Titre de la version imprimée du 20 minutes.ch, lundi 8 mai 2023: "Un bon mari préféré à une belle arrière"

Plus enclines à faire un beau mariage qu'une belle carrière

Le manque de dirigeantes est dû aux aspirations moins carriéristes de la part des femmes, avancent les deux chercheuses.

Comment expliquer que Zurich compte 60% d'étudiantes et seulement 24% de professeures? [...] Un phénomène qui peut être observé dans toute l'Europe. [...]

Notre résumé de la suite: Pour cette recherche visant à découvrir pourquoi il n'y a toujours pas d'égalité des genres dans les carrières académiques ou les postes de direction, 10'000 étudiantes ont été interrogées sur leurs ambitions professionnelles et horreur, les femmes préfèrent un homme plus âgé, ayant une position plus élevée qu'elles. Les femmes préfèrent travailler à temps partiel et élever les gosses. En plus, les deux chercheuses sont arrivées à la conclusion que leurs observations sont également valables pour d'autres secteurs de l'économie que le monde académique.

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La version online ne pouvait pas tolérer de donner simplement les résultats de la recherche et laisser la conclusion aux lecteurs, – mais certainement les pressions des milieux gauchistes ont été énormes.
Les Vert.e.s ont rapidement ramené leur église au milieu du village, expliquant les résultats du sondage par la stigmatisation des femmes qui font carrière tout en ayant les enfants: c'est à cause de cette stigmatisation par la société patriarcale que les femmes préfèrent renoncer à leur carrière.

Quant à la future carrière académique des deux chercheuses zurichoises, elles vont très certainement en pâtir, même après le rétropédalage expliqué dans la version online.

Le féminisme hystérisé qui nie la nature profonde de la femme, tout comme les mouvements trans, qui nient la nature des genres, tout comme l'hystérie climatique ou la fabrication de la guerre en Ukraine, sont des importations idéologiques, qui ne tolèrent aucune contradiction, tant elles sont fragiles.

En Suisse romande, de gigantesques manifestations féministes sont orchestrées pour le 14 juin. Des zombies téléguidées, avec des slogans qui leur sont imposés, vont défiler durant toute la journée et réclamer la fin du patriarcat et l'égalité en tout.

Mais la réalité est qu'au fond d'elles-mêmes, les femmes préfèrent encore un mari qui ait une position plus élevée et gagne suffisamment bien sa vie pour qu'elles puissent ne travailler qu'à temps partiel et s'occuper des enfants. Autrement dit, la libération sexuelle va à l'encontre de la nature profonde de la femme, qui désire une union sécurisante.
Dès lors que les hommes ont été libérés en 1968 des obligations de fidélité et se sont enivrés avec la jouissance sans entrave, l'équilibre des familles offert par le patriarcat a été détruite.
Si les féministes actuelles n'étaient pas les jouets politiques des puissances d'outre-Atlantique, elles réclameraient plutôt le retour du patriarcat. Et ce genre de prise de conscience mériterait vraiment une manifestation monstre!

résumé, commentaire: Carla Montet

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https://www.20min.ch/fr/story/elles-choisissent-un-mari-plutot-quune-carriere-etude-vivement-critiquee-971467648706