Facebook suspend Donald Trump pour deux ans

Le réseau social que dirige Mark Zuckerberg annonce la fin du traitement de faveur pour les responsables politiques.

Le 4 juin 2021 à 18h55, modifié le 4 juin 2021 à 19h38

Privé de likes, de partages ou de commentaires jusqu’en janvier 2023. Le réseau social Facebook annonce ce vendredi, dans un communiqué, qu’il suspend Donald Trump pour deux ans. Une mesure qui entre dans une politique plus stricte à l’égard des responsables politiques. Le réseau social américain explique aussi que les personnalités politiques seront désormais sanctionnées comme les autres utilisateurs quand elles enfreignent les règles de Facebook, notamment en cas de désinformation.

L’ex-président américain ne pourra revenir que quand les « risques pour la sécurité du public auront disparu », a précisé la plateforme, qui l’avait exclu temporairement le 7 janvier dernier pour avoir encouragé ses partisans lors de l’attaque du Capitole à Washington. Une décision sans précédent qui témoigne de l’immense pouvoir politique des plate-formes dominantes.



L’entreprise de Mark Zuckerberg a déclaré qu’une fois les deux ans écoulés, elle « se tournera vers des experts pour évaluer si le risque pour la sécurité publique a diminué. Nous évaluerons les facteurs externes, y compris les cas de violence, les restrictions aux rassemblements pacifiques et d’autres marqueurs de troubles civils. Si nous déterminons qu’il existe toujours un risque grave pour la sécurité publique, nous prolongerons la restriction pour une période définie et continuerons de réévaluer jusqu’à ce que ce risque disparaisse », prévient-elle.

L’ex-président a réagi à cette suspension avec les arguments et le ton qu’on lui connaissait quand il était à la Maison-Blanche. « La décision de Facebook est une insulte aux 75 millions de personnes qui ont battu tous les records, plus de nombreuses autres, qui ont voté pour nous lors de l’élection présidentielle truquée de 2020. Ils ne devraient pas être autorisés à s’en tirer avec cette censure », dénonce-t-il.

Banni de Twitter et Facebook, il lance son blog

Facebook avait banni de sa plateforme l’ancien président américain le 7 janvier, au lendemain de l’invasion du Capitole, à Washington, par une foule de ses partisans, lors de la certification de la victoire de Joe Biden à l’élection de novembre 2020. Le groupe californien estimait que le milliardaire républicain a enfreint ses règles sur l’incitation à la violence, notamment dans une vidéo où il exprimait son soutien aux émeutiers.

Une décision validée par le conseil de surveillance, « organe suprême » indépendant de Facebook qui peut retoquer les décisions de modération du réseau social. Concrètement, tout un chacun peut saisir le conseil de surveillance de Facebook, à la manière dont on saisit la justice. Pour l’heure, seulement dix décisions du conseil de surveillance de Facebook ont été prises (sur plus de 300 000 demandes), plusieurs obligeant l’entreprise américaine à republier du contenu supprimé.

En janvier dernier, c’est Twitter qui avait d’abord sanctionné l’ancien président et suspendu définitivement son compte en mettant en avant le « risque de nouvelles incitations à la violence » après les événements au Capitole.

source: https://www.leparisien.fr/international/facebook-suspend-donald-trump-pour-deux-ans-04-06-2021-M22ACBBFZNBR7HP6ISPDOF74QE.php

Lausanne Cités: La Suisse serait en retard pour légiférer contre les discours de haine sur les réseaux sociaux

Cenator : Lausanne Cités, c’est l’hebdomadaire « gratuit » racheté en hâte par les socialistes, au pouvoir depuis trente ans, lorsque le bruit a couru que Christoph Blocher s’y intéressait.
Ainsi, le seul média qui a failli échapper à la propagande marxiste est tombé également dans le giron de la gauche.

Dans sa dernière publication accessible en ligne, Lausanne Cités déplore que la censure de Trump sur Twitter soit arrivée si tardivement.

Il va de soi, pour le journaliste de cet article comme pour les personnes interviewées, que Donald Trump a diffusé de la haine et qu’il a bien mérité son bannissement des réseaux sociaux. Ici, comme toujours dans les médias de la bien-pensance, les faits, la réalité sont totalement soumis à l'idéologie.

