Une «journée de la visibilité lesbienne» réunit 200 participantes dont une poignée de romandes à Berne depuis le milieu de l’après-midi.
Extrait de: Source et auteur
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Les brouteuses de gazon ont besoin de plus de visibilité ? Tiens, dans quel but ? Faire de nouvelles adeptes ? Elles voudraient qu’on les aimes ? C’est drôle comme les camionneuses et les grandes folles ont ce même travers de vouloir à la fois être comme tout le monde, indistinctes de l’ensemble de la population, fondues dans la masse, sans nécessité d’égards ou de discriminations spéciales, et simultanément réclamer une attitude et des égards particuliers à cause d’une « différence » qu’elles brandissent comme un étendard.
Pour moi, ces personnes ont surtout besoin d’exhibitionnisme, d’afficher leur différence afin de cacher un mal-être existentiel qui ne peut pas s’exprimer lorsqu’elles sont confinées parmi leur semblables. Il n’y a pire ghetto que celui que l’on crée soi-même…
Ces Mummenschanz à Birkenstock sont de vrais » remèdes contre l’ amour », de véritables philtres contre le désir.
En fait de visibilité, je préfère être myope.
Au moins, chez celles-là, c’est clair. C’est parfois difficile de deviner si ce sont des femmes
hommasses ou des hommes efféminés.
C’est devenu une mode comme les autres, je ne comprends pas cette manie de le crier sur les toits. Journée de la visibilité lesbienne… ça devient dur d’inventer des titres.
« La journée lesbienne réunit des femmes lesbiennes, bisexuelles et pansexuelles, genderfluid et trans, mais aussi queers, butches, emmes, tomboys, non-binaires, drag kings, two-spirit… »
Et tout ça, ce serait des femmes?!? On se pince!