Contrairement aux affirmations des autorités et de la presse quotidienne régionale, il ne s’agissait pas d’un « déséquilibré », mais d’un sympathisant islamiste, qui a tagué le monument de la Place des Quinconces.
Un homme de 35 ans, « connu des services de police » était arrivé à scooter et en possession d’un sac à dos (contenant un exemplaire du coran), abandonné au pied de la colonne des Quinconces.
Il ne s’agit pas de « lettres de l’alphabet arabe », mais de mots arabes écrits en lettres romaines. Deux termes ont été utilisés : « shirk » et « koufr ».
Le shirk, (arabe : شرك associé,) se réfère, en islam, à « un grand péché » consistant à associer d’autres dieux ou d’autres êtres à Dieu, en leur « accordant l’adoration qui ne devrait être due qu’à Dieu seul ».
Le second, « koufr », désigne la « mécréance » et toutes les personnes qui s’en rendent coupables en refusant de reconnaître l’islam pour seule et unique religion.
Selon le site internet « breizatao », « l’auteur – un converti à l’islam – hurlait « allahou akbar » en direction des passants alors qu’il taguait le monument. Il a finalement interpellé par la police. Un drapeau de l’État Islamique a été retrouvé chez lui par les enquêteurs ».
Dans un monde que je considère idéal, cet n-ième déséquilibré irait réparer en nettoyant et à ses frais ou celui de ses proches la dégradation.
Ce monument est symbolique, j’en suis d’autant plus attristé que Bordeaux est la ville où je vis.
Bien évidemment rien ne sera entrepris en ce sens, le contribuable s’en chargera une fois de plus.