C’est un Jean-Daniel Carrard (PLR) «triste et déçu» qui a réagi aux tags des affiches des candidats de la droite (PLR, UDC, Vert’libéraux, UDF) à l’exécutif d’Yverdon-les-Bains, dont les visages ont été tagués avec une moustache en brosse à dents, rappelant Adolf Hitler.
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Nos remerciements à Info
Rappels :
Suite mais pas épilogue dans l’affaire de l’Office du logement d’Yverdon-les-Bains. Alors que des audits relèvent des dysfonctionnements majeurs dans la procédure d’attribution des logements subventionnés et pointent du doigt le fait que le préposé – qui travaille seul – puisse être à la fois juge et partie notamment, le Parti socialiste local défend bec et ongles Jean-Claude Ruchet, son municipal en charge du dossier.
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Note : Pendant ce temps, la RTS fait gentiment la promotion de Jean-Claude Ruchet, avec l'argent de notre redevance, comme si de rien n'était.
Rappels :
«Plusieurs bandes de jeunes ont débarqué vers 21h. Certains habitent notre quartier de Pierre-de-Savoie, mais la plupart venait d’ailleurs. Ils ont d’abord mis un container-poubelle au milieu de la route et y ont bouté le feu. Alertée, la police est arrivée avec quatre patrouilles. Les agents avaient des boucliers mais ils ne bougeaient pas. Les jeunes ont poussé un autre container devant eux et y ont encore mis le feu.»
YVERDON-LES-BAINS (VD): «Des jeunes voulaient casser du policier»
Merci @DanyRiviera pic.twitter.com/WHbJxGH5FA
— IceWind (@IceWind86585905) November 1, 2020
Une citoyenne yverdonnoise a été choquée par les scènes de guérilla urbaine auxquelles elle a assisté samedi soir. «Les jeunes attaquaient et la police reculait. Des habitants ont appelé la centrale pour demander des renforts car les jeunes étaient très nombreux. La gendarmerie est venue en renfort. Mais les jeunes n’ont pas arrêté de les caillasser. Ils avaient envie de casser du policier. Des vitres de véhicules et d’immeubles ont été cassées. Si même la police reste apathique, on va où?» s’indigne un quadragénaire.
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Nos remerciements à Dany Riviera
Rappels :
Des habitants de la Villette, où se déroulent des affrontements chaque année, estiment que la police a tardé à intervenir. Une vingtaine d’individus a cependant été interpellée. Reportage.
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«Vous avez en face des gens qui recherchent l’affrontement direct avec la police. Alors si vous leur donnez ce qu’ils veulent, cela tourne en une émeute incontrôlable»
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À l’heure du bilan, l’édile annonce qu’une vingtaine de personnes ont été interpellées, «dont la majorité était des mineurs». C’est cinq personnes de plus que l’année précédente. Du côté des habitants de la Villette, certains désespèrent. «On va faire comme les voisins et partir du quartier le 1er Août, regrette une jeune femme. Jusqu’à quand va-t-on encore tolérer tout ça?»
Note : Le terme «Ara!» «Ara!» stipulé dans l'article se réfère au cri utilisé afin de prévenir les gens alentours (principalement lors d’un trafic de drogue) que les forces de l’ordres arrivent à proximité.
Rappels :
Vaud : un réfugié syrien et un Portugais terrorisaient Yverdon
Yverdon (VD) : une jeune Afghane retrouvée morte, son ex-petit ami afghan appréhendé
Yverdon: L’islamiste balkanique bénéficiait de notre aide sociale depuis 3 ans.
Suisse. Yverdon-les-Bains: Altercation entre Africains à coups de hache.
Vaud. Yverdon-les-Bains: L’Algérien abuse d’une femme déficiente. Il n’est pas expulsé.
La Ville thermale va retirer des affiches incitant les propriétaires à ramasser les crottes de leurs chiens. Le terme «C’est maman qui va être contente» a été estimé sexiste au point de choquer certains.
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Interrogé par le quotidien vaudois, le service de communication de la Ville thermale admet que les mots utilisés sont en décalage par rapport à la société actuelle.
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«Les gens doivent savoir que dans les hôpitaux, on bosse dans des climats qui foutent parfois la trouille.» Sous couvert d'anonymat, une employée de l'hôpital d'Yverdon-les-Bains (VD) a décidé d'ébruiter l'étonnante agression dont aurait été victime une collègue réceptionniste, dans la nuit de dimanche à lundi 9 décembre.
«Un homme armé d'une machette est arrivé à l'accueil et l'a agressée», raconte-t-on au sein du personnel.
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>Cela a peut-être fonctionné les premiers mois, mais aujourd’hui cela ne fait pas de différence. Et la situation au centre-ville a empiré. On constate que le trafic s’est déplacé sur les rues du Lac et des Remparts», relève l’élu UDC Pascal Gafner.
Le trafic est principalement organisé par des ressortissants nigérians qui ne se trouvent pas en situation illégale. Ils bénéficient d’un visa de séjour Schengen, peuvent se déplacer librement et n’ont pas de logement fixe.
Finalement, nous pouvons donc juste agir pour décourager le trafic, en le rendant plus compliqué, mais cela ne va pas chasser les dealers.»
Les faits se sont déroulés il y a trois ans, mais ils sont restés bien présents dans la tête de la jeune femme de 27 ans, domiciliée dans le Nord vaudois. Cauchemars, dégoût, angoisse, peur et gêne, autant de séquelles laissées par ces mois où elle a eu des relations sexuelles avec sa mère, alcoolique, et l’ami de cette dernière.
Un homme de 37 ans originaire d’Algérie, sans domicile, qui s’est installé quatre mois dans leur appartement.
Et a «exploité l’incapacité de résistance» de la jeune femme souffrant de trouble psychotique aigu et de retard mental léger. Une déficience «facilement identifiable par des tiers», selon le Tribunal correctionnel. «Il a profité de la faiblesse et de la vulnérabilité de la victime pour assouvir ses pulsions et ses fantasmes sexuels.»
Rappel: Sommaruga prétendait que les étrangers commettant un délit majeur (dont le viol) étaient expulsés:
Grand moment de frayeur pour un taximan, vendredi vers 3h. Le quinquagénaire était stationné sur la place de la gare quand un individu a foncé sur lui en exigeant de l’argent. «Je ne suis pas un pigeon», lui a-t-il répondu. Le quidam s’agrippe à la portière qu’il tire avant de se jeter sur la bourse. Le taximan se retrouve à terre mais refuse de lâcher la sacoche contenant l’argent. «Il m’a donné trois coups de couteau à la main. Le médecin m’a dit que c’est une chance que les veines n’aient pas été touchées.»
L’agresseur s’est enfui ensuite avec un maigre butin. «Mais sa pièce d’identité est tombée», affirme le taximan. C’est ainsi que, comme le confirme la police, un Espagnol de 29 ans a été interpellé le même jour. «Il a déjà été relâché. Mais aurait-il eu le même traitement s’il avait attaqué un juge et non un taximan», se désole la victime.
Selon nos renseignements, l'agresseur serait un toxicomane.
