France : La répression antiraciste s’étend désormais aux conversations privées

Décret n° 2017-1230 du 3 août 2017 relatif aux provocations, diffamations et injures non publiques présentant un caractère raciste ou discriminatoireNOR: JUSD1714912D

Publics concernés : personnes poursuivies ou condamnées ; magistrats.
Objet : renforcement de la répression des provocations, diffamations et injures non publiques à caractère raciste ou discriminatoire.
Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur le lendemain de sa publication.
Notice : le décret améliore la lutte contre les manifestations de racisme, de sexisme et d’homophobie pouvant se produire dans des lieux non publics, comme au sein des entreprises ou des établissements scolaires. Il renforce à cette fin la répression des contraventions de provocation, diffamation et injure non publiques à caractère raciste, sexiste, homophobe ou handiphobe, dans des conditions similaires à ce qui a été prévu dans la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse par la loi n° 2017-86 du 27 janvier 2017 relative à l’égalité et la citoyenneté pour les délits de provocations, diffamations et injures racistes ou discriminatoires commises de façon publique.
Il prévoit que ces diffamations et injures non publiques constitueront, comme les provocations, des contraventions de la cinquième classe, punies d’une amende maximale de 1 500 euros ou 3 000 euros en cas de récidive, et non plus des contraventions de la quatrième classe punies d’amendes inférieures de moitié.
Il élargit ces infractions aux cas où elles sont commises en raison de l’identité de genre de la victime, afin de mieux lutter contre la transphobie, et il substitue à la notion de race, qui n’est pas applicable aux êtres humains, celle de « prétendue race » comme cela a été fait dans les dispositions législatives du code pénal par la loi du 27 janvier 2017.
Il ajoute pour ces infractions la peine complémentaire de stage de citoyenneté, qui existe désormais pour les délits prévus par la loi du 29 juillet 1881.
Références : les dispositions du code pénal et du code de procédure pénale modifiées par le présent décret peuvent être consultées, dans leur rédaction issue de ces modifications, sur le site Légifrance (http://www.legifrance.gouv.fr).

Source

Grosse plantée des médias mainstream !

Ci-dessus, la photo de Shiva Ayyadurai, candidat aux sénatoriales du Massachussetts

 

Nos lecteurs nous demandent de publier. Merci à Michel Piccand

1) La version biaisée de la RTS et de la presse main Stream qui parlent d'une manifestation anti-raciste pour contrer un groupe prétendument raciste et d'extrême droite :

.

2) La réalité est tout autre... Le rassemblement que l'on voit ci-dessous dans un square (kiosque), concerne la campagne de Shiva Ayyadurai, un candidat républicain aux sénatoriales du Massachusset, d'origine indienne. Dans son discours il remercie l'Amérique de lui avoir donné l'opportunité de pouvoir étudier, lui dont la famille, en Inde, faisait partie de la caste des Intouchables.

On peut lire sur les pancartes "Black lives do matter" qui signifie "La vie des Noirs compte". Pour des racistes qualifiés de nazis, c'est étrange, isn't it ?

Anti-racisme et intello-gauchisme

   
Depuis plusieurs décennies, la police de la pensée décide qui est raciste et qui est antiraciste. Dans les années 1980, cette police de la pensée focalisait son combat essentiellement sur la droite nationale. A l’époque, les intellos-gauchistes traquaient l’antisémitisme, tantôt réel, tantôt présumé, en vogue dans les mouvances de Jean-Marie le Pen, feu François Brigneau et feu Jean Madiran notamment. Il est vrai que ces mouvances n’ont rien fait pour lever le doute sur leur antisémitisme.-
-
Entre les ambiguïtés, les sous-entendus et quelques énormités, tel le « point de détail de l’histoire de la deuxième guerre mondiale », formule de Jean-Marie Le Pen pour définir les chambres à gaz, il est vrai qu’avec tout cela, les mouvances de la droite nationale n’ont fait qu’augmenter les soupçons relatifs à leur antisémitisme.
-
La réhabilitation du maréchal Pétain réclamée par feu François Brigneau de son vivant et la confusion – typiquement maurrassienne – entretenue par feu Jean Madiran de son vivant entre mondialistes, francs-maçons et Juifs, cela aussi, n’a fait qu’augmenter les soupçons relatifs à l’antisémitisme de la droite nationale.
-
Il est frappant que cette mouvance nationale et traditionaliste - en dépit de ou à cause de - ses effectifs réduits et divisés, soit, encore et toujours, incapable de sortir de ses œillères et de ses anachronismes.
-
Certes, aujourd'hui, en 2016, le mouvement bleu marine n'est pas antisémite et il intervient sur un autre niveau. Mais la mouvance nationale et traditionaliste, elle, continue de s'enfermer dans une judéophobie pathologique.
-
Il reste cependant une réalité incontestable, à savoir que dans les années quatre-vingt, l’antiracisme prenait principalement les allures d’une lutte sans merci, des intellos-gauchistes, contre la droite nationale.
-
On peut d'ailleurs se demander – quelle était à l’époque et quelle est aujourd’hui – la légitimité de cet antiracisme d’inspiration intello-gauchiste. Car les intellos-gauchistes  soi-disant antiracistes étaient, aussi, et, sont, encore, aujourd'hui, les porte-drapeaux de l’antisionisme. Et en cela, ils sont les catalyseurs d’une haine primaire, systématique et viscérale à l’égard de Etat juif et à l'égard des citoyens juifs de cet Etat juif : l’Etat Israël.
-
Pour ce qui me concerne, le problème numéro un - est et reste - l’idéologie islamiste et son racisme anti-judéo-chrétien. Et pour ce qui me concerne, la priorité numéro un - est et reste - la défense et la valorisation de la société libre et laïque de culture judéo-chrétienne. Force est de constater, que la police de la pensée, n’a guère évolué, depuis les années 1980, ni sur ce point, ni sur les autres. Elle a même empiré.
-
Car c’est désormais la simple critique du multiculturalisme qu’elle assimile à une nouvelle forme racisme. La police de la pensée cautionne l’interdiction de critiquer ceux qui demandent à la France de renoncer à la centralité de son identité.
-
Nous sommes donc ici confrontés une fois encore à l’interdiction de défendre et de valoriser la société libre et laïque de culture judéo-chrétienne. La pénalisation de la défense de la société libre et laïque de culture judéo-chrétienne signifierait concrètement l’interdiction – et par conséquent la fermeture – de certains blogues.
-
En clair, l’accusation d’islamophobie est devenue un obstacle à l’expression de l’esprit critique. Défendre la société libre et laïque de culture judéo-chrétienne est donc - selon la police de la pensée - un délit d’islamophobie, délit qu’il faudrait pénaliser.
-
En revanche, nul désir, chez les soi-disant antiracistes d’inspiration intello-gauchiste de pénaliser ou d’interdire le racisme anti-juif qui - la plupart du temps - se cache derrière l’antisionisme. La police politique veut pénaliser les fils spirituels de Jacques Maritain (que nous sommes) comme si nous étions des maurrassiens (alors que nous ne le sommes pas).
-
La police de la pensée prône, de façon inconditionnelle et exclusive, une société soi-disant multiculturelle, qui - de fait - donne la part belle à l’idéologie islamiste ; une société soi-disant multiculturelle, qui - de fait - ostracise la pensée laïque judéo-chrétienne.
-
Notons que ce choix est typiquement intello-gauchiste : peu importe que derrière la société multiculturelle se profile l’idéologie islamiste ; l’essentiel, pour les soi-disant antiracistes d’inspiration intello-gauchiste, c’est d’en finir avec la société libre et laïque de culture judéo-chrétienne, société qu’ils méconnaissent et haïssent à la fois.
-
Michel Garroté, 22. 9.2016 pour https://lesobservateurs.ch/
-

Nouvelle campagne antiraciste du gouvernement

Vous vous souvenez surement de la campagne contre le racisme du gouvernement en avril. Le programme intitulé : « tous unis contre la haine » faisait la part belle à l’antisémitisme ou aux victimes de type arabe et excluait totalement le racisme anti blanc qui sévit pourtant en France. Eh bien, cette fois, le gouvernement remet sa propagande anti français de souche sur la table.

Cette fois ci, c’est le ministère du Travail qui lance une campagne de désinformation

Tout à fait. Nommée « Les Compétences d’abord », la campagne est, je cite : « Une sensibilisation pour lutter contre les discriminations à l'embauche ». Vous avez bien entendu LES discriminations. Rappelons que la première forme de discrimination à l’embauche est l’âge des candidats, les postulants de plus de 50 ans étant presque 3 fois plus éliminés que les autres.

Le souci, c’est que les affiches cachent volontairement cette réalité

En effet, la campagne ne présente que des discriminations de cause ethnique ! Les affiches opposent des blancs, systématiquement recrutés et des noirs toujours refusés. Les discriminations dont sont victimes les femmes enceintes, les seniors ou les handicapés sont totalement occultées ! Voilà encore une fois une manipulation grossière du gouvernement pour désinformer les Français…

Le sénateur Front National David Rachline en a profité pour soulever une question de fond. Si le slogan est « les Compétences d’abord », le gouvernement affirme t il aussi son refus de toute discrimination "positive" insidieuse et anti méritocratique ?

Source