La migration circulaire, le dernier délire pour « résoudre » la crise migratoire !

Cenator : Le délire de l’invasion migratoire régulée est récurrent parmi les gauchistes, mais la plupart des ONG « sorosiennes » y travaillent aussi assidûment. Des publications « scientifiques » dédiées à la migration des pays sous-développés vers les Occidentaux inondent les médias et les forums. Ls accords de migration que Sommaruga et son équipe vient de signer avec le Sri Lanka et préalablement déjà, et ceux qui ont déjà été signés avec la Bosnie-Herzégovine, la Serbie, le Kosovo, le Nigeria et la Tunisie, ont déjà vu le jour sous l’emprise de ce délire. Il s’agit d’aide sur place pour ces pays, mais également d’une migration régulée qui doit éviter que les migrants se mettent en danger durant la  route et soient exploités par des passeurs pour la traversée. Ce que la gauche suisse réclame, c’est un pont aérien pour transporter les migrants afin d’éviter des noyades.

Un autre délire corollaire, c’est la mise en place de « centres de tris » en dehors du territoire européen. Nous avons vu qu’aucun pays ne veut un tel désastre sur son territoire, et au cas même où un gouvernement se proposerait, il faudrait tout de suite s’en méfier, car ce genre de proposition amènerait à coup sûr d’une part une source de chantage vis-à-vis de l’Europe (nous avons vu l’accord avec la Turquie), d’autre part la corruption, l’instabilité, la fragilisation de ces pays, comme partout où l’argent de Soros n’est pas loin.
D’ailleurs, les centres de tri pour migrants dont il est question ne seraient rien d’autre que des camps de réfugiés rebaptisés, et les camps de réfugiés sont habituellement régentés par l’ONU/HCR et une série d’ONG qui ne veulent rater ni l’occasion de visibilité ni la manne des subventions. C’est à partir de ce genre de camps africains que le HCR, depuis les décennies, envoie les populations les plus vulnérables pour réinstallation en Suisse, considérant que celle-ci peut assumer toutes les veuves analphabètes et leurs nombreux rejetons, tous les malades qui ont besoins de soins, tous les handicapés. Durant les guerres qui ont généré beaucoup de réfugiés les 30 dernières années, la Suisse a reçu une foule de personnes totalement dépendantes de l’aide sociale, uniquement dans l’optique humanitaire. La  Suisse s’est fait une réputation mondiale pour cela, un exemple en étant les 3000 veuves somaliennes analphabètes que le HCR a directement installées chez nous avec en moyenne 5 à 8 enfants par famille.

 

Les mêmes qui réclament des couloirs sécurisés pour les migrants adhèrent au délire de la gouvernance mondiale. Une gouvernance mondiale en opposition avec l’égoïsme des velléités nationalistes. Micheline Calmy-Rey est une figure de proue suisse de cette idée, mais il y a aussi par exemple le Danois Michael Møller, le patron de l’ONU à Genève depuis trois ans, qui a donné une interview dans le Matin Dimanche du 5.8.2018 intitulée : « Pour gérer la planète, il faut penser au modèle asiatique ». Michael Møller : « Les migrants arrivés en Europe l’année dernière représentent moins de 0,04% de la population du continent. C’est risible. Et si cette situation est surtout difficile à gérer au niveau politique, elle est porteuse de grandes opportunités. Prenez les besoins démographique de l’Europe : l’Allemagne a besoin de 350'000 à 400'000 migrants par an pour maintenir son économie. Même chose pour l’Italie, le Royaume-Uni, tous les pays où les naissances ne suffisent pas à renouveler la population. »
Et si ces idées sont invendables politiquement ? Michael Møller répond que nos politiciens l’ont MAL VENDUE. Et bien sûr, Michael Møller ajoute qu’il fait confiance à la générosité de la Suisse vis-à-vis  des Palestiniens.

 

Cependant la création de nouveaux délires pour « résoudre » la crise migratoire est inépuisable, tant les gauchistes et tous ceux qui vivent de ce business sont imaginatifs.

