Délire anti-blancs : les mathématiques sont racistes et doivent devenir « équitables »

Pour le Département de l’éducation de l’Oregon, demander aux élèves de «montrer leurs calculs» dans le cours de mathématiques est une forme de suprématie blanche.

«L’idée que les mathématiques soient purement objectives est incontestablement fausse.»

Par  Chrissy Clark, 15 février 2021

Un guide pour l’enseignement des mathématiques envoyé aux écoles de l’Oregon explique aux enseignants que demander aux élèves de «montrer leur travail» dans une classe de mathématiques est une forme de suprématie blanche.

Dans une circulaire [trad.] envoyée le 5 février par le Département de l’éducation de l’Oregon, les enseignants sont invités à s’inscrire à un cours intitulé «Un chemin vers un enseignement mathématique équitable». Le cours s’accompagne d’un guide pédagogique de 82 pages qui énumère les moyens par lesquels la suprématie blanche est perpétuée en classe de mathématiques.

«La culture de la suprématie blanche s’infiltre dans les classes de mathématiques dans les actions quotidiennes des enseignants», y lit-on.

«Associées aux croyances qui les sous-tendent, ces actions perpétuent le préjudice éducatif à l’encontre des élèves noirx, latinx et multilingues, leur refusant un accès complet au monde des mathématiques.»

(Ndt: Latinx est le nouveau terme épicène pour «Latinas & Latinos». L’adjectif Black étant invariable, il ne subit pas pareille maltraitance en anglais.)

Le guide propose un cadre d’un an pour «déconstruire le racisme en mathématiques». Il appelle à «visibiliser les caractéristiques toxiques de la culture de la suprématie blanche dans le domaine des mathématiques».

Comme exemples d’actions en classe censées «perpétuer la suprématie blanche», on cite le fait de demander aux élèves de «montrer leur travail», le fait de se concentrer sur l’obtention de la bonne réponse, de séparer les élèves selon leur niveau et de noter les élèves.

Le guide affirme que demander aux élèves de montrer leur travail est «une béquille» pour les enseignants pour comprendre ce que pensent les élèves.

Ceci est considéré comme suprématie blanche parce que cela renforcerait le «paternalisme» et le «culte de l’écrit». Le culte de la parole écrite serait un fondement [trad.] de la culture de la suprématie blanche, qui renforce les compétences en matière de documentation et d’écriture.

(Ndt: l’expression anglaise «montrer son travail» signifie mettre dans son travail écrit les calculs que l’on a faits pour obtenir le résultat, au lieu de donner uniquement le résultat.)

Les cours de mathématiques qui visent à aider les élèves à trouver la bonne réponse sont également une forme de perpétuation de la suprématie blanche.
Le guide affirme que de parler de réponses «bonnes» ou «mauvaises» perpétue l’objectivité, qui est considérée comme un dogme de la culture blanche.

«L’idée que les mathématiques soient purement objectives est incontestablement fausse, et l’enseigner l’est encore moins (comprendre: est encore plus faux)», écrit le guide. «Soutenir l’idée qu’il y a toujours de bonnes et de mauvaises réponses perpétue l’objectivité.»

Séparer les élèves par niveaux est également considéré comme problématique.

(Ndt: «Tracking students», littéralement suivre les élèves, signifie les séparer en fonction de leurs aptitudes scolaires, soit pour certaines branches, soit pour l’ensemble des branches, à l’intérieur d’une même école.)

Le guide considère que la séparation par niveaux est une forme de «paternalisme et de ‹barrière du pouvoir›», car elle repose sur l’idée que les adultes savent ce qui est bon pour les élèves.

(Ndt: «Powerhoard»: toute forme de barrière érigée par ceux qui détiennent le pouvoir pour empêcher les autres d’accéder ou participer au pouvoir.)

Certaines pratiques en matière de notation des élèves sont également une forme de suprématie blanche, en particulier les notes de participation. Selon l’organisation «Grading for Equity», qui reprend comme un perroquet l’idée que la notation renforce les inégalités, le fait de noter une forme de comportement conduit à «une notation inexacte, déroutante et même trompeuse».

Sur le même sujet: Comment j’ai appris que le fait de noter les élèves est raciste [trad.]