L’ensemble des médias subventionnés de la Suisse romande ont diffusé sur Trump, durant toute sa présidence et jusqu’au-delà, un déversement de haine et de diabolisation systématique, absolument sans nuance et sans limite. Mais à présent, pour ceux qui détiennent le pouvoir, la haine se trouve dans le camp de Trump, de ceux qui ont plébiscité sa politique et sa vision du monde.

Nous imaginons aisément ce que seront les générations d’économistes qui vont sortir de nos universités, où ils sont endoctrinés par des professeurs marxistes, comme Samuel Bendahan, qui enseigne l’économie à l’EPFL et à l’UNIL et est aussi conseiller national socialiste.
Avec tous nos Bendahan, nous avons de gros soucis à nous faire pour l’avenir de la Suisse, car les nouvelles élites sortant de certaines facultés des Hautes Ecoles vont œuvrer à la destruction de certains fondements de notre pays, causer des souffrances terribles, comme partout où la jeunesse gauchiste fanatisée a pris le pouvoir.

Voici quelques extraits de cette perle qu’est l’article de

Charaf Abdessemed : Haine sur les réseaux sociaux: la Suisse est-elle laxiste ?

Samuel Bendahan : « Il est juste que le compte de Donald  Trump ait été suspendu, même s’il relève de l’hypocrisie que cette suspension arrive aussi tard [...] »

Bendahan trouve que « l’inertie de la Suisse est incompréhensible », et il explique cela par le fait que « la majorité du parlement défend prioritairement les intérêts des milliardaires et des grandes entreprises qui  songent plutôt à faire du profit au lieu de contrôler la société. »

Stéphane Koch, expert en réseaux sociaux : « La décision de Twitter fait suite à un ensemble de mises en garde qui ont été adressées à Trump après le 6 janvier. Et il est quand même rassurant de voir que comme tout le monde, même un président peut être soumis à un règlement. »

Koch veut que « les États se dotent de législations » pour censurer et « punir les personnes qui propagent les appels à la haine », et déplore que la Suisse soit si en retard dans ce domaine.

Isabelle Moret, toujours aussi opportuniste et désireuse de plaire à tous, se dépêche d’ajouter qu’elle « condamne le contenu de beaucoup de tweets de Donald Trump », mais que la censure peut être « le début d’une pente dangereuse ».

http://www.cfch.ch/fileadmin/user_upload/20_Zusatzseiten/10_Aktuell_News/Dokumente/Lausanne_Cites_10.02.2021_web_3.pdf

Censure de Trump par les GAFA : “Une bonne chose pour la démocratie”, se félicite l’éditorialiste de France Inter Thomas Legrand

Il  s’est réjoui de voir Twitter bannir définitivement Donald Trump. Selon lui, les réseaux sociaux doivent redéfinir le cadre de la liberté d’expression dans un univers de plus en plus globalisé.

La radio publique France inter s’est une nouvelle fois fait remarquer pour son amour de la censure. Après Sonia Devillers qui avait demandé à ce que le temps de parole des chroniqueurs de droite soit compté, c’est l’éditorialiste Thomas Legrand qui s’est félicité du bannissement définitif de Donald Trump de Twitter. Le journaliste a déclaré « se réjouir que Twitter bannisse Trump ». Si le président américain avait été critiqué de toute part pour son appel à une manifestation « sauvage » près du Congrès américain, d’autres ont trouvé la décision du réseau social lourde et dangereuse pour la démocratie.

[...]

Valeurs Actuelles

Trois journalistes de la RTS pour un concert de vomi sur Trump et ses 74 millions de « déplorables »

Cenator : Le « Forum des médias » est une émission dominicale au schéma immuable, une sorte de feu d’artifice hebdomadaire de la RTS où des journalistes, tous gauchistes, viennent surenchérir dans le politiquement correct.

https://www.rts.ch/play/radio/forum/audio/forum-des-medias-insurrection-day-a-washington?id=11865696

D’emblée, nous apprenons par le journaliste de la RTS, Thibaut Schaller, que ce sont des fanatiques qui sont allés manifester à Washington.

Et comme preuve, Schaller fait écouter la foule qui scande : Pendez Mike Pence.

Thibaut Schaller : Les dégâts pourraient être durables pour la démocratie américaine. Est-ce qu’on peut parler de coup d’État ?