Un récent débat RTS entre Alexandre Casella, ancien directeur au Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés, et Philippe Wanner, professeur de démographie à l'Université de Genève, au sujet de la migration régulée, nous a appris que les meilleures idées venaient seulement d’arriver sur le marché. La nouvelle trouvaille, c’est de laisser venir les migrants travailler temporairement en Europe, à condition qu'ils rentrent ensuite chez eux !

Tout le monde sait que l’ONU refuse que les pays occidentaux renvoient les « migrants » en groupe, que les renvoyer individuellement est une mission quasi impossible, que les vols spéciaux nous coûtent des sommes astronomiques, et qu’en plus une partie de ceux que nous réussissons tout de même à expulser finissent par revenir. Tout le monde sait que les requérants d’asile déboutés qui sont déjà là ne veulent en aucun cas repartir, disparaissent des radars, et que durant ces vingt dernières années, une population de clandestins s’est accumulée dans nos villes, y amenant de la criminalité, ce qui est déjà en soi une bombe à retardement. En dépit de cela, nos « savants » se posent la question : Faut-il permettre aux migrants de travailler temporairement en Europe, à condition qu'ils rentrent ensuite chez eux puis nous reviennent circulairement, de façon à donner sa chance à chacun à son tour?

https://www.rts.ch/play/radio/forum/audio/la-migration-circulaire-pourrait-elle-etre-une-solution-a-la-crise-migratoire?id=9741508

Journaliste (Esther Coquoz) : Laisser venir les migrants travailler temporairement en Europe, à condition qu’ils rentrent ensuite chez eux : cette migration pendulaire est une solution pour sortir de l’impasse de la crise migratoire, une solution avancée par Rony Braumann dans notre édition de Forum du 1er août 2018 [charmante manière de célébrer le 1er aoùt sur la RTS]. Pour lui, c’est clair, il est temps d’organiser une nouvelle migration pendulaire :

Rony Braumann (enregistrement) : « La démographie, l’économie, l’histoire nous permettent de comprendre que ces flux migratoires ne vont pas se tarir de sitôt, et par ailleurs, ils font partie de l’histoire, de l’économie et il va falloir les prendre en compte. D’où l’idée qu’il faut organiser la mobilité internationale, par exemple une mobilité pendulaire, ou circulaire, des mesures qui permettent à des gens de venir en Europe pendant quelques années et renter chez eux avec à la fois un pécule et aussi d’autres habitudes de travail, d’autres formes d’organisation, de manière à permettre à des gens qui rentrent chez eux de le faire avec un pécule, mais de savoir qu’ils peuvent aussi repartir ensuite, c’est-à-dire que l’arrivée en Europe n’est pas synonyme d’une impossibilité de repartir sous peine d’avoir à refaire tout ce trajet extrêmement éprouvant. Alors d’un côté le devoir humanitaire de sauver des gens qui sont en train de se noyer, de l’autre côté un devoir beaucoup plus politique et social de s’ouvrir à la question migratoire, non pas sous l’angle du repli, mais sous l’angle d’une organisation  régulée et d’une mobilité pendulaire, circulaire : voilà ce qui, je pense, nous permettra de sortir par le haut de ce moment extrêmement critique à la fois sur le plan humain et sur le plan politique. »

*************

P.-S. Faut-il rappeler le ridicule de vouloir sauver l’Afrique, qui doublera sa population d'ici à 2050 ? (et qui nous déverse son trop-plein de population, des gens souvent incompatibles avec notre mode de vie, notre façon de penser, et les besoins de notre économie).

