“Egalité” : L’amende infligée à la mairie de Paris pour «avoir nommé trop de femmes directrices» annulée

La ministre de la Fonction publique Amélie de Montchalin a annoncé mercredi 27 janvier l'annulation de l'amende administrative de 90.000 euros infligée à la Ville de Paris pour avoir nommé trop de femmes aux postes de direction en 2018.

La ministre a précisé dans un communiqué à l'AFP avoir annoncé à la maire socialiste «que cette amende n'était pas due» et l'avoir encouragée à «consacrer ces fonds à maintenir cette dynamique positive». Anne Hidalgo était arrivée vers 08H15 au siège du ministère, à Paris, accompagnée de plusieurs femmes élues de la mairie de Paris, sous l'œil des caméras et des photographes, pour échanger avec la ministre. «S'il n'y a pas un volontarisme et une détermination sans faille on n'arrivera pas à percer ce plafond de verre», a indiqué la maire de Paris à la presse.

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Le Figaro

Geoffroy de Lagasnerie, sociologue : “Je suis contre le débat. Il faut rétablir la censure pour que les idées justes prennent le pouvoir sur les idées injustes” (La maire de Paris juge cela “inspirant”)

Pedigree de ce sociologue visible sur Wikipedia.

 

 

 

Autres extraits :
“J’ai été jeté dans un monde où il y a des gens qui votent plus à droite que moi. Je ne vois pas pourquoi je devrais subir leurs lois”

 

 

“Les jeunes ont des cerveaux malléables (…) Oui, c’est ça, c’est les jeunes, les étudiants, les lycéens, les collégiens (…) En s’adressant aux jeunes, on peut produire des transformations plus effectives”

 

 

Via fdesouche.com

Elections municipales à Paris : la socialiste Anne Hidalgo largement réélue

Selon les premières estimations, la liste conduite par la maire sortante, Anne Hidalgo (PS), obtient ce dimanche soir 50,2% des voix devant celle de la candidate LR Rachida Dati (32%) et celle de la candidate LREM, Agnès Buzyn (16%).

 

 

Les différents sondages qui ont ponctué ce singulier entre-deux-tours ont systématiquement donné Anne Hidalgo en tête devant la candidate LR et celle de LREM.

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20min.fr


Rappels :

Paris : la socialiste Anne Hidalgo organise à l’Hôtel de Ville la « traditionnelle soirée culturelle » à l’occasion du Ramadan.

La mairie de Paris et Anne Hidalgo rendent hommage au héros sanguinaire de la dictature cubaine Che Guevara

Anne Hidalgo estime être attaquée par la « fachosphère » avant tout parce qu’elle est « une femme franco-espagnole »

Ecologie : La maire socialiste de Paris critiquée pour un aller-retour en avion

Le 26 juillet dernier, Anne Hidalgo a été invitée par la société organisatrice du Tour de France, Amaury Sport (ASO), pour assister à la 19e étape entre Saint-Jean-de-Maurienne et Tignes. Celle-ci ayant été annulée à cause de la grêle, la maire de Paris est repartie le même jour. Cet aller-retour de 600 kilomètres entre Le Bourget et Chambéry a été effectué en avion Falcon, a révélé mercredi Le Canard enchaîné. «Son Vélib’ avait sûrement un pneu crevé», raille l’hebdomadaire satyrique, en référence aux convictions écologistes de l’édile. [...]

Réfutant toute polémique, le cabinet d’Anne Hidalgo s’est dans un premier temps farouchement défendu: «Un avion est affrété par le Tour de France, dans lequel il y a des fioles pour le dépistage antidopage. Pour éviter que l’avion ne vole à vide, le Tour de France en profite pour inviter les personnalités à son bord. De toute façon, cet avion va décoller et faire un aller-retour quotidiennement».

«Les échantillons sont acheminés chaque jour en voiture»

Or, selon Damien Ressiot, fraîchement nommé directeur du département des contrôles de l’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD), ce Falcon ne transportait aucune fiole de ce type. «Les échantillons sont acheminés chaque jour en voiture, depuis le contrôle jusqu’au laboratoire de Châtenay-Malabry, où ils sont analysés», a-t-il assuré à Checknews.

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Le Figaro

La mairie de Paris et Anne Hidalgo rendent hommage au héros sanguinaire de la dictature cubaine Che Guevara

Christian Hofer: A noter que le régime castriste pratiquait la chasse aux homosexuels dans la société cubaine, "détail" que la gauche cache soigneusement.

Oui Hidalgo, c'est vraiment "très romantique".

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Scandale. À travers une exposition organisée à l'Hôtel de Ville, l’édile socialiste célèbre « une figure de la révolution devenue une icône militante et romantique ».

