Porrentruy. Piscine interdite aux Français: « Que nos amis français comprennent que ce n’est pas contre eux, mais plutôt contre ces bandes de banlieue »

L’agent de sécurité posté à l’entrée est très satisfait de l’interdiction de baignade signifiée aux frontaliers, même si les familles en pâtissent. Reportage dans la piscine qui provoque des remous.

 

"des incivilités que nous n'avions jamais vues auparavant"

"les gens prennent peur"

Via Fdesouche


Rappels :

Piscine de Porrentruy : la Jeunesse socialiste s’oppose à l’interdiction d’entrée de la racaille et lance une pétition : « C’est de la discrimination! »

La piscine de Porrentruy sans les fauteurs de troubles… déclenche les sanglots hypocrites de la Jeunesse socialiste

France. Témoignage: “On ne peut pas mettre une personne de confession juive dans un quartier où il y a des musulmans.” (Vidéo)

RMC Les Grandes Gueules.

Témoignage d'une collaboratrice qui travaille dans les logements sociaux.

"On ne peut pas mettre une personne de confession juive dans un quartier où il y a à côté, ou dans l'immeuble à côté, des personnes de confession musulmane sans qu'elle se fasse traiter de sale juif."

 

Source

France: Bijouterie asiatique pillée et détruite par la racaille immigrée qui manifeste pour Théo. La commerçante en pleine crise de larmes subit un malaise.

Ceci est l'immigration enrichissante en provenance d'Afrique que le socialisme a imposée en France, en victimisant systématiquement cette racaille. Il n'y a aucune recherche de justice, ces gens sont ici pour piller la France et la mettre à genoux, avec leurs complices de gauche.

Absolument rien n'est diffusé dans nos médias. Pendant ce temps, Le Matin continue sa propagande dégueulasse en faveur des migrants.

 

Dans un autre commerce, un Franprix saccagé à Bobigny : le désarroi des propriétaires indiens.

"Quand je suis arrivée sur les lieux, je me suis mise à pleurer, confie, ce mercredi, Neadra, une des filles du propriétaire du Franprix, à Bobigny (Seine-Saint-Denis). On a tout donné, on a consacré une grande partie de notre vie à travailler et c’est dur de voir cela."

Quatre jours après les violences urbaines qui ont frappé Bobigny, en marge de la manifestation réclamant justice pour Théo, les propriétaires du Franprix et leurs trois enfants se remettent très difficilement du saccage de leur commerce. Voici leur témoignage.

La superette qui emploie sept salariés ne peut plus tourner pour le moment. Trois nouvelles caisses qui coûtent chacune autour de 10 000 euros doivent être réinstallées. Le montant de la perte de la marchandise en en cours d'évaluation. La présidente de la Région Ile-de-France, Valérie Pécresse, a promis ce mercredi aux patrons du Franprix, de les aider financièrement, à travers un dispositif spécifique.

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France. Paroles de flics: les témoignages chocs des policiers

Christian Hofer: A noter que cette situation est connue depuis des années par les gouvernements UMPS et par ceux qui s'informent un minimum sur ce pays en déroute. Tout ce qui se passe aujourd'hui est la conséquence d'une France en faillite, préférant fermer les yeux sur l'hyper-violence de certaines immigrations, coupant dans les effectifs de la police, dans son budget.

Au-delà de la situation, ce sont les Français de souche, les commerçants qui en souffrent. Il n'y a aucune reprise économique à attendre d'un pays qui vit en état de guerre civile de basse intensité et qui ponctionne abusivement les honnêtes gens.

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Les témoignages des policiers sur leur travail et les conditions dans lesquelles ils l'exercent sont édifiants. Extraits :

Sylvie, 47 ans, Paris

«Avant, c’était des crachats. Maintenant, c’est des cocktails Molotov. Depuis les attentats, on se demande si on va rentrer le soir. Il y a des jours où on ne se sent pas en sécurité.»

Anonyme, 38 ans, Paris

«Un jour, lors d’une intervention, on n’avait qu’un seul gilet pare-balles lourd pour trois. On a dû choisir qui le porterait.»

Stéphane, Paris

«On est obligés de se payer certains équipements.» Dans son commissariat, «à la limite de l’insalubrité, il y a des cafards et des rats. On n’a même pas de stylo pour bosser. Nos voitures sont vieilles et tombent régulièrement en panne».

Bruno, CRS à Strasbourg

«Le policier doit chasser le voleur. Sa mission n’est pas de garder des lieux, des locaux, des barrières. Pour la surveillance des lieux de cultes, ils pourraient mettre en place des entreprises privées».

