Avenir Suisse veut pousser la Suisse à l’adhésion avec l’UE: “Une forte intégration à l’Union Européenne conduit à la prospérité.”

Le laboratoire d'idées libéral rappelle prétend dans un nouveau «Livre blanc» que l'Union européenne peut aussi rimer avec prospérité.

«Les esquisses d'avenir présentées ont pour but d'éliminer les tabous, de stimuler la discussion et de faire en sorte que l'impensable redevienne concevable», écrit le laboratoire d'idées libéral mercredi dans un communiqué.

Seules les esquisses se basant sur une forte intégration européenne conduisent à la prospérité.

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Rappels:

Avenir suisse veut donner le droit de vote aux enfants pour lutter contre la « gérontocratie »

Avenir Suisse veut affaiblir notre démocratie

 

Avenir suisse veut donner le droit de vote aux enfants pour lutter contre la “gérontocratie”

Christian Hofer: Jolie manipulation: ce serait une prise de pouvoir par des personnes d'origine étrangère puisque les enfants étrangers sont déjà majoritaires dans certaines classes et que certaines communes laissent les étrangers voter. En clair, la Suisse changerait "démocratiquement" par l'immigration de masse au bout de quelques années.
Avenir suisse n'en est pas à son coup d'essai pour saper notre démocratie et la volonté des Suisses comme on peut le constater dans cet autre article.
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Avenir Suisse propose d'accorder un droit de vote aux enfants dans un document diffusé dimanche par la Zentralschweiz am Sonntag. Les mineurs ne pourraient toutefois pas se rendre directement aux urnes.

Avec cette proposition du laboratoire d'idées de l'économie suisse, ce sont les parents qui auraient un droit de vote supplémentaire.

Dans le viseur d'Avenir Suisse: les électeurs de plus de 60 ans qui pourraient être majoritaires à partir de 2035 et pourraient ainsi imposer leurs vues à la population active, rapporte le média alémanique.

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Avenir Suisse: “Faut-il changer notre démocratie?”

ND Ch. H. Vous remarquerez depuis quelques temps les attaques répétées contre nos acquis, démocratie et hymne national, c'est-à-dire tout ce qui fait la Suisse. Tout est fait pour modifier notre pays au nom d'associations sorties de nulle part qui revendiquent "une réflexion", toujours la même s'entend: en détruisant nos libertés et nos choix au nom de l'économie libérale totalement débridée, de la mixité sociale. Ici la journaliste Cléa Favre arrive à présenter la chose comme étant positive, garante d'équilibre, la démocratie devenant une "dérive". Il faut protéger le peuple contre ses propres décisions irresponsables car la situation est "grave".

Face aux dérives, Avenir suisse veut réformer l'initiative populaire en instaurant davantage de garde-fous, dont la hausse du nombre de signatures.

La Suisse a basculé dans un climat d’insécurité institutionnelle. Ce sont les entreprises qui en pâtissent via des conditions-cadres instables. Et, par ricochet, les Suisses eux-mêmes en seront affectés, si la situation économique se dégrade. Voilà le constat inquiétant dépeint par Avenir Suisse dans une étude publiée hier et consacrée à l’initiative populaire. Cette dernière est en effet sous le feu de la critique du think tank. Celui-ci observe qu’elle est de plus en plus utilisée, notamment par les partis gouvernementaux, contrairement à son objectif premier. Il remarque aussi une dérive dans son utilisation, alors que de nombreux textes ne sont en réalité pas du ressort de la Constitution, mais devraient plutôt faire l’objet d’une loi. Avenir Suisse veut donc réformer les droits populaires et propose d’instaurer davantage de garde-fous.

 

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Initiatives populaires: Avenir Suisse veut affaiblir notre démocratie

Avenir Suisse propose d'abord d'instaurer un examen de la validité des initiatives par la Chancellerie fédérale avant la récolte de signatures. Il s'agirait ensuite d'augmenter le nombre de signatures à 4% du corps électoral, soit 210'000 signatures contre 100'000 actuellement.

Lukas Ruehli, Gerhard Schwarz et Tibère Adler, soit la tête d'Avenir Suisse, devant la presse à Zurich ce 7 avril.

Lukas Ruehli, Gerhard Schwarz et Tibère Adler, soit la tête d'Avenir Suisse, devant la presse à Zurich ce 7 avril.

Il faudrait aussi introduire un référendum obligatoire sur la législation de mise en oeuvre des initiatives. Elle permettrait d'éviter les manoeuvres tactiques lors de la concrétisation d'une initiative, estime Avenir Suisse.

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Avenir Suisse propose de dissoudre les chaînes de la SSR

La boîte à idées de l’économie publie son scénario pour le futur de l’audiovisuel public: en faire un fournisseur de contenus comparable à une agence de presse publique. La SSR dénonce une perspective qui servirait les acteurs étrangers du secteur.

Avec la montée en puissance d’Internet, la Toile sera sans doute, à terme, l’unique canal de diffusion d’informations et de divertissements, lesquels se répartiront ensuite entre les écrans – et le papier. 

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