'un objectif suivi génération après génération par les dirigeants politiques: la légitimité. Les gouvernements et autres organes de l'État tirent leur légitimité, et donc leur position de pouvoir, d'une conviction implantée au sein de la population, la conviction qu'ils sont nécessaires.

Ils y parviennent en suggérant sans relâche que sans leur intervention, les choses iraient mal ; laissés à eux-mêmes, les gens ordinaires en souffriraient. La famille, l'église, la communauté sociale, l'entreprise privée, l'être humain individuel – tout cela est inadéquat pour assurer le bien-être de l'Homme. Seul l'État est équipé pour l'accomplir cette tâche, car seul l'État peut maintenir la population instruite, en bonne santé, en sécurité, prospère et satisfaite. Et puisque ne saurait en être autrement, seul l'État est apte à disposer du pouvoir – et seuls ceux qui gouvernent l'État sont aptes à gouverner.

La logique de cet argument s'inscrit en grosses lettres, bien sûr, dans la réponse du monde développé contre le Covid. Qu'est-ce qui nous gardera « en sécurité » ? Certainement pas les sources traditionnelles d'assistance, comme une communauté paroissiale ou la famille. Certainement pas des individus, à qui on ne peut guère faire confiance pour se comporter de manière responsable ni pour évaluer correctement les risques encourus.

Non, c'est seulement l'État, d'abord avec ses confinements, puis avec sa distanciation sociale, ses mandats sur les masques, ses programmes de vaccination, et dernièrement son obligation vaccinale et ses « passeports sanitaires ». Seul le pouvoir de l'État peut sauver et protéger. Et puisque seul l'État peut nous sauver, il est la seule source légitime d'autorité – dont bénéficient aussi, bien sûr, ses dirigeants.

L'idée de l'État se présentant ainsi comme un sauveur est manifestement fausse, absurde même, compte tenu de ce qui s'est passé au cours des deux dernières années. Mais aussi fausse et absurde soit-elle, elle reste sous-entendue dans toute la politique liée au Covid. Justin Trudeau doit puiser sa légitimité quelque part pour se maintenir au pouvoir. Et il sent d'instinct (comme l'animal politique qu'il est) qu'il peut en détourner une partie à son profit en présentant l'État canadien (avec lui-même à la barre, bien sûr) comme le seul obstacle qui puisse préserver le public canadien de la souffrance et de la mort.

C'est l'État, rappelons-le, qui sauve et protège – en l'occurrence au travers de son mandat vaccinal. Sans lui, suivant ce raisonnement, la population souffrirait et mourrait alors que Covid se déchaînerait. La logique politique est incontournable. Pour un homme comme Trudeau, sans autre principe que lui seul est apte à gouverner, il n'y a qu'une voie à suivre. Insister sur le fait que seul l'État sauve et met en sécurité, et que tout ce qui se dresse sur son chemin – prenez garde, camionneurs! – finisse donc écrasé sous son talon.

Les camionneurs, de leur côté, représentent tout ce que l'État méprise. Ils disposent d'un pouvoir social et politique indépendant de lui, et constituent donc une des sources alternatives de pouvoir qu'il déteste et craint. Ce pouvoir ne découle pas d'une institution dominée par les camionneurs, mais simplement de leur statut parmi ce que j'appellerai les classes indépendantes – presque le dernier bastion d'autosuffisance et d'autonomie dans une société moderne comme le Canada.

Dans une économie développée, la plupart des classes professionnelles, médecins, universitaires, enseignants, fonctionnaires, etc., tirent leurs revenus et leur statut, entièrement ou partiellement, directement ou indirectement, de l'existence de l'État. S'ils ne sont pas fonctionnaires, leur statut repose sur un appareil réglementaire que seul l'État peut instaurer et faire respecter. C'est vrai aussi, bien sûr, pour les classes les plus pauvres, souvent presque totalement dépendantes de l'État pour la satisfaction de leurs besoins. Les membres de ces classes ne représentent aucune menace pour la légitimité de l'État, car, tout simplement, ils en ont besoin. L'État est par conséquent parfaitement heureux de tolérer leur existence – et, en fait, il souhaite que toute la société soit incitée à ce régime. Une population entièrement dépendante de l'État est une population qui ne remettra jamais en question la nécessité de la croissance de son pouvoir, et donc sa capacité à asseoir sa propre légitimité.

Mais au milieu se trouvent ces personnes, les artisans et travailleurs indépendants, qui tirent leurs revenus de sources privées, en tant que commerçants sous leur propres enseignes, propriétaires de petites entreprises ou employés de PME. Indépendants d'esprit, considérant l'autosuffisance comme une vertu et comptant sur eux-mêmes et leurs relations avec les autres plutôt que sur l'État, ils représentent une barrière naturelle à son autorité. Autrement dit, ils n'ont pas besoin de lui. Ils gagnent leur argent grâce à l'utilisation de compétences particulières que d'autres apprécient, et qui paient pour en disposer dans un marché libre.

Que l'État existe ou non est sans importance pour leur succès – et, en effet, il se dresse très souvent sur leur chemin. Ce sont les gens qui, voyant un problème, ont tendance à vouloir trouver une solution par eux-mêmes. Et ils sont précisément le genre de d'individus qui veulent décider eux-mêmes de l'opportunité de se faire vacciner, et d'évaluer eux-mêmes les risques liés à la santé en général.