Anne Hidalgo ose tout, c’est même à ça qu’on la reconnait. Après avoir déboursé la somme astronomique de 86 millions d’euros pour le futur musée Pinault, qui accueillera une partie des collections d'art contemporain du milliardaire, 30e homme le plus riche du monde avec une fortune estimée à 26,3 milliards de dollars, la maire de Paris célèbre Che Guevara, le révolutionnaire communiste de la dictature cubaine, dit le « petit boucher de la Cabaña ».

« Avec l'exposition Le CHE à Paris, la capitale rend hommage à une figure de la révolution devenue une icône militante et romantique. A découvrir gratuitement à l'Hôtel de Ville de #Paris », a ainsi louangé l’édile socialiste, jeudi sur Twitter, dans un message agrémenté d’un symbolique « poing serré ». L’exposition se tient du 20 décembre au 17 février 2018.

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Sur son site, la mairie de la capitale glorifie aussi « l’une des figures les plus marquantes de l’Histoire de la révolution », « le lecteur insatiable, le sportif, le voyageur, le guérillero, le marxiste aspirant à voir émerger l’« homme nouveau », le médecin-phytothérapeute mais aussi le poète, le photographe et l’amateur d’art » et même « une légende de la révolution ».

Un fils de bourgeois « assoiffé de sang »

Au-delà de l’habituelle propagande révisionniste, propagée par l’extrême gauche, Ernesto Guevara, né le 14 juin 1928 à Rosario en Argentine et exécuté le 9 octobre 1967 à La Higuera en Bolivie, fut surtout un révolutionnaire sanguinaire et stalinien fanatique. Ce fils de bourgeois « assoiffé de sang », qui n’a jamais eu les diplômes pour pratiquer la médecine, a d’ailleurs assassiné lui-même d'une balle dans la tête des « traîtres » à la révolution.

Nommé commandant de la prison de la Cabaña par Fidel Castro, le « petit boucher » assistait en fumant son cigare aux exécutions des prisonniers politiques, parfois devant femmes et enfants. Comble de la cruauté, il a exigé de faire passer les familles devant le mur ensanglanté. Il serait responsable de 200 condamnations à mort. « Nous avons fusillé, nous fusillons et nous continuerons de fusiller tant qu'il le faudra », clamait-il, en 1964, à l’Onu.

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Un marxiste doctrinaire

C’est lui encore qui a créé le premier goulag tropical, les camps de travaux forcés. Considérés comme des « agents de l'impérialisme » vendus au capitalisme, les homosexuels de l’île ont aussi été internés par le régime, aux côtés des handicapés mentaux et de religieux. Ignare en économie, le marxiste doctrinaire a en outre ruiné son pays en le collectivisant à la tête du ministère de l'Industrie, puis de la Banque nationale de Cuba. « La Corée du Nord est un modèle dont Cuba devrait s’inspirer », a-t-il un jour déclaré.

Écarté par Castro pour avoir critiqué l'URSS trop modérée, il a tenté enfin d’étendre ses idées internationalistes par la guérilla armée au Congo et en Bolivie. Partout, ce fut un échec. Sur les noirs, « ces représentants de la splendide race africaine qui ont gardé leur pureté raciale grâce à leur manque de goût pour le bain », le Che a d’ailleurs écrit cette mémorable sentence raciste« Le Noir, indolent et rêveur, dépense ses sous en frivolités ou en « coups à boire », l’Européen a hérité d’une tradition de travail et d’économies qui le poursuit jusque dans ce coin d’Amérique et le pousse à progresser, même au détriment de ses aspirations individuelles. » Voilà donc pour « l’icône militante et romantique » vantée par Anne Hidalgo.

Source

La socialiste Anne Hidalgo prône le métro pour les Français, mais se déplace uniquement… en voiture (vidéo)

Anne Hidalgo, la Maire de Paris, ne cesse d'exhorter les automobilistes à ne plus prendre leur voiture dans la capitale. Pour savoir si elle est exemplaire, Caradisiac l'a suivie pendant deux mois. Voici le compte-rendu de notre enquête qui impose deux conclusions : Anne Hidalgo ne se déplace qu'en voiture (électrique) et se gare sur des places interdites. Un constat qui nous a incités à lui adresser la lettre ci-dessous.

 

 

Lettre à Madame Anne Hidalgo

Madame La Maire,

Cet article, sûrement, ne va pas vous faire plaisir. Il va même vous agacer. Pourtant, ne croyez pas qu’il a été écrit à charge. Cela peut vous paraître curieux, mais sachez-le d’emblée, c’est vous-même qui nous en avez donné l’idée.

Quand vous avez annoncé votre intention de réduire la pollution à Paris, nous avons compris et apprécié votre ambition. Caradisiac existe depuis octobre 2000, nous avons écrit sur l’écologie dès l’origine. Aujourd’hui encore, sur près de 95 000 articles, la rubrique écologie fait partie de celles sur lesquelles nous avons le plus publié (8 800 articles).

