L’ONU lance une vaste opération pour imposer l’immigration en Europe: “Il faut développer une image positive pour contrer la xénophobie.”

Conformément à l’agenda globaliste soutenu par des figures de la spéculation financière comme George Soros ou des architectes du sans-frontiérisme comme l’actuel pape Jorge Bergoglio, l’ONU a annoncé être en négociations pour mettre en place un « pacte mondial pour l’immigration ».

Europe 1 (Source) :

Six rounds de négociations à New York, un par mois, sont prévus jusqu’en juillet. L’objectif est d’aboutir à un accord qui sera ensuite formellement entériné les 10 et 11 décembre lors d’un sommet au Maroc, selon des diplomates. L’objectif est d' »accroître la coopération sur les migrations internationales dans toutes leurs dimensions », souligne le projet de texte de 25 pages de cet « Accord mondial pour des migrations sécurisées, ordonnées et légitimes ».
Donner une image "positive" des migrations. Le secrétaire général a aussi appelé à développer auprès des populations dans le monde une perception "positive" des migrations afin de lutter contre la xénophobie et les discriminations. "Les migrations doivent être un acte d'espoir et non de désespoir", a-t-il souligné devant l'Assemblée générale de l'ONU. Le nombre de migrants dans le monde est estimé à 258 millions, soit 3,4% de la population mondiale.

L’ONU entend proposer aux états membres une liste de 22 axes d’action. Parmi elle, une stricte politique d’embrigadement idéologique des populations autochtones, notamment en Europe, où toute critique de l’immigration clandestine de peuplement devra être combattue par les états au nom de la lutte contre « les discriminations » :

Le projet d’accord parle de « compréhension mutuelle » du phénomène migratoire et de la nécessité qu’il suscite des « responsabilités partagées » et « une unité de vues ». Le texte détaille 22 mesures concrètes comme collecter des données, fournir des papiers d’identité aux migrants qui en sont dépourvus, accorder un soin particulier aux femmes et aux enfants, fournir aux migrants un accès aux services sociaux ou empêcher toute discrimination.

C’est en consultant la littérature officielle de l’UNHCR relative au pacte précité (Source) que l’on découvre au point n°4 (« Discussion thématique 4: Mesures à prendre dans la recherche de solutions », partie c) qu’il est question « d’élargir le regroupement familial » (1), de « prendre en charge l’éducation » des clandestins (3) et, plus frappant encore, de « faciliter la mobilité de la main d’oeuvre » (4).

Ce dernier point vise explicitement à exercer, au profit des puissances financières, un dumping social au détriment des travailleurs des pays ciblés.

Toujours au point n°4 (partie d), le document présente une liste de mesures pour « faciliter l’accueil » des migrants clandestins dans les pays visés. Parmi elles, un travail d’embrigadement idéologique des populations qui suppose un volet répressif. On peut ainsi lire que les états devront « promouvoir l’harmonie sociale et lutter contre la xénophobie » (4).

Une formulation d’autant plus révélatrice qu’elle anticipe des troubles sociaux qu’il faudra contenir et que ces troubles seront uniquement le fait des autochtones comme le suggère la notion de « xénophobie ».

Un programme proche du globaliste du Vatican Bergoglio

Ces « 22 axes » ne sont pas sans rappeler les 21 points relatifs à l’immigration que l’actuel occupant du Vatican, Jorge Bergoglio, voudrait voir imposer au plan planétaire, surtout en Europe. Ce programme, clairement extrémiste et marqué de tiers-mondisme marxisant, exigeait notamment de faire passer « la sécurité » des migrants clandestins avant la sécurité nationale des pays (point 5). Il exigeait également la naturalisation rapide des clandestins (point 13), accroître le regroupement familial en y intégrant « les grands-parents » et les « petits-enfants » (point 18).

 

 

Point crucial, le Vatican exigeait des états submergés par des vagues de migrants clandestins « d’intégrer leur identité culturelle », c’est-à-dire de promouvoir de facto l’expansion de l’islam en Europe (point 21), (Source Le Figaro).

Le journal pro-Macron « Le Monde » exige 150'000 migrants par an

Le « hasard » faisant bien les choses, une longue tribune était publiée le 20 février dans le journal « Le Monde » – propriété du banquier socialiste Mathieu Pigasse – au sujet de l’immigration.