Malika, 44 ans

Et la rémunération ? «Les salaires ont augmenté de 2 % depuis 2008», affirme Malika, en pointant les «1600 à 1700 euros nets par mois» d’un gardien de la paix débutant.

Anonyme, agent de la Bac dans le Val d'Oise

«C’est arrivé qu’on interpelle le même mec trois fois dans le mois dans trois voitures volées différentes. Si la justice avait fait son travail, ça aurait évité de mobiliser X gars à chaque fois. Ça réglerait déjà une partie du problème d’effectifs».

«On nous demande une politique du chiffre. Un commissaire préfère qu’on fasse cinq "shiteux" (petits consommateurs de cannabis, ndlr) qu’un mec dans une voiture volée. Ça fait plus d’affaires résolues. Mais ce n’est jamais écrit, ils ne veulent pas se mettre en porte à faux».

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Face au danger des migrants, 80% de la police suédoise envisage de démissionner

La Suède peut sombrer dans une crise, un nouveau rapport suggère que 80% des agents de police envisagent de changer de carrière en raison du danger qu'ils rencontrent.

La situation criminelle en Suède peut prendre une tournure encore plus mauvaise. Comme l'a démontré un nouveau rapport, la grande majorité des forces de police suédoise est tellement insatisfaite que les policiers sont à la recherche d'autres orientations professionnelles. La Suède a été secouée par l'augmentation des niveaux de criminalité dans différents domaines: les attaques sexuelles lors des festivals de musique, les attaques à la grenade et la violence envers la police dans les zones peuplées principalement par des migrants.

Le rapport indique que jusqu'à trois policiers suédois démissionnent chaque jour car ils estiment que le gouvernement ne leur donne pas les outils nécessaires pour lutter contre l'épidémie de criminalité rapporte le média norvégien NRK.

Le sergent de police suédoise Peter Larsson explique au diffuseur NRK le défi des autorités suédoises qui doivent faire face à un nombre toujours plus réduit de policiers, déclarant «Nous avons une crise majeure. De nombreux collègues ont choisi de démissionner. Nous ne serons plus en mesure d'enquêter sur les crimes, nous n'avons pas le temps d'aller sur les lieux et faire ce que nous sommes censés faire. Un environnement de travail dégradé signifie que beaucoup de collègues sont à présent à la recherche d'un autre travail."

Larsson pointe expressément la violence contre les employés des services d'urgence en déclarant : «La violence contre la police, les ambulanciers et les pompiers, est devenue bien pire. Nous parlons de jets de pierres, de violence, d'incendies. Cela est devenu bien pire ces dernières années ".

(...)

Une grande partie des crimes en Suède est liée à des banlieues spécifiques dans les grandes villes comme Stockholm et Göteborg qui, généralement, ont également une forte population de migrants. Les banlieues comme Rinkeby à Stockholm sont devenues particulièrement célèbres, les résidents attaquant les journalistes à plus d'une occasion.

Les policiers suédois ont estimé à un total de 14 zones interdites dans lesquelles ils s'aventurent rarement en dehors de leurs postes de police fortifiés, de peur d'être attaqués par la population locale.

(...)

 Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Rappel: Suède : défection de centaines de policiers à cause du chaos migratoire

 

Suède: les migrants transforment les banlieues en zones de guerre. Aucun mot dans nos médias.

SUÈDE: Dans la ville de Södertälje, juste à l'ouest de Stockholm, il y a eu des émeutes deux nuits d'affilée. Des jeunes migrants musulmans ont jeté des pétards puissants sur la police, attaquant les transports publics, incendiant des ordures et des pneus dans les rues. Les gangs essaient également d'attirer le personnel de sauvetage (pompiers, ambulances) dans des pièges afin qu'ils puissent les attaquer. Les voitures sont incendiées. Jusqu'à présent, 150 voitures ont été brûlées à Södertälje cette année sans que personne ne soit arrêté ou suspecté.

Il y a eu des incidents similaires dans un certain nombre de banlieues suédoises ces derniers temps, et cela va crescendo.

Les jeunes migrants essaient de transformer les banlieues suédoises en quelque chose qui rappelle les zones de guerre civiles, où les gens ont peur de sortir la nuit et où des gangs de migrants font des ravages.

Dans la nuit de samedi, les policiers ont été alertés qu'un bus subissait des jets de pierres à Hovsjö, à Södertälje. En outre, des pétards puissants, appelés «bangers», ont été lancés sur le bus, rapporte le site Aftonbladet .