(...)

Pourquoi vous permettez-vous de stationner sur des emplacements interdits aux automobilistes ?

Pour des questions de sécurité ? Nous n’émettrons pas d’avis sur le sujet, mais vous croyez-vous plus en sécurité lorsque l’on sait où vous êtes grâce à la présence de votre Zoé ou lorsqu’elle est coincée dans les embouteillages ? Vous nous direz : une fonction politique n’est pas une fonction comme une autre. Nous sommes prêts à l’accepter, à le revendiquer même. En cas d’urgence,  mettez, s'il le faut, votre gyrophare, et ne respectez pas le code de la route. Mais pourquoi vous garez-vous mal quand vous vous rendez à un dîner de bouchers parisiens ? Et surtout, Madame La Maire, -et nous arrivons enfin à l’essentiel -, pourquoi donc prenez-vous votre voiture systématiquement pour tous vos déplacements ? Quand vous vous rendez rue Saint-Denis le 5 octobre dernier, vous n'êtes qu'à 1100 mètres de votre mairie. Pourtant, vous  prenez quand même votre voiture et au retour, vous êtes d'ailleurs immobilisée, un temps, rue du Renard. Nous sommes au cœur du problème : vous demandez à vos administrés de faire ce que vous êtes incapable de faire.

(...)

Source et article complet: Caradisiac.com

La maire socialiste de Paris accusée d’emploi fictif

Scandale. Selon le magazine Capital, “la pasionaria du vivre-ensemble s’est discrètement fait payer par le ministère du Travail pour un emploi imaginaire”.

https://youtu.be/ImUJpBqPgmg

Après des années de rumeurs, le magazine Capital accuse, documents à l’appui, la maire de Paris Anne Hidalgo d’avoir eu un emploi fictif. “Pendant plus de deux ans, la pasionaria parisienne de la citoyenneté et du vivre-ensemble s’est discrètement fait payer par le ministère du Travail pour un emploi imaginaire”, affirme le journal économique, ce mercredi.

“Après avoir été élue première adjointe de Bertrand Delanoë à la mairie de Paris en mars 2001, Anne Hidalgo a continué de se faire payer pendant des mois par son administration d’origine, le ministère du Travail”, poursuit-il. “En plus de ses indemnités d’élue réglées par la mairie – 5.575 puis 6.424 euros mensuels à partir d’octobre 2002, sans compter les défraiements –, elle percevait un salaire mensuel de 3.040 euros du ministère, auquel s’ajoutaient entre 1.000 et 2.000 euros de primes.”

Jusqu’en avril 2002, Anne Hidalgo, inspectrice du travail en chef, était officiellement mise à disposition du cabinet de Marylise Lebranchu, ministre de la Justice, en tant que conseillère technique puis comme chargée de mission. Mais, en réalité, selon Capital, “ elle ne participait jamais aux réunions de travail, elle n’avait même pas de bureau”. Ou comme le résume un membre du cabinet, contacté par le journal : “C’était ce que l’on appelle un emploi fictif.”

Lionel Jospin battu à la présidentielle, Anne Hidalgo doit réintégrer son poste à la direction régionale du travail d’Ile-de-France, mais “elle n’y met évidemment jamais les pieds”, affirme encore le magazine économique. “Mais, selon nos informations, elle n’en continue pas moins de se faire verser son salaire. Ce qui constitue ni plus ni moins une rémunération pour emploi fictif.”

(…)

Résultat : “En vingt-six mois d’emploi imaginaire, la pasionaria du vivre-ensemble et de la mobilisation citoyenne (qui n’a pas souhaité répondre à Capital) se sera mis dans la poche un peu plus de 100.000 euros. Si l’on défalque les 21.000 qu’elle a été contrainte de rembourser, l’addition pour le contribuable se monte à environ 80.000 euros”, conclut Capital.

(…)

Article intégral de Capital avec documents scannés via Fdesouche.com

Anne Hidalgo estime être attaquée par la “fachosphère” avant tout parce qu’elle est “une femme franco-espagnole”

Anne Hidalgo est souvent la cible de la droite. Normale, la maire de Paris est socialiste et les échanges d'amabilités entre les camps se font dans les deux sens. Elle est également la cible de l'extrême droite – et par extension sur internet de la fachosphère.

Interrogée par Brut mardi 5 septembre, la maire de Paris explique pourquoi, selon elle, elle est ainsi attaquée par la fachosphère sur les réseaux sociaux. Elle répond

Je suis une femme, donc ça déjà, c'est un point, je pense, important. Pour la fachosphère, je revendique mon origine espagnole, j'ai la double-nationalité. Blasphème !Donc je pense que ça, ça doit être quelque chose qui les irrite au plus haut point. Je suis une femme de gauche. Je l'assume. Voilà, je le revendique.

