Un commentaire

1. Ouais… C’est curieux que l’omerta ait duré si longtemps. Je me souviens d’avoir observé à l’université de B…, non loin de la Suisse, les comportements des gauchistes de l’UNEF. Il était évident que cela ressemblait à un sérail, de jeunes gourdes suivant quelques socialistes en herbe et se donnant à eux manifestement en vertu de la libération des mœurs.On se réunissait par exemple à la Saint-Sylvestre, on chantait l’internationale et cela tournait à l’orgie, me raconta une étudiante se retrouvant enceinte, furieuse de l’être et me demandant naïvement ce qu’il fallait faire. Je ne pus que lui conseiller de fuir cette bande de vauriens et de prendre ses responsabilités vis-à-vis de l’enfant à venir.
   En repensant à tout cela, je ne puis m’empêcher de me souvenir de la description donnée par Benoist-Méchin, dans le premier tome de l' »Histoire de l’armée allemande », de la bande de Kurt Eisner à Münich fin 1918.
   Donc, ces ex-demoiselles savaient, lorsqu’elles étaient bachelettes, à quoi s’en tenir. Il faudrait cesser un peu d’être hypocrites, et d’espérer tirer un profit pécuniaire de dénonciations tardives. Ceci n’excusant pas pour autant la conduite de ces jeunes béjaunes donneurs de leçons qui cadenassaient l’entrée de la faculté, nous empêchant de travailler. Quoi qu’il en soit, l’hystérie actuelle n’efface pas les fautes passées.