Zone non mixte» dans une manifestation LGBT: «Se retrouver entre soi, c’est exclure les autres»

Après avoir annoncé une zone non mixte, le centre LGBTI de Touraine a dû annuler sa marche pour la Journée mondiale de lutte contre l’homophobie, suite à des menaces.
Pour Sami Biasoni, cet épisode illustre la radicalisation ambiante.

«La non-mixité n’est en aucun cas négociable et toute personne blanche qui essaiera de s’incruster dans ce cortège se fera cordialement (ou non) dégager

Le centre LGBTI (lesbiennes, gays, bi, transgenres et intersexuels) de Touraine aura beau plaider une publication par inadvertance, après le partage d’un message d’un collectif antiraciste de Tours en «story» Instagram, supprimé par la suite, le mal est fait.

L’association a annulé sa marche pour la Journée mondiale de lutte contre l’homophobie, qui devait se tenir le samedi 15 mai, à cause «des menaces et des risques encourus par l’association».

​Peu avant cette décision, dans une interview donnée à France 3, Johan Yager, co-président du centre LGBTI, avait pourtant tenu à défendre l’idée d’une zone non mixte:

«Nous avons accédé à la demande de personnes qui souhaitaient une place réservée dans le cortège en non mixité afin de se sentir plus à l’aise et libérés pour porter leurs revendications.»

Une référence notamment à la fétichisation des corps «exotiques» dénoncée par certains militants antiracistes.

Zone non mixte, racisme anti-blanc pour se sentir à l’aise?

Certains plaident donc ainsi pour la tenue de ce type de dispositif, à l’image de Rokhaya Diallo, journaliste et militante, qui estime que ce sont simplement «des moments de respiration pour les personnes qui subissent des oppressions». Néanmoins, cette démarche pose question.

Pour Sami Biasoni, co-auteur avec Anne-Sophie Nogaret de Français malgré eux (éd. L’Artilleur), s’il y a une volonté pour les participants de «se rendre visibles», en permettant à des personnes partageant des revendications de se retrouver dans des «safe spaces», cela crée des conflictualités. «Se retrouver entre soi, c’est exclure les autres», résume l’essayiste.

[...]

Suisse: La population Noire est celle qui souffrirait le plus du racisme, le racisme anti-Blancs est totalement nié

La commission fédérale contre le racisme a sorti ce dimanche son recensement des discriminations raciales survenues l’an dernier.

-La population noire est la plus touchée par le phénomène raciste. - 

 Près de 600 incidents racistes listés en Suisse en 2020

Marion Emonot - Des enfants musulmans insultés par leur nouvelle voisine qui, auprès de la police, prétend à tort que leur famille est «bruyante».

Une étudiante portant un turban sommée par la directrice de l’école primaire dans laquelle elle effectuait un stage d’arrêter de venir travailler.

Voici quelques-uns des 572 cas d’incidents racistes recensés en 2020 en Suisse et dont la commission fédérale contre le racisme publie les statistiques ce dimanche.

Les membres du Réseau de centres de conseil pour les victimes du racisme ont patiemment recueilli ces données qu’ils ont thématisées et classées. Ainsi, viennent en tête des motivations des différents comportements dénigrants: la xénophobie en général (304 cas), le racisme anti-Noirs (206 cas) et l’hostilité envers les personnes de confession musulmane (55 cas).

Dans le voisinage

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article complet: https://www.lematin.ch/story/le-decompte-annuel-des-actes-de-racisme-est-publie-948755242530

lien vers l'étude: http://network-racism.ch/cms/upload/pdf/2020_humanrights_Rassismusbericht_franz.pdf

USA: Le Congrès américain veut indemniser les descendants des esclaves Noirs – vidéo pour illustrer les conséquences de cette hystérie woke

Albert Coroz: Black Lives Matter a produit du racisme, mais ce mouvement a également profondément divisé la société américaine, détruit la liberté d'expression, donné un sentiment d’impunité à une population déjà fortement surreprésentée dans les statistiques de la criminalité. A présent, la gauche américaine veut faire payer toute la nation, riches et pauvres, pour indemniser les Noirs en tant que "victimes héréditaires".

Les Afro-Américains devraient être fiers d'avoir participé à la construction des USA et de figurer aussi parmi les personnes de premier plan du pays.

A la place de cela, la haine raciale, artificiellement alimentée par la gauche, a généré la haine des Noirs pour d'autres races, les Blancs mais aussi les Asiatiques.

Les Noirs vivant aux USA, 13% de la population, ne sont nullement tous des descendants d'esclaves, mais aussi d'immigrants volontaires à la recherche d'une vie meilleure.
La révolte et le déchaînement de haine et de barbarie qui secouent les USA depuis la mort du délinquant toxicomane Floyd sont juste honteux.

Par ailleurs, être descendant d'esclave ne donne droit à rien du tout, absolument rien du tout. Malheureusement, les Démocrates pensent le contraire, un projet de loi vient d'être adopté par une commission du Congrès qui prévoit que l’État indemnise les descendants des millions d'Africains déplacés entre 1619 et 1865, date de l’abolition de l’esclavage.

En quoi serait-il juste qu'un Blanc, un Asiatique, un Amérindien, etc., paye pour un Noir, juste à cause de la couleur de sa peau ? L’illustre Kamala Devi Harris, vice-présidente actuelle des USA, et riche en mélanine (et pas seulement), est issue d'une famille qui avait de nombreux esclaves!

Toute cette révolution woke que la gauche a générée pour détruire Trump nous rappelle furieusement d'autres programmes communistes, comme la mise au pilori des bourgeois, des intellectuels, des koulaks par des révolutionnaires, dérives qui servaient à justifier la lutte des classes.

Se complaire dans un rôle de victime perpétuelle est le meilleur moyen de rater sa vie et désigner un groupe comme victime amène à détruire l'unité d'une nation.

Mais une fois de plus, l'histoire se répète: tout ce que les gauchistes peuvent faire, c'est de dresser les humains les uns contre les autres, de semer la haine et la désolation... au nom d'une prétendue justice.

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Voici une illustration des conséquences de la révolution antiraciste en cours:
"Ils frappent tous les blancs !"  "Ils sautent sur tous les blancs !"

 They beating up every white person!” “They jumping every white person

https://twitter.com/i/status/1381782409767575553

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Allemagne : quand l’antiracisme devient plus raciste que le racisme

Nous reproduisons la traduction partielle d’un article de Junge Freiheit du 31 janvier 2021 sur les présupposés anti-européens de certaines universités allemandes appuyées par l’Union européenne. Certains intertitres sont de notre rédaction.

Schiller et la Déclaration d’Iéna

En septembre 2019, l’Institut de zoologie et de recherche sur l’évolution de l’Université Friedrich Schiller a adopté la « Déclaration d’Iéna », dans laquelle on lit : « L’exclusion du terme race doit désormais faire partie de l’éthique scientifique ». Car : « le racisme » « a inventé les races ».

Nous aurions donc jusqu’à présent vécu dans un monde de constructions fausses dans lequel « les êtres sont discriminés pour des raisons apparemment biologiques ». Les auteurs incluent également « la qualification de l’Africain comme menace présumée pour l’Europe » dans le bannissement linguistique.

Cette dernière phrase indique clairement que la déclaration provient de l’opportunisme politique et non d’une quelconque éthique scientifique. Si les « races » ne sont que des constructions sociales ou racistes reste à voir. Quoi qu’il en soit, le concept de race est aujourd’hui un élément central de la politique identitaire. Ses porte-parole déterminent leurs intérêts en fonction de leurs origines sociales ou ethniques, de leur culture, de leur sexe, de leur religion, voire même de leur race et en tirent des revendications. Le destinataire de ces revendications est le «vieil homme blanc» qui refuse d’abandonner sa domination (« suprématie blanche »).

Mise en œuvre du plan d’action de l’UE contre le racisme

Pourtant, cette suprématie n’existe plus. Elle a été remplacée par un antiracisme imposé par l’État ‑un Etat qui répond progressivement aux exigences des mouvements noirs, islamistes et autres factions identitaires. Le gouvernement fédéral a adopté un ensemble de mesures à cette fin, dont les coûts s’élèveront à un milliard d’euros d’ici 2025. Ce faisant, il a mis en œuvre le « Plan d’action de l’Union Européenne contre le racisme 2020–2025 », adopté en septembre 2020. Le programme de lutte contre le racisme comprend également le projet de supprimer le terme «race» de la Loi fondamentale (n.d.t. : équivalent de notre constitution).

Cette idée, cependant, a provoqué une intéressante réaction de la part des lobbyistes antiracistes. En juillet 2020, Natasha A. Kelly, sociologue spécialiste du colonialisme et du féminisme, a insisté dans un quotidien berlinois sur le fait que « le terme juridique de « race » est un instrument nécessaire pour pouvoir lutter par le biais de la loi contre le racisme anti-noir. Il est donc indispensable d’adopter le terme «race» dans le vocabulaire de la résistance anti-raciste .” Kelly est membre fondateur du Black European Academic Network (BEAN), une plate-forme pour les universitaires qui promeut la formation de réseaux pour la diffusion de l’histoire des Noirs européens. Kelly met l’accent sur l’utilisation de la « race » comme catégorie sociale et non biologique. Son argumentation se résume à nier la réalité tangible — y compris sociale – et à modeler une réalité idéologisée jusqu’à fantasmer une «histoire allemande Noire (n majuscule dans le texte original)» et critique le fait que, « qui dit Allemand dit Blanc ».

Petit remplacement dans les universités allemandes

L’Allemagne aurait besoin d’un « revirement racial », pour lequel « des scientifiques noirs et des scientifiques de couleur devraient être embauchés sur le long terme dans les universités allemandes » et « des études sur les Noirs devraient être mises en œuvre dans toutes les universités d’Allemagne ». Bref, il ne s’agit pas de science ou de recherche, mais de lobbying, de subventions, de l’installation d’une bureaucratie politique parasitaire supplémentaire, de la satisfaction des instincts prédateurs et de domination…

La compréhension de la culture et de l’histoire, façonnée par l’Europe du Nord, les anglo-saxons, l’antiquité gréco-romaine et le judéo-christianisme, est également remise en question. Et ça continue : en Allemagne, les pisteurs antiracistes ont également identifié les règles de grammaire et d’orthographe comme outils de la répression raciste coloniale de la suprématie blanche.