Valérie de Graffenried, correspondante aux États-Unis pour Le Temps : Ce n’est pas un coup d’État, car il n’a pas eu l’appui de l’armée ou de forces de sécurité, c’est plutôt une insurrection, une émeute.

C’est d’ailleurs ce qui est retenu dans l’article d’impeachment : c’est une incitation à l’insurrection de la part de Donald Trump. Ç’aurait pu être pire : on a vu la volonté de kidnapper, voire tuer Mike Pence.

Trump a-t-il incité la foule à aller si loin, l’a-t-il prévu ? La justice le décidera.

Malika Nedir : Trump a demandé d’empêcher physiquement la certification. Il a même envisagé de recourir à l’armée.
Mais l’armée ne peut pas servir à un président pour rester au pouvoir.

Il y a eu peut-être la possibilité d’un coup d’État.

Trump  a voulu faire renverser le résultat des élection. Ces violents resteront comme une tache indélébile sur la présidence de Donald Trump.

Raphaël Grand, correspondant à Washington pour la RTS :

On commence à saisir ce qui aurait pu se passer. Il y avait des paramilitaires organisés. On a retrouvé des armes, des bombes pas loin du Capitole. Ce n’était pas seulement une foule en colère, il y avait une couche de miliciens, qui avaient en tête une prise d’otage ou peut-être pire. Cela prendra des mois pour démêler cette attaque contre la démocratie américaine.

Malika Nedir : La démocratie a tenu. Il y a eu un sursaut des Républicains qui ont compris de quoi Donald Trump était capable pour rester au pouvoir.

Valérie de Graffenried : Les institutions ont été saccagées, secouées de manière assez incroyable. Cette foule en colère était galvanisée depuis des années par Trump. Mais 147 élus Républicains ont voté après les émeutes contre la certification de Joe Biden. Au cœur même du Congrès, il y en a qui contestent la légitimité d’une élection et qui vont dans le sens de Donald Trump. (Exemple de délire de nos journalistes).

Joe Biden va avoir énormément de difficulté à gouverner, à trouver une réconciliation. Je crois qu’on peut parler de reconstruction, il a hérité un pays en lambeaux.

Th. Sch. : Est-ce que la démocratie américaine tient encore debout ?  

Raphaël Grand : L’essentiel était de certifier Biden. Si on revient sur tout le processus électoral, les vrais héros ce sont les élus locaux, parfois des Républicains aussi, qui ont dû faire face aux pressions de Trump et de sa base électorale. Comme le Secrétaire d’État de Géorgie qui a résisté à Trumps [en refusant de recompter les votes].

Th. Sch. : Il y a des milliers de personnes, peut-être des millions, qui pensent qu’on leur a volé leur vote. Est-ce que ce n’est pas une fracture durable ?

Valérie de Graffenried : Le trumpisme va-t-il survivre à Trump ou Trump est-il dans un coma politique ?
Le trumpisme n’est pas une idéologie politique mais un mouvement que certains qualifient de sectaire. Un magma d’extrémistes, de suprémacistes blancs, d’adeptes des théories délirantes de QAnon, un magma qui va survivre car il existait déjà avant Donald Trump.
Trump s’est déjà fait élire à la base par une frange frustrée de la population qu’il a réussi à galvaniser pendant quatre ans.

74 millions ont voté pour Donald Trump, mais seule la frange la plus extrême est allée au Capitole. Seuls 22% des Républicains ont approuvé l’attaque du Capitole. Mais l’Amérique est plus divisée que jamais.

Th. Sch. : Est-ce que le trumpisme peut disparaître ?

Malika Nedir : C’est tout l’enjeu. Quelle est la part des 74 millions qui vont rester fidèles au parti Républicain traditionnel, sont légalistes, défendent la Constitution, et combien vont aller vers Trump ou ses héritiers ?
Ce qui est inquiétant, c’est que même si c’est une base hétéroclite, tous sont persuadés qu’on leur a volé l’élection.

Il y aura un fossé : d’un côté les grands médias, les grandes chaînes américaines, les juges, Républicains ou Démocrates (!), qui ont défendu la Constitution et la certification de l’élection de Biden, et de l’autre les antisystèmes, qui ne respectent plus le jeu démocratique, la transition pacifique du pouvoir. (Pour la bienpensance, la démocratie, revient à légitimer l'élection de l'un des leurs par n'importe quel moyen )

C’est un peu la différence entre les décents et les déplorables. Ces déplorables qu’on a vus investir le Capitole, en disant : Ici c’est notre maison, on est chez nous. Et effectivement, Trump leur avait promis : Je vous rendrai le pouvoir, à vous, le peuple, contre les élites de Washington. On a vu la concrétisation de cette promesse quatre ans plus tard.