L'État moderne a mené une guerre incessante et secrète contre les travailleurs indépendants en particulier. À chaque pas, il cherche à réglementer leurs affaires, à restreindre leur liberté et à confisquer leur prospérité. Il y a toujours une soi-disant « bonne » raison à cela. Mais cela contribue à un incessant rognage de leur indépendance et de leur force. Ce n'est pas un hasard s'ils sont décrits dans le jargon britannique comme la « classe moyenne compressé » – écrasés comme ils le sont entre les classes populaires dépendante de l'aide sociale d'une part, et d'autre part les professionnels en col blanc qui tirent leur prospérité, directement ou indirectement, de l'État.

Ce n'est pas non plus un hasard si ces hommes libres modernes ont progressivement vu leur représentation politique diminuer au cours des 100 dernières années, dans quelque société développée que l'on veuille nommer ; les politiciens qu'ils éliraient seraient surtout intéressés à se débarrasser de l'État, et les incitations des politiciens modernes penchent toutes dans la direction opposée. L'intérêt des politiciens actuels est dans la croissance inexorable du pouvoir étatique, car c'est de là que vient leur légitimité.

Le mépris de Justin Trudeau pour les camionneurs est authentique et profond. Il ne voit pas en eux un obstacle à la politique Covid ni une menace potentielle pour la santé publique ; même lui ne peut pas être assez stupide pour penser que c'est important à ce point-là que ces gens prennent ou non leurs vaccins. Non, les identifie comme une barrière s'opposant aux forces auxquelles il lie son avenir politique – une autorité gouvernementale à la portée et à l'échelle toujours croissantes, et les opportunités de renforcer sa propre légitimité qui en découlent.

Son mépris pour eux est bien sûr renforcé par sa peur. Parce qu'il se rend sûrement compte que son autorité est mince comme une feuille de papier. La légitimité va dans les deux sens. S'il ne parvient pas à réprimer la révolte des camionneurs, tout l'édifice sur lequel repose son autorité – comme capitaine de l'État canadien disposant de sa prétendue capacité à protéger la population de tout mal – s'effondrera.

Ce conflit ne concerne donc pas le Covid ; il est existentiel. Est-il important que les camionneurs gagnent ou perdent ? Non. Ce qui compte, c'est ce que leurs efforts nous révèlent sur la relation entre l'État et la société civile en 2022.

David McGrogan, Professeur Associé de Droit à la Northumbria Law School.

Marx et les églises incendiées au Canada, suite à la découverte de tombes d’enfants autochtones

Mathieu Bock-Côté: Au Canada, on brûle des églises impunément

La question des pensionnats autochtones occupera une grande place dans l’actualité cet été.

Le Canada prend conscience d’une injustice historique logée dans les entrailles du pays qui façonne encore sa réalité présente. Comment ne pas être obsédé par le sort de ces enfants arrachés à leurs familles et à leur culture pour les y rendre étrangers ?

Ce pays qui se présente à la manière d’un modèle pour la terre entière n’est pas à la hauteur de sa réputation, pour le dire d’un euphémisme.

Les Canadiens découvrent que le Canada n’est pas le paradis et ne parviennent pas à le croire.

Haine

Le sentiment de révolte est inévitable, et naturel. Il est aussi légitime.

Il s’exprime toutefois trop souvent de manière criminelle, comme on le voit dans l’ouest du Canada avec la multiplication des incendies d’églises. D’autres sont vandalisées. Tout cela se passe, faut-il le dire, dans une indifférence médiatique générale. Ou alors, les événements sont rapportés avec une grande pudeur, presque dans la gêne. Sans oublier les statues déboulonnées devant des policiers capitulant devant les vandales.

Plus encore, si on se promène un peu sur les réseaux sociaux, on en trouve plusieurs pour s’en réjouir, comme s’il s’agissait des flammes de la justice rasant une institution maudite. Ils y voient une vengeance légitime, en oubliant que plusieurs leaders autochtones ont eux-mêmes dénoncé ces incendies criminels et se désolent de cette violence.

Résumons : au Canada, à l’été 2021, on brûle des églises dans un mélange d’indifférence et de joie mauvaise.

Imaginons un autre scénario. Imaginons si, après le 11 septembre 2001, aux États-Unis, ou après les attentats islamistes des dernières années, en France, des citoyens « en colère » avaient décidé de s’en prendre aux mosquées, de les vandaliser, de les brûler.

Nous aurions tous été révoltés par de tels gestes. Nous les aurions condamnés sans nuance. Nous aurions rappelé que de tels gestes sont criminels, en plus d’exiger une sévère punition pour leurs auteurs. Surtout, nous aurions eu raison d’être intraitables envers les vandales.

Comment, dès lors, expliquer la réaction présente ?

Est-il plus grave de s’en prendre à un lieu de culte musulman qu’à une église catholique ?

Banalisation

Comment se fait-il qu’on banalise de tels gestes criminels, qu’on les range presque dans la catégorie des faits divers, alors qu’il s’agit au sens fort d’actes haineux ? Encore une fois, la logique du deux poids, deux mesures s’impose.

Selon la religion qui sera la vôtre, on dénoncera, on relativisera ou on excusera les actes de violence et les propos haineux qui vous seront destinés.

Sans le moindre doute, l’État fédéral canadien, qui a imaginé et piloté la politique des pensionnats autochtones, doit faire une autocritique sévère et améliorer la situation des communautés amérindiennes. Il est le principal responsable de cette histoire macabre. Les ordres religieux qui ont participé à cette entreprise doivent aussi assumer leurs responsabilités.

Mais cela ne saurait justifier, aujourd’hui, ces incendies criminels anticatholiques à répétition et leur transformation en faits divers insignifiants.

