Viols collectifs en Suède: La plupart des coupables sont musulmans

En 1975, le Parlement suédois a décidé à l’unanimité de transformer la Suède autrefois ethniquement homogène en un pays multiculturel. Quarante ans plus tard, les conséquences dramatiques de cette expérience apparaissent : les crimes violents ont augmenté de 300%.

Depuis 2000, il n’y a eu qu’un seul rapport de recherche sur la criminalité des immigrés en Suède. Il a été réalisé en 2006 par Ann-Christine Hjelm de l’Université de Karlstads (Suède). Il est apparu qu’en 2002, 85% des personnes condamnées à au moins deux ans de prison pour viol dans leSvea hovrätt, une Cour d’appel suédoise, étaient nés à l’étranger ou étaient des immigrés de deuxième génération. 

En cas de viol collectif, coupables et victimes sont le plus souvent jeunes et dans presque tous les cas, les auteurs sont issus de l’immigration, la plupart d’entre eux sont originaires de pays musulmans.

Dans un nombre incroyable de cas, les tribunaux suédois ont montrés de la sympathie pour les violeurs et ont acquittés les suspects qui affirmaient que la jeune fille voulait avoir des relations sexuelles avec six, sept ou huit hommes à la fois.

Source via Fdesouche

3 commentaires

  1. Posté par slyde le

    Par la souplesse et la sympatie envers les violeurs, les tribunaux suedois devront porter la responsabilité de l’élection de l’extreme droite.

  2. Posté par KANDEL le

    Suède : Ni « il », ni « elle », le pronom neutre « hen » fait son entrée dans le dictionnaire
    Par Bruno_30 le 24/03/2015
    22h13

    Le pronom personnel neutre «hen» fera son entrée dans le dictionnaire de l’Académie suédoise à paraître en avril, a annoncé mardi la rédaction de l’ouvrage, consacrant un mot de plus en plus courant dans la langue.
    […]
    Le « hen » a été conçu par des linguistes dans les années 60, en pleine vague féministe, alors que la référence à un « il » hypothétique devenait politiquement incorrecte. Il s’agissait de simplifier la langue et d’éviter d’écrire « il/elle » (« han/hon » en suédois).
    Tombé en désuétude, il a été redécouvert dans les années 2000. Aujourd’hui, il permet de se référer à une personne soit sans dévoiler son sexe, soit parce qu’on l’ignore, soit parce que la personne évoquée se revendique transgenre ou soit parce que le locuteur ou rédacteur estime superflue cette information.
    On le trouve déjà dans des textes officiels, des jugements, dans les médias et dans la littérature, à tel point qu’il perd de plus en plus sa connotation militante. Le dictionnaire de l’Académie suédoise est mis à jour tous les dix ans. Les nouvelles entrées sont déterminées notamment par la récurrence des mots et leur pertinence.
    http://www.fdesouche.com/578109-suede-fusillade-larme-automatique-dans-un-bar-deux-morts-et-une-dizaine-de-blesses

  3. Posté par Chouette le

    Honte aux autorités et à la justice Suédoises!…..en leur souhaitant qu’aucun membre de leur propre famille ne soit un jour une victime!
    Cette remarque vaut également pour la Suisse!

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