Th. Sch. : Joe Biden va-t-il réconcilier l’Amérique ?

Raphaël Grand: Non, ce n’est pas lui qui a la clé. Ce sont les Républicains qui doivent aller parler à leur base. Les gens qui marchaient sur le Capitole se croyaient dans leur bon droit, ils étaient là pour sauver la démocratie américaine. Il faut maintenant leur expliquer la réalité.

Th. Sch. : Vous croyez à une candidature de Donald Trump dans 4 ans ?

Valérie de Graffenried : Il y a la procédure d’impeachment qui va démarrer, mais le temps presse. Il pourrait être interdit mais il a des héritiers !

Les poursuites des juges du Capitole rendront Trump responsable des cinq morts.

Th. Sch. : Ni impeachment, ni réélection, mais case prison ?

Malika Nedir : Pour cela, il faudrait porter plainte, mais Biden a promis d’apaiser, rassembler l’Amérique. Il faudrait l’accuser pour les coups de fils à la Géorgie ou pour les casseroles de New York

Raphaël Grand : Tout l’enjeu de la procédure de destitution, c’est qu’il ne pourra plus se faire élire. Les sénateurs républicains ont vraiment eu peur. Aucun sénateur républicain n’osera parler contre Trump aujourd’hui, pour ne pas s’aliéner la base, mais plus tard ils pourraient voter pour la destitution. Un coup de poignard dans le dos, mais la politique est cruelle.

Valérie de Graffenried : La pression est grande sur Mike Pence, qui dit officiellement qu’il n’exclut rien, mais ira du moins à la cérémonie d’investiture de Biden.

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P.S.:  Malika Nedir  a travaillé à la RTS depuis 1994, elle y est engagée comme journaliste stagiaire. (source: Wikipedia)

En fait, où était Malika Nedir durant 27 ans, lorsqu'il se passait tous ces scandales sexuels, pédophiles, violeurs de tout genre dans sa boîte à propagande, par ailleurs, sans cesse moralisatrice? Madame Nedir n'aurait rien vu? Rien entendu? De ces secrets de polichinelles? Voyons!

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États-Unis : furieux, des centaines de pro-Trump envahissent le Capitole, qui doit certifier la victoire de Biden, “Nous n’abandonnerons jamais !” (Vidéos)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Via Fdesouche

Médias. Fraudes électorales US : Quand la Démocratie s’effondre

LES DECLARATIONS DE FRAUDES AFFLUENT EN NOMBRE

A lire la presse et les déclarations officielles en Europe, à peine deux jours après le vote, il ne faisait aucun doute que Biden serait le 46e président des Etats-Unis. Oui. Sauf qu’au moment d’écrire ces lignes le résultat n’est toujours pas définitif, même après la certification de scrutin par le Michigan ou celles qui devraient suivre dans les autres Etats.

Le scrutin définitif national ne sera connu que lorsque les résultats auront été certifiés dans chacun des 50 Etats mais surtout, oui surtout, lorsque tous les recours en justice auront été épuisés. Et on en est loin, sans doute même très loin, cela dépendra des forces et des ressources à disposition du président Trump.

L’exemple de la certification du vote donnée dans le Michigan est un exemple intéressant et a montré comment la presse surinterprète (déforme) les faits pour leur faire dire ce qu’elle voudrait qu’on croie. Le comité de surveillance électorale du Michigan composé de 2 Démocrates et de 2 Républicains a certifié le 23 novembre les votes dans le Michigan. Oui, et alors ? Cela n’a pas une très grande portée. Si des bulletins sont frauduleux on peut bien les recompter une seconde fois, cela ne change strictement rien, le nombre final restera le même. Ce qu’il faut comprendre c’est que la certification et l’éventuel recomptage ne confirment que l’exactitude de ce qui a été compté, ils ne disent rien sur la validité d’éventuels bulletins frauduleux qui ne pourraient être trouvés que par un audit, et la certification n’est pas un audit.