Autre forme de suprématie blanche: ne pas utiliser de «pédagogie culturellement pertinente» dans les problèmes formulés.
Selon le guide, ce serait une bonne pratique de dire aux élèves «d’utiliser des batiks africains (Ankara fabric) pour enseigner des concepts mathématiques tels que les pavages, les fractions, la surface, les pourcentages, etc.»

Mais si le problème demandait aux élèves d’utiliser du bois ou un objet qui n’a pas de pertinence culturelle, cela serait considéré comme le maintien de la suprématie blanche.

Pour être plus inclusifs sur le plan culturel, les enseignants doivent «adapter les politiques relatives aux devoirs pour répondre aux besoins des élèves de couleur».
Les enseignants sont également invités à «identifier et contester les façons dont les mathématiques sont utilisées pour défendre les opinions capitalistes, impérialistes et racistes».

Le matériel pédagogique suggère également aux enseignants d’exposer les élèves à des exemples de personnes qui ont utilisé les mathématiques comme une forme de «résistance».

***

Quelques commentaires à cet article (en résumé):

Je suis latino. Je l’ai toujours été et je ne serai jamais latinx.
Ces directives sont insultantes. À l’école, mon origine ethnique n’a jamais été un frein pour mes résultats et n’a jamais été un indicateur de mes capacités. J’étais fort en maths à l’école, où l’on me demandait toujours de montrer mon travail. J’avais des résultats aussi bons que mes camarades de toutes races, tailles, poids et sexes dans tous mes cours de mathématiques et de sciences.
Tout au long de mes plus de 25 ans et plus de carrière, j’ai utilisé ces compétences en mathématiques tous les jours. Ce sont ces compétences dont je suis reconnaissant. Je n’aurais rien réussi dans la vie si on m’avait simplement félicité d’avoir écrit une réponse dans la case sans savoir comment y arriver.
J’exige la même chose de ma fille. Ses notes ne m’importent pas. Je veux qu’elle apprenne la matière, et pas seulement à écrire les bonnes réponses. […]

Les mathématiques, c’est justement «montrer son travail». À un niveau avancé, vous ne pouvez plus vous contenter de dire ce que vous pensez être la réponse. Vous devez la démontrer. […]

Je suis noir.
J’ai fait les maths comme branche secondaire à l’université.
Montrer son travail n’est pas raciste. Décider de changer la façon dont certains élèves sont notés en fonction de la couleur de leur peau, c’est raciste. Ne pas enseigner à tout le monde selon les mêmes normes, c’est est raciste.
En mathématiques, il existe souvent deux ou trois façons de résoudre des problèmes, au niveau élémentaire; mais quand on progresse, il n’y a souvent qu’une seule façon d’obtenir la bonne réponse, un point c’est tout. Si mes camarades noirs américains ne reçoivent pas une solide connaissance des principes fondamentaux et de la façon d’obtenir ces réponses, cela leur fermera des portes plus tard.
État de l’Oregon, y a-t-il quelqu’un dans votre Département de l’éducation qui ait un diplôme en mathématiques ?

***

Source: https://www.dailywire.com/news/asking-students-to-show-their-work-in-math-class-is-a-form-of-white-supremacy

Traduction Cenator

Les liens «[trad.]» renvoient à des traductions automatiques.

******

Bill Gates finance une ONG qui affirme que les mathématiques sont racistes

Paul Joseph Watson, 19 février 2021

La Fondation Bill & Melinda Gates finance une ONG éducative militante qui croit que les mathématiques sont racistes et que l’idée d’arriver à une réponse objective est un exemple de "suprématie blanche".

Un conglomérat de 25 organisations éducatives appelé "A Pathway to Equitable Math Instruction" (Un chemin vers un enseignement mathématique équitable) affirme que demander aux élève de trouver la bonne réponse est une "pratique intrinsèquement raciste".

Le site web de l'organisation indique que la Fondation Bill & Melinda Gates est son seul donateur.

"En fait, au cours des dix dernières années, la Fondation Bill & Melinda Gates a accordé plus de 140 millions de dollars à divers groupes associés à Pathway. Leurs "ressources antiracistes" sont l'épicentre d'un nouveau cours de formation continue pour les enseignants, offert par le Département de l'éducation de l'Oregon dans tout l'État", rapporte National File. […]

Un guide pour les enseignants produit par Pathway, intitulé "Dismantling Racism in Mathematics Instruction", affirme sans crainte du ridicule que les mathématiques "sont utilisées pour soutenir des opinions capitalistes, impérialistes et racistes".