Et Anne Hidalgo de se revendiquer, également, comme une écolo humaniste. "Tout ma vie, je me suis engagée contre, justement, les racistes, les xénophobes, les antisémites et les gros machos. Eh bien je vais continuer", ajoute-t-elle.

 

Source

 

 

Paris: Comment Hidalgo, maire socialiste, favorise le Grand Remplacement dans la capitale française

Le Figaro-Magazine a repris les meilleures feuilles du livre d’Airy Routier et de Nadia Le Brun, deux professionnels reconnus dans le métier.

Encore plus grave, le magazine a consacré un dossier fort conséquent à Anne Hidalgo, qui a eu les mérites d’une couverture qui a dû provoquer une nouvelle crise de nerfs chez l’irascible maire de Paris…

Cette enquête a réussi à mettre hors de lui le vaillant Ian Brossat, qui, de retour de Corse, a hurlé contre les blasphémateurs, forcément racistes et fachos !

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Mobilisé pour défendre sa cheftaine, le petit Ian a continué son pilonnage, bien décidé à se montrer le meilleur caniche de l’entourage d’Anne Hidalgo.

http://www.huffingtonpost.fr/2017/08/27/pour-cet-adjoint-de-anne-hidalgo-le-dossier-du-figaro-mag-est-un-torchon-et-une-masse-dordures-racistes_a_23186908/

 

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Connaissant les méthodes de la Ville de Paris, qui avait viré de son logement Frigide Barjot, suite aux manifestations contre la mariage homo, on conseille vivement à Airy Routier et à Nadia Le Brun, ainsi qu’aux journalistes du Figaro Magazine, de ne pas avoir besoin de la Mairie de Paris pour se loger.

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A part cela, ce livre est un brûlot, car il met à nu, outre la folle politique dépensière d’Hidalgo et sa clique, sa politique dogmatique de Grand Remplacement. Pour être très précis, le livre, ainsi que l’enquête du Figaro, expliquent que l’équipe du maire de Paris pratique la discrimination positive, pour des raisons autant idéologiques qu’électoralistes, au service des noirs et des arabes, contre les classes populaires et moyennes.

 

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On comprend mieux, à la lecture de cet article, qui ne fait que traduire ce que tout le monde constate quand il se promène dans de plus en plus de quartiers de Paris (voir la réaction de Christine Tasin découvrant l’avenue de la Porte de Clichy), la rage de Ian Brossat, pris les doigts dans le pot de confiture.

Source et article complet: Riposte Laïque

Nos remerciements à Victoria Valentini

JO 2024: Les chiffres explosifs qu’Anne Hidalgo, maire de Paris, cache au CIO

Une délégation du comité international olympique (C.I.O.) débarque ce samedi à Paris pour évaluer la candidature de la capitale aux JO 2024. A deux mois du vote, la maire de Paris va dérouler le tapis rouge mais ne dira évidemment rien de la panade financière dans laquelle la Ville se trouve. Mais où trouvera-t-elle les 145 millions d'euros qu'elle a promis d'investir pour accueillir l'événement ?

Pour aménager en potager un minuscule arpent de 10 mètres carrés au milieu du square Painlevé, dans le Ve arrondissement de Paris, la municipalité de la capitale s’apprête à mettre 30 000 euros sur la table. Pour ce prix, quelques bacs remplis de bonne terre seront installés, deux ou trois tuteurs à tomates plantés et un tuyau d’arrosage branché sur le robinet le plus proche. Quand on sait que, dans les meilleures régions céréalières, l’hectare de limon se négocie environ 9 000 euros, autrement dit 90 centimes le mètre carré, cet investissement peut paraître un peu élevé. Mais Anne Hidalgo entretient une véritable passion pour les légumes de saison. Et, à 3 000 euros le mètre, elle pourra se vanter d’avoir installé dans la Ville lumière l’exploitation agricole la plus chère du monde, cela lui fera un record de plus…

Nom d’un radis ! On savait que la maire de Paris était fâchée avec les chiffres, mais on ne pensait pas que ce fût à ce point. Pour se faire élire, en mars 2014, l’ex-première adjointe de Bertrand Delanoë avait pris l’engagement solennel de ne pas augmenter les impôts pendant sa mandature. Comme elle prévoyait en même temps de faire flamber les dépenses, l’équation s’avérait compliquée. A l’époque, nous avions calculé qu’il manquerait 200 millions dans les caisses dès la première année et qu’il faudrait à terme augmenter la taxe d’habitation d’au moins 20% pour rétablir la situation. Trois ans plus tard, on doit se rendre à l’évidence : nous étions au-dessous de la vérité. En réalité, le trou que la patronne de l’Hôtel de Ville est en train de creuser avec ses équipes et ses potagers est bien plus profond que cela. La facture qui attend les Parisiens au tournant nettement plus lourde qu’on ne pouvait le craindre. Et si en plus Anne Hidalgo obtient l'organisation des Jeux Olympiques 2024 pour lequel elle a promis d'investir 145 millions d'euros...