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Les chrétiens autochtones ont le cœur brisé après l'incendie d'une église anglicane historique

Les chrétiens des Premières Nations ont déclaré avoir eu le «cœur brisé» après que leur église anglicane historique a été incendiée au milieu de la vague continue d'incendies criminels et de statues détruites qui balaye le Canada.

Rosealene Daniels a capturé une séquence vidéo de l'église anglicane St Paul's vieille de 108 ans consumée par le feu sur les terres de la Première nation Gitwangak en Colombie-Britannique. Pendant que l'incendie fait rage, on l'entend dire : «Peu importe s'il ne s'agit que d'un bâtiment, c'est quelque chose qui compte pour tout le monde dans ce village.»

«Quand mes enfants ont vu ça ils ont eu le cœur brisé, tant ils ont de souvenirs dans cette église», dit-elle dans des propos rapportés par CBC News: The National.

«Autochtone ou pas, je ne pense pas que la colère soit le moyen d'y faire face, et nous devons nous asseoir et réfléchir à ce que nous pourrions faire», ajoute-t-elle.

Le radiodiffuseur a rapporté que l'administration du premier ministre libéral Justin Trudeau a déclaré qu'un financement fédéral est disponible pour les églises afin d'accroître leur sécurité, mais que l'accès à ce financement est un processus lent et compliqué – et le gouvernement n'a pas l'intention de le rendre plus rapide ou plus facile, malgré la vague d'incendies criminels.

Le Premier ministre Trudeau, qui est catholique au moins de nom, a déclaré que les attaques contre les églises sont « inacceptables » et « privent les personnes qui ont besoin de deuil et de guérison d'endroits où elles peuvent réellement pleurer et réfléchir » – mais a défendu la colère alimentant cette violence comme «tout à fait compréhensible»:

«Une de mes réflexions est que je comprends la colère qui règne contre le gouvernement fédéral, contre des institutions comme l'Église catholique; c'est réel et c'est tout à fait compréhensible étant donné l'histoire honteuse dont nous sommes tous de plus en plus conscients, et nous nous engageons à faire mieux en tant que Canadiens… [N]ous devons… reconstruire une voie à suivre qui reflète le terrible traumatisme intergénérationnel et les réalités actuelles de la souffrance dont nous sommes tous collectivement responsables», a-t-il déclaré.

Les troubles en cours ont été déclenchés par la découverte de nombreuses tombes désormais anonymes – décrites comme des «fosses communes» par certains médias, à tort – sur les sites d'anciens pensionnats indiens, que de nombreux enfants autochtones devaient fréquenter dans ce que est maintenant largement considéré comme un effort malavisé pour les aider à s'intégrer dans la société canadienne.

Au moins une partie des tombes non marquées, dans ces écoles qui ont été instituées dans les années 1800, étaient originellement marquées, la BBC rapportant que «les parcelles funéraires étaient marquées de croix en bois qui se sont effondrées au fil des ans» dans une école missionnaire – un élément qui apparaît rarement dans la couverture médiatique de ces découvertes.

source: https://www.breitbart.com/europe/2021/07/07/native-christians-heartbroken-after-historic-anglican-church-burns-ground

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Cenator: La découverte des dépouilles sur les sites d'anciens pensionnats d'enfants est extrêmement triste, mais l'émotion devrait laisser la place au recueillement, à la réconciliation... et à la science pour voir de près de quoi ces enfants sont décédés.

Les vivants ne peuvent pas agir sur le passé de leurs ancêtres, et la culpabilisation ni la victimisation n'y changeront rien. La récupération immédiate de ce passé douloureux pour alimenter l'idéologie anti-chrétienne fait plus de dégâts à la civilisation canadienne que le poids du passé.

C'est une guerre spirituelle qui se déroule en Occident, et la série d'incendies et de vandalismes est l’œuvre du camp marxiste. Ce sont les forces du bien et du mal qui s’affrontent et Marx lui-même se réclamait déjà de Satan:

"D'une main sûre je plonge
Mon épée noire de sang dans ton âme.
Cet art, que ton dieu rejette et qu'il ignore,
Des fumées de l'enfer m'est monté à la tête,
Jusqu'à m'ensorceler, à dérégler mes sens
Avec Satan, j'ai fait affaire, et depuis lors,
C'est lui qui dicte les notes, lui qui bat la mesure."

Marx a également consacré un livre à Satan, tout comme son adepte Saul Alinsky.

La révolution culturelle néo-marxiste 2.0 est une guerre idéologique, culturelle et spirituelle. Les conséquences sur notre vie de la domination des vainqueurs sont visibles chaque jour.

L'exploitation de la découverte des fosses communs d'enfants au Canada, où les des orphelinats ont été placé sous la responsabilité des religieux, suivi dune série d'églises historiques incendiés, illustrent parfaitement ceux qui ont gagné la guerre culturelle.

Remarquons bien qu'aucun marxiste ne brûle des mosquées à cause des violations systématiques des droits de l'homme par l'islam, telles que l'assassinat des homosexuels, les viols d'enfants via les mariages arrangés par les parents ou comme phénomène culturel, comme les bacha bazi en Afghanistan.
Au Nigeria, au Pakistan, en Ouganda, etc., les exactions commises par des musulmans contre la population chrétienne n'amènent jamais les progressistes à s'en prendre aux mosquées.

Parce que le marxisme n'est pas anti-religieux, il est anti-chrétien.

Ces églises sont très certainement brûlées par des gauchistes, et encouragées par des gauchistes en position de pouvoir au sein du gouvernement.
En Union soviétique, des pièces de théâtre de rue étaient écrites et jouées pour humilier les chrétiens et le christianisme.