Les enseignants y reçoivent pour instruction qui si des élèves non blancs donnent des réponses erronées, il faut en mettre la faute sur les "pratiques de la suprématie blanche", qui sont les véritables responsables des "mauvais résultats" des minorités.

Comme nous l'avons déjà souligné, après les universités, les écoles sont devenues des terrains propices à ce genre de folie intersectionnelle.

Il y a quelques jours, nous avons rapporté que le directeur de l'East Side Community School de New York avait envoyé aux parents blancs un manifeste qui les appelle à devenir des "traîtres aux blancs" et à plaider pour une "abolition totale de la blancheur".

L’automne dernier, nous avons révélé comment les enfants d'une école primaire de Virginie apprennent que des traits tels que l'"objectivité" et le "perfectionnisme" sont des caractéristiques "racistes" de la "suprématie blanche".

À la même époque, des districts scolaires américains ont décidé de supprimer les notes afin de "combattre le racisme". Cette mesure a été annoncée à San Diego après qu'il eut été révélé que seuls 7 % des notes D ou F sont attribuées aux élèves blancs, tandis que 23 % le sont aux Amérindiens, 23 % aux Hispaniques et 20 % aux Noirs.

Comme le note Allie Beth Stuckley, "Ces gens qui ne veulent pas que les enfants noirs et bruns apprennent correctement les maths, est-ce que ce ne sont pas eux les vrais tenants de la suprématie blanche?"

Source : Bill Gates Bankrolling Educational Organization That Says Math is Racist

USA : Les écoles de Seattle veulent dénoncer l’appropriation des mathématiques par les Occidentaux

Le district scolaire de Seattle prévoit d’introduire dans toutes les classes de mathématiques (de la maternelle à la 12e année) des questions d'études ethniques qui incitent les élèves à explorer la manière dont les mathématiques ont été « appropriées » par la culture occidentale et utilisées dans les systèmes de pouvoir et d'oppression. Une initiative controversée qui met le district à l’avant-garde d’un mouvement de «réhumanisation» des mathématiques.

Le cadre proposé par le district décrit les axes de discussion que les enseignants devraient intégrer à leurs classes. L’un conduit les élèves à explorer les racines des mathématiques «dans l’histoire ancienne des peuples et des empires colorés». Une autre demande comment les mathématiques et les sciences ont été utilisées pour opprimer et marginaliser les personnes de couleur et qui détient le pouvoir dans une classe de mathématiques.

Un autre thème met l'accent sur la résistance et la libération, en encourageant les élèves à reconnaître les pratiques mathématiques et les contributions de leur propre communauté, et en examinant comment les mathématiques ont été utilisées pour libérer les gens de l’oppression.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Edweek.org

Les mathématiques ? Un outil de domination blanche !

1Campus Reform :

Un professeur d’enseignement des mathématiques à l’université de l’Illinois a affirmé dans un livre nouvellement publié que les capacités d’algèbre et de géométrie perpétuent un « privilège immérité » parmi les Blancs.

Rochelle Gutierrez [ndt : en illustration], professeur à l’université de l’Illinois, fait cette affirmation dans dans une nouvelle anthologie pour professeurs de mathématiques, affirmant que les enseignants devraient être conscients des [implications] « politiques qu’apportent les mathématiques » dans la société.

« À de nombreux niveaux, les mathématiques elles-mêmes opèrent comme Blancheur. Qui reçoit crédit pour la pratique et le développement des mathématiques, qui est capable en mathématiques, et qui est vu comme faisant partie de la communauté mathématique est généralement vu comme blanc », a affirmé Gutierrez.

Peut-être que ce sont des blancs qui reçoivent crédit pour la plupart des progrès en mathématiques parce qu’ils en sont bien les auteurs ? Les contributions d’autres groupes existent, mais elles sont quantitativement et qualitativement moindres, et par là bien moins décisives.

Qui a empêché les Africains, les Indiens ou les Chinois (ces derniers ayant pourtant une intelligence certaine) de développer les mathématiques modernes avant l’Homme Blanc ? Est-ce armes à la main qu’on les aurait persécutés pour les empêcher de faire des mathématiques ? Soyons sérieux !