A lire aussi : Jeux Olympiques 2024 : pourvu qu'on ne les ait pas !

Pour prendre la mesure de cette dérive, il faut se plonger un instant dans les replis arides des documents budgétaires que la municipalité ne présente jamais au grand public. Et se rappeler que la comptabilité des collectivités locales est légalement divisée en deux : d’un côté, le budget de fonctionnement (frais généraux et masse salariale, couverts par les impôts et les taxes) et, de l’autre, celui des investissements. Selon la loi, le compte de fonctionnement, qu’il est interdit de combler avec des emprunts, doit impérativement dégager un excédent, baptisé «épargne brute». C’est avec cette cagnotte, éventuellement complétée par de l’endettement – autorisé cette fois – que peuvent être financés les investissements. Autant dire que l’épargne brute est le nerf de la guerre pour toute collectivité locale qui entend se moderniser et développer ses équipements, comme c’est le cas de la capitale.

Une administration tentaculaire de 60.000 personnes

Le problème, c’est qu’Anne Hidalgo engloutit tellement d’argent pour payer ses frais de fonctionnement qu’il ne lui en reste plus pour investir. Certes, elle a un peu freiné la hausse des dépenses courantes. Des postes statutaires ont été remplacés ici et là par des emplois aidés payés au rabais, et les administrations centrales, qui étaient éparpillées dans 59 sites, ont commencé à être regroupées. Mais les gaspillages dans cette administration tentaculaire, qui emploie près de 60.000 personnes, tiennent toujours de la caricature. Rien n’a été fait par exemple pour limiter l’absentéisme alors que, selon un rapport de la Mission d’information et d’évaluation (MIE), il coûte 200 millions d’euros par an à la collectivité. Rien n’a été entrepris non plus pour renforcer la productivité des agents. La direction de la communication (qui refuse invariablement de répondre à Capital) est toujours aussi pléthorique, les services centraux accueillent encore à guichet ouvert les anciens des cabinets ministériels socialistes (à condition qu’ils appartiennent à la bonne tendance, celle de Benoît Hamon) et l’horaire de certains personnels n’atteint toujours pas les 35 heures requises.

À elle seule, l’affaire des ASP (agents de surveillance de Paris) suffit à donner une idée de la situation. A partir de janvier prochain, ces 1 500 salariés chargés de mettre les PV de stationnement n’auront plus de boulot, car le service sera confié à une société extérieure. Qu’en faire ? La municipalité a eu, un moment, l’idée de les charger de la mise en fourrière des voitures, une tâche actuellement effectuée par des personnels privés. Mais l’étude préalable qu’elle a fait réaliser lui en a vite fait passer l’envie : entre les suppléments de congés, la semaine de 32 heures, l’absentéisme, l’obligation statutaire de travailler en équipe de deux et les conflits sociaux qui ne manqueraient pas d’éclater, car ce job fait mal au dos, la masse salariale passerait de 9 à… 54 millions d’euros ! Du coût, si l’on ose écrire, la mairie a décidé de recaser ses ASP dans une «brigade de lutte contre les incivilités», opportunément créée pour la circonstance, dont la tâche principale consistera à verbaliser les jeteurs de mégots et ceux qui confondent poubelle jaune et poubelle verte…

Pas étonnant que la fameuse épargne brute ne soit pas vaillante ! En 2013, dernier plein exercice de Bertrand Delanoë, elle atteignait 481 millions d’euros, ce qui n’était déjà pas folichon. Cette année, bien qu’une bonne part des 300 millions mis en réserve par l’équipe précédente ait été engloutie, elle ne dépassera pas 107 millions, un chiffre absolument calamiteux. Pour s’en sortir, la maire de Paris est donc contrainte de se livrer à une incroyable manipulation financière. Depuis deux ans, elle convertit en logements sociaux des milliers d’appartements du parc privé, et elle exige de se faire verser d’un coup… cinquante années de loyer par les sociétés HLM à qui elle en confie la gestion. Elle a ainsi pu récolter 354 millions d’euros l’an dernier et 287 autres en 2017. Grâce à quoi elle peut améliorer son budget de fonctionnement et gonfler artificiellement son épargne brute pour financer ses investissements. Bien joué, l’artiste !

