Le sport américain infesté par le néo-marxisme: des trans veulent brûler le drapeau des USA, des Afro-Américains expriment leur haine durant l’hymne national

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Les Jeux olympiques sont traditionnellement un moment où les Américains se réunissent sous un sens commun de patriotisme et d’amour de la patrie. Mais il y a un athlète olympique américain pour qui le rêve de monter sur le podium serait l’occasion d’exprimer exactement le contraire.

Dans un message publié sur Facebook l’année dernière, exhumé par Fox News, le cycliste transgenre de BMX freestyle Chelsea Wolfe déclarait que le fait de pouvoir mettre le feu au drapeau américain en signe de protestation au moment de monter sur le podium était la motivation qui l’avait poussé à réaliser son rêve.

«Mon but est de gagner les Jeux olympiques afin de pouvoir brûler un drapeau américain sur le podium. Voilà sur quoi ils se concentrent pendant une pandémie. Blesser les enfants trans», écrivait le 25 mars 2020 Chelsea Wolfe, qui s’est qualifié pour être remplaçant pour les Jeux olympiques de cette année à Tokyo.

Suivait un lien vers un article de PinkNews intitulé «L’administration Trump déclare officiellement qu’elle pense que les filles trans devraient être traitées comme des ‘hommes biologiques’.»

Lors d’un entretien sur Fox News, Wolfe a expliqué que son message, supprimé depuis, n’avait pas pour intention d’exprimer un mépris pour l’Amérique. C’était une tentative de «s’élever contre le fascisme»:

Quiconque pense que je n’ai rien à faire des États-Unis se trompe lourdement», a dit Wolfe à Fox News. «Une des raisons pour lesquelles je travaille si dur pour représenter les États-Unis dans les compétitions internationales, c’est de montrer au monde que ce pays a une morale et des valeurs, qu’il ne se résume pas à toutes les mauvaises choses pour lesquelles nous sommes connus. Je m’élève contre le fascisme parce que je me soucie de ce pays et je ne vais pas le laisser tomber entre les mains des fascistes après que tant de gens se sont battus et se sont sacrifiés pour empêcher le fascisme de s’installer à l’étranger. En tant que citoyenne qui veut être fière de mon pays, je suis sûre que je ne vais pas le laisser s’installer ici.

Wolfe, qui est né homme biologique, concourra en tant que femme aux prochains JO au Japon si on lui en laisse la possibilité.

Plus tôt ce mois-ci, dans une publication Instagram annonçant son acceptation en tant que remplaçant, Wolfe a discuté de son parcours en tant que cycliste transgenre de BMX.

«J’ai cherché pendant si longtemps à essayer de savoir s’il y avait déjà eu une cycliste professionnelle de BMX trans pour me montrer que qui je suis conviendrait bien, et malheureusement je n’ai trouvé personne. j’ai essayé de m’inspirer des femmes battantes cis, mais il y avait toujours quelque chose qui ne collait pas », a dit Wolfe. «Finalement, j’ai commencé à rencontrer des femmes extraordinaires qui m’ont aidé à accepter que je suis une femme comme les autres et que je mérite une place dans le monde comme tout le monde.»

Le Comité international olympique précise que pour concourir en tant que femme transgenre, les athlètes doivent déclarer que leur identité de genre est féminine et ne doivent pas changer cette déclaration pendant au moins quatre ans.

Dans le cadre d’un effort visant à maintenir une «compétition loyale», l’athlète doit également effectuer des tests sous des niveaux de testostérone spécifiés, au moins 12 mois avant les compétitions.

Source: https://www.theblaze.com/news/transgender-olympic-athlete-burn-american-flag

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Gwen Berry tourne le dos au drapeau américain pendant l’hymne national lors des qualifications pour les Jeux olympiques et dit avoir été «piégée»

Par Paulina Dedaj | Fox News

Gwendolyn Berry, left, looks away as DeAnna Price and Brooke Andersen stand for the national anthem after the finals of the women's hammer throw at the U.S. Olympic Track and Field Trials Saturday, June 26, 2021, in Eugene, Ore. Price won, Andersen was second and Berry finished third. (AP Photo/Charlie Riedel)

Wendolyn Berry, à gauche, détourne le regard tandis que DeAnna Price et Brooke Andersen se lèvent pour l’hymne national après la finale du lancer de marteau féminin lors des essais olympiques d’athlétisme des États-Unis, samedi 26 juin 2021, à Eugene (Ore). Price a gagné, Andersen a été deuxième et Berry a terminé troisième. (AP Photo/Charlie Riedel)

La lanceuse de marteau olympique Gwen Berry dit qu’elle a été «piégée» quand on a commencé à jouer l’hymne national lors de la cérémonie de remise des médailles aux essais olympiques d’athlétisme des États-Unis, samedi, et qu’elle a tourné le dos au drapeau avant de se couvrir le visage avec un T-shirt.