Le satanisme est la spiritualité des marxistes. La différence entre le satanisme et le marxisme semble être seulement que les marxistes sont bien meilleurs pour mettre en œuvre les principes sataniques, semer la souffrance, la destruction et la misère, inverser et pervertir la justice et la raison, tandis que le satanisme ressemble davantage à une manie de personnes dérangées, sans influence significative.

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Richard Wurmbrand: Karl Marx et Satan

Traduction de l'ouvrage: Was Karl Marx a Satanist? 
Diane Books Pub Co, Glendale, Ca., 1976

Saul Alinsky

La partie concernant Saul Alinsky commence à la 4e minute, sous-titres automatiques disponibles.

Ben Carson a mis en garde contre la progression d'un programme marxiste pour détruire la démocratie, lors d'un discours prononcé à la Convention nationale républicaine le 19 juillet 2016.

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La liste des églises qui ont brûlé en Colombie-Britannique

Nouvelles Nationales d'APTN

Au moins trois églises construites sur des terres autochtones en Colombie-Britannique ont été la proie des flammes. Au total, cinq églises ont été incendiées dans la province depuis la découverte de restes humains à Kamloops. Voici la situation dans l’Ouest.(vidéo 2:28)

Yellowknife (Canada) : tentative d’incendie criminel à la co-cathédrale Saint-Patrick

Dans la nuit du 30 juin au 1er juillet 2021, un incendie qualifié de “criminel” par l’évêque et les forces de l’ordre s’est déclaré dans la co-cathédrale catholique Saint-Patrick de Yellowknife, dans les Territoires du Nord-Ouest (Canada)

Calgary (Canada) : une église incendiée à Forest Lawn

Le 4 juillet dernier, les pompiers ont réussi à venir à bout de l’incendie d’une église House of Prayer Alliance à Forest Lawn, près de Calgary dans l’Alberta. Le feu est considéré comme criminel et les forces de l’ordre cherchent…

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Canada : deux autres églises incendiées en Alberta et Nouvelle-Ecosse

Du 21 au 30 juin, en tout six églises catholiques ont été détruites par des incendies criminels au Canada, les deux dernières le 30 en Alberta et Nouvelle-Ecosse. Ces incendies ont eu lieu suite à la découverte de tombes près…

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Canada : 6 églises catholiques incendiées en une semaine, le premier Ministre condamne

Alors que deux nouvelles églises catholiques ont été visées par des tentatives d’incendies en une semaine au Canada, après la découverte de près de 800 tombes près de pensionnats autochtones – des structures confiées aux églises canadiennes par l’Etat au…

Edmonton (Canada) : une statue de Jean Paul II vandalisée

Des dizaines de mains rouges ont été apposées le 26 juin dernier sur la base de la statue du pape Jean Paul II devant l’église du Saint Rosaire à Edmonton, Canada. Une partie importante de cette paroisse est constituée de…

Canada : deux autres églises incendiées, 4 en une semaine

Après l’incendie de deux églises catholiques le 21 juin dernier dans des communautés autochtones, deux autres ont brûlé le 26 juin dernier à une heure d’intervalle. “L’église St. Ann et l’église Chopaka ont été incendiées samedi à l’aube, à moins…

Canada : l’église Sainte-Anne de Ristigouche complètement détruite dans un incendie

C’était une des premières paroisses de Gaspésie, vers 1700, même si l’église actuelle était déjà la quatrième bâtie sur ce lieu, fin XIXe, réparée après un incendie en 1927. Néanmoins Sainte-Anne de Ristigouche a été complètement détruite par un violent…

Ontario (Canada) : l’église d’Attawapiskat complètement détruite par le feu

L’église catholique Saint-François Xavier d’Attawapiskat, une communauté autochtone (Première Nation) du nord de l’Ontario, a été complètement incendiée le 21 avril dernier. Elle était fermée depuis 2019 après que des désordres soient apparus dans sa structure. « L’église est complètement détruite.…

Dictature sanitaire : au Canada, les autorités sanitaires barricadent une église

Après 108 plaintes et 18 inspections qui ont toute relevé un refus réitéré de se conformer aux « normes sanitaires » de la nouvelle religion mondiale des « gestes-barrière », les autorités anitaires de l’Alberta ont fermé l’église Grace Life Church à Edmonton en…

Canada : Deux églises détruites dans des incendies « très suspects » en Ontario.

Deux églises situées à dix minutes l’une de l’autre, à Strathroy-Caradoc, dans la province canadienne de l’Ontario ont brûlé pendant la nuit du 1er au 2 novembre dans des circonstances « suspectes ». « Nos genoux tremblaient, nous sommes allés là-bas,…

Canada : un tabernacle volé dans une cathédrale en Ontario

Le tabernacle de la cathédrale St. Catherine of Alexandria du diocèse de St. Catharines, ainsi que les saintes Espèces qu’il contenait ont été volés par un couple, mardi 8 septembre vers 4 h 30 du matin selon les enregistrements vidéos.…

Canada : une statue de la Vierge Marie décapitée à Toronto

Dimanche 30 août, juste avant la célébration de la messe dominicale, les paroissiens de l’église catholique maronite Notre-Dame du Liban, située dans le quartier Parkdale de Toronto, ont eu la douleur de constater que la statue de Vierge Marie, érigée…

Canada : chemin de croix vandalisé au Grand Sudbury

Ces actes de vandalisme ont été constatés le 23 mai dernier au Grand Sudbury (Ontario). Le Service de police du Grand Sudbury (SPGS) a ouvert une enquête sur des dommages faits à des statues du chemin de croix sur le…