On pouvait y lire un appel à créer des villages de migrants extra-européens sur « tout le territoire » français (Source Le Monde) :

Parallèlement, il faut convaincre le personnel politique de réfléchir sur le long terme. Car l’arrivée de réfugiés extra-européens sera un phénomène structurant au XXIe siècle. Il faut donc mettre en place des lieux d’accueil aux effectifs modestes (400-500 résidents), pensés et construits comme des structures pérennes sur l’ensemble du territoire. La seule approche qui prenne en compte les futurs migrants annoncés doit s’appuyer sur une prévision annuelle de 150 000 réfugiés pendant les cinquante prochaines années. Ces structures seront placées sous la responsabilité des élus de proximité, plutôt que des administrations préfectorales, mal préparées au suivi nécessaire.

Ces villages afro-musulmans de « 400 à 500 résidents » devraient totaliser près de 8 millions de migrants clandestins installés en France au fur des décennies à venir.

Cette politique est déjà à l’oeuvre.

Source du dossier: Breizatao.com

16 commentaires

  1. Posté par moana'ura walker le

    dans ce cas il faudrait que l’ONU indemnise chaque victime (agressions, viols, égorgements, attentats etc..) commis par ces migrants !!!
    une loi devrait être votée pour officialiser cette obligation !!!

  2. Posté par Damien Francois le

    C’est exactement le contraire qui arrive. Nous, européens, ne voulont pas d’arabes, de musulmans, d’Africains. Ils ont eu le temps depuis les années 1960 de s’adapter et ne l’ont pas fait. Sortez-les, tous! Aux armes, citoyens!

  3. Posté par Pascal Guex le

    La guerre n’est jamais un choix, elle nous est imposée.

  4. Posté par miranda le

    CE DEMEMBREMENT DE TOUS LES PAYS DE L’EUROPE JUSQU’A L’AFRIQUE
    repose sur la volonté “de dominer” mais cela n’est plus un secret, tout le monde le sait.

    Mais par cette destabilisation-DIVERSION par l’IMMIGRATION-INVASION PREPARE une nouvelle réorganisation de cette partie de l’humanité.

    Comme les pays n’existeront plus, ce sont les régions qui seront en lien direct avec le pouvoir central, situé pour le moment à BRUXELLES, mais ensuite……………?????

    LES REGIONS ne représenteront QUE des mini-forces si on les compare aux NATIONS. Elles seront plus fragiles et seront plus facilement soumises au pouvoir Central. Si elles se rebellent, il sera alors très facile des LES SANCTIONNER ou de les laisser périr.
    Chacune essaiera de défendre, en bonne individualiste, son morceau de “viande”.
    CE QUI SERAIT LA PIRE DES ERREURS.

    LA SEULE CHOSE QUI POURRA SAUVER LES REGIONS, c’est de créer des alliances, des sortes de PROVINCES UNIES DES LEUR NAISSANCE EN TANT QUE REGIONS D’EUROPE OU D’EURAFRIQUE OU D’EURABIA (si le plan se réalise). Afin de ne PAS être les carpettes du pouvoir central.
    Je me demande ce que deviendra l’ECOLOGIE quand existeront ces morcellements et quel pouvoir auront les régions pour promouvoir une agriculture SAINE ou l’implantation forcée des agricultures de LABORATOIRES. On sait ce que ça donne

    Et bien sûr, d’avoir des moyens de pression pour que le pouvoir central ne les écrase pas. Au besoin être armées, mais cela suppose beaucoup de logistique.
    La création des REGIONS ne repose que sur une volonté de DOMINER D’AVANTAGE.

  5. Posté par Ralph le

    Bon, visiblement l’ONU sera déclarée comme seule responsable de la future Troisième guerre mondiale qui débutera en Europe sous forme initiale de guerre civile!

  6. Posté par Sugar Daddy le

    Bonne idée, j’ai hâte d’adorer les migrants! Je me réjouis que l’ONU me fournisse l’outil afin d’y parvenir, j’y ai vraiment mis tout mon coeur à l’ouvrage mais quelque chose bloquait, je ne sais pas, les faits divers, la réalité, l’actualité, les attentats. Mais c’est bientôt fini, grâce à l’ONU, je vais percevoir tout ça avec amour et bienveillance désormais.