Le seul projet réaliste, c’est d’aider/inciter ces pays à faire baisser leur natalité, et de nous barricader et préserver nos pays, notre civilisation avec des armées performantes, exclusivement composée de patriotes. Couper toute aide aussi bien en dehors de l’Europe que sur le sol européen, en sevrant tous ces pays de leur dépendance et en les obligeant à se prendre en main. De même pour les "migrants" (et non les vrai réfugiés) dépendant de l’aide sociale : supprimer tout allocation familiale, toute aide sociale, ne plus leur laisser aucun moyen de subsistance durable, les expulser des logements que la collectivité est obligée de financer pour eux, et s’ils sont acculés, ils seront obligés de repartir.
L’argent ainsi économisé, que nous dilapidons actuellement à fonds perdu, sans suivi systématique, pour les pays parasites, pour les parasites sur place, pour les ONG qui vivent de ces parasites, et pour tout l’asile-business, ces centaines de milliards pourraient servir à aider la natalité, les personnes âgées, la population européenne de souche, l’économie locale, l’innovation et la défense.

5 commentaires

  1. Posté par Un observateur le

    Il est clair que l’Europe est en train de se suicider . Le problème est que les conseilleurs ne sont pas les payeurs. Tous ces illuminés qui veulent nous importer des populations difficiles inintegrables inassimilable qui apportent des graves problèmes ethnico-socio-religio-culturels sécuritaires et civilisationnels sans solutions, sont biens des irresponsables. Non seulement , ils ne réparer ont jamais les dégâts qu’ils causent et mourront tranquillement dans leurs lits sans avoir connu la prison.
    Évidemment, il faut aider si on peut…MAIS CHEZ EUX. importer des populations pour déstabiliser et faire imploser nos pays est un crime contre l’intérêt supérieur des peuples Européens.

  2. Posté par Jacques Dubois le

    Préparez vous à la prochaine excuse bidon et toute la propagande nauséabonde qui va avec.

    Après les « réfugiés » de guerres syriens (qui semblent être à 90% noirs ce qui est curieux), on aura très bientôt les « réfugiés climatiques » comme nouvelle excuse pour importer les millions de millions en Europe, avec toute la propagande d’enfants morts forgée pour jouer avec l’émotion des femmes occidentales et des mâles efféminé qui sont de gauches.

    http://image.noelshack.com/fichiers/2018/32/2/1533641754-132347.jpg

  3. Posté par Bussy le

    Le dernier paragraphe de l’article, « le seul projet réaliste », deviendra certainement une partie du programme politique des futurs partis qui émergeront en Europe et en Suisse, la situation s’étant encore une peu plus dégradée….
    Il suffit d’attendre…. tic.. tac.. tic.. tac….

  4. Posté par Maurice le

    Nous sommes envahis de noirs et on nous refuse moralement le droit d’être fiers d’être blancs, tout en nous obligeant à devenir négrophiles.
    Nous sommes envahis de musulmans et on nous refuse moralement le droit de parler de christianophobie, tout en nous obligeant à devenir islamophiles.
    Nous sommes envahis d’étrangers et on nous refuse moralement le droit d’être patriotes, tout en nous obligeant à devenir xénophiles.

  5. Posté par Bussy le

    Ce Moller est un manipulateur, car il sait très bien que c’est beaucoup plus que 0.04% par année et que cela dure depuis des dizaines d’années donc fini par faire des dizaines de millions de migrants envahissant l’Europe.
    Mais bon, il gagne super bien sa vie en travaillant à l’ONU, entité qui semble dominée par ceux qui veulent islamiser l’Europe ou y déverser leur trop-plein de naissances ou l’appauvrir voulant éliminer un concurrent économique.
    Quant au besoin de main d’œuvre de l’économie, étonnant qu’à l’ONU et chez les bien-pensants on ne soit pas au courant que la numérisation et la robotisation vont remplacer les travailleurs, et ceci beaucoup plus vite qu’on ne le pense.
    C’est vrai qu’on a besoin de quelques esclaves pour les sales besognes, est-ce de ceux-là que ces bien-pensants ont besoin ?
    Enfin, une population mondiale de 300 à 400 millions d’individus serait idéale pour la nature et les animaux, la terre deviendrait un petit paradis. L’Europe montre la voie en ayant une baisse des naissances ! Pourquoi des idiots veulent tout de suite compenser cette baisse par une importation massive de boulets ?
    Les pseudos élites ne se rendent pas compte qu’elles sont en train de scier la branche sur laquelle elles sont confortablement assises…

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