Canada : incendie d’origine inconnue d’une église à Windsor, en Ontario

Les premières informations ne disent rien sur l’origine du sinistre. De grands panaches de fumée et des flammes violentes s’élevaient de l’église évangélique baptiste de Walkerville, à Windsor, dimanche [27 octobre] après-midi. Selon les pompiers de Windsor, le pasteur a…

Canada : vol dans la cathédrale de Québec

Dans la nuit du 11 septembre dernier, vient-on d’apprendre, un inconnu s’est introduit dans la cathédrale Notre-Dame de Québec après avoir brisé une fenêtre. Un grand reliquaire contenant des reliques de saints canadiens a été volé ainsi que des babioles…

Canada : incendie criminel d’une église au Québec (vidéo)

J’avais été averti hier après-midi par un ami prêtre (merci L. D.), d’un incendie qui a ravagé, jeudi matin, l’église Sainte-Philomène dans la ville de Mercier (région administrative de la Montérégie) au Québec. C’est le troisième incendie que subit cette…

Canada : vandalisme, vol et tentative d’incendie dans une église du Québec

Il s’agit de l’église catholique Saint-François-Xavier de la municipalité Saint-François-Xavier-de-Brompton (région administrative de l’Estrie). Une autre église de cette région administrative avait été entièrement détruite par un incendie criminel en 2013… C’est la consternation à Saint-François-Xavier-de-Brompton, en Estrie, après que…

Canada : Les photos du suspect de Vancouver que la presse romande ne veut pas publier

L’homme accusé d’avoir perpétré une attaque mortelle à l’arme blanche à North Vancouver le 27 mars dernier comparaît pour la première fois devant les tribunaux.

Yannick Bandaogo, arrêté sur les lieux du crime, est accusé de meurtre au deuxième degré.

Une femme dans la vingtaine, qui n'a toujours pas été identifiée par les autorités, est morte à la suite des blessures infligées. Six autres personnes ont été blessées lors de l’attaque survenue près d’une bibliothèque publique.

(...)

Ici.radio-canada.ca

 

 

Sources des photos : Facebook de Yannick Bandaogo via le Vancouversun.com


Note : Voici comment notre presse a traité cette affaire :

20min.ch

TdG

Le Matin

24Heures

Vous noterez le copié/collé et la fameuse "pluralité" des médias en Romandie partageant la même et unique source (AFP).

Aucune photo du suspect, pas de nom de famille (qui est à consonance africaine), mais ces mêmes médias affichent le prénom qui est à consonance occidentale. 

Sans commentaire.

 

Amir Attaran, d’origine iranienne et professeur à l’Université d’Ottawa, traite le Québec de raciste et de suprémaciste blanc

M. Saint-Pierre Plamondon demande à l’Université d’Ottawa de condamner publiquement les propos du professeur et de présenter des excuses aux Québécois pour ses propos dénigrants. Il demande également d’intervenir auprès de M. Attaran pour qu’il cesse ces comportements et d’appliquer des sanctions proportionnelles aux propos tenus.

(...)

(...) Il est surprenant que votre université ferme les yeux sur de tels propos stigmatisants et dénigrants envers les Québécois alors qu’elle a fait de la lutte à l’intolérance et au racisme une priorité qui frôle parfois le zèle au cours de la dernière année, écrit-il.

 

 

(...)

Le professeur Attaran maintient ses propos

M. Attaran s’en est pris à plusieurs reprises au Québec, ces derniers mois, sur son compte Twitter personnel, accusant la province de racisme, notamment son système de santé.

(...)

Ici.radio-canada.ca


Note : Il est d'origine iranienne et bien entendu musulman.

Canada : Une attaque à l’arme blanche fait un mort et plusieurs blessés à Vancouver

Vancouver, dans l’ouest du Canada, est en deuil. Une personne a été tuée et au moins cinq autres blessées samedi lors d’une attaque à l'arme blanche près d’une bibliothèque publique de la ville. Selon la police et les services d’urgence, un suspect a été interpellé.

 

 

 

Six personnes ont été hospitalisées après l’attaque, menée apparemment par un homme isolé, selon les mêmes sources. « L’une des victimes est décédée », a annoncé Frank Chang, de la brigade criminelle de Vancouver, indiquant ne pas connaître à ce stade les identités de toutes les victimes. « Le moins qu’on puisse dire, c’est que c’est absolument choquant », a-t-il ajouté. « C’est un choc pour tout le monde y compris pour les policiers eux-mêmes ».

(...)

20Minutes.fr

Nos remerciements à Victoria Valentini


« Au hasard »

« C’était un peu irréel, notamment parce que (il agissait) complètement au hasard », a-t-il ajouté, joint par l’AFP. « Après qu’il a poignardé les gens près de la bibliothèque, c’était le chaos, je l’ai vu face à face avec la police, puis il a pris la fuite, la police l’a pourchassé, l’a coincé et l’a plaqué à terre ».

La chaîne CTV a diffusé samedi soir sur son site une vidéo présentée comme montrant l’arrestation du suspect, qui semble se poignarder lui-même à la jambe avant de s’écrouler et d’être arrêté par plusieurs policiers. Le sergent Jang a lancé un appel à témoins et appelé les auteurs d’images à les transmettre aux enquêteurs plutôt qu’à les publier sur les réseaux sociaux.

(...)