Berry, 31 ans, s’est qualifiée pour les Jeux pour la deuxième fois en remportant le bronze ce week-end, mais l’attention s’est surtout portée sur sa protestation contre l’hymne national.

«J’ai l’impression que c’était un coup monté, et qu’ils l’ont fait exprès», a déclaré Berry à propos du moment de l’hymne national. «J’étais furieuse, pour tout dire».

Les médaillées d’or et d’argent DeAnna Price et Brooke Andersen ont fait face au drapeau, la main droite sur le cœur, tandis que Berry s’est détournée vers les tribunes. Elle a fini par ramasser un T-shirt noir avec les mots «Activist Athlete» imprimés sur le devant et l’a drapé sur sa tête.

«Ils ont eu suffisamment d’occasions de jouer l’hymne national avant que nous n’arrivions là-bas», a déclaré Berry, selon le New York Post. «Je réfléchissais à ce que je devais faire. Finalement, je suis restée là et je me suis balancée, j’ai mis mon t-shirt sur ma tête. C’était vraiment irrespectueux».

Berry a affirmé qu’on lui avait dit que l’hymne serait joué avant qu’elle ne monte sur le podium.

«Ils ont dit qu’ils allaient le jouer avant que nous sortions, puis ils l’ont joué quand nous étions là-bas ... Mais je ne veux pas vraiment parler de l’hymne parce que ce n’est pas important. L’hymne ne parle pas pour moi. Il n’a jamais parlé pour moi.»

«Mon but et ma mission sont plus grands que le sport», a-t-elle poursuivi. «Je suis ici pour représenter ceux (...) qui sont morts à cause du racisme systémique. C’est la partie la plus importante. C’est pour cela que j’y vais. C’est pour cela que je suis ici aujourd’hui.»

Mais un porte-parole de USA Track and Field a contesté l’affirmation de Berry selon laquelle il s’agissait d’un coup monté.

«L’hymne national devait être joué à 17h20 aujourd’hui. Nous n’avons pas attendu que les athlètes soient sur le podium pour les récompenses du lancer du marteau. L’hymne national est joué chaque jour selon un horaire publié au préalable.»

Samedi, l’hymne national a commencé à 17 h 25.

Berry avait déjà été sanctionnée par le comité olympique américain après avoir levé le poing pendant l’hymne national lors des Jeux panaméricains de 2019.

L’Associated Press a contribué à cet article. Paulina Dedaj est journaliste sportive pour Fox News et FOX Business.

Source: https://www.foxnews.com/sports/message-sent-berry-turns-away-from-flag-during-anthem

 

4 commentaires

  1. Posté par miranda le

    Les mondialistes font feu de tout bois. On peut constater leur œuvre au grand jour. Créer la destabilisation en tout lieu ou mouvement ou organisation est le sport favori. Est ce que l Amérique survivra à cette guerre? Souhaitons tous les courages à Trump qui aime tant l’Amérique.

  2. Posté par baechler le

    L’avenir du sport-business mondialisé ne tend-il pas à remplacer progressivement les conflits guerriers, tout en se confinant à l’intérieur d’immenses stades dits olympiques ? Peut-être une solution plus focalisée, en des espaces restreints aux alentours sécurisés – en faveur de celles et ceux qui préfèrent vivre paisiblement en bonne volonté constructrive, et sans intentions vengeresses envers des générations disparues.

  3. Posté par Hotch le

    Ces activistes commencent sérieusement à emm… le monde : entre les gars qui n’ont aucune chance de briller dans leur catégorie biologique et qui veulent maintenant jouer contre des filles, et la mélanée qui veut bien profiter de l’argent des contribuables US pour aller aux JO, mais sans respecter le drapeau… il y a vraiment quelque chose de pourri chez les « progressistes ».
    Face à celà, n’importe quel médecin médiéval recommanderait simplement une bonne purge.

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