Entartage, raté, de la Conseillère nationale Céline Amaudruz (suite): Il y avait aussi menace de mort (vidéo). Des élus d’extrême gauche minimisent ou se taisent

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Communiqué de l’UDC-Genève,19.01.2023

 

Menaces de mort contre Céline Amaudruz : la condamnation ou la démission !

(UDC-Genève, 19 janvier 2023) Le 21 décembre dernier, Céline Amaudruz a été victime d’une agression au sein de l’Université de Genève. L’extrême gauche et des syndicats ont depuis tout tenté pour minimiser cette agression, relevant au passage leur totale imposture en matière de protection des femmes et de leur intégrité. Or, l’intimidation et l’entartage n’étaient pas les seuls motifs de l’agression contre Céline Amaudruz. À la suite d’une vidéo rendue publique cette semaine, il faut désormais ajouter la menace de mort à la liste des infractions commises par les agresseurs de Céline Amaudruz.

Les tentatives de minimiser l’agression contre Céline Amaudruz mettent en relief le fond de la pensée de l’extrême gauche genevoise et de certains syndicats, comme le SSP Genève. Certains, les plus malins, se sont tus publiquement, mais ne cachent guère leur approbation de l’agression en privé, tandis que d’autres, comme Vincent Bircher, président du SSP Genève, ou avant lui les élues Stéfanie Prezioso et Jocelyne Haller, ne sont pas aussi malins et disent tout haut ce que toute l’extrême gauche genevoise pense tout bas.

L’UDC Genève dénonce le double discours systématique de l’extrême gauche, toujours prompte à se draper de blanc pour défendre les femmes contre l’oppression sociétale et à distribuer les bons et mauvais points en la matière dans un excès de moralisation outrancière.

La gauche syndicale et politique doit condamner l’agression et les menaces sans réserve

Mais, contrairement à la morale (à géométrie variable) de l’extrême gauche, Céline Amaudruz ne semble pas mériter d’être protégée contre des agresseurs cagoulés. Pire, selon l’extrême gauche, ces individus devraient bénéficier de la clémence de la justice et de celle de l’université, malgré l’usage de la violence.

Toutefois, une vidéo de l’agression désormais disponible publiquement, prouve que Céline Amaudruz n’a pas seulement été intimidée par une tentative d’entartage et par des insultes verbales. Elle a aussi été menacée de mort ! Ces menaces sont d’autant plus inquiétantes qu’à la suite de l’agression, les agresseurs ont affirmé publiquement que la prochaine fois, ils seront plus nombreux, plus organisés, plus déterminés et plus prêts à en découdre.

Aux yeux de l’UDC Genève, Vincent Bircher, Jocelyne Haller, Stéfanie Preziso et toutes les responsables politiques et syndicaux qui ont publiquement minimisé l’agression et les menaces subies par Céline Amaudruz doivent choisir entre la condamnation des agresseurs ou la démission de leurs charges publiques.

 

Version en ligne 

 

Pour plus d'informations :

Michael Andersen, conseiller municipal, candidat au Conseil d’Etat, 079 330 40 72

Lionel Dugerdil, membre du Comité directeur, candidat au Conseil d’Etat 079 642 56 32

 

2 commentaires

  1. Posté par Bongard le

    A supposer que cette affaire d’entartage ne soit pas une esbroufe du type « faux attentat de l’Observatoire », elle fait objectivement le jeu de Céline Amaudruz en déplacant les projecteurs.

    Or c’est sur les yeux de cette dame qu’ils doivent porter, puisque les produits qui valent à CA ses pupilles tantot anormalement réduites, tantot anormalement dilatées, ou ses yeux dé- ou re-colorés ne peuvent se trouver par soi-meme. Il m’a fallu beaucoup de temps et d’agressions subies pour le comprendre, mais les curiosités oculaires de CA, comme celles d’une Chr. Kitsos ou d’un Pierre Bayenet, renvoient aux protocoles de cooptation toxicologique d’une communauté de mauvais film, dont l’un des préceptes est de pénétrer l’Etat et le reste de la société autant que possible. Désolé pour ce scénario de mauvais film, mais c’est celui de notre monde.

  2. Posté par Sergio le

    Depuis des années, l’Université de Genève ne produit plus que des militants. Trêve de plaisanterie, serait-il pensable qu’un employeur sérieux songe, ne serait-ce qu’un instant, à engager dans son entreprise un olibrius issu d’un tel établissement ?

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