Lavoixdunord.fr

Canada : Une firme en immigration sème la controverse en s’en prenant à la langue française

L’entreprise MDC Canada a causé tout un émoi avec une publication recensant les avantages et les inconvénients de l’immigration au pays. Parmi les points négatifs, la firme spécialisée en immigration mentionne le fait que plusieurs personnes parlent français au Canada.

"Ce genre de discours est absolument inacceptable, s’insurge Jean Johnson, président de la Fédération des communautés francophones et acadienne du Canada. Est-ce qu'on est en train de dire aux immigrants que 10 millions de personnes qui parlent le français au Canada, c'est un problème?"

(...)

Ici.radio-canada.ca

Le Wokisme : Lorsque la gauche manipule les mots pour mieux détruire l’homme blanc

Par MATHIEU BOCK-CÔTÉ

(...)

Tout le pouvoir du wokisme tient dans sa manipulation orwellienne du langage: il invente une novlangue diversitaire qui fonctionne à la manière d’un piège idéologique. La stratégie du wokisme est transparente, et même revendiquée, dans certains cas: il s’agit de s’emparer d’un mot frappé d’une universelle réprobation et de lui coller une nouvelle définition, que l’on dira scientifiquement validée, parce qu’elle sera légitimée par les militants déguisés en experts qui sévissent dans les départements de sciences sociales.

(...)

Trop souvent, des commentateurs ou des observateurs de bonne foi se laissent berner. Horrifiés à bon droit par la signification traditionnelle de ces mots, ils ne se rendent pas compte qu’ils ne renvoient plus à la même réalité.

(...)

Journaldequebec.com

Nos remerciements à Mac Guffin

Une première journaliste à porter le hijab au Canada dans une émission nationale

À partir de lundi, la journaliste de la télévision Ginella Massa présentera l'émission Canada Tonight with Ginella Massa. Elle deviendra ainsi la première animatrice d'une émission de nouvelles ou d'affaires publiques à l'échelle nationale à porter le hijab à l'antenne au Canada.

En 2015, Ginella Massa est déjà entrée dans l'histoire en étant la première journaliste de télévision en Amérique du Nord à porter un hijab à l'antenne.

[...]

Ici.radio-canada.ca

Canada : le policier Andrew Harnett meurt écrasé par une voiture qui avait forcé un barrage. 2 suspects identifiés : A. Abdulrahman, 19 ans, et A. Muhammad, 17 ans

Les deux jeunes recherchés par les autorités après avoir causé la mort d’un policier de Calgary à un barrage routier la veille du Nouvel An, en Alberta, se sont rendus.

Amir Abdulrahman, âgé de 19 ans, et un mineur de 17 ans, tous deux de Calgary, ont été arrêtés à un poste de police.

 

 

(…) La police a demandé l’autorisation d’un tribunal pour identifier le plus jeune suspect, qui est mineur. Puisqu’il n’est plus recherché et en vertu de ses normes et pratiques journalistiques, Radio-Canada a décidé de ne plus le nommer.

La tragédie s’est produite vers 22 h 50 jeudi soir, dans le nord-est de la ville, non loin de l’aéroport international de Calgary. La victime est le sergent Andrew Harnett, 37 ans.

(…)

Radio-Canada

Via Fdesouche

 

 

Miss Canada déplore que Black Lives Matter ne soit “plus très branché”

La Miss Canada 2020 est aussi l’une des organisatrices des mobilisations de Black Lives Matter.

Après les nombreuses manifestations du mouvement racialiste durant plusieurs mois, le calme semble être enfin revenu. C’est ce qui pose problème à Nova Stevens, Miss Canada 2020 et aussi l’une des organisatrices des mobilisations, Black Lives Matter, à Vancouver au Canada. La jeune femme était interrogée sur CBC Vancouver dimanche 22 novembre.

 

 

Elle a rapidement déploré un relâchement du soutien à Black Lives Matter. « Je déteste l’admettre, mais je trouve que beaucoup de personnes ont, en quelque sorte, abandonné la lutte », estimant alors que « ce n’est plus branché d’être mobilisé avec Black Lives Matter ».

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Valeurs Actuelles

Canada : Justin Trudeau est dangereux (Article du journal de Montréal)

On passe notre temps à se moquer de Trump. Mais si on lâchait Washington et qu’on s’intéressait un peu plus à ce qui se passe depuis quelques années à Ottawa, on verrait que nous ne sommes pas tellement mieux équipés que nos voisins du Sud, rayon leadership.

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Un PM qui se déguise en Indien quand il va en Inde.

Qui affirme avec fierté que le Canada est le premier pays postnational.

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Qui affirme que le Canada est dépourvu de traditions culturelles qui lui soient propres.

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J’AI HONTE D’ÊTRE CANADIEN

Et voici que Justin Trudeau descend encore plus bas en se mettant à genoux devant les islamistes qui ont décapité un prof et une dame de 70 ans.

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Lire la suite sur l'excellent Journaldemontreal.com

Nos remerciements à Victoria Valentini

La liberté d’expression a ses limites, selon le premier ministre du Canada : “Dans une société pluraliste, diverse et respectueuse, nous nous devons d’être conscients de l’impact de nos mots”

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Vendredi, le premier ministre a été obligé de revenir sur la même question en conférence de presse.

« La liberté d’expression n’est pas sans limites. On n’a pas le droit, par exemple, de crier au feu dans un cinéma bondé de monde », a-t-il dit après avoir assuré qu’il est un défenseur de la liberté d’expression.

« Dans une société pluraliste, diverse et respectueuse comme la nôtre, nous nous devons d’être conscients de l’impact de nos mots, de nos gestes, sur d’autres, particulièrement ces communautés, ces populations qui vivent énormément de discrimination encore », a-t-il poursuivi.