Un programme d'investissement de 1,5 milliard d'euros par an

A ceci près que cette pratique, qui fait bondir tous les spécialistes de comptabilité publique, s’apparente ni plus ni moins à de la cavalerie. Comme la mairie ne pourra plus toucher 1 centime de loyer pendant un demi-siècle, l’opération revient en effet à piller l’avenir pour assurer le présent, la pire dérive de gestion imaginable. Légalement, une telle recette non reconductible ne peut d’ailleurs servir à couvrir les frais de fonctionnement, puisque ceux-ci sont récurrents. Pour pouvoir le faire malgré tout, la mairie est donc allée solliciter discrètement une autorisation du gouvernement. Ce dernier, où elle comptait beaucoup d’amis, la lui a accordée à titre  «exceptionnel» pour 2016 et 2017. Mais il ne l’a pas fait pour les trois années suivantes. Autant dire qu’Anne Hidalgo, qui a prévu de récupérer 300 millions par an de la sorte d’ici 2020, va devoir croiser les doigts pour que la future équipe au pouvoir accepte de couvrir sa petite manip. C’est loin d’être gagné.

Le pillage des sociétés HLM ne suffisant pas à financer son programme d’investissements de 1,5 milliard d’euros par an, la maire de Paris s’est lancée en parallèle dans la vente à gros débit de bijoux de famille. Immeubles, terrains, locaux divers… elle espère tirer chaque année 200 millions d’euros de cette braderie. Et comme le compte n’y est toujours pas, loin s’en faut, Anne Hidalgo est obligée, nous y voilà, d’emprunter à tour de bras pour boucler son budget.

Les chiffres font froid dans le dos. Lorsqu’elle est arrivée aux affaires, il y a trois ans, la dette parisienne, gonflée par les folies de Bertrand Delanoë, atteignait 3,4 milliards d’euros, ce qui était déjà très lourd. En décembre prochain, selon les chiffres de Bercy, elle flirtera avec les 6 milliards. Et au rythme où vont les choses, elle devrait dépasser 7,5 milliards en 2020. 120% d’augmentation en cinq ans ! Jamais personne, dans l’histoire de la capitale, n’avait accompli un tel exploit. Lorsque, dans deux ans et demi, l’édile socialiste remettra son mandat en jeu, chaque bébé parisien, y compris ceux des quartiers populaires, recevra en cadeau de naissance une ardoise de 3 400 euros,  plus de deux fois supérieure à celle de 2014.

Dans un rapport au vitriol publié il y a quelques mois, la chambre régionale des comptes d’Ile-de-France s’inquiète de cette dérive. Elle souligne que, selon les propres chiffres de la municipalité, la capacité de désendettement de la ville, autrement dit le nombre d’années nécessaires pour rembourser les emprunts si l’on y mettait tous les moyens, est passée de 4,3 à… 18 ans entre 2012 et 2017 (l’agence Standard & Poor’s parle pour sa part de 22 ans). «On considère généralement que le seuil critique se situe autour de 11 à 12 ans», préviennent les magistrats, en dénonçant au passage les faux-semblants de l’Hôtel de Ville pour masquer le naufrage.

Il est vrai que, sur ce point, les hommes en noir d’Anne Hidalgo savent y faire. A commencer par le premier d’entre eux, l’adjoint aux finances et ex-député socialiste Julien Bargeton, puisqu’il est lui-même conseiller à la Cour des comptes. Du coup, tout y passe : mise en avant d’indicateurs bizarroïdes dans les tableaux budgétaires pour tromper l’ennemi, disparition soudaine des provisions dans les comptes 2017, minoration systématique des dépenses qui restent à réaliser (RAR), majoration grossière des recettes dans les budgets primitifs, sans parler des données obligatoires que la mairie «oublie» de publier et des romans qu’elle sert à l’opinion sur les impôts qui n’augmentent pas.

Flambée des droits de mutation

Ce dernier mensonge est particulièrement audacieux. En réalité, voilà trois ans qu’Anne Hidalgo fait flamber les prélèvements avec une folle énergie, en contradiction complète avec sa promesse. Oh, bien sûr, elle se garde de toucher aux taux des taxes foncière et d’habitation, sur lesquels la presse et ses administrés ont les yeux rivés. Mais pour le reste, c’est table ouverte ! Doublement du produit de la taxe de séjour, création (et triplement dès l’année suivante) d’une lourde ponction sur les «résidences secondaires», augmentation de 10% du taux des droits de mutation (les fameux frais de notaire), multiplication par deux ou trois selon les arrondissements des redevances de stationnement et des amendes afférentes, explosion des recettes des droits de terrasse à la charge des cafetiers (+ 32%), des concessions de cimetières (+ 15%) et des redevances de pompes à essence (+ 220%), à quoi on peut ajouter le «réajustement» des tarifs des services publics, cantines, bibliothèques, conservatoires et autres, qui ont parfois triplé pour les familles «aisées»… Au total, depuis l’arrivée de la maire qui n’augmente pas les impôts, la ponction sur la population est passée de 5,2 à 6,4 milliards d’euros, soit 23% de hausse, alors que l’inflation cumulée ne dépassait pas 1,6% ! A lui seul, le gonflement de 533 millions des droits de mutation (en partie suscité, il est vrai, par l’envolée de l’immobilier) a compensé une bonne part de la baisse de la dotation de l’Etat, qui arrache tant de larmes aux élus parisiens…

