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Il ne faudrait pas simplement réhabiliter cette ville mais condamner à la prison à vie les responsables. Or cela ne se fera jamais.
Elément intéressant:
“Les menaces hybrides qui pèsent sur Marseille sont connues : attentats, fanatisme de la soumission de la part des salafistes, qu’on voit à l’œuvre partout dans le monde, pas tout à fait encore dans Marseille peut-être parce qu’ils considèrent peut-être que Marseille est déjà une ville conquise.”
“vous ne croyez plus du tout au bien vivre ensemble”.
A ce moment j’ai hurlé de rire. Parce qu’à part les gauchos qui vivent en dehors de toute réalité il y a des gens qui ont cru un seul instant à cette formule et à ce qu’elle serait censée recouper?
D’ailleurs “bien vivre ensemble” ça veut dire quoi? Encore un de ces galimatias socialistes, comme “justice sociale” ou “économie sociale et solidaire”. Formules creuses qui ne veulent rien dire et dont la seule fonction c’est de marquer celui qui l’utilise à gauche, donc son détracteur à droite. Demandez à dix socialistes de vous définir le concept et vous aurez cinq personnes qui ne sauront pas quoi dire et pour les cinq autres vous aurez cinq définitions différentes. C’est le genre de formules absconses dont raffolent les gens de gauche, parce qu’elles leur permettent de gagner le débat sans avoir discuter du fond. Lorsqu’on la sort, c’est qu’on fait partie du camp du bien, donc qu’on a raison, et que par opposition l’autre fait partie du camp du mal, et donc qu’il a tort.
Etre contre le “bien vivre ensemble” c’est comme être contre la “justice sociale”, vous êtes candidat à l’anathème immédiatement.
Au début ils disaient le “vivre ensemble”. Puis, comme souvent les intolérants et ceux qui refusent de laisser son voisin vivre sa diversité c’est en fait les protégés de la gauche le concept semblait avoir de la peine par rapport à la dure réalité. Il suffit par exemple de regarder ce qui se passe dans les quartiers à majorité musulmane pour voir qui est intolérant. Aucun mystère à cela, quand les gens viennent de cultures totalitaires dans la conception qu’elles ont de la société civile, comment voulez-vous pouvoir faire cohabiter de la “diversité”? Pourquoi croyez-vous que les juifs commencent depuis une décennie à fuir l’Europe ou tout simplement que les occidentaux quittent ces quartiers?
Les socialistes ont donc ajouté le mot “bien”. La formule est devenue le “bien vivre ensemble”, comme si on pouvait “bien vivre ensemble” par opposition à “mal vivre ensemble”, qui serait la vision des autres, la droite.
Comme ce concept va de toute façon aussi prendre l’eau, je propose à la gauche les deux prochains changements stratégiques possibles. Il faudra dans un futur proche changer “bien” par “mieux”. Lorsque dans la décennie qui vient dans la plupart des grandes villes européennes le “bien vivre ensemble” s’avèrera être devenu impossible et que tout le monde aura vu que c’est une fumisterie, la gauche pourra passer au “mieux vivre ensemble”. “Bien” c’est bien…alors que “mieux”….c’est mieux que bien pardi!
Puis, quand dans 20 ou 30 ans tout cela ne sera devenu qu’une vaste rigolade, le white flight ayant fini par vider les centres-ville européens colonisés en masse par les migrants culturellement insolubles et le socialisme rampant ayant fini de détruire les dernières poches de prospérité, je suggère à la gauche de passer au “vivre ensemble festif”. Le mot “festif ” donnera alors une touche de je ne sais quoi de joyeux et positif pour masquer la morosité du socialisme qui se fracassé sur la dure réalité sociétale et économique. C’est qu’il faudra faire patienter la horde vivant de la manne étatique alors que celle-ci commencera à se tarir. Cela permettra de sauver les apparences pour ceux qui ont encore assez de merde dans les yeux durant une petite décennie supplémentaire avant la ruine totale qui s’annonce et qui sait, la possible guerre civile qui en résultera.
“Vous ne croyez plus au bien vivre ensemble?” demande le plus sérieusement du monde la journaliste. Sans rire, en France à part quelques socialistes et journalistes bobo-bourgeois en mal d’utopie qui s’inventent un monde fantasmé comme d’autres bâtissent des châteaux en Espagne, parce que eux ne vivent pas dans ces quartiers, donc ne vivent pas “ensemble”, à part eux disais-je, des gens qui croient à cette connerie cela existe?