Les femmes devraient être mieux représentées dans les instances supérieures des grandes entreprises. Au terme d'une vive passe d'armes, le National a soutenu par 95 voix contre 94 et 3 abstentions des quotas dans les directions et les conseils d'administration des sociétés cotées en bourse.
Les conseils d'administration devront compter au minimum 30% de femmes et les directions 20%. La mesure s'inscrit dans une grande réforme du droit de la société anonyme et doit pousser l'économie à intensifier ses efforts pour combattre la forte sous-représentation des femmes aux fonctions dirigeantes.
Aucune sanction n'est toutefois prévue. Les quelque 250 sociétés potentiellement concernées devront juste expliquer pourquoi les objectifs n'ont pas été atteints et exposer les mesures prévues pour y remédier.
"La Suisse compte de nombreuses femmes très qualifiés qui font du très bon travail, mais là où il en va de beaucoup d'argent, elles sont presque absentes", a constaté la ministre socialiste de la justice Simonetta Sommaruga. Dans les cent plus grandes entreprises, huit sur dix membres des conseils d'administration et neuf sur dix membres de direction sont des hommes, et il n'y a aucun progrès.
Compte tenu du principe d'égalité des sexes inscrits dans la Constitution, il faut faire la transparence sur la réalité. "La mesure n'obligera aucune entreprise à faire appel à une femme, celle qui a de bonnes raisons de ne pas le faire pourra le faire sans crainte".
Nos remerciements à
Dans un film, les Oliviers de la Justice, réalisé en 1962 par le réalisateur amércain James Blue racontant la saga d’une famille de colons, il fait dire à l’un de ses comédiens jouant le rôle du fils de la famille :
« Je ne veux pas rester dans ce pays parce que je ne veux pas devoir me prosterner devant un arabe simplement parce que c’est un arabe ».
Cela pourrait très bien s’appliquer aux quotas de femmes dans les entreprises :
Je ne veux pas engager une femme simplement parce que c’est
une femme.
« La Suisse compte de nombreuses femmes très qualifiées qui font du très bon travail… »
Elle parle pour elle là?
Serait-il possible d’avoir un quota, si possible minima, de gens un tant soi peu intelligent au ps? Car au niveau connerie leur quota a explosé depuis longtemps! On en a la preuve a longueur d’année.
C’est une idée d’égalitariste de gauche, à savoir que tout le monde est interchangeable et à la même valeur. Des quotas de femmes? et pourquoi pas des quotas de chauves ou de roux ou de musulmans dans les conseils d’administration, puisqu’on est tous égaux.. C’est de la foutaise de gauche. Ce qui compte c’est la compétence et la valeur de celui ou celle qui est nommé et pas son « genre »ou sa religion. Il n’y a certainement pas autant de femmes que d’hommes candidates à des postes de responsabilité des grandes sociétés et donc cela explique ces inégalités intolérables pour la gauche. Le jour où il y aura plus de femmes candidates de haut niveau, elles seront plus nombreuses dans les hautes sphères.
Et les quotas militaires, sur les chantiers, au rayon poisson au championnat du monde de F1 ou de Rallyes etc, vous les avez vu ? Visiblement le quota postal avec sa supercruche à plus d’ 1 millions par an c’est une preuve largement suffisante de l’imbécilité des quotas. Les quotas c’est pour exploiter des gourdes qui font le beurre des crapules mafieuses et maintenir des mafias qui tirent les ficelles dans les conseils d’administration. Et en plus quand elles font médecine, et qu’elles ont les responsabilités de « CHEFFESSES » DE CLINIQUE, ELLES PROGRAMMENT D’AVANCE LEURS GROSSESSES POUR COURBER LE BOULOT EN ÉTANT PAYÉES A PLEIN ET OBTIENNENT LEUR TITRE SANS AVOIR FONCTIONNÉ. Ce qui est pénal, le certificat de complaisance… sous prétexte permanents de risques pour leurs grossesses. Voilà donc un QUOTA A L’ENVERS AU DETRIMENT DES HOMMES SURCHARGÉS ENCORE PLUS POUR BOUCHER LES TROUS…
On espère qu’un jour, un conseiller d’Etat, ruera enfin dans les brancards, pour mettre fin à cette situation.
Pour cette simple raison, ne jamais s’adresser à UNE FEMME MEDECIN comme généraliste ou autre sans ACCEPTER LE RISQUE d’un manque flagrant de professionnalisme et D’UNE BAVURE MEDICALE AU BOUT DU TRAITEMENT. Parce qu’en plus elles veulent travailler à 50 ou 40 %. Or c’est une profession d’une telle exigence implique d’assurer l’entretien des connaissances et leur progression par des stages et des publications tout ceci nécessite une vie médicale à 100% avec pour compensation justifiée des revenus au-dessus de la moyenne. Mais toutes ces feignasses veulent le pognon sans l’action et c’est pour cela qu’elles sont socialistes et exigent des quotas. Et en politique elles abondent avec cette mentalité, il n’y a pas besoin de publier le liste, on la connaît.
« Les conseils d’administration devront compter au minimum 30% de femmes et les directions 20%. La mesure doit pousser l’économie à intensifier ses efforts pour combattre la forte sous-représentation des femmes aux fonctions dirigeantes »
Ahh! Et sur les chantiers, aucune égalité exigée?
« Il faut faire la transparence sur la réalité » Hihihi!
« La mesure n’obligera aucune entreprise à faire appel à une femme, celle qui a de bonnes raisons de ne pas le faire pourra le faire sans crainte » … et réciproquement?
Concernant cette femme: aucun doute, elle est issue des quotas!
Bedoume!!!
Merci Antoine pour votre commentaire. Cela m’évitera de lire les logorrhées d’une socialope qui fait juste du vent.
D’ailleurs, je me demande pour quelle raison s’occuperait de ce qui se passe en interne dans une entreprise privée.
Voici où peut mener le socialisme ou toute autre idée gauchisante: à un contrôle de la « société », à la manière de l’islam.
Le socialisme c’est finalement la mort, Tocqueville l’avait très bien compris.
Il semblerait que les quotas soient la seule solution envisageable pour certaines dames, on peut comprendre ce raisonnement venant de Madame Sommaruga. Bien triste constat.
Et pour le conseil fédéral, le quota est d’au maximum 0% (ZÉRO) de femmes socialistes !
Encore une mesure artificielle et contre-productive. Une femme de patron a tellement plus de pouvoir qu’une administratrice ou qu’une directrice. Pendant qu’on y est, imposons 50 % de femmes à la tête des entreprises de maçonnerie ou de mécanique sur camion, des métiers où les femmes ont beaucoup donné, surtout au bas de l’échelle. Elles auraient toute légitimité.
Mme Sommaruga la soporifique et inutile : « La mesure n’obligera aucune entreprise à faire appel à une femme, celle qui a de bonnes raisons de ne pas le faire pourra le faire sans crainte ».
Du bla bla et du remplissage pour RIEN …
Puisqu’il n’y aura pas de contrainte, cela ne sera JAMAIS appliqué dans la réalité ! Elle vit dans quel monde la Dame ?