Ils spéculent sur la conscience coupable, la honte du « vieil homme blanc ». Les réalisations du monde occidental sont le fruit d’une auto-réflexion collective et d’une autocritique. Contrairement à ce que pense l’Européen bien intentionné héritier forcé des Lumières, il ne s’agit pas de principes universels, mais de spécificités culturelles. Il en résulte une asymétrie dangereuse : si une partie ne s’impose aucune réflexion critique et se forge des armes politiques de plus en plus acérées sous couvert de reproche moral, l’autre reste sans défense. Le daltonisme – que l’on retrouve dans la «Déclaration d’Iéna» — est unilatéral et aveugle à la réalité : il refuse d’accepter le fait que l’antiracisme s’est transformé en racisme contre les Blancs.

Les Blancs sont une minorité de plus en plus petite

Si toutes les autres ethnies, races, cultures, religions poursuivent une politique identitaire et défendent de plus en plus agressivement leurs intérêts de groupe sur le territoire même du «vieil homme blanc», celui-ci n’a d’autre choix que de réaffirmer vigoureusement sa propre identité et de définir ses propres intérêts. Ce, en songeant que les Blancs représentent une minorité de plus en plus petite à l’échelle mondiale.

Abandonner les illusions universalistes ne doit pas être synonyme de se détourner d’idéaux qui vont au-delà de son propre cercle — qu’il soit culturel, ethnique ou racial. Mais qui, en politique, parle d’ «humanité», triche. L’ancien chancelier Helmut Schmidt l’a bien rappelé : on ne peut pas faire de politique avec le Nouveau Testament sous le bras.

Le « vieil homme blanc » honni a le devoir de tracer enfin une ligne de défense spirituelle et morale,derrière laquelle il pourra puiser des forces nouvelles pour défendre froidement ses intérêts.

Voir aussi

  • Hongrie : Libération ment, des médias partagés entre pro et anti-Orban
  • Cancel Culture : l’édition aussi, les livres du Dr Seuss censurés

États-Unis: Tom Brady accusé de racisme parce qu’il a gagné le Super Bowl pendant le Mois de l’histoire des Noirs

Article du 29 septembre 2020

Tom Brady, qui a joué dans dix Super Bowls, vient de gagner pour la septième fois. Mais plutôt que de le féliciter, certains accusent le plus grand quarterback de tous les temps de racisme parce que sa victoire est tombée pendant le Mois de l'histoire des Noirs.

Même la nièce de la vice-présidente Kamala Harris y est allée de sa pique.

Les guerriers de la justice sociale irrités par la victoire de Brady

C'est le mois de l'histoire des Noirs et ils ne trouvent pas qu'il soit juste ou correct que Brady gagne, d'autant plus que le quarterback adverse était Patrick Mahomes.

Cela rend cette victoire raciste à leurs yeux, obsédés par la couleur.

Si Brady continue de battre des records à 43 ans, ce n'est pas à cause de sa couleur, mais à cause de son athlétisme et à son travail. Mais cela ne compte pas pour ceux qui ne voient que la race.

[…]

La nièce de Kamala Harris attaque Tom Brady

Le jeune nièce de Kamala Harris n'était contente d'aucune des deux équipes. Elle trouvait que Brady ne méritait pas de gagner car il soutient Donald Trump.
Elle n'aime pas non plus les Kansas City Chiefs parce que leur nom est "raciste". Elle a tweeté:

Équipe au nom raciste contre équipe avec le joueur vedette pro-Trump. Est-ce que j'ai bien compris?

Même si la National Football League a exprimé son soutien à Black Lives Matter au cours de nombreux matchs en 2020, ce n'est pas suffisant pour Harris. Elle veut qu'ils dénoncent la suprématie des Blancs et soulagent l'orgueil meurtri de Colin KaepernickPour ceux qui me disent de me calmer, peut-être que j'y penserai quand la NFL aura dénoncé la suprématie blanche et se sera excusée directement auprès de Colin Kaepernick.

Article complet: Tom Brady Accused Of Racism For Winning Super Bowl During Black History Month [trad. auto. ici]

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C'est le privilège blanc de Tom Brady de ne pas voir la race

Article du 9 avril 2020

Par Martenzie Johnson

[…] Lors d'une interview, on a demandé à Brady s'il s'était déjà senti "coupable" ou "gêné" de devoir être le leader d'une équipe majoritairement noire alors qu'il est blanc.

Il a répondu: "Jamais. Je n'ai jamais vu la race. Je pense que le sport transcende la race, il transcende la richesse. On apprécie l'autre pour ce qu'il peut apporter. On est tous les mêmes."

Telle est l'idée d'harmonie raciale de Brady, mais il est clair qu'il possède un privilège qui est propre à un homme blanc célèbre et qui a réussi. Le sextuple champion du Super Bowl, qui a gagné plus de 200 millions de dollars dans sa carrière (sans compter le contrat de 50 millions récemment signé avec les Buccaneers), peut bien décider de ne pas voir la race, mais c'est quelque chose que ses coéquipiers noirs n'ont pas pu se permettre au cours des 20 dernières années.

La race est partout en Amérique. Choisir de ne pas la voir peut sembler louable. Mais c'est aussi une décision consciente d'ignorer le désagrément du racisme et de la discrimination pour les autres. […] D'anciens coéquipiers de Brady comme James White, Mohamed Sanu et Devin McCourty ne peuvent pas, d'un coup de baguette magique, voir soudain disparaître 400 ans d'histoire afro-américaine simplement parce que cela aide leurs collègues blancs à mieux dormir la nuit. […]

Article complet: The white privilege of Tom Brady not seeing race [trad. auto. ici]

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Résumés Cenator

Délire anti-blancs : les mathématiques sont racistes et doivent devenir « équitables »

Pour le Département de l’éducation de l’Oregon, demander aux élèves de «montrer leurs calculs» dans le cours de mathématiques est une forme de suprématie blanche.

«L’idée que les mathématiques soient purement objectives est incontestablement fausse.»

Par  Chrissy Clark, 15 février 2021

Un guide pour l’enseignement des mathématiques envoyé aux écoles de l’Oregon explique aux enseignants que demander aux élèves de «montrer leur travail» dans une classe de mathématiques est une forme de suprématie blanche.

Dans une circulaire [trad.] envoyée le 5 février par le Département de l’éducation de l’Oregon, les enseignants sont invités à s’inscrire à un cours intitulé «Un chemin vers un enseignement mathématique équitable». Le cours s’accompagne d’un guide pédagogique de 82 pages qui énumère les moyens par lesquels la suprématie blanche est perpétuée en classe de mathématiques.

«La culture de la suprématie blanche s’infiltre dans les classes de mathématiques dans les actions quotidiennes des enseignants», y lit-on.

«Associées aux croyances qui les sous-tendent, ces actions perpétuent le préjudice éducatif à l’encontre des élèves noirx, latinx et multilingues, leur refusant un accès complet au monde des mathématiques.»

(Ndt: Latinx est le nouveau terme épicène pour «Latinas & Latinos». L’adjectif Black étant invariable, il ne subit pas pareille maltraitance en anglais.)

Le guide propose un cadre d’un an pour «déconstruire le racisme en mathématiques». Il appelle à «visibiliser les caractéristiques toxiques de la culture de la suprématie blanche dans le domaine des mathématiques».

Comme exemples d’actions en classe censées «perpétuer la suprématie blanche», on cite le fait de demander aux élèves de «montrer leur travail», le fait de se concentrer sur l’obtention de la bonne réponse, de séparer les élèves selon leur niveau et de noter les élèves.

Le guide affirme que demander aux élèves de montrer leur travail est «une béquille» pour les enseignants pour comprendre ce que pensent les élèves.

Ceci est considéré comme suprématie blanche parce que cela renforcerait le «paternalisme» et le «culte de l’écrit». Le culte de la parole écrite serait un fondement [trad.] de la culture de la suprématie blanche, qui renforce les compétences en matière de documentation et d’écriture.

(Ndt: l’expression anglaise «montrer son travail» signifie mettre dans son travail écrit les calculs que l’on a faits pour obtenir le résultat, au lieu de donner uniquement le résultat.)

Les cours de mathématiques qui visent à aider les élèves à trouver la bonne réponse sont également une forme de perpétuation de la suprématie blanche.
Le guide affirme que de parler de réponses «bonnes» ou «mauvaises» perpétue l’objectivité, qui est considérée comme un dogme de la culture blanche.

«L’idée que les mathématiques soient purement objectives est incontestablement fausse, et l’enseigner l’est encore moins (comprendre: est encore plus faux)», écrit le guide. «Soutenir l’idée qu’il y a toujours de bonnes et de mauvaises réponses perpétue l’objectivité.»

Séparer les élèves par niveaux est également considéré comme problématique.

(Ndt: «Tracking students», littéralement suivre les élèves, signifie les séparer en fonction de leurs aptitudes scolaires, soit pour certaines branches, soit pour l’ensemble des branches, à l’intérieur d’une même école.)

Le guide considère que la séparation par niveaux est une forme de «paternalisme et de ‹barrière du pouvoir›», car elle repose sur l’idée que les adultes savent ce qui est bon pour les élèves.

(Ndt: «Powerhoard»: toute forme de barrière érigée par ceux qui détiennent le pouvoir pour empêcher les autres d’accéder ou participer au pouvoir.)

Certaines pratiques en matière de notation des élèves sont également une forme de suprématie blanche, en particulier les notes de participation. Selon l’organisation «Grading for Equity», qui reprend comme un perroquet l’idée que la notation renforce les inégalités, le fait de noter une forme de comportement conduit à «une notation inexacte, déroutante et même trompeuse».