Passe encore si ce coup de massue et cet endettement record étaient utilisés pour la bonne cause. Mais c’est loin d’être le cas. Dépitée que François Hollande ait refusé de dépenser l’argent public à fonds perdus pour relancer l’économie, la maire de Paris, frondeuse assumée, s’est en effet mis en tête de le faire elle-même. «L’atonie de la conjoncture et la persistance d’un chômage de masse nous invitent à aller beaucoup plus loin (dans notre programme d’investissement), écrit-elle dans sa présentation budgétaire. Alors que l’investissement privé est en berne et que la consommation des ménages peine à redémarrer, Paris va s’appuyer sur des finances saines (sic) pour investir au service de l’économie, participer à l’effort de redressement du pays et soutenir la création de milliers d’emplois.» Un vrai discours de Premier ministre ! Bien entendu, cette municipalisation de la politique de relance n’a eu aucun effet sur la conjoncture du pays. En revanche, elle a troué comme jamais les finances locales…

Anne Hidalgo en a profité pour assouvir au passage sa grande obsession : truffer les beaux quartiers de logements sociaux. La loi Duflot a-t-elle porté de 20 à 25% à l’horizon 2025 la proportion de HLM dans les villes ? La maire de Paris et son adjoint au logement, le communiste Ian Brossat, veulent faire plus encore : ils se sont fixé un objectif de 30%. Pour y parvenir, ils multiplient les acquisitions foncières sans se soucier le moins du monde du démentiel prix à payer pour le contribuable parisien. Il y a quelques mois, ils ont, par exemple, déboursé 4,24 millions d’euros pour acheter un petit immeuble de six logements dans le très chic XVIe arrondissement, soit une facture de 12 000 euros le mètre carré ! Et ils n’ont pas hésité à inscrire sur leur liste de préemption un immeuble situé rue du Chevalier-de la-Barre, à Montmartre, évalué par la mairie elle-même à 13 406 euros le mètre. Quand on sait qu’en moyenne un logement social revient à 150 000 euros, on peut s’interroger sur le bien-fondé de cette politique. «C’est scandaleux !, s’emporte Jean-Louis Dumont, le président socialiste de l’USH, l’organisme qui fédère les offices HLM de France. On pourrait faire quatre ou cinq fois plus d’appartements avec le même argent si on investissait avec mesure. Mais la seule chose qui importe à Anne Hidalgo, c’est de faire de la com !»

Wow ! A ce tarif-là, mieux vaut encore planter des légumes au Quartier latin…

Source

Nos remerciements à Victoria Valentini

Farid dénonce la barbarie de l’islam et la lâcheté des politiques

Interview exclusive de Riposte Laïque.

Le 21 avril 2017, Farid a interpellé la mairesse de Paris, Anne Hidalgo, sur les lieux de l'attentat des Champs-Elysées, et il a accusé les gouvernants actuels et passés de ne pas protéger les Français contre la barbarie de l'islam. Il témoigne ici en exclusivité.

Source Riposte Laïque

France: Farid Smahi exprime sa colère à Anne Hidalgo à la suite de l’attentat. La socialiste continue à sourire, bien protégée par la police. (Vidéo)

Farid Smahi est un homme politique français et un ex-musulman. Il était membre du Front national au sein duquel il faisait partie du bureau politique, l'instance dirigeante du parti jusqu'en janvier 2011. Il a été conseiller régional d'Île-de-France de 1998 à 2004. Il était le secrétaire départemental du Front national de l'Essonne.

On remarquera que le policier repousse Farid, évitant ainsi à la la socialiste et maire de Paris de prendre ses responsabilités. La ville de Paris, dévastée par le multiculturalisme et l'immigration est dirigée par une femme méprisante et hautaine.

C'est d'ailleurs la même socialiste qui tentait lamentablement de se moquer de Donald Trump, se ridiculisant aux yeux du monde entier.