Selon lui, il ne faut pas chercher à « blesser, de façon arbitraire ou inutile, ceux avec qui on est en train de partager une société et une planète ».

Il s’est défendu de céder ainsi à la terreur.

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Il a tout de même tenu à conclure en répétant que les deux crimes des deux dernières semaines, en France, sont « injustifiables » et que les terroristes qui les ont commis « ne représentent aucunement une religion, ne représentent pas du tout les musulmans ici au Canada ou partout dans le monde » [NDLR : Mais dans le même temps, il limite la liberté d'expression pour ne pas froisser les musulmans "qui n'ont rien à voir avec ces actes". Un tel individu n'est qu'un hypocrite].

Lapresse.ca


Rappels :

Canada : le premier ministre Justin Trudeau affirme que le racisme systémique touche toutes les institutions» gouvernement et police compris.

Le premier ministre Trudeau offre ses vœux à l’occasion du Ramadan

Canada : Trudeau a choisi un Somalien comme ministre de l’Immigration

Le premier ministre Trudeau lynche publiquement une Canadienne « Cette intolérance par rapport aux migrants n’a pas sa place au Canada. Vous n’avez pas votre place ici Madame. » (Vidéo)

Québec : le premier ministre Trudeau est opposé à une loi contre le voile intégral

Canada: Le Premier ministre Justin Trudeau refuse d’accuser l’islam après l’attentat. « Le Canada tire sa force de sa diversité. »

Trudeau vote contre une motion qualifiant les crimes de l'EI de génocide

Toronto (Canada) : Deux hommes armés de tronçonneuses menacent les gens sur une plage

Deux hommes filmés par des témoins alors qu’ils menaçaient plusieurs personnes en faisant vrombir des tronçonneuses sur une plage de Toronto, ont été inculpés lundi par la justice. Ils avaient pris part à une bagarre dimanche matin sur la plage Cherry.

 

 

Blessés, ils avaient quitté les lieux avant de revenir peu après, torse nu, brandissant chacun une tronçonneuse allumée et criant des menaces à une petite foule qui s’est rapidement dispersée, selon des images diffusées sur les réseaux sociaux.

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24Heures.ch

Le premier ministre Trudeau offre ses vœux à l’occasion du Ramadan

Le premier ministre Justin Trudeau a fait aujourd'hui la déclaration suivante à l’occasion du Ramadan :

« Aujourd'hui, au coucher du soleil, les musulmans au Canada et à travers le monde souligneront le début du Ramadan, qui représente un cheminement spirituel de jeûne et de prières d’une durée d’un mois.

 

 

« Habituellement, le Ramadan est un moment de rassemblements collectifs. Les familles et les amis le soulignent en se réunissant, en jeûnant durant le jour et en partageant l’iftar à l’arrivée du soir. Cette année, le Ramadan sera toutefois différent des autres. En raison de la lutte actuelle contre la pandémie globale de COVID-19, nous continuons de protéger nos communautés en restant à la maison et en respectant les conseils des experts de la santé publique. Grâce aux mosquées qui diffusent les prières du vendredi en ligne et des familles qui partageront l’iftar de manière virtuelle, les musulmans canadiens feront leur part.

« Durant cette crise, les valeurs de compassion, de gratitude et de générosité qui sont au cœur de l’islam rayonnent plus que jamais. Nous voyons les musulmans canadiens aider leurs voisins. Le Ramadan, période de charité et de contemplation spirituelle, nous rappelle de mettre les besoins des autres avant les nôtres et de mettre ces valeurs en pratique dans notre vie quotidienne.

« Prenons un instant pour remercier les musulmans canadiens et pour prendre conscience des précieuses contributions qu’ils apportent tous les jours à notre pays.

« Sophie et moi souhaitons paix et bonheur à tous ceux qui soulignent le Ramadan.

« Ramadan Mubarak. »

Pm.gc.ca


Rappel :

France : Youssef fonce en voiture sur des policiers : « Je l’ai fait pour l’Etat islamique. »

Canada : Blessing Dugbeh, alors âgé de 19 ans, avait participé au viol collectif d’une fille de 15 ans en se sachant infecté du VIH

Un homme de l’Estrie a écopé de cinq ans de prison pour avoir participé à un viol collectif sur une mineure alors qu’il se savait atteint du VIH.

« En jouant à la roulette russe avec la santé de la jeune victime, l’accusé présente ici un degré nettement plus élevé de culpabilité morale », a soutenu jeudi la juge Claire Desgens en regardant Blessing Dugbeh dans le box des accusés, menottes aux poignets.

L’homme de 22 ans était de retour au palais de justice de Sherbrooke pour entendre sa peine.

En mai dernier, il a été reconnu coupable d’agression sexuelle en groupe, de contacts sexuels ainsi que d’incitation à des contacts sexuels sur une fille de 15 ans au cours d’une fête survenue le 12 février 2017.

Lors des événements, Dugbeh avait 19 ans et était la seule personne majeure.

« L’accusé a délibérément ignoré les signes de détresse de la victime qui ne consentait clairement pas à ce qui se passait. Il a plutôt adopté une attitude arrogante et agressive », a reproché la juge.
[…]

Journal de Montréal

Via Fdesouche

Canada : un migrant soudanais condamné pour avoir tué son ex-petite amie et mutilé son cadavre

Le père de la victime, Harvey Skow, est satisfait de la sentence et estime que justice a été rendue. Il explique cependant que les circonstances de la mort de sa fille laissent une trace douloureuse

[…]

En août 2015, l’Edmontonien a poignardé la femme de 38 ans plus de 100 fois à son domicile, puis a mutilé son corps.