  7. Posté par Max93 le

    De la folie pure …et CRIMINELLE de masse à terme .

  8. Posté par maury le

    Goldnadel : sur l’immigration, le «en même temps» ne suffit plus
    Publié par Gilles William Goldnadel le 27 février 2018
    Alors que Gérard Collomb a présenté son projet de loi sur l’asile et l’immigration mercredi au Conseil des ministres, il n’est peut-être pas inutile d’écrire les choses franchement.

    Il s’agit de la question qui fâche le plus. Parce qu’elle est désormais existentielle. Raison pourquoi, la plupart du temps, on préfère parler d’autre chose, ce qui a été le cas pendant la période électorale.

    Deux camps s’affrontent frontalement. Le parti médiatique et financier qui considère largement qu’il s’agit d’une question vulgaire à laisser au populisme. Et le peuple, dont il est aujourd’hui acquis aux débats par sondages interposés qu’il s’agit de sa première préoccupation.

    Si le sommet médiatique en parle, il abordera la question par la face sud: les malheurs des migrants. Quand la plèbe terre à terre évoque le sujet, elle abordera avant tout les problèmes sécuritaires ou identitaires posés par l’immigration massive et illégale dès lors considérée logiquement comme invasive.

    Encore faut-il ajouter qu’il ne s’agit que de l’apparence publique des choses. Quand l’élite se met à parler avec moins de coquetterie, elle peut se laisser aller à parler comme la plèbe.

    C’est ainsi que l’ancien président Hollande confiait à deux journalistes, lors de ses confidences vespérales, l’aspect désormais insupportable pour les Français de l’immigration, et que l’on risquait même «la partition». On remarquera que de tels propos n’ont provoqué aucune indignation et que la presse a plutôt préféré les passer sous silence…

    Exactement comme si certaines vérités trop crues n’étaient pas bonnes à dire devant les petits enfants.

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    Au caractère massif et irrésistible de la migration, s’est ajoutée durant la dernière décennie la question islamiste et donc islamique. Il se trouve que c’est précisément l’origine des nouveaux réfugiés et migrants qui viennent s’ajouter à une précédente vague, quelquefois clandestine, qui cause déjà cruellement de profonds remous.

    Parmi les raisons de la colère plébéienne, outre les problèmes inhérents rencontrés par les difficultés d’intégration d’une population importante et très différente de la population autochtone, le fait que la quasi-totalité des illégaux demeurent sur le territoire national est le plus compréhensible.

    Pour le dire autrement, l’obstacle psychologique principal à l’accueil des réfugiés éligibles au droit d’asile est constitué par le maintien sur le sol français d’individus inéligibles dont la présence est considérée légitimement et légalement comme une offense.

    Mais les développements qui précèdent ne sont que des observations d’ordre rationnel.

    Malheureusement, et ainsi que je l’écris souvent, la question migratoire est, depuis un demi-siècle, posée de manière totalement irrationnelle.

    Il fut un temps où le débat sur l’accueil tournait principalement autour de la notion de la générosité parfois excessive ou de l’égoïsme ou non sacré. Avant-guerre, pour des raisons purement économiques, le socialiste Marchandeau fut à l’origine d’une loi restreignant considérablement l’entrée sur le territoire national. Il fut critiqué, sans être taxé de raciste. Dans les années 60, Raymond Cartier, journaliste de bonne tenue, et père de la doctrine d’un «Cartiérisme» réticent à l’ouverture sur le monde, fut célébré pour sa formule «plutôt la Corrèze que le Zambèze».

    Ce n’était pas très distingué dans les salons, et l’on pouvait parfaitement trouver le point de vue bien étriqué. Mais Cartier ne fut pas vilipendé pour son improbable racisme, mais plutôt pour son esprit de quartier.

    C’est après le choc de 1968, dont j’ai toujours expliqué («CRS SS!») qu’il était mû par un fantasme post-schoatique, que tout débat autour de l’accueil de l’Autre, s’est transformé aussi inconsciemment qu’irrationnellement en mise en cause culpabilisante de l’occidental raciste ou, pour le dire autrement , du franchouillard vichyssois xénophobe.