On a donc déjà ici une première idée du problème. Les équipes de Trump demandent des audits, c’est-à-dire des examens complets et approfondis de la validité des bulletins et on leur répond, le scrutin est intègre nous avons recompté tous les bulletins, le compte est exact. On se moque ici des gens.

Le problème auquel Trump doit faire face n’est théoriquement pas insurmontable, on peut revérifier la validité de chaque bulletin, mais c’est tout simplement une tâche titanesque. Nous sommes typiquement ici face à un problème de ruissellement (les petits ruisseaux font les grandes rivières). Si Trump ne trouve pas une grande fraude massive et suffisante en un seul évènement il va devoir prouver ce ruissellement, il devra prouver que c’est l’accumulation de petites fraudes qui a modifié le résultat final, et ça c’est encore plus difficile. Les politologues Démocrates l’ont bien compris et jouent précisément sur cette difficulté, en annonçant déjà que les fraudes découvertes (sans même en connaître à ce jour le nombre) sont trop petites pour inverser le résultat. Et ça aussi ce n’est pas tout à fait la réalité.

Biden a gagné le Michigan par 154'188 voix sur 5'535'676 votes exprimés, soit une avance d’à peine 2.78 % des suffrages. Et suivant comment l’on regarde c’est trois fois rien. Il y a dans le Michigan 4810 circonscriptions électorales (precincts) qui peuvent chacune contenir un ou plusieurs bureaux de vote, il suffirait donc de 33 votes invalides par circonscription électorale pour changer le résultat, c’est infinitésimal. Le seul comté de Wayne, le plus grand de l’Etat du Michigan avec la ville de Detroit et qui a fait pencher la balance en faveur de Biden compte à lui seul 999 circonscriptions électorales, il suffirait donc de 155 bulletins invalides dans chaque circonscription de l’agglomération de Detroit pour changer le résultat. Mais en faire la somme totale, vérifier la validité de tous les bulletins pour éventuellement retrouver ceux qui sont frauduleux est un travail de bénédictin, d’autant qu’il faut le faire dans un certain délai et vraisemblablement en avancer les frais, sans compter qu’il faut le faire avec un personnel de confiance. On a donc ici la mesure de la difficulté qui attend Trump avec face à lui un gouvernement d’Etat et bon nombre de juges du Michigan qui sont des Démocrates et donc ses adversaires politiques.

Un exemple de ce type de difficulté a déjà été donné avec le refus de la juge Cynthia Stephen, Démocrate précisément, de la Cour du Michigan, lorsqu’elle a refusé la demande du président Trump d’arrêter le comptage des voix suite à sa plainte selon laquelle les inspecteurs du parti Républicain (challengers) n’avaient pas accès partout à l’observation du processus de comptage des bulletins et aux vidéos obligatoires.

(N.B. la question de l’observation du scrutin par des inspecteurs républicains étaient déjà en soi problématique puisque certains de ces républicains sont eux-mêmes des opposants à Trump.)

Trump a demandé que le comptage des voix soit stoppé jusqu’à ce que l’accès des Républicains soit pleinement garanti partout et qu’il puisse revoir les bulletins déjà décomptés, ce qui était parfaitement légitime, n'importe quel juriste aurait demandé pareil. Mais la juge Démocrate du Michigan l’a débouté au motif que les juristes de Trump n’amenaient qu’une déclaration par témoins indirects (donc une preuve insuffisante) et qu’au surplus la Secrétaire d’Etat du Michigan avait déjà donné instruction de donner plein accès aux inspecteurs Républicains.

Cet épisode est extrêmement important et crucial, et doit être relevé. Il montre ce genre de « zones grises » juridiques dans lesquelles tout peut devenir possible. Les Républicains n’ont pas accès à certains dépouillement de bulletins, ils se plaignent, la juge les déboute, la secrétaire d’Etat rétablit l’accès, mais entre-temps du temps a passé… Et chacun sait ce qui arrive si quelqu’un fraude et qu’on ne peut le prendre sur le fait, certains éléments de fraude peuvent ne plus apparaître ni être documentés et aucune preuve ne devient plus possible. C’est une zone grise où tout devient définitivement opaque et inconsistant parce que des raisons procédurales ont habilement été utilisées pour écarter les faits et la recherche de la vérité.