La scène du crime était d’une telle violence que l’un des premiers policiers arrivés sur les lieux a dû prendre un congé pour cause de stress. Silva Koshwal a été reconnu coupable en août 2019.

[…]

Si sa libération conditionnelle est acceptée, Silva Koshwal fera l’objet d’une mesure d’expulsion vers le Soudan du Sud, son pays d’origine.

Radio Canada

Via Fdesouche

Canada : Une ministre égyptienne suggère d’égorger ceux qui disent du mal de l’Egypte

La ministre de l’Immigration égyptienne Nabila Makram suscitait depuis plusieurs jours la polémique après avoir mis en garde à Toronto les dissidents égyptiens que «si quelqu’un di(sai)t du mal» de l’Égypte, il serait égorgé.

«Si quelqu’un dit du mal de notre pays, on lui fait quoi? On coupe», a-t-elle lancé en faisant signe de sa main de trancher sa gorge, déclenchant les rires de la salle lors de ce discours tenu dimanche au cours d’une soirée privée réservée aux membres de la diaspora égyptienne de la capitale économique canadienne.

Dans cette séquence, dont l’une des vidéos la relayant sur Twitter dénombrait mercredi plus de 144 000 vues, Mme Makram loue d’abord sa patrie avant d’évoquer la décapitation: «Ce qui réunit les expatriés, c’est l’amour de leur pays et ils ne tolèrent pas qu’on le critique ou qu’on en dise du mal», a-t-elle déclaré en arabe.

 

Mohamed Kamel, membre du conseil d’administration de la Coalition égyptienne canadienne pour la démocratie, interrogé par Radio-Canada, a estimé mardi que ces propos étaient « très dangereux et inacceptables ».

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Journal de Montreal / Lefigaro.fr

Nos remerciements à Victoria Valentini

Canada : Une rentrée législative marquée par une prière musulmane

En Saskatchewan, le discours du Trône n'est pas passé inaperçu. Pour la toute première fois de l'histoire de la province, une prière musulmane a été prononcée devant les 61 députés de l'Assemblée, marquant le début de la session législative.

Cette initiative est due au président de l’Assemblée législative et député du Parti saskatchewanais pour la circonscription de Regina Coronation Park, Mark Docherty.

Ce dernier justifie sa décision en soulignant que la Saskatchewan est une province inclusive, et sa population, de plus en plus diversifiée.

Comme l'a indiqué le Regina Leader-Post en début de semaine, M. Docherty n’a pas consulté les députés provinciaux avant d’ajouter une prière musulmane à l’ordre du jour de cette rentrée législative. Il se disait néanmoins persuadé que tous feraient preuve d’ouverture.

(...)

Ici.radio-canada.ca

Via Fdesouche.com

Meurtre d’une adolescente par un Syrien : « Les médias canadiens préfèrent protéger les réfugiés »

En juin 2017, un réfugié syrien assassinait une jeune fille de 13 ans, Marissa Shen, à Vancouver, en Colombie-Britannique. Un crime horrible. La journaliste canadienne Debra W. Soh dénonce la couverture biaisée des médias. Selon elle, certains ont caché des informations pour protéger la réputation des réfugiés. Sputnik s’est entretenu avec elle.

Juin 2017. Dans le Central Park de Burnaby, une banlieue de Vancouver, une jeune adolescente est retrouvée sans vie. Il s’agit de Marissa Shen, 13 ans, une jeune Canadienne d’origine chinoise.

Il faudra attendre jusqu’au 7 septembre pour que son meurtrier et présumé violeur, un dénommé Ibrahim Ali, 28 ans, soit arrêté par la police. Présumé violeur, car toute la lumière n’a pas encore été faite sur ses motivations. Selon les autorités, il s’agit d’un crime «aléatoire», mais l’accusé avait possiblement l’intention de violer sa victime.
Ibrahim Ali est arrivé 17 mois au Canada avant le meurtre de la jeune Marissa Shen, en tant que réfugié syrien, avec les 40 000 autres admis par le Premier ministre Justin Trudeau.

Pour que le Canada accueille autant de réfugiés en provenance de Syrie, le gouvernement canadien a dû modifier certaines règles, afin alléger les processus d’admission. À l’époque, la décision de Trudeau avait suscité la crainte et la réprobation de certains milieux.

Un crime «aléatoire» selon la police

Indignées par cette histoire tragique, de nombreuses personnes ont apporté leur soutien aux proches de la victime. En particulier des gens de la communauté chinoise de Colombie-Britannique, qui ont été particulièrement touchés par le drame.

Tout au long de l’enquête et du procès du meurtrier, des manifestations ont eu lieu à Vancouver. Certains ont dénoncé ce qu’ils ont vu comme un parti-pris de la part des médias et de Justin Trudeau lui-même.

La journaliste Debra W. Soh pense aussi que la couverture des événements s’est révélée biaisée dans son ensemble. Mme Soh, 28 ans, est docteur en sexologie et intervient régulièrement dans les médias. Elle écrit notamment pour le Globe and Mail, célèbre journal canadien.

Interrogée par Sputnik, elle a confié avoir été choquée par le comportement de certains journalistes tout au long de l’affaire. Sa conclusion est très claire: «les médias de gauche ont eu tendance à cacher des informations pour préserver la réputation des réfugiés syriens.» Un constat pas banal.  (…)

fr.sputniknews.com

Via Fdesouche.com

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