France - Le Qatar et les listes communautaires
A l’approche des municipales françaises de 2020, notons la crainte de certains maires de voir émerger des listes communautaires islamistes financées notamment par le Qatar dans leur commune. Dans Marianne, l’islamologue (islamophile) François Burgat, connu pour son empathie envers les Frères (intégristes) musulmans, affirme à son auditoire mahométan que (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) « tous ceux qui ne sont pas d’accord avec ce processus de décriminalisation de la communauté musulmane doivent savoir qu’ils ont 6 millions de voix à portée de main ». Il recommande ainsi aux musulmans de France de « taper là où ça fait mal, il faut taper aux urnes, c’est l’endroit le plus fragile, et le rapport de force n’est pas si terrible que ça », précise François Burgat, s'adressant aux milieux islamo-gauchistes de France. (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page). Rappelons tout de même que les listes communautaires musulmanes sont un vrai danger puisqu'elles vont organiser la vie municipale autour de la charia.
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Par ailleurs, notons que l'émir du Qatar, cheikh Tamim ben Hamad Al-Thani (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page), n'a pas participé au sommet du Conseil de Coopération du Golfe (CCG) -- sommet du mardi 10 décembre 2019, en Arabie saoudite -- douchant les espoirs d'une réconciliation imminente entre les deux pays voisins. L'Arabie saoudite, les Emirats arabes Unis, Bahreïn et l'Egypte ont rompu, en juin 2017, leurs liens avec le Qatar, accusé, à juste titre, de soutenir des mouvements islamistes (y compris terroristes) et de se rapprocher de l'Iran, principal rival régional des Saoudiens.
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L'Arabie saoudite, les Emirats arabes Unis, Bahreïn et l'Egypte ont également imposé un embargo au Qatar, qui a entraîné notamment la fermeture des routes terrestres et la suspension du commerce. L'émir du Qatar a chargé son Premier ministre, cheikh Abdallah ben Nasser Al-Thani, de représenter le Qatar au sommet du CCG. Lors des derniers sommets, le Qatar n'était représenté que par des hauts responsables.
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Mais lorsque la semaine dernière le roi Salmane d'Arabie saoudite a convié au sommet l'émir du Qatar, des observateurs ont vu un nouveau signe d'apaisement dans la foulée d'une déclaration du chef de la diplomatie qatarie Mohammed ben Abderrahmane Al-Thani faisant état de "progrès" réalisés pour mettre fin à la dispute.
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Autre signe d'apaisement : le Qatar vient d'accueillir la Coupe du Golfe de football à laquelle ont participé des sélections saoudienne, émiratie et bahreïnie, pour la première fois depuis le gel des relations avec Doha. Mais le Qatar rejette les demandes formulées par les quatre pays pour une reprise des relations, dont la réduction des liens avec l'Iran ou encore la fermeture de deux bases militaires turques dans l'émirat (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Michel Garroté pour LesObservateurs.ch, 12.12.2019
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https://www.atlantico.fr/node/3584410
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nous devons nous protéger donc une chose est a faire la répression a outrance –
Si nous laissons ces listes (inédit dans l’histoire de nos scrutins) se présenter, nous sommes foutus irrémédiablement.
“Avec vos lois démocratiques, nous vous coloniserons. Avec nos lois coraniques, nous vous dominerons…”
Disait un barbu des Frères Muzz.