Sur le même sujet: Comment j’ai appris que le fait de noter les élèves est raciste [trad.]

Autre forme de suprématie blanche: ne pas utiliser de «pédagogie culturellement pertinente» dans les problèmes formulés.
Selon le guide, ce serait une bonne pratique de dire aux élèves «d’utiliser des batiks africains (Ankara fabric) pour enseigner des concepts mathématiques tels que les pavages, les fractions, la surface, les pourcentages, etc.»

Mais si le problème demandait aux élèves d’utiliser du bois ou un objet qui n’a pas de pertinence culturelle, cela serait considéré comme le maintien de la suprématie blanche.

Pour être plus inclusifs sur le plan culturel, les enseignants doivent «adapter les politiques relatives aux devoirs pour répondre aux besoins des élèves de couleur».
Les enseignants sont également invités à «identifier et contester les façons dont les mathématiques sont utilisées pour défendre les opinions capitalistes, impérialistes et racistes».

Le matériel pédagogique suggère également aux enseignants d’exposer les élèves à des exemples de personnes qui ont utilisé les mathématiques comme une forme de «résistance».

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Quelques commentaires à cet article (en résumé):

Je suis latino. Je l’ai toujours été et je ne serai jamais latinx.
Ces directives sont insultantes. À l’école, mon origine ethnique n’a jamais été un frein pour mes résultats et n’a jamais été un indicateur de mes capacités. J’étais fort en maths à l’école, où l’on me demandait toujours de montrer mon travail. J’avais des résultats aussi bons que mes camarades de toutes races, tailles, poids et sexes dans tous mes cours de mathématiques et de sciences.
Tout au long de mes plus de 25 ans et plus de carrière, j’ai utilisé ces compétences en mathématiques tous les jours. Ce sont ces compétences dont je suis reconnaissant. Je n’aurais rien réussi dans la vie si on m’avait simplement félicité d’avoir écrit une réponse dans la case sans savoir comment y arriver.
J’exige la même chose de ma fille. Ses notes ne m’importent pas. Je veux qu’elle apprenne la matière, et pas seulement à écrire les bonnes réponses. […]

Les mathématiques, c’est justement «montrer son travail». À un niveau avancé, vous ne pouvez plus vous contenter de dire ce que vous pensez être la réponse. Vous devez la démontrer. […]

Je suis noir.
J’ai fait les maths comme branche secondaire à l’université.
Montrer son travail n’est pas raciste. Décider de changer la façon dont certains élèves sont notés en fonction de la couleur de leur peau, c’est raciste. Ne pas enseigner à tout le monde selon les mêmes normes, c’est est raciste.
En mathématiques, il existe souvent deux ou trois façons de résoudre des problèmes, au niveau élémentaire; mais quand on progresse, il n’y a souvent qu’une seule façon d’obtenir la bonne réponse, un point c’est tout. Si mes camarades noirs américains ne reçoivent pas une solide connaissance des principes fondamentaux et de la façon d’obtenir ces réponses, cela leur fermera des portes plus tard.
État de l’Oregon, y a-t-il quelqu’un dans votre Département de l’éducation qui ait un diplôme en mathématiques ?

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Source: https://www.dailywire.com/news/asking-students-to-show-their-work-in-math-class-is-a-form-of-white-supremacy

Traduction Cenator

Les liens «[trad.]» renvoient à des traductions automatiques.

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Bill Gates finance une ONG qui affirme que les mathématiques sont racistes

Paul Joseph Watson, 19 février 2021

La Fondation Bill & Melinda Gates finance une ONG éducative militante qui croit que les mathématiques sont racistes et que l’idée d’arriver à une réponse objective est un exemple de "suprématie blanche".

Un conglomérat de 25 organisations éducatives appelé "A Pathway to Equitable Math Instruction" (Un chemin vers un enseignement mathématique équitable) affirme que demander aux élève de trouver la bonne réponse est une "pratique intrinsèquement raciste".

Le site web de l'organisation indique que la Fondation Bill & Melinda Gates est son seul donateur.

"En fait, au cours des dix dernières années, la Fondation Bill & Melinda Gates a accordé plus de 140 millions de dollars à divers groupes associés à Pathway. Leurs "ressources antiracistes" sont l'épicentre d'un nouveau cours de formation continue pour les enseignants, offert par le Département de l'éducation de l'Oregon dans tout l'État", rapporte National File. […]

Un guide pour les enseignants produit par Pathway, intitulé "Dismantling Racism in Mathematics Instruction", affirme sans crainte du ridicule que les mathématiques "sont utilisées pour soutenir des opinions capitalistes, impérialistes et racistes".

Les enseignants y reçoivent pour instruction qui si des élèves non blancs donnent des réponses erronées, il faut en mettre la faute sur les "pratiques de la suprématie blanche", qui sont les véritables responsables des "mauvais résultats" des minorités.

Comme nous l'avons déjà souligné, après les universités, les écoles sont devenues des terrains propices à ce genre de folie intersectionnelle.

Il y a quelques jours, nous avons rapporté que le directeur de l'East Side Community School de New York avait envoyé aux parents blancs un manifeste qui les appelle à devenir des "traîtres aux blancs" et à plaider pour une "abolition totale de la blancheur".

L’automne dernier, nous avons révélé comment les enfants d'une école primaire de Virginie apprennent que des traits tels que l'"objectivité" et le "perfectionnisme" sont des caractéristiques "racistes" de la "suprématie blanche".

À la même époque, des districts scolaires américains ont décidé de supprimer les notes afin de "combattre le racisme". Cette mesure a été annoncée à San Diego après qu'il eut été révélé que seuls 7 % des notes D ou F sont attribuées aux élèves blancs, tandis que 23 % le sont aux Amérindiens, 23 % aux Hispaniques et 20 % aux Noirs.

Comme le note Allie Beth Stuckley, "Ces gens qui ne veulent pas que les enfants noirs et bruns apprennent correctement les maths, est-ce que ce ne sont pas eux les vrais tenants de la suprématie blanche?"

Source : Bill Gates Bankrolling Educational Organization That Says Math is Racist

Le manuel « Ce livre est anti-raciste » est une lecture obligatoire pour des écoliers américains. Il est raciste anti-Blancs, bien entendu

Nous savons déjà que votre bébé est raciste. Il est donc temps de passer à vos enfants d’âge scolaire, puisqu’ils sont également racistes.

Il y a même déjà le manuel pour cela, adopté par les autorités scolaires du comté de Montgomery, dans le Maryland, et destiné aux 4e et 5e années. (Le comté se trouve en périphérie de Washington DC et compte plus d'un million d'habitants.)

CE LIVRE EST ANTI-RACISTE

20 leçons sur la façon de s’éveiller,
de passer à l'action et de faire le travail

(Ndt: wake up, se réveiller – c'est de ce verbe que vient le mot « woke », littéralement « éveillé », sous-entendu: aux problèmes de justice sociale.)

Que signifie être anti-raciste? Il semble que pour cela il faille d'abord être raciste.

L'auteure annonce d'emblée la couleur:

Vous remarquerez que j'ai choisi d'écrire "folx" au lieu de "folks" (les gens). Parce que c'est un terme indifférent au genre, créé par des communautés d'activistes, et je voudrais honorer tous ceux qui lisent ce livre.

(Ndt: le terme traditionnel "folks" était déjà indifférent au genre.)

"Nous mettrons la majuscule aux mots "Noir", "Brun", "Indigène", "Personne de Couleur" et "Gens de la Majorité Mondiale", parce que je crois qu'il est important de placer au centre les voix et les vies de ceux qui ont été marginalisés, réduits au silence et délibérément laissés de côté dans notre histoire pendant si longtemps.

Autrement dit, dans ce livre anti-raciste, le critère de mise au centre est explicitement la race.

Quelles sont les races dont la voix sera placée au centre ? La liste risque d'être longue – je vais plutôt vous dire qui n'est pas sur la liste:

1) Les blancs.

Voilà, c'est tout.

Les blancs n'ont pas droit à la majuscule. Désolé, vous n'auriez pas dû marginaliser tous ces gens. Par "vous", j'entends des gens qui ne sont pas vous, juste d'autres blancs qui sont d’ailleurs presque tous morts. Vous les blancs, vous êtes tous les mêmes de toute façon.

Voilà, mine de rien, nous avons fait nos premiers pas dans l'antiracisme.

Je n'utilise pas le terme "minorité" pour parler des Noirs, des Bruns, des Indigènes, parce que nous sommes la majorité dans le monde.

L'utilisation d'un langage raciste risque de nous inférioriser. Elle risque de nous laisser oublier nos ancêtres et nos racines profondes. Elle nous laisse créer une histoire qui, tout en étant dite de nos propres voix, a été formulée par l'oppresseur.

L'oppresseur? Qui cela peut-il être?
Par élimination, ce doit être mon fils. Et par extension, moi-même!

Comme la race et nos identités sociales sont construites par des gens, nous sommes encore souvent pris au piège qui consiste à nous étiqueter d'une manière qui place au centre la blancheur et les membres de la culture dominante.

En clair, on nous explique qu'associer la culture américaine à la "blancheur" n'est pas du tout raciste. C'est au contraire "anti-raciste". Allez comprendre.

J'ai écrit ce livre pour vous. Je l'ai écrit pour tout le monde.

Ouf! Pendant un instant, j'avais cru que ce livre n'était pas pour mon fils, à force de le traiter d'oppresseur à cause de sa race et d’exclure explicitement sa voix…

Plus loin dans le livre, l'auteure écrit:

Je veux être claire : ce n'est pas aux Gens de la Majorité Mondiale d'éduquer les blancs sur leur oppression. C'est aux blancs d'écouter, d'apprendre et de grandir.

Merveilleux! Ce livre est tellement anti-raciste qu'il ignore complètement la notion de race!

