Quand la Cour européenne des droits de l'homme confirme l'emprise des juges étrangers sur la Suisse
La gauche a joyeusement salué la condamnation de la Suisse pour inaction climatique par la Cour européenne des droits de l’homme. Elle a obtenu grâce aux juges étrangers ce que notre démocratie directe lui refusait, à savoir une écologie punitive. Champagne ! Cela dit, l’euphorie du moment a cédé la place à une certaine inquiétude. Avec leur bruyant tambourinage, les adeptes de cette juridiction lointaine ont clairement mis en évidence la capacité de nuisance des juges étrangers. Les magistrats d’ailleurs prétendent imposer leurs vues au citoyen suisse. Ils s’estiment en droit de placer la démocratie directe sous leur tutelle forcément éclairée.
La gauche leur donne raison, qui claironne que le jugement est historique, qu’il va obliger notre pays à agir, que nous devons nous plier aux diktats d’une cour qui viole allégrement la séparation des pouvoirs, à son profit bien sûr. Et là, c’est un peu ennuyeux car cela démontre clairement que ce que dénonce l’UDC depuis des décennies, l’emprise qu’exercent les organes étrangers sur nos décision démocratiques, est bien une réalité.
Alors, grand numéro de rétropédalage, il ne faudrait pas que le peuple mesure à quel point il peut être abusé par les diverses juridictions internationales. On tente d’expliquer que la Cour européenne des droits de l’homme n’est pas l’Union européenne, que les arbitrages prévus dans l’accord actuellement en négociation avec l’UE ne seront pas contraignants, que nous n’avons rien à craindre, que nous pouvons confier notre destin à quelques magistrats dont la soif de pouvoir n’égale que l’inutilité.
En fait, la réalité est nettement plus simple. Le citoyen suisse n’est plus maître chez lui. On peut lui imposer une politique dont il ne veut pas. Et c’est bien ce que l’Union européenne espère. Faire de notre pays un satellite aux ordres. Que Bruxelles souhaite élargir sa nocivité à la Suisse est compréhensible. Ce qui l’est moins, c’est que certains chez nous le veuillent aussi.
Jugement rendu sans possibilité d’aller en.appel. C’est inconcevable ! Le CF devrait se manifester sans attendre.
DANGER :
» … les adeptes de cette juridiction lointaine ont clairement mis en évidence la capacité de nuisance des juges étrangers. »
» …nous devons nous plier aux diktats d’une cour qui viole allégrement la séparation des pouvoirs, à son profit bien sûr. »
RÉVÉLATION :
» … cela démontre clairement que ce que dénonce l’UDC depuis des décennies, l’emprise qu’exercent les organes étrangers sur nos décision démocratiques, est bien une réalité. »
RÉALITÉ des fait :
» la réalité est nettement plus simple. Le citoyen suisse n’est plus maître chez lui. »
Le Peuple suisse a voté concernant le climat (loi CO2) ! Décision démocratique.
Si certaines personnes âgées contestent ce fait, qu’ils le contestent devant NOS tribunaux.
L’idéologie climatique distillée par tous les médias gôchiste, y compris notre très »chère » RTSocialiste (merci Serafe) et enseignée dans nos écoles et universités met à mal la livre pensée et le dialogue serein.
Si tu n’accepte pas le réchauffement climatique selon sainte Greta, tu es un méchant négationniste qui ira brûler en enfer …
La censure fait des ravages et de ce fait on entend qu’un son de cloche venant de la gôche.
https://www.climato-realistes.fr/categorie/articles-par-auteur/etats-uniens/jc/
L’urgence climatique est une leurre F. Gervais
https://www.climato-realistes.fr/francois-gervais-urgence-climatique-est-un-leurre/
Ces derniers jours (avril 2024) tout le monde a constaté du sable en provenance du Sahara. Il est est de même avec les vents du Sud-Ouest qui amène de l’air chaud du Sahara.
Il y a 6’000 à 7’000 ans l’Afrique du Nord était un steppe verdoyante. Le régime des vent à changé et continue à influencer le climat en Europe.
En Suisse, le col du Tsanfleuron pouvait être passé à pieds il y a env. 2’000 ans.
A cette époque, il n’y avait que des deux chevaux (char romain) …