Une telle situation est extrêmement problématique du point de vue de l’intégrité d’un scrutin. De tels événements, de telles zones grises (ou de non-vérification par le droit) devraient tout simplement ne pas exister, on a l’impression qu’ici des plages entières de l’espace-temps peuvent être soustraites à tout contrôle immédiat et à tout contrôle de la vérité.

Il se passe, et il s’est passé, tellement de choses dans cette période post-électorale américaine qu’il devient difficile de tout relater et de tout suivre en temps réel. Mais les faits concrets qui sont déjà connus et visibles suffisent largement – contrairement à ce que raconte la presse – à établir que Donald Trump était, et est toujours, légitimé à soulever la question de l’intégrité du scrutin.

Les médias grands publics ont présenté les fraudes comme des anecdotes sans grandes portées mais ce n’est pas ce qu’on pouvait lire par exemple dans la demande d’audit déposée dans le Michigan par la Sénatrice républicaine Theis et le Sénateur Barrett. Leurs motivations ne relevaient ni de la plaisanterie ni de l’anecdote. Entre les bulletins comptés frauduleusement ou de manière multiple, et les erreurs informatiques ou manuelles, la liste des fraudes y semble sans fin. Mais c’est surtout le nombre de témoignages présentés par les deux Sénateurs qui interpelle, car contrairement aux deux ou trois cas de fraude avancés par la presse grand public, cas que cette même presse s’est empressée de chercher à discréditer ou à contredire, c’est plus d’une centaine de témoignages qu’ont recueilli la Sénatrice et le Sénateur d’Etat du Michigan.

« Nous avons cité quatre raisons principales expliquant la nécessité de vérifier l'élection, notamment le prétendu problème de logiciel avec les tabulatrices (NdT machine à compter les bulletins) de Dominion Voting Systems dans le comté d'Antrim; de multiples récits de fonctionnaires électoraux ayant mal géré les bulletins de vote de diverses manières flagrantes; la prétendue livraison mystérieuse pendant la nuit de 40 000 bulletins de vote non garantis au TCF Center de Detroit; et les rapports d'intimidation et d'ingérence des candidats au scrutin. »

(N.B. On voit ici dans les allégations de ces deux Sénateurs exactement le problème décrit, on pose la question du compte des bulletins (qui est apparemment aujourd’hui résolue) mais aussi celui de la validité des bulletins comptés (ces 40'000 bulletins) et qui reste donc une question ouverte.)

« Ces allégations sont « étayées par des déclarations sous serment (affidavits) de plus de 100 citoyens du Michigan, de vraies personnes, disposées à faire face à des conséquences juridiques sur leur vie et leurs fortunes pour maintenir leurs affirmations » indique la lettre. « Ces allégations méritent toute notre attention et une enquête diligente pour garantir l'équité et la transparence de notre processus électoral. » [1]

On est donc loin ici des dissimulations ou des Fake News colportées par la presse grand public, dont même le soi-disant très sérieux Washington Post (voir ci-après) qui tentent de nous faire croire qu’il n’y auraient eu que de petites affaires non prouvées et démenties. La situation est exactement le contraire.

Aux États-Unis un affidavit ou déclaration sous serment est fait devant un notaire après vérification d’identité et doit être daté et signé. Il s’agit donc d’un acte authentique destiné à être produit en justice et qui peut entrainer pour son auteur jusqu’à 5 ans de prison pour faux témoignage.

En voici deux exemples, l’un en Pennsylvanie et l’autre dans le Michigan.

DECLARATION DE RICHARD HOPKINS

Moi, Richard Hopkins, déclare ce qui suit :

1. Je suis âgé de plus de dix-huit ans et suis légalement compétent pour faire cette déclaration. J'ai une connaissance personnelle des faits contenus ici. Si on me le demandait, je pourrais et je témoignerais avec compétence sous serment quant aux faits énoncés dans la présente.

2. Je suis un employé du service postal des États-Unis. Je travaille comme transporteur dans le bureau de poste d'Erie, en Pennsylvanie.