Et s'il n'y a pas une seule image d'un homme blanc sur la couverture de ce livre que l'auteure a "écrit pour tout le monde", c'est certainement par manque de place. Aucun homme blanc non plus dans les 47 illustrations du reste du livre, mais c'est sans doute un oubli.

Ah pardon, il y en a quand même un.

Et c'est un raciste.

Je m'arrête là. Il y aurait encore beaucoup à dire, mais je vous laisse avec cette conclusion:

Le manuel "This book is anti-racist" est un long sermon explicitement raciste, revanchard et néo-marxiste, qui enseigne aux non-blancs qu'ils sont des victimes et qui dit aux blancs de la fermer – et il est destiné aux écoliers de 10 et 11 ans.

Source: https://notthebee.com/article/this-book-is-an-anti-racist-20-lessons-on-how-to-wake-up-take-action-and-do-the-work-is-a-real-book-being-required-of-4th-grade-elementary-school-students

Résumé Cenator

Musée d’histoire naturelle de Londres : au nom de l’antiracisme, Darwin pourrait passer à la trappe

Darwin menacé par l’idéologie décoloniale

[…]

Tremblement de terre au Musée d’histoire naturelle de Londres. Un audit interne, inspiré par le mouvement Black Lives Matter, suggère que certaines collections présentées par la vénérable institution seraient « problématiques ». Les spécimens recueillis par Darwin pourraient faire partie de celles qui sont menacées.

Le conseil d’administration du célèbre musée britannique a informé son personnel qu’il avait l’intention de réorganiser les salles et collections afin de respecter les injonctions morales portées par l’audit woke.

Partant du principe que « la science, le racisme et le pouvoir colonial sont intrinsèquement liés », et que les musées existent pour légitimer ce mariage épouvantable, la direction du musée a estimé que la « décolonisation » des esprits passait donc par l’acclimatation des sciences en général et des recherches de Darwin en particulier avec l’idéologie diversitaire.

[…]

Source : Darwin menacé par l’idéologie décoloniale – Contrepoints

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Vous pensiez qu’ils s’arrêteraient aux statues ?

[…]

La collection de Darwin est parmi les suspects, car le voyage du père de la théorie de l’évolution aux îles Galapagos sur le « Beagle » était une des « expéditions scientifiques colonialistes » du Royaume-Uni.

« À la lumière de Black Lives Matter et des récentes manifestations antiracistes dans le monde entier », le musée réévalue les noms des salles, les collections et les statues afin d'éliminer tout ce qui « pourrait potentiellement causer une offense ». L'un des documents cités par le Sunday Telegraph est un article écrit par un des conservateurs du musée qui soutient que « les musées ont été mis en place pour légitimer une idéologie raciste ».

Le voyage de Darwin et du capitaine Robert Fitzroy en Amérique du Sud a servi à « permettre un plus grand contrôle britannique », ce qui est choquant aux yeux de certains. Une statue de Thomas Henry Huxley pourrait également être enlevée, étant donné les théories raciales du scientifique de XIXe siècle. Les contributions de Sir Joseph Banks pourraient être mises en danger parce que le botaniste a participé au voyage « Endeavor » du capitaine James Cook.

Un conservateur au regard affûté s’est aperçu que le plafond de la halle Hintze comporte des images de coton, de thé et de tabac, « des plantes qui ont alimenté l'économie de l'Empire britannique ». Les collections du scientifique suédois Carl Linné, créateur du système de dénomination latine des espèces, et de Sir Hans Sloane sont également sous la loupe. Linné pourrait offenser car son système a conduit à renommer des espèces au détriment des noms indigènes. Sloane était un des pères fondateurs du musée, mais il a profité de l'esclavage en Jamaïque.

Les réactions n’ont pas manqué sur Twitter :

« Ils sont en train de ‘décoloniser’ les musées maintenant. Vous pensiez qu'ils s'arrêteraient aux statues ? »

« George Orwell était assez prophétique, on dirait : ‘Chaque enregistrement a été détruit ou falsifié, chaque livre réécrit, chaque photo repeinte, chaque statue et chaque bâtiment de rue renommé, chaque date modifiée. L'histoire s'est arrêtée.’ »

« Ils veulent réécrire l'histoire pour l'adapter à leur ego. Ils ne peuvent accepter que l'histoire soit injuste, qu'elle soit laide et qu'elle existe indépendamment de leurs émotions. Ils ne voient pas qu'il est important de comprendre d'où viennent les choses, même si elles ont changé au fil du temps. »

« Ils veulent littéralement effacer l'histoire, au lieu de la conserver quelque part pour éviter qu'elle se répète. »

« ‘Mettez au musée les statues que nous trouvons offensantes.’ Et : ‘Sortez du musée tout ce que nous trouvons offensant.’ La haine et le sectarisme des ‘progressistes tolérants’ sont insatiables. La marche progressive vers le totalitarisme et la destruction de la culture occidentale ne s'arrêteront pas d'eux-mêmes. »

Source : ‘You thought it would stop at statues?’ Darwin exhibits at UK's Natural History Museum may be canceled for being ‘offensive’ – RT

Traduction libre Cenator
Voir aussi : Now Charles Darwin gets cancelled: Natural History museum will review 'offensive' exhibitions about the Father of Evolution because HMS Beagle's Galapagos voyage was 'colonialist' – Daily Mail

*****

[…]

Darwin face aux puritains d’hier et d’aujourd’hui

[…] Au nom d’une noble cause, la lutte contre le racisme, tout le monde est prié de faire son autocritique, et en premier lieu les institutions qui ont fait de la civilisation occidentale le phare contemporain de la liberté individuelle et un exemple pour le monde en matière de progrès scientifique et humain.

C’est que le nouvel antiracisme n’a pas grand-chose à voir avec l’ancien, celui qui combattait les préjugés raciaux au nom de l’universalisme des Lumières. […] Face à la pression médiatique, force est de constater que les institutions, qu’il s’agisse des universités, des médias ou des musées, offrent peu de résistance face à la nouvelle superstition des élites. Elles ont préféré baisser les armes plutôt que de défendre leur raison d’être.

La communauté scientifique est-elle en train de se soumettre sans combattre ?

La peur de se retrouver dans le camp des « racistes » domine tout, et justifie l’effacement orwellien du passé et les sacrifices les plus fous. […]

La liberté scientifique est indissociable de la liberté d’expression.

Si depuis le XVIIIe siècle, les libéraux chérissent la liberté d’expression, c’est parce qu’ils y voient des bienfaits analogues à celle de la recherche au sein de la communauté scientifique, quitte à idéaliser une méthode qu’ils rêvaient de transposer à l’Homme. L’esprit de compétition entre les thèses en présence, l’exigence factuelle de vérité, la rigueur des méthodes et la neutralité des acteurs sont un modèle commun aux sciences et au gouvernement par la discussion qu’est le gouvernement représentatif des libéraux.

La défense de la liberté des sciences est donc indissociable de la liberté d’expression. Darwin continue d’inspirer les scientifiques, les philosophes libéraux, les économistes, et à susciter la colère des bien-pensants. Voilà deux raisons suffisantes de le défendre aujourd’hui.

Source : Darwin menacé par l’idéologie décoloniale – Contrepoints

 

Trump stoppe les formations contre le racisme dans l’administration

En pleine campagne électorale marquée par de fortes tensions entre les deux camps sur la question du racisme, le président américain décide de stopper les formations contre le racisme dans l’administration.

Le président américain Donald Trump a ordonné la suppression des formations contre le racisme dispensées dans l’administration fédérale, a annoncé vendredi la Maison Blanche. Elles constituent selon lui de la «propagande clivante et anti-américaine».

[...]

L’administration présidentielle a reçu l’ordre de «s’assurer que les agences fédérales cessent d’utiliser les dollars des contribuables pour financer ces séances de propagande clivantes et anti-américaines», ajoute le communiqué.

[...]

Donald Trump cite régulièrement en exemple les manifestations antiracistes, qui dégénèrent parfois en affrontements avec la police, pour agiter le spectre d’une Amérique à feu et à sang, à la merci des «voyous» d’extrême gauche et autres «terroristes de l’intérieur» en cas de victoire de son adversaire démocrate Joe Biden.

(ATS/NXP)

La vérité arrive sur la mort de Jacob Blake, le délinquant noir sur qui la police a tiré

La mère de Jacob Blake déclare à CNN qu’elle a « le plus grand respect » pour Trump – le journaliste s’étouffe

Publié par Christian Larnet le 27 août 2020

Jacob Blake* est le délinquant noir sur qui la police a tiré lorsqu’il a refusé d’obéir aux ordres de lâcher son couteau. Cela a déclenché des émeutes, des pillages, des destructions massives de commerces et propriétés, et des manifestations violentes à Kenosha, dans le Wisconsin, qui ont provoqué la mort de deux personnes.

La mère de Blake a déclaré mardi qu’elle avait « le plus grand respect » pour le président Trump et qu’elle trouvait « dégoûtantes » les destructions dont sa ville est victime.

S’adressant à Don Lemon de CNN dans une interview sur Skype, Julia Jackson a fustigé les émeutiers qui utilisent le nom de son fils comme excuse pour piller et brûler des entreprises. Don Lemon, un des commentateurs vedettes de CNN, qui a un profond dégoût de Trump – sans quoi il serait licencié de CNN, a failli s’étouffer en entendant cela : il ne s’attendait pas à ce que cette femme noire soutienne le président Trump.

« Ma famille et moi sommes très blessés et franchement dégoûtés », a-t-elle déclaré. « Et en tant que mère, s’il vous plaît, ne brûlez pas les biens et ne causez pas de ravages et ne démolissez pas vos propres maisons au nom de mon fils. Vous ne devriez pas le faire. Les gens ne devraient pas le faire de toute façon, mais utiliser mon enfant ou l’enfant de toute autre mère ou père, notre tragédie pour réagir de cette manière n’est tout simplement pas acceptable ».