Le chauffeur du bus assis à l'intérieur n'a pas été blessé, a déclaré Mats Almquist, officier de police à Stockholm, qui est également responsable de Södertälje.

Lorsque la police est arrivée au centre de Hovsjö pour enquêter, des pneus de voiture étaient en feu à proximité. Des déchets et des pneus avaient été mis en travers de la route et on y avait bouté le feu. Les pompiers ont été appelés afin de les éteindre.

 

- Puis ils ont jeté des pétards sur nous. Cela peut certainement être assez dangereux, déclare l'officier Almquist.

Un banger est un petit engin explosif conçu principalement pour produire une grande quantité de bruit, en particulier sous la forme d'une forte détonation, mais comme il explose réellement, il peut évidemment causer des blessures.

Hier, les jeunes ont tenté de tendre un piège pour le personnel de secours en rassemblant des ordures et en y mettant le feu. Mais le personnel du service d'urgence a réalisé ce qui allait arriver juste à temps et est reparti.

Source Traduction Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

Autres sources: aftonbladet.seexpressen.se

 

Lyon : des sanctions contre les policiers qui poursuivent les délinquants dans les cités

Christian Hofer: cités, quartiers chauds et autres rodéos étant des éléments faisant référence aux jeunes immigrés des banlieues françaises. Les mots utilisés sont pensés pour contourner la réalité, cette dernière étant étiquetée comme "raciste" par les bien-pensants.

Évidemment, un problème qui ne peut plus être nommé ne sera jamais résolu et la situation se dégradera inévitablement. Ce monde de mensonges construit par la gauche n'a aucun avenir..

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Des consignes sont données par certains chefs de service de police d’éviter d’intervenir dans les quartiers « chauds » de Lyon, un arrêté préfectoral interdit de poursuivre les deux-roues se livrant à des rodéos, des sanctions sont prises à l’encontre de policiers qui bravent les interdictions de poursuivre certaines types de délinquance… Objectif : éviter les émeutes !

Entre le marteau et l’enclume. C’est la situation dans laquelle se trouvent, semble-t-il, certains services de police lyonnais.

D’un côté, la politique du chiffre – la « bâtonite », dans le jargon – qui est toujours d’actualité.

De l’autre, les directives, la plupart du temps orales, de ne pas en faire trop ou carrément de ne pas opérer dans certains quartiers ou sur certaines infractions et délits. « La peur du préfet, ce sont les émeutes » assure un gradé d’une cité « chaude » de l’agglomération.

Avec, sur fond de gyrophare, une dose d’autocensure des policiers eux-mêmes qui n’osent parfois plus agir sous peine de faire l’objet de sanctions disciplinaires…

Lyon Capitale

Nouvelle allocation de 434€/mois aux jeunes des banlieues ne cherchant pas de travail

gérard_brazonPar Gérard Brazon

Pour se donner un peu de courage, sortir de beau matin pour chercher du boulot, trouver un apprentissage, prendre le métro en compagnie des « sans dents », s’insérer dans le tissu social et autres balivernes que l’on ressort tous les jours vis à vis de ces pauvres jeunes sans emploi, forcément abandonnés dans les « cités défavorisées », laissés aux mains « des racistes franchouillards », ces pauvres jeunes victimes de la méchante société française qui ne leur veut que du mal, vont pourvoir participer à la tambouille familiale, oeuvrer à mettre du beurre dans le couscous en offrant une allocations distribuée par le très cher Président de la République et son équipe de la « socia-lie ». Jugez-en.

Dans un bus de la banlieue d’Alger, un soir du 31 décembre

NDR : Témoignage à lire absolument. Bientôt chez nous ?

Le train qui m'emmène vers ma banlieue est à son accoutumée en retard en ce 31 décembre 2014. Un retard qui ne surprend plus les voyageurs mais non sans les irriter. Nous arrivons après le crépuscule à cet arrondissement de l'Est algérois.

À l'horaire convenu tacitement et quasi unanimement pour que les trottoirs et les endroits publics soient vidés de toute créature humaine de sexe féminin. Je fais partie donc des retardataires soupçonnées de... Je ne comprendrais jamais quoi.

"Si ces filles avaient une famille, elles ne seraient pas dehors à cette heure-ci", lance un drille sur notre passage. Il n'était pourtant que 18:25!

Suite

Banlieue française: Ils cachaient lance-roquettes et fusil d’assaut dans leur voiture

Un lance-roquettes, un fusil d’assaut et une kalachnikov ont été découverts par la police dans une cité sensible de la banlieue parisienne.