3. A teneur de ce que je comprends de la loi de Pennsylvanie, les bulletins de vote devaient être oblitérés avant 20 h 00 le jour du scrutin le 3 novembre 2020 en Pennsylvanie, mais le maître de poste Rob Weisenbach a ordonné à mes collègues et moi-même de ramasser les bulletins de vote après le jour du scrutin et de les lui fournir. Comme indiqué plus en détail ci-dessous, j'ai entendu Weisenbach dire à un superviseur de mon bureau que Weisenbach antidatait les cachets de la poste sur les bulletins de vote pour donner l'impression que les bulletins de vote avaient été collectés le 3 novembre 2020, alors qu'ils avaient en fait été collectés le 4 novembre et éventuellement plus tard.

4. Le 5 novembre 2020, alors que je préparais mon courrier pour la livraison, j'ai vu Weisenbach discuter avec Darrell Locke, l'un des superviseurs du bureau de poste d'Erie en Pennsylvanie. Weisenbach et Locke ont discuté de la façon dont le 4 novembre 2020, ils avaient antidaté le cachet de la poste sur tous les bulletins de vote, sauf un, pour donner l'impression que les bulletins de vote avaient plutôt été collectés le 3 novembre 2020. J’ai entendu Weisenbach dire à Locke qu'ils avaient «foiré hier» - le 4 novembre 2020 - en antidatant accidentellement un bulletin de vote comme ayant été collecté le 4 novembre 2020 (alors qu'il avait effectivement été collecté ce jour-là).

5. Il est important de noter que Weisenbach et son assistant avaient ordonné à mes collègues et moi-même de continuer à ramasser les bulletins de vote après le 3 novembre malgré l'exigence que les bulletins de vote soient envoyés par la poste dès ce moment. Weisenbach a ordonné que les bulletins de vote soient ramassés jusqu'au vendredi 6 novembre 2020. De plus, Weisenbach a ordonné que tous les bulletins de vote ramassés jusqu'au 6 novembre 2020 lui soient remis, vraisemblablement pour qu'ils puissent être antidatés par lui et / ou Locke.

6. Ma compréhension de la loi de Pennsylvanie est que les bulletins de vote ne peuvent être comptés que s'ils ont été postés avant 20 h 00 le 3 novembre 2020. Les commentaires de Weisenbach m'ont profondément préoccupé et m'ont semblé être une tentative de Weisenbach et / ou de Locke d'antidater incorrectement les bulletins de vote reçus après la date limite légale afin que ces bulletins tardifs puissent être comptés - ce que je comprends être illégal et contre la loi de Pennsylvanie. En conséquence, j'ai porté les informations sur Weisenbach au public par le biais du projet Veritas.

7. Le lendemain, le 6 novembre, j'ai été interrogé par un inspecteur postal de l'USPS qui, sachant que j'étais le lanceur d'alerte qui avait mis en lumière les directives de Weisenbach, a indiqué qu'il enquêtait sur l'affaire. J'ai également été approché par un représentant du syndicat des postiers qui a commencé à me poser des questions sur d'anciennes allégations contre moi qui sont depuis longtemps résolues. Je refuse d'être réduit au silence, alors j'ai décidé de révéler mon identité et je me suis engagé à témoigner sur ce que j'ai entendu et ce qu'on m'avait ordonné de faire.

Moi, Richard Hopkins, déclare par la présente que les faits énoncés ci-dessus sont vrais et corrects (ou sont vrais et exacts au meilleur de ma connaissance, de mes informations et de mes convictions). Je comprends que les déclarations ci-dessus sont soumises aux sanctions de 18Pa.C.S. § 4904 (relatif à la falsification non assermentée aux autorités). Je déclare en outre sous peine de parjure en vertu des lois des États-Unis d'Amérique que ce qui précède est vrai et correct. Fait en ce 6e jour de novembre 2020 à Erie, Pennsylvanie.

Richard Hopkins (suit la signature)

[2]

Suite à cette déclaration, Richard Hopkins, jeune homme ayant servi dans les marines en tant que navigateur auxiliaire, a subi de multiples pressions. L’interrogatoire avec l’enquêteur de l’USPS (services postaux américains) un ancien de l’intelligence service et auquel Hopkins s’est soumis volontairement a essayé durant deux heures d’obtenir de lui une rétractation. L’interrogatoire peut être écouté ici, il vaut son pesant d’or tant il décrit les méthodes utilisées pour essayer de faire changer quelqu’un d’avis [3]. Une avocate indépendante a confirmé qu’il s’agissait selon elle d’une tentative claire de pression et d’intimidation interdite par le droit américain. [4]

