Plus de 27% des hommes sud-africains ont admis avoir violé une fille ou une femme et 64 000 cas de violence sexuelle ont été signalés l’an dernier en Afrique du Sud, selon les chiffres de la police. Le décès récent de Karabo Mokoena, un étudiant de 22 ans qui aurait été brutalement assassiné par son petit ami, a également déclenché une indignation à travers le pays. Mokoena aurait été «collé» – une forme brutale d’exécution et de torture dans laquelle un pneu en caoutchouc rempli d’essence est posé autour du haut du torse de la victime puis en y mettant le feu – avant de verser de l’acide sur son corps.
NY Times Via Fdesouche.com
Entre migrants africains et immigrés musulmans, le « vivre-ensemble » est déjà synonyme de paix et de bonheur , en particulier pour les femmes occidentales, considérées comme des putes à insulter ou, pire, à violer (voir le quartier de la Chapelle à Paris ou des banlieues comme le 9-3 où les femmes ne peuvent pas sortir non voilées sans se faire agresser, et où les cafés leur sont interdits).
Pendant ce temps-là, nos dirigeants, bien à l’abri dans les beaux quartiers, protégés par leurs gardes du corps, poursuivent cette politique migratoire tout aussi idéologique qu’insensée.
Pas grave, ce sont les sans-dents qui paient!
Faites en venir encore plus en Suisse… En Afrique du Sud, des dizaines de milliers de blancs ont été assassinés depuis que la ‘démocratie’ existe… parce qu’ils étaient blancs. Les personnes les plus racistes que j’ai rencontré dans ma vie étaient noirs. Personne n’en parle, mais c’est hélas la vérité.
@UnOurs. En effet, hier dimanche, un quartier qui fut résidentiel des hauts de Lausanne : en passant en voiture, je dénombre une bonne centaine d’africains occupant les lieux (aucun blanc). Encore un effort et votre vidéo sera d’actualité…
Les hauts de Lausanne, mai 2028:
https://youtu.be/FYoHWFoE9Q4