Un arsenal de guerre, comprenant notamment un lance-roquettes, un fusil d’assaut et une kalachnikov, a été découvert par la police dans une cité sensible de Stains (Seine-Saint-Denis), a-t-on appris lundi 24 novembre de sources concordantes.

Source

Scandale: La police française a ordre de ne plus poursuivre les délinquants des banlieues à deux roues

www.fpip-police.com SYNDICAT INDEPENDANT DE LA POLICE MUNICIPALE (SIPM-FPIP)

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Les différentes forces de police ont reçu pour consigne de ne surtout pas engager de poursuites avec les deux roues en infraction qui refusent de se soumettre à une sommation de s’arrêter. Cette consigne est depuis régulièrement rappelée aux policiers nationaux et municipaux ainsi qu’aux gendarmes et dès qu’un deux roues se retrouve impliqué dans un accident de la voie publique le premier réflexe semble être de rechercher si de méchants policiers n’étaient pas dans le secteur pour trouver d’éventuelles responsabilités.

Cette situation a bien entendu plus d’un effet pervers. Tout d’abord les voyous qui circulent sur des motos de cross non immatriculées, non homologuées, sans permis sans casque et sans assurance (et bien souvent volées) ont un sentiment d’impunité bien réel et narguent les forces de police. Les policiers de leur côté craignent a juste titre les foudres de la Justice puisque pour eux c’est double peine, n’ayant pas pour habitude de gagner leur vie à coups d’aides sociales et de trafics divers et variés. Bien entendu il nous est expliqué que nous devons relever les éléments nous permettant d’identifier « plus tard » les auteurs de ces délits routiers ce qui est une vaste plaisanterie.

Le pire est que bien souvent quand par chance un équipage parvient à interpeller un délinquant de ce type le Parquet… Rend le véhicule à l’auteur des infractions !!!!!!!!!! Dans le même temps consigne est donnée aux policiers d’être intransigeants avec les usagers de la route qui ont le malheur de circuler avec des véhicules en règle et les sanctions sont non seulement sévères mais automatiques.

Très curieusement on dote les gendarmes de véhicules d’interception rapide sur les autoroutes qui se lancent à la poursuite (tiens donc ????) des motards qui auraient l’idée saugrenue de ne pas respecter la sacro sainte limitation à 130 km/h et l’on se vante dans la presse d’avoir brillamment interpellé de vilains citoyens qui parfois en perdent leur emploi.

Et pendant ce temps les VRAIS voyous non seulement font n’importe quoi sur la route, mais parfois tuent ou blessent grièvement des enfants, des passants innocents ou bien foncent sur les policiers. Bref tout va bien dans le meilleur des mondes. Nous aimerions demander si des consignes pourraient être données aux forces de l’ordre pour qu’enfin nous ayons les moyens juridiques NORMAUX pour nous permettre d’intercepter ces délinquants, mais nous ne pouvons qu’être dans la quasi certitude que la hiérarchie- qu’elle soit politique ou administrative- préfèrera sortir le parapluie plutôt que de risquer que des racailles se cassent la figure par leur propre faute. Tant il est plus simple de faire payer le lampiste (le policier de terrain) et le citoyen honnête, usager de la route , tout en se pavanant à la télévision avec la sinistre madame Perrichon, qui est à la sécurité routière ce que Torquemada était à la religion. Ainsi les usagers de la route continueront à payer des contraventions et les racailles qui, comme les hiboux, sont une espèce protégée qui vole la nuit continueront à mettre en danger la vie d’autrui et au minimum à troubler la tranquillité publique. Démonstration est ainsi faite que :

-Sur une moto sportive en dépassement de la vitesse autorisée sur une autoroute déserte, titulaire d’un permis de conduire, d’une moto homologuée, non volée et en bon état et porteur d’un casque TOUS les moyens seront engagés et la sanction ne tardera pas. La Gendarmerie n’hésitera pas, au volant d’un bolide à engager une poursuite à plus de 200 km/h pour vous rattraper.

-Dans une zone de non droit il est de fait permis de contrevenir à toutes les règles du Code de la Route, sans casque, sans permis et sans assurance sur une moto non homologuée. Et si par malheur il y a un accident ce sera de la faute de la Police. C’est ce qu’on doit appeler un Etat de droit… Version Sécurité « Rentière »

SIPM-FPIP/EUROCOP le 21/08/2014 (Reproduisez diffusez )

EUROCOP regroupe 27 pays Européens, 36 syndicats de Policiers. EUROCOP représente 500.000 policiers et siège dans les instances Européennes

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