 

Pour Anne Hidalgo pas question de liberté de dérision

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La persécution dont font l'objet Pierre Cassen et Riposte Laïque ne choque pas seulement la droite laïque. Elle choque également les catholiques de droite. Dans ce contexte, Anne Hidalgo, qui a déjà été remise à sa place par Ivan Rioufol dans le Figaro et par moi-même (sur Dreuz-Info puis sur Les Observateurs), se fait maintenant donner la fessée par le chroniqueur catholique de droite  Bernard Antony.
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Ainsi, Bernard Antony écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : La liberté d’expression et surtout de dérision et même d’exécration, et du blasphème, « véritable fondement de la laïcité » selon Caroline Fourest, fut-il le plus obscène, le plus ordurier, ne saurait connaitre, disaient-ils tous, les cultureux et les politiciens, aucune limitation. C’est cela « l’esprit Charlie », glorifié par François Hollande, auquel tous les Français devraient adhérer comme les myriades chinoises de la révolution culturelle à « l’esprit Mao ».
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Bernard Antony : Et que n’a-t-on vu dans Charlie ! Le Christ, des dizaines de fois, et la vierge de Lourdes aussi, campés dans des compositions obscènes avec les commentaires les plus tristement salaces issus des cerveaux de pauvres crétins obsessionnels dans un conformisme de corps de garde de sans-culottes. Et les Le Pen, sans cesse caricaturés scatologiquement, à grand renfort de libre expression excrémentielle. Or, ne voilà-t-il pas que l’institution judiciaro-policière de la république de « l’esprit Charlie » poursuit d’une rude vigilance, avec longs interrogatoires et perquisition (à un moment où il n’y a semble-t-il rien de plus urgent à traquer) le militant de Riposte Laïque, Pierre Cassen.
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Bernard Antony : Que lui est-il reproché ? D’être l’instigateur ou le propagateur d’une caricature de madame le maire de paris, en position nullement obscène, mais certes la tournant en dérision en une posture de soumission islamophile du genre lèche-babouches. Chacun peut bien sûr librement trouver cela rigolo ou de bon goût. Mais, cependant que « l’esprit Charlie » revendique le droit illimité aux pires productions du plus mauvais goût dans une parfaite abjection, quand des militants laïques s’en prennent irréligieusement à la vénérable Mme Hidalgo, alors cette dernière se dresse sur ses ergots. Dans toute la fierté courroucée de son hispanique aristocratie bafouée cette édile socialiste fait donner la justice et la police contre  ce manant irrespectueux de Pierre Cassen coupable de ne pas pratiquer une dérision à sens unique.
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Bernard Antony : Le laïcisme de ce dernier, qui vient d’un vaste parcours de jeunesse dans le marxisme-léninisme, est hélas bien différent d’une juste laïcité fondée sur le respect des commandements et valeurs universelles du Décalogue biblique. Mais, face à l’inadmissible répression liberticide qui le vise pour son non-conformisme à l’égard de l’islamophilie obligatoire et pour son ironie irrévérencieuse vis-à-vis de dame Hidalgo, j'exprime donc mon soutien à Pierre Cassen et à Riposte Laïque, conclut Bernard Antony (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction et mise en page de Michel Garroté pour LesObservateurs.ch
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http://www.bernard-antony.com/2016/04/pour-anne-hidalgo-du-respect-svp-pas.html
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Résister plutôt que se soumettre

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Récemment, Ivan Rioufol a écrit, dans une chronique intitulée "Le vivre ensemble, mensonge d'Etat" : La maire de Paris, Anne Hidalgo, justifie cette fable d’Etat (ndmg : la fable du "vivre ensemble") quand elle déclare : "Il n’existe pas d’autre modèle possible, si ce n’est l’affrontement". Autrement dit : pour elle, il est préférable de se soumettre au totalitarisme salafiste et à ses exigences de conquêtes plutôt que d’avoir à lui résister, a ajouté Ivan Rioufol, à propos d'Anne Hidalgo et du soi-disant "vivre ensemble".
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Tout est là : se soumettre plutôt que résister. C'est l'inversion du paradigme. Anne Hidalgo pense qu'il faut se soumettre plutôt que résister afin d'éviter l'affrontement. Or, le vrai pardigme, c'est : résister plutôt que se soumettre. Car de toute façon, un jour, l'affrontement sera inévitable. Il sera effectué, en France notamment, dans les zones de non-droit musulmanes, par l'armée, et, certainement pas, par la police.
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Des documents concernant le centre allemand de recherches nucléaires de Juliers ont été découverts dans l'appartement de Salah Abdeslam à Molenbeek. Le site nucléaire de Juliers, où sont notamment stockés des déchets nucléaires, est proche de la frontière belge. Georg Maassen, chef des services de renseignements allemands, en a informé la commission parlementaire ad hoc. Alors, résister plutôt que se soumettre ou se soumettre plutôt que résister ?
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Au sens plus large, notons, aussi, que l’alliance de l’Occident avec tel ou tel pays musulman, cette alliance doit être considérée comme une alliance tactique à court terme, même si elle est renouvelable pendant un certain laps de temps, mais pas comme une alliance globale à long terme. C'est aussi cela, résister plutôt que se soumettre.
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Michel Garroté
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