Gutierrez s’inquiète aussi que l’algèbre et la géométrie perpétuent les privilèges, s’inquiétant que « les programmes insistant sur des termes comme le théorème de Pythagore et pi perpétuent une perception selon laquelle les mathématiques auraient été largement développées par les Grecs et d’autres européens ».

 

Les mathématiques contribueraient aussi activement au privilège blanc, parce que la façon dont notre économie place une prime sur les capacités de mathématiques donne une forme de « privilège immérité » pour les professeurs de mathématiques, qui sont de façon disproportionnée blancs.

Si vous êtes intelligent et que vous travaillez dur pour acquérir et développer des connaissances, vous êtes « privilégié » aux yeux des gauchistes, qui veulent vous mettre sur pied d’égalité avec un idiot improductif et paresseux.

Et puis, si l’économie considère les mathématiques plus importantes que, disons, les « études de genre », c’est peut-être parce que ça correspond à une réalité ? La totalité de la physique moderne, et subséquemment la quasi-totalité des inventions techniques modernes – aviation, satellites, ordinateurs, techniques de construction, diverses formes de production et transmission d’électricité, etc. – reposent sur un fondement mathématique !

« Sommes-nous vraiment si intelligents seulement parce que nous faisons des mathématiques ? » demande-t-elle, s’interrogeant de plus sur pourquoi les professeurs de mathématiques reçoivent plus de bourses de recherche que les professeurs en « études sociales ou anglais ».

Je crois que son exemple démontre amplement que faire des mathématiques ne suffit pas pour être intelligent !

De plus, elle s’inquiète que l’évaluation des capacités mathématiques puisse perpétuer la discrimination contre les minorités, en particulier si elles font pire que leurs camarades blancs.

« Si une personne n’est pas vue comme mathématique, il y aura toujours un sentiment d’infériorité qui peut être provoqué », dit-elle, ajoutant qu’il y a tant de minorités qui ont « subi des micro-agressions pour avoir participé à des cours de mathématiques […] [où les gens sont] jugés selon s’ils peuvent ou non raisonner abstraitement ».

Pour combattre cela, Gutierrez encourage les aspirants enseignants de mathématique à développer un « conocimiento politique », une expression espagnole pour désigner le « savoir politique pour enseigner ».

Source

Finlande : bye-bye aux cours de sciences, de mathématiques et d’histoire

Maintenant, on leur préfère les cours d'endoctrinement.....

Ces matières ne seront plus enseignées mais par contre, des leçons "d'argumentation", comme par exemple l'UE, seront privilégiés.

lavaggio_cervello

 

L'expérience est déjà en cours à Helsinki.

Toujours placée dans le passé aux premières places pour son système scolaire, la Finlande a décidé de révolutionner l'instruction publique et de dire adieu aux matières d'études classiques. Plus de sciences, plus de mathématiques, plus d'histoire.

Les étudiants finlandais étudieront par concepts"argumentaires" comme le concept d'Union européenne, qui comprend de l'économie, de la politique, des langues, de l'histoire et de la géographie.
Les concepteurs de cette réforme idéologique espèrent qu'elle sera étendue dans tout le pays d'ici 2020.

L'expérience est partie d'Helsinki, mais ne concerne que les jeunes de 16 ans et plus. L'objectif de ce programme, ont expliqué ses concepteurs, est de faire en sorte qu'aucun étudiant en Finlande ne puisse se demander : "Pourquoi dois-je étudier cette matière ? Quel en est le but ?"

De nombreux enseignants s'opposent à cette réforme qui leur ferait renoncer à leurs compétences spécifiques au nom de ce que les promoteurs de cette révolution appellent "co-enseignement".

 

L'écrivain tchèque, Milan Kundera, avait écrit :

"Pour liquider les peuples, on commence à les priver de leur mémoire.  On détruit leurs livres, leur culture, leur histoire. Ensuite, quelqu'un d'autre leur écrit d'autres livres, leur fournit une autre culture, leur invente une autre histoire. Peu à peu, le peuple commence, lentement, à oublier qui il est et qui il a été. Et de cette manière, le monde autour de lui l'oublie encore plus vite".

 

Source en italien (trad. D. Borer)