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Christian Larnet pour Dreuz.info.

source: https://www.dreuz.info/2020/08/27/la-mere-de-jacob-blake-declare-a-cnn-quelle-a-le-plus-grand-respect-pour-trump-le-journaliste-setouffe/

Parce que Dreuz est censuré pour le crime de désaccord avec la gauche, suivez notre fil Twitter, et retweetez-nous. C’est un important geste de résistance pour faire circuler vos idées.

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Le procureur général du Wisconsin révèle que la police a retrouvé un couteau sur le plancher côté conducteur de la voiture de Jacob Blake et affirme qu'un seul policier a tiré sur lui à sept reprises alors que la police répondait à un appel d’urgence de la petite amie de Blake.

Jacob Blake, l'homme noir sur lequel la police du Wisconsin a tiré sept fois dans le dos, avait un couteau en sa possession, a déclaré mercredi le procureur général du Wisconsin

Blake, 29 ans, a été blessé par balles par la police devant ses trois enfants à Kenosha dimanche
Les agents répondaient à un appel au 911 de la petite amie de Blake, qui disait que celui-ci était présent alors qu'il n'aurait pas dû se trouver sur les lieux.

Les agents ont d'abord tenté de maîtriser Blake avec un pistolet Taser, mais sans succès

Le Département de Justice a déclaré que Blake a dit aux agents qu'il avait un couteau

Les enquêteurs ont ensuite "retrouvé un couteau sur le plancher du côté conducteur" de sa voiture

L'agent Rusten Sheskey, qui travaille depuis sept ans pour le département, a été identifié comme le policier qui a tiré les sept coups de feu dans le dos de Blake.

[...]

article complet : https://www.dailymail.co.uk/news/article-8668375/Jacob-Blake-armed-KNIFE-cops-shot-says-Wisconsin-AG.html
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Après que la totalité des médias en Suisse romande se sont rués sur l'affaire de Jacob Blake, le délinquant Noir au passé chargé, père de six enfants qu'il n'a jamais assumés, la vérité arrive. L'affaire est de nouveau instrumentalisée, politisée par la bienpensance, pas nécessaire d’attendre la fin de l'enquête pour se faire une opinion.

Un amateur avait « tout » filmé avec son Smartphone, un méchant policier Blanc et raciste, a abattu un Noir innocent, de dos, devant ses enfants.

Le narratif ainsi fabriqué a fait le tour des médias, tous les éléments sont là pour prouver que le racisme contre les Noirs aux USA serait grave et que le seul remède serait d'élire un Démocrate.

Les émeutes meurtrières des suprémacistes noirs, racistes, soutenus par les anarchistes, et autres communistes, détruisent des villes aux USA. Commerces détruits, partout la désolation, on ne compte plus les morts et les blessés, les dégâts se chiffrent en milliards, sous prétexte d'une bavure policière avec George Floyd, un toxico au passé criminel, et il s'avère qu'il est mort d'overdose.
Une jeune maman Blanche  est abattue par derrière, à bout portant, par une Noire parce qu’elle a affirmé que « All lives matter », et alors PAS UN MOT dans nos médias. Des délinquants meurent du fait de leurs propres fautes, les médias en fabriquent des victimes du racisme des méchants Blancs. La guerre totale est déclarée par la gauche internationale pour détruire notre civilisation.

Faire émouvoir toute la planète par le petit Aylan, dont le père seul s'eétait équipé d’un gilet de sauvetage, instrumentaliser la mort d'un toxico pour la faire passer pour un crime raciste, les médias de gauche sont devenus des maîtres dans l’art de la manipulation planétaire.
Et en Suisse romande, nous n’avons plus que des médias de gauche ; la population n’en veut plus… alors l’establishment va les financer par nos impôts !

Honte à ces journaleux suisses, honte à la RTS et ses "spécialistes" qui nous transmettent des fake news à longueur de journée, sans gêne et sans limite à l'indécence.

traduction, commentaire: Cenator

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voir aussi: Kenosha (Wisconsin) : BLM et Antifa incendient le commerce d’un Blanc de 70 ans, puis le tabassent violemment. Que dit la RTS de ces événements

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Le cas de Saint Traoré (3:14')

Les adeptes du marxisme culturel et leurs médias ont-ils tendance à cracher sur la Suisse et son passé?

L'affichette du Courrier du 5 août 2020 :

Colonialisme  La Suisse a-t-elle la mémoire qui flanche?

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Cenator: Sous le plume de Mohamed Musadak , les lecteurs du Courrier sont invités à se questionner: la Suisse voudrait-elle cacher son passé honteux?
Notons que les sujets qui tournent en rond dans ce journal, c’est l’antiracisme, le féminisme, la cause des migrants, les maltraitances des Suisses envers les migrants, la promotion des migrants, la culpabilité de l'Occidental et spécialement de l'homme suisse envers les misères du monde présentes et passées, avec des rappels répétés du passé colonialiste de l'homme blanc.
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Mohamed Musadak:  Un passé sous silence?

La Suisse a-t-elle tendance à cacher son passé trouble? Une partie des militants antiracistes et anticolonialistes le pensent et le voient comme un obstacle à leur cause.

Le 13 juillet dernier, les Neuchâtelois découvraient la statue de David de Pury, négociant qui avait fait fortune (au moins en partie) grâce au commerce triangulaire, maculée de peinture rouge sang. Keystone

Série d'été "Sur un piédestal"

Dans le sillage des revendications des mouvements féministes, anticolonialistes et antiracistes, une partie de la société civile suisse réclame la remise en question des hommages – noms de rues, sommets ou encore statues – dont ont bénéficié des figures nationales au passé controversé. Très émotionnel, le débat s’est immédiatement polarisé. Les demandes de déboulonnage et autres actions coup de poing (la statue de David de Pury souillée par exemple) ont suscité l’incompréhension d’une grande partie de la population.

Sur un piédestal (IV)

On ne les voyait plus, elles focalisent désormais l’attention. Statues, plaques de rues ou enseignes reviennent en lumière et agitent comme rarement le débat public, sous l’action des mouvements féministes, anticolonialistes et antiracistes. Cet été, Le Courrier vous propose de voyager dans ce passé bien présent dans nos villes. CO

Accusés de réviser l’histoire, les militants renvoient le reproche à l’expéditeur et estiment que le pays a une fâcheuse tendance à cacher, volontairement, son passé encombrant. Une habitude qui biaiserait le débat et empêcherait la population de se former une opinion informée sur le sujet. Alors, la Suisse a-t-elle la mémoire qui flanche?

Un travail de mémoire peu volontaire

«Ce n’est évidemment pas aussi simple, tempère Alix Heiniger, chercheuse en histoire contemporaine à l’université de Lausanne. D’un point de vue scientifique, beaucoup de travail est fait. De nombreuses recherches sont menées sur le passé ‘sombre’ de la Suisse. D’ailleurs, la Confédération a investi passablement d’argent pour mettre au jour des pans peu reluisants du passé national.» L’historienne fait notamment référence aux commissions indépendantes d’experts mandatées par la Confédération pour enquêter sur les agissements de la Suisse pendant une période historique donnée. «Je pense notamment à la commission Bergier, chargée de faire la lumière sur l’attitude de la Suisse pendant la Seconde Guerre mondiale ou encore à la Commission indépendante d’experts sur la politique suisse des internements administratifs, à laquelle j’ai participé.»

Face à ce travail scientifique, qu’elle juge solide, Alix Heiniger, souligne tout de même le peu d’entrain des autorités et de la classe politique à rouvrir les plaies du passé. «Le Conseil national a refusé d’ouvrir un débat sur les résultats des recherches de la commission Bergier. La fondation qui devait financer deux ouvrages de vulgarisation en français et en allemand s’est retirée. Jean-François Bergier pensait à l’époque que cela était dû à des pressions extérieures.»

Au final, le journaliste et historien Pietro Boschetti a publié un ouvrage de vulgarisation sans soutien externe. «Il faut aussi souligner que le Conseil fédéral n’a créé ces commissions que sous une importante pression. Celle consacrée à l’internement administratif a été réclamée par les personnes concernées qui se sont fortement mobilisées. Elles demandaient un travail de mémoire dans le cadre des réparations des injustices subies.»

Pas une «originalité» helvétique

«Souvent, ces impulsions sont venues de l’étranger», complète Dominique Dirlewanger, chercheur associé à l’Unil et spécialiste de l’histoire de la Suisse. «Pour les fonds en déshérence en 1996, ce sont des avocats étasuniens qui sont venus demander des comptes aux banques suisses. Quant à la politique d’asile pendant la Seconde Guerre mondiale, le scandale du ‘J’ sur les passeport des ressortissants juifs est venu d’Allemagne en 1954.»

Cela dit, pour cet historien, cette volonté de ne pas trop remuer le passé polémique «n’est pas une ‘originalité’ suisse» et se retrouve dans les autres pays. Il reconnaît toutefois qu’il y a une «frilosité toute helvétique».

Une crispation qui pousse parfois à faire de l’obstruction au travail des historiens. «En 2003, lorsqu’une équipe de recherche se penche sur les relations entre la Suisse et le régime sud-africain de l’Apartheid, la Confédération décide de restreindre l’accès aux archives sur tous les dossiers qui documentent les exportations de capitaux et de marchandises de la Suisse vers l’Afrique du Sud entre 1948 et 1991», rappelle Dominique Dirlewanger. «Ce n’était pas seulement par manque de volonté politique d’assumer le passé, mais aussi pour éviter que les archives ne se retournent contre les grandes entreprises suisses visées par une plainte collective aux Etats-Unis en 2002.»

Les archives ont été partiellement rouvertes en 2014 et le travail historique n’a pas encore pu être fait complètement, au grand regret de Dominique Dirlewanger. «C’est regrettable car la société civile n’a pas pu s’emparer de ces sujets. Il y a pourtant beaucoup à débattre sur la politique de neutralité suisse.»