    En l’espace d’une guerre mondiale traumatisante, d’un excès, l’autre: du sentiment méprisant de supériorité occidentale à la dilection de l’altérité orientale.

    Depuis, la question migratoire est devenue en creux la question française, et encore plus profondément enfouie, la question blanche.

    C’est donc dans ce cadre psychologique collectif que le candidat Macron a fait une campagne rien moins qu’ambivalente – l’œil sur le second tour face à la candidate ultra-franchouillarde – à coups de formules transparentes sur la colonisation française nazifiée et l’absence de culture nationale.

    Une fois élu largement, le président jupitérien semblait avoir donné des gages tant aux désirs de la plèbe qu’aux exigences prosaïques du réel: les vrais réfugiés oui, les migrants économiques non.

    Et ceux qui n’ont rien à faire en France devront partir, et vite.

    C’était compter sans les exigences du monde virtuel. Depuis des semaines, l’inquiétude pour l’Autre était grande du Monde jusqu’à Libération. Et tant pis pour la plèbe. Sur toutes les chaînes audiovisuelles du service public de France Inter jusqu’à Arte. Sans parler des associations, de ces forcément gentilles organisations non-gouvernementales qui s’opposent au gouvernement forcément méchant. Pas question de trier entre le bon réfugié et le mauvais migrant. Et tant pis, si dans la réalité, d’Oxfam jusqu’à Médecins Sans Frontières et l’Unicef, de grandes libertés ont été prises aux dépens des réfugiés, à commencer par les femmes.

    Il n’était même pas question de voir l’État faire rentrer ses fonctionnaires dans les refuges pour recenser les déplacés. Pas question non plus de vérifier la réalité d’une minorité alléguée, sauf à se conduire en nazi comme suggéré par Moix sur le service public, en gamin attardé du gentil mois de mai.

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    Du coup, voici notre Jupiter un peu moins foudroyant. Non seulement le projet de loi est considérablement raboté: un article 3 prévoit que les réfugiés qui jusqu’ici pouvaient faire venir leurs parents pourront désormais faire venir aussi leurs frères et sœurs afin que «la réunification familiale ne se fasse pas au détriment de l’unité familiale».

    Autrement dit, un regroupement familial bis, au moment où l’on s’interrogeait même sur l’éventuelle suppression de celui-ci… Mais en outre, le premier ministre a promis de reprendre les grandes lignes d’un rapport du député En Marche (ex socialiste) Aurélien Taché. Celui-ci, et c’est manifestement son rôle, contredit la prétendue fermeté du projet du ministre de l’intérieur. Taché propose notamment d’établir une égalité entre les Français et les réfugiés «dans l’accès à l’emploi et au logement» contredisant ainsi le principe de citoyenneté. Son projet est un catalogue de droits sans devoirs.

    Pour faire bonne mesure le député considère également que le délit d’aide aux clandestins est tombé dans l’obsolescence. À défaut de la vulgaire et impuissante plèbe, Cédric Herrou sera content.

    La confusion règne dans les esprits. Au même moment, le premier ministre Édouard Philippe, homme respectable, déclarait: «La France ne se dérobera pas à son devoir d’hospitalité. Mais l’avenir des chrétiens d’Orient doit être en Orient.»

    Dans ce cas, lui ai-je fait observer, l’avenir des réfugiés et des migrants d’islam n’est-il pas dans leurs pays islamiques?

    La fermeté, et en même temps, le laxisme. Le réel et en même temps le virtuel.

    Pauvre peuple français, ce n’est pas demain que ses lois républicaines sur la régulation des flux migratoires seront respectées.

    Dans une récente chronique, je comparais Macron à la chauve-souris de la fable.

    Ravi, dans la présente matière, de montrer ses ailes d’oiseau pro-migratoire en même temps que ses dents pointues de rat intransigeant. On peut malheureusement parier sans grand risque que l’aigle des hauteurs l’emportera sur le vulgaire rongeur.

    La cote présidentielle n’atteint plus les sommets. Les Français sont dans le noir.

    La chauve-souris est peut-être un oiseau sans grand danger, mais ne sera jamais un mammifère très populaire.

    Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Gilles-William Goldnadel. Publié avec l’aimable autorisation du Figaro Vox.

  9. Posté par Le Taz le

    L’ONU n’est rien d’autre que l’ébauche du gouvernement mondial souhaité par les banksters mondialo-bolcheviques, c’est d’ailleurs leur création. Allez un peu creuser qui se cache derrière la création de l’ONU et vous découvrirez qui sont vos maîtres et accessoirement vos ennemis! Vous n’en n’avez pas marre de vivre en esclave? Et ça n’est pas parce que vous avez une villa dont vous payer les intérêts hypothécaires sur de l’argent créé par les banques de manière totalement illégale, que vous roulez dans une grosse voiture allemande et que vous partez en vacances dans des hôtels 5 étoiles que ne vous êtes pas des esclaves! Vous passez votre vie à bosser comme des ânes sans avoir le temps de profiter de vos vies n’y le temps de réfléchir à ce qui se passe dans notre société!!! Autant d’aveuglement me révolte! Mais ne cessera-ce donc jamais oh la la, oh la la?

  10. Posté par Socrate@LasVegas le

    Comme le disait un certain Goebbels: “Nous ne voulons pas convaincre les gens de nos idées, nous voulons réduire le vocabulaire de telle façon qu’ils ne puissent plus exprimer que nos idées.”

    TOUT est là…C’est exactement ce que veut appliquer le CF pour manipuler une dernière fois le Peuple SOUVERAIN pour lui faire accepter l’accord cadre avec l’ue dont il va tout faire pour en limiter la portée aux yeux des ignares citoyens qui doivent perdre leurs droits (d’initiative, de référendum) pour être réduits muselés à l’état de consommateurs dociles…

    Si il y réussit, il n’y aura plus en Suisse ni démocratie ni Constitution; le peuple rejoindra (de facto) les esclaves “volontaires” de l’ue

  11. Posté par Jean le

    Que toutes ces raclures donneuses de leçons,avec de gros salaires, qui siègent dans les ONG et à l’ONU aillent se faire fou…. A priori être xénophobe n’est pas encore puni par le loi!

  12. Posté par Yolande C.H. le

    1) Que signifie « responsabilités partagées », quand des dizaines de pays renflouent substantiellement leur PIB grâce à leur diaspora ?

    2) Il n’y a pas de “papiers” qui valent plus que les autres. Chaque état de l’ONU (cela couvre presque l’entier de a planète) a le devoir de reconnaître ses propres citoyens.

    3) C’est à l’ONU de mettre au pas les régimes qui maltraitent leurs ressortissants, plutôt que de promouvoir “un travail d’embrigadement idéologique des populations (occidentales) qui suppose un volet répressif.” On peut ainsi lire que les états devront « promouvoir l’harmonie sociale…” OK, mais en premier lieu ceux où celle-ci n’est pas acquise.

  13. Posté par Robert le

    Avec la complicité de l’anti-pape l’ONU lance contre l’Europe le nouveau fléau de Dieu : l’immigration.

  14. Posté par Antoine le

    La Suisse doit se retirer de l’ONU (le grand machin), organisation gangrénée et politisée à coin !
    Nous sommes dans une Démocratie (ou ce qu’il en reste, soyons objectif). Le peuple souverain suisse a décidé en votations populaires de lutter COTRE l’immigration de masse illégale.
    Nos gouvernements corrompus et félons veulent nous imposer cette immigration !
    Il y a un conflit d’intérêts divergents entre le peuple souverain et le gouvernement.

  15. Posté par Bussy le

    Avec du positif, l’image positive s’imposerait toute seule !
    Comment voir du positif dans cette invasion d’analphabètes, d’inadaptés au rythme de travail occidental et au mode de vie occidental, apportant une culture moyenâgeuse, arriérée et agressive vis-à-vis de la culture occidentale ?
    Qui tirent les ficelles dans cet ONU, des pays africains qui veulent se débarrasser de leur surplus de naissances et de leurs boulets et des pays musulmans désireux de conquérir et d’islamiser l’Europe ?
    Et les politicards européens, complices ou alors ils vont se réveiller ?

  16. Posté par G. Guichard le

    Eh bé!… Déjà qu’on était content sans. Qu’est-ce que ça va être avec?!

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