Vague décoloniale

Pour le chercheur, c’est la dynamique d’impulsions mutuelles entre la société civile et les historiens qui permet de remettre en question le récit officiel du passé. «Aujourd’hui, si on assiste à une aussi forte mobilisation pour faire reconnaître le passé colonial ou esclavagiste de la Suisse, c’est en partie grâce aux travaux historiques, relativement jeunes, faits sur le sujet.»

«Quand j’ai commencé mes recherches au début des années 2000 sur l’implication de la Suisse dans l’entreprise coloniale, on me demandait si j’avais des preuves, si j’étais bien sûr de moi», se souvient Hans Fäsler, historien, ancien professeur à l’université de Zurich. «Mes travaux se heurtaient directement au récit national et au mythe de la neutralité de la Suisse.»

Parti de loin, ce militant antiraciste de longue date, est très optimiste sur la diffusion de ce pan d’histoire. «Depuis les formidables mobilisations qui ont suivi l’assassinat de George Floyd, j’ai été interviewé à de nombreuses reprises dans des médias aussi grand public que le Blick. Cela a permis de toucher une nouvelle catégorie de population, qui a pu s’approprier et débattre de la question», s’enthousiasme le Saint-gallois.

Lorsqu’il demande publiquement des réparations pour les crimes esclavagistes de la Suisse, une information le met en joie: «Sur les quelque 800 commentaires, aucun ne remettait en cause la participation de la Suisse à cette entreprise. C’est un immense progrès!»

Pour aller plus loin sur cet aspect du passé de la Suisse, lire Produire un savoir colonial dans un pays sans colonies de l’historienne Aline Zuber.

Le dictionnaire historique suisse en mutation

mercredi 5 août 2020 Mohamed Musadak

Loin des grandes manifestations populaires, une bataille pour la prise en compte du passé colonial de la Suisse se joue entre académiciens. Plusieurs historiens tentent de compléter le Dictionnaire historique suisse (DHS) et d’y inclure ces aspects, notamment dans les notices biographiques des figures historiques nationales. Outil de référence et faisant autorité aussi bien auprès des académiciens que du grand public, son aggiornamento permettrait, selon ces historiens, de diffuser plus largement ce pan d’histoire suisse. Christian Sonderegger, directeur du DHS, répond à nos questions.

Y a-t-il une tendance en Suisse, et au DHS, à présenter les figures nationales sous leur meilleur jour?

Christian Sonderegger: Le terme de «tendance» suggère une intention délibérée de dissimuler, de tabouiser certains faits historiques. Je ne peux pas parler au nom de la Suisse dans son ensemble. Cependant, l’historiographie suisse s’est depuis longtemps intéressée au passé colonial de notre pays, et le DHS peut maintenant récolter progressivement les fruits de ces recherches. Le DHS lui-même, dont la liste de mots-clés et la plupart des articles ont été rédigés dans les années 1990, n’effectue aucune recherche – ne serait-ce que pour des raisons financières. Il s’appuie exclusivement sur des recherches déjà publiées. Peut-être qu’à ce stade, il faut dissiper un malentendu: il n’y a pas d’«histoire officielle» dont le DHS serait le porte-parole. Le DHS s’efforce de rassembler les connaissances existantes sur l’histoire de notre pays et de les mettre à la disposition d’un large public d’une manière attractive et compréhensible.

Comment expliquez-vous qu’il n’est presque jamais fait mention des implications colonialistes, racistes ou esclavagistes des personnalités historiques suisses figurant dans le DHS?

En effet, dans certaines biographies du DHS, on remarque que certains aspects plus critiques ne sont qu’effleurés ou même occultés, comme cela se voit non seulement pour les questions racistes ou coloniales, mais aussi dans l’histoire de la psychiatrie (le rôle des médecins, par exemple) ou dans l’attitude des personnes biographiées envers le national-socialisme, l’antisémitisme ou le fascisme. Je ne pense pas que des faits critiques ont été dissimulés de manière généralisée, mais plutôt qu’au cours de ces trente dernières années, l’intérêt de la recherche a changé, d’autres questions ont été adressées aux sources disponibles, et en même temps, des sources supplémentaires, principalement étrangères, ont été incluses dans l’analyse, ce qui était absolument nécessaire pour une vision d’ensemble des parcours de vie. Nous sommes en train de nous rattraper et d’inclure ces aspects.

Est-ce que le DHS compte à l’avenir prendre plus en compte les aspects et les implications des personnalités historiques en lien avec le colonialisme/le racisme?

Il s’agit en effet d’un de nos principaux objectifs et nous sommes en train de renouveler systématiquement le DHS dans ce domaine. C’est dans ce but que nous avons lancé le projet «Suisse coloniale». Dans un premier temps, nous travaillons sur les mots-clés qui seront ajoutés au corpus (racisme, esclavage, travail forcé, etc.) et sur les articles existants qui devront être réécrits. Mais là aussi, nous sommes obligés de nous limiter et de faire une sélection.

 

Source: https://lecourrier.ch/2020/08/04/un-passe-sous-silence/

Où ce vent de folie qui emporte la France va-t-il s’arrêter ?

Publié le 2 juillet 2020 - par

La France est au bord du chaos, de l’anarchie, vu la pagaille indescriptible et la déliquescence de nos institutions. Jamais au cours de notre longue histoire nous n’avions assisté à un tel délabrement. Aujourd’hui, en juin 2020, quatre-vingts ans après l’appel à un sursaut de notre peuple, nous voilà plongés dans une profonde décomposition de notre pays. Il aura fallu la succession de six présidents de la République pour assister à la dégradation progressive de notre nation.

D’abandons en abandons, de fautes en erreurs, de laxismes en lâchetés, nos différents gouvernements nous ont plongés dans le désarroi le plus total. Depuis l’arrivée de notre « prestigieux » Président, les causes de notre déclin s’accumulent, se chevauchent et s’accélèrent. Après une tentative de réforme des retraites, l’irruption sur la scène politique et médiatique des Gilets jaunes, apparaissent soudain des mouvements de casseurs dans toutes les manifestations, dont le seul but est de se confronter aux forces de l’ordre, par bravache ou pour détruire tout système répressif : police, gendarmerie, pompiers. C’est d’ailleurs le vœu de certains élus (de gauche évidemment) : détruire tout le système répressif (police et justice) remplacé par des ectoplasmes populaires, et des révolutionnaires de salon.

Pour en rajouter une couche, voilà qu’apparaissent, par mimétisme, par effet de mode, des mouvements contestataires animant des entreprises de démolition. La révolution est en marche pour une république en panne. Si la police de New-York est musclée et raciste, la police française l’est aussi. Qu’importe si dans les rangs de nos policiers on compte beaucoup de personnes de couleur. Qu’importe si nos policiers se font, à longueur de temps et sur tout le territoire, insulter, vilipender, voire tabasser. Qu’importe si nos policiers se font applaudir un jour et haïr le lendemain.

On voit bien la manipulation, toute l’orchestration faite autour d’un petit noyau de voyous, issus d’une famille abonnée aux tribunaux, pour entraver nos institutions. Puis comme par enchantement dérive vers les problèmes de racisme, nés  curieusement spontanément. Une fois la mobilisation faite par quelque groupuscules écolo-socialo-gochos, il ne reste plus qu’à allumer la mèche et faire « péter » la République. D’où cette folle équipée pour salir, démolir, saccager tout ce qui peut se rapporter à, ou rappeler la colonisation, la traite des nègres. Tout est prétexte pour dénoncer les méfaits, les crimes, les fautes de la France. Tout y passe, les périodes coloniales, les écrits, les romans, les films.

Où ce vent de folie va-t-il s’arrêter ? Mais ces analphabètes, ces illettrés, qui n’ont de cesse de flétrir notre pays, ignorants tout de notre passé, de notre histoire, n’ont aucune idée de ce qui s’est passé dans le monde. La traite des nègres était bien connue des peuples africains et arabes, les colonisations britanniques, russes, espagnoles, chinoises, portugaises, ont par enchantement disparu des critiques et des « revendications révolutionnaires ». Seule la France est perpétuellement mise en accusation, traînée dans la boue, soumise à  une avalanche d’infamies, d’abominations. Il est vrai que nos gouvernements successifs ont fait preuve de bassesse, et de veulerie dégradante.

Qu’un président de la République dénonce les « crimes commis contre l’humanité » en Algérie, et voilà les portes ouvertes aux abus, aux outrances. C’est une invitation aux insultes. Rien ne pourra retenir et freiner la haine, les blâmes et les reproches qui nous sont assénés éternellement. Nous sommes condamnés et condamnables à perpétuité.

Nombreux sont les citoyens français qui souffrent en silence et qui estiment que la repentance permanente doit cesser. Il faut mettre un terme à cette contrition incessante, à cette repentance sempiternelle, que les partis de Gauche exploitent à l’infini, en déclinant sur tous les tons, nos cruautés, notre inhumanité. C’est un comble au pays des droits de l’homme. Qu’une troupe de refoulés, d’inhibés se comporte comme des révolutionnaires, des agitateurs semble tout à fait normal dans la sphère politique du moment, en France. Mais, cette insurrection larvée, cette agitation sans fondement réel est un foyer qu’exploitent à loisir les partis politiques de gauche, les syndicats de gauche, les mouvements de gauche, les groupuscules de gauche… en fait, depuis plus de 40 ou 50 ans nous sommes sous l’emprise la gauche. Tous les médias, journaux, télés, radios, pensent nettement à gauche. La vie intellectuelle est sous la domination de critiques, ou de conseillers de gauche, engendrant un fascisme de gauche. Paradoxal ?

Nos détracteurs, nos saboteurs, nos contempteurs sont tous à gauche et ne se rendent pas compte que le racisme et le fascisme ont changé de camp au grand dam de nos intellectuels (de gauche). Quand on constate la folie meurtrière de déboulonnement de statues, comme celle de Faidherbe, ou de Colbert et le souhait de Gérard Miller de voir une rue de Paris rebaptisé Adama Traoré, on est pas loin de la schizophrénie, même pour un psychanalyste.

La planète ne tourne plus rond, la France est prise de tourbillons délirants.

Les rares hommes encore debout et sensés, Philippe de Villiers, Éric Zemmour, Robert Ménard, Ivan Rioufol, Michel Onfray nous font espérer.

Yves Rectenwald

source: https://ripostelaique.com/ou-ce-vent-de-folie-qui-emporte-la-france-va-t-il-sarreter.html

 

Manifestation Adama Traoré à Paris: “Sales juifs”, scandent des manifestants

Didier Raoult, 2015:  "Lorsque j'étais jeune, une mauvaise blague consistait à rapporter le faux programme d'un parti factice "on tuera tous les juifs et les coiffeurs". Immanquablement, ceci entraînait la question : pourquoi les coiffeurs ? Une blague qui traduit abruptement l'idée que personne n'est surpris que l'on tue les juifs. " [...]

source: https://www.lepoint.fr/invites-du-point/didier_raoult/didier-raoult-les-juifs-et-les-coiffeurs-02-03-2015-1909046_445.php

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Michel Garroté: [...] Quant à la superficie actuelle d'Israël (la taille de la Picardie, ou encore, la moitié de la Suisse), aucune nation démocratique au monde n'accepterait de s'en contenter, surtout dans l'actuel climat de haine prédominant. Avec les obus, roquettes et missiles du Hezbollah qui pleuveront encore sur la moitié nord d'Israël, avec les obus, roquettes et missiles du Hamas qui pleuveront encore sur la moitié sud d'Israël, avec les ridicules 12 km qui séparent Netanya en Israël, de Tulkarem en Judée Samarie, la démocratie israélienne est la démocratie la moins protégée de la planète. A cet égard, être pro-sioniste, c'est simplement défendre le droit d'Israël à la même sécurité territoriale que les USA et l'Union Européenne. Or, avec les frontières d'Israël fixées par l'ONU il y a plusieurs décennies, cette sécurité territoriale est tout simplement inexistante parce que rendue impossible par la haine de la plupart des voisins, directs ou indirects, d'Israël. [...]

source: https://lesobservateurs.ch/2020/06/12/au-nom-de-quoi-israel-devrait-il-donner-toute-la-judee-samarie-dite-cisjordanie-aux-arabes-locaux-dits-palestiniens/

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“Sales juifs” : des insultes antisémites proférées lors de la manifestation pour Adama Traoré

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@Valeurs

"Sales juifs", crient des manifestants antiracistes ulcérés par une banderole de pour les victimes de racisme antiblancs.

 

/ Samedi 13 juin 2020 à 16:57 37

Manifestation en cours place de la République. Photo © Thibault Camus/AP/SIPA

A l’occasion de la manifestation à l'appel de Collectif Vérité pour Adama Traoré, ce samedi 13 juin, des manifestants antiracistes ont lancé des insultes antisémites.

Les partisans d’Adama Traoré souhaitant dénoncer les violences policières se sont réunis ce samedi 13 juin en début d'après-midi place de la République, à Paris. Si le cortège était alors bloqué par les forces de l’ordre, la tension est montée d’un cran après la banderole déployée par sur les toits par le groupe Génération Identitaire avec comme inscription : « Justice pour les victimes du racisme anti-blancs ».

Ulcérés par ce message, des manifestants antiracistes ont réagi avec des propos particulièrement violents et antisémites : « Sales juifs ». Le préfet de Police a signalé ces propos antisémites à la justice. Par ailleurs, des participants auraient accusé Israël d'être « le laboratoire des violences policières ». Le cortège parisien était toujours immobile en milieu d’après-midi. La police refusait de lever son barrage et rappelait l'interdiction des rassemblements de plus de 10 personnes. « On ne bougera pas d'ici pour l'instant », a-t-elle dit aux organisateurs de la marche contre les violences policières et le racisme. [...]

article complet:

 

 

Ecosse : Une conférence contre le racisme organisée par l’Université d’Édimbourg interdit aux Blancs de poser des questions

La conférence a été organisée par le groupe Resisting Whiteness qui s'oppose au racisme et se décrit comme une organisation QTPOC (personnes de couleur queer et trans).

Il y aura deux "safe place" lors de l'événement, dont l'un sera interdit aux Blancs.

Ces "lieux sûrs" sont destinés à ceux qui se sentent "débordés/mal à l'aise".

Un texte précise : "Nous ne donnerons pas le micro aux Blancs durant le temps des questions-réponses. Non pas parce que nous pensons que les Blancs n'ont rien à offrir à la discussion, mais parce que nous voulons amplifier les voix des personnes de couleur."

"Si vous êtes blanc et que vous avez une question, veuillez la poser à un membre du comité ou à nos conférenciers après la table ronde."

Les questions évoquées au cours de la conférence comprendront « Qu’est-ce que cela signifie d’être une personne gaie et/ou trans de couleur dans une société qui ne veut souvent pas nous voir? ».

Toutefois, Jane Mccoll, une militante antiraciste, a déclaré que l’événement lui-même était « manifestement raciste », ajoutant : « Cet événement repousse de plusieurs décennies le combat pour l’égalité et l’équité, tout cela en raison des actions d’un petit groupe d’extrémistes, dont le sens pervers de la logique les a amenés à rabaisser les Blancs, simplement en raison de leur couleur de peau.

[...]

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Telegraph.co.uk

Quand l’extrême-gauche ressuscite la ségrégation raciale: “L’antiracisme est devenu l’alibi de la haine du blanc”

Céline Pina revient sur l'apparition d'événements interdits aux blancs. Sous couvert d'antiracisme, leurs organisateurs ressuscitent selon elle une nouvelle forme de racisme, fondée comme autrefois sur la science : non plus la biologie, mais les sciences humaines.

Ancienne élue locale, Céline Pina est essayiste et militante. Elle avait dénoncé en 2015 le salon de «la femme musulmane» de Pontoise et a récemment publié Silence Coupable (éd. Kero, 2016). Avec Fatiha Boutjalhat, elle est la fondatrice de Viv(r)e la République, mouvement citoyen laïque et républicain appelant à lutter contre tous les totalitarismes et pour la promotion de l'indispensable universalité de nos valeurs républicaines.

Dans certaines universités dites «en lutte», de Tolbiac à Paris VIII en passant par Nanterre, jusqu'au sein du syndicalisme enseignant, comme chez Sud Éducation ; via des séminaires de formation politique (camps décoloniaux), ou encore dans le cadre de festivals dits culturels, une nouvelle revendication apparaît: celle de la ségrégation raciale.

«Interdits aux blancs», tel est le mot d'ordre et le plan d'action qu'essaie de populariser une partie de plus en plus importante des indigénistes et de la gauche Big Brother. Ceux qui veulent remplacer la lutte des classes par la guerre des races et qui, comme dans 1984, de Georges Orwell, font de l'inversion des concepts et du retournement du sens, une arme de destruction des consciences et de soumission des esprits. C'est ainsi que dans l'univers mental du Parti des Indigènes de la République (PIR) et du Collectif Contre l'Islamophobie en France, comme dans les représentations de l'extrême gauche qui les soutient, l'antiracisme est devenu l'alibi de la haine du blanc, une forme de pensée qui réduit tout à la couleur de la peau. La conférence internationale «Bandung du Nord», organisée du 4 au 6 mai 2018 à la Bourse du travail de Saint-Denis en est la dernière illustration.

L'antiracisme est devenu l'alibi de la haine du blanc

Oh bien sûr, chez ces gens-là, on ne dit plus «interdit aux blancs», c'est mettre son racisme en avant de façon trop éhontée et cela fait encore réagir. Les temps ne sont pas encore mûrs pour assumer la volonté de séparatisme racial et de pureté des origines, alors on utilise plus volontiers le terme «décolonial», «réservé aux racisés» ou encore «non-mixte». Mais il suffit de lire la présentation de ladite conférence pour que les masques tombent. C'est ainsi que notre raout indigéniste devient, par la magie du verbe, «la première conférence internationale de personnes de couleur prenant à bras-le-corps les questions concernant les non-blancs vivant dans le Nord global, afin de discuter de problématiques qu'elles ont en commun». On croirait entendre le vent se lever, en fait c'est juste Houria Bouteldja qui agite son éventail. Car quand on creuse un peu l'organisation de cette «conférence internationale», on ne peut que constater que tout cela repose largement sur le PIR assisté du CCIF avec quelques guest stars habituées à se compromettre avec cette mouvance. Ainsi, si Angela Davies est mise en avant, c'est surtout le parti des Indigènes et ses alliés qui composent le gros des intervenants. Sans surprise on retrouvera sur scène les Houria Bouteldja, Sihame Assbague, Nacira Guenif, Rokhaya Diallo, Ismahane Chouder, avec un nouveau venu, Nordine Saïdi, un islamiste belge très tolérant et compréhensif, membre de la liste Islam, qui refuse de condamner les attentats-suicide et prône la charia. Brandir la référence à la conférence de Bandung, qui avait d'autres ambitions et représente un moment historique important, pour finir à Saint-Denis à déverser sa haine raciste entre demi-sels de l'entreprenariat identitaire, cela dit tout du rapport au réel chez cette mouvance.

L'antiracisme raciste, voilà le bel oxymore qu'ils ont réussi à forger et à imposer. Pour eux le racisme n'est pas d'attribuer à une couleur de peau ou à une appartenance ethnique, des qualités morales, c'est un outil qui sert à mettre en accusation les «Blancs» et l'État de droit, le racisme devient donc un «système politique qui prive les non-blancs de parole et impose un récit dominant sur le terrorisme qui facilite la montée d'un état policier et cible les personnes non blanches». Selon eux nous vivons donc en France dans un régime fascisant qui pratique l'apartheid et la lutte contre le terrorisme n'est qu'un prétexte pour humilier les «non-blancs». Autant d'outrance devrait leur valoir une complète délégitimation. Et bien non… Une partie de la gauche soutient cette vision et le mouvement étudiant les a mis en avant lors de l'occupation des facs. C'est ainsi que l'on a retrouvé, dans le rôle du conférencier/commissaire politique, des militants du PIR venus parler d'homoracialisme, d'impérialisme gay et sommer l'extrême gauche de faire son autocritique pour oser mettre le social avant le racial. Laquelle gauche en est réduite à s'excuser pour ses militants blancs. La séquence était à ce titre instructive, qui montre, le 22 avril 2018, lors d'un débat sur l'évacuation de Tolbiac, Juliette, jeune militante gauchiste, s'excuser d'être blanche tellement elle a intégré ce discours essentialiste qui fait de la couleur de la peau la marque du dominant et la preuve de la faute.

La série de conférences tenue par les indigénistes à cette occasion révèle le fond de leur pensée et de leurs objectifs. Et toute la considération qu'ils ont pour leurs alliés objectifs. Ainsi un certain Wissam Xelka, militant du PIR explique qu'il faudrait que «les militants de l'antiracisme politique prennent le contrôle des blancs, les guident, leur fassent lâcher le gouvernail, leur retirent la main mise sur la contestation».L'obsession de la race est telle que même entre alliés, la question de ce que l'on pense, dit ou fait est évacuée au profit de la seule référence à la couleur de peau. C'est ainsi qu'après avoir défini la race comme «faisant référence aux théories racialistes qui postulent l'existence biologique des races humaines et de leur hiérarchisation avec le Blanc au sommet», le jeune militant se défend de vouloir «reprendre ces théories pseudo-scientifiques, en inversant la hiérarchie, afin de placer les Blancs tout en bas». Pourtant, souvent, lorsqu'on se défend par avance d'une objection que personne n'a soulevée dans une salle acquise, c'est surtout parce que s'en défendre permet d'exprimer sa pensée profonde sans avoir à l'assumer. Ce que confirmera la fin de l'intervention de notre apprenti révolutionnaire, au terme de 7 pages d'un discours aussi pédant que creux.

C'est ainsi que la référence obsessionnelle à «l'impérialisme occidental» glisse vers la dénonciation de la «férocité blanche» et que la revendication identitaire devient un enfermement essentialiste: «Proclamer à la face du Blanc», «Je suis arabe», «Je suis musulman»,» Je soutiens les Arabes parce qu'ils sont Arabes et les musulmans parce qu'ils sont musulmans (…) est une proclamation éminemment politique». En effet, mais quand on ne se définit que par rapport à un ennemi caractérisé par la couleur de sa peau, quelle autre issue a-t-on que la vengeance, donc la violence ethnique? On voit aussi à quel point la notion de choix disparaît au profit de l'affirmation ethnique ou confessionnelle: «Être Arabe ou musulman» devient une position politique dès que cette identité est exhibée en face d'un Blanc. C'est le degré 0 de l'intelligence et de l'émancipation, mais une manière imparable de réaffirmer la clôture communautariste et de faire du rejet et de la haine de l'autre, la base de l'affirmation de soi. Dans le même esprit, lors de la conférence sur «l'impérialisme gay», le militant du PIR explique ses choix de positionnement politique par son appartenance raciale: «le camp politique indigène est un courant qui place les intérêts politiques des non-blancs au cœur de ses préoccupations.(…) Je prends parti pour le camp politique indigène parce que je fais partie de ce camp» (de par sa couleur de peau). Il n'est plus là question de choix, de pensée, de réflexion. L'apparence définit l'appartenance et se suffit à elle-même. On est dans la lignée d'Houria Bouteldja qui dit appartenir à «sa race, son clan, sa famille, l'Islam». Ce genre d'affirmation est souvent le premier coup de semonce du renoncement aux libertés individuelles et civiles pour les remplacer par la course à la pureté ethnique et au dogmatisme religieux et/ou militant.

(...)

Source et article complet

Nos remerciements à ARCOLE

 

Si le raciste est Noir et déteste les Blancs c’est “politiquement correct”

giampaolo-rossi-150x150Par Gianpaolo Rossi (photo) qui se définit lui-même ainsi :
« D’abord et surtout archéologue. Pour cette raison je m’occupe de politique et des médias. J’écris pour Il Giornale. A leurs risques et périls.»

 

 

LE COCKTAIL RACISTE

Prenez le New York Times, la Bible libérale des progressistes du monde entier, la voix de la gauche radicale-chic qui rêve global, des gens "cool" qui sont toujours du côté des derniers (avec les sous des premiers) : c'est le journal du multiculturalisme idéologique et des pouvoirs économiques, de l'anti-racisme et des maîtres illuminés de la finance apatride.

Bien. Maintenant, prenez un juriste afro-américain dénommé Ekow Yankah qui enseigne le Droit à la Yeshiva University de New York; actif au parti démocrate comme chef du conseil des avocats du DNC (Comité national démocrate ) et dont les articles sont régulièrement publiés, justement sur le New York Times et aussi sur le Huffington Post.

A présent mélangez le tout, secouez bien et vous boirez un cocktail d'un racisme tellement violent, bête, éhonté et répugnant qu'une brochure du Ku Klux Klan à coté semble être un texte de propagande pour l'intégration multiraciale.

Mais voilà, comme cette fois le raciste est Noir et que la haine est dirigée contre les Blancs, pour cette gauche hypocrite, c'est politiquement correct.

Si le raciste est noir, son racisme est politiquement correct car c'est considéré comme un acte de défense contre les Blancs

UN DELIRE POLITIQUEMENT CORRECT

Il y a quelques jours, dans un éditorial publié dans le New York Times, le prof. Yankah s'est posé cette question :  "mes enfants pourraient-ils être amis avec des Blancs?" 

Evidemment, sa réponse est non. Ses enfants ne peuvent être amis des Blancs. Pas parce que lui est raciste mais parce que les Blancs le sont; donc puisque les Blancs sont racistes il apprendra à ses enfants à ne pas avoir d'amis Blancs. Simple, non ?

Mais alors, pourquoi les Blancs seraient-ils racistes ? Avant tout parce qu'ils sont Blancs; par conséquent ils portent une sorte de marque infâme de racistes pour l'éternité à cause de l'esclavage. Ensuite parce que les Blancs sont ceux qui ont voté pour Trump et cette élection oblige le pauvre professeur nazi-black à rappeler aux enfants la leçon des vieilles générations : "je leur enseignerai la suspicion et la méfiance"; donc il leur apprendra à se tenir loin des méchants blancs.

Il écrit ces choses, précise-t-il, par charité,  "le cœur brisé" , mais pour lui, malheureusement il n'existe aucune autre alternative : "L'histoire a fourni aux gens de couleur bien peu de raisons leur permettant de faire confiance aux Blancs (...) et ces derniers mois le mépris et la façon dont le pays respecte la valeur des minorités a été évident".

L'élection de Trump a fixé dans l'esprit de ce pauvre juriste noir "une pensée terrible mais familière aux Noirs américains : on ne peut pas se fier à ces gens là", c'est à dire aux Blancs. Et pas seulement aux Blancs qui ont voté Trump mais également à ceux qui haïssent Trump et qui font tout pour le critiquer.

Comme l'a écrit Scott Greer : ce qui est exprimé ici "est un concept fou qui mine les enseignements de ces 60 dernières années sur les races" qui est "de ne pas juger quelqu'un sur la couleur de sa peau mais sur son caractère individuel". En revanche, le professeur libéral progressiste affirme le contraire en affirmant que "la race est le facteur principal pour juger une personne".

Imaginons un instant ce qu'il serait arrivé si un juriste blanc avait publié un éditorial affirmant vouloir enseigner à ses enfants de ne pas avoir d'amis noirs. On l'aurait probablement viré de son poste d'enseignant, il aurait été lynché dans les médias (et pas seulement dans les médias) et il aurait certainement été dénoncé pour discrimination raciale.

Mais si le raciste est Noir, sa discrimination est seulement un réflexe de défense; le racisme anti-blancs est un racisme victimaire : je vous hait parce que vous me haïssez.

LE RACISME ANTI-RACISTE

Cet article du NewYork Times est un délire raciste et, par certains côtés, plus dangereux que celui des suprémacistes blancs, car c'est un racisme exprimé par l'élite libérale et légitimé par le puissant pouvoir des médias, car, ce qui est préoccupant, c'est qu'Enkow Yankah enseigne son racisme anti-Blancs à l'université, comme le fait, par exemple aussi la professeure Jessie Daniel, sociologue (Blanche) de la City University de New York, qui a expliqué récemment que les familles composées de Blancs et "qui donnent naissance à des enfants blancs", génèrent le racisme et légitiment la suprématie blanche du pays. Et que donc,  les familles multiraciales devraient être favorisées : "Si un Blanc se définit comme anti-raciste mais qu'ensuite il donne naissance à des enfants blancs, alors, il fait partie du problème". En somme si tu un Blanc ou une Blanche et que tu ne veux pas être complice du racisme, tu dois procréer avec une femme ou un homme noir.

Une femme comme celle-là devrait être enfermée en asile psychiatrique au lieu d'enseigner dans une université américaine.

La haine idéologique face à Trump empêchent les élites intellectuelles libérales de voir que les minorités raciales sont défendues dans la Constitution américaine par le XIV amendement qui représente un des plus grands progrès civil de tous les temps; il fut encouragé et voulu par des législateurs blancs (et Républicains vu que les esclavagistes étaient, historiquement, les Démocrates).

Le racisme d'un raciste est facile à combattre parce qu'il est visible, exécrable et souvent caricatural, violent, certes, mais facilement punissable et condamnable par l'opinion publique.

Mais le racisme des anti-racistes est sournois, caché, hypocrite car il est considéré comme politiquement correct par l'élite. Un peu comme le fascisme des anti fascistes.

Gianpaolo Rossi / Il Giornale.it

Source en italien (traduit par Danielle Borer pour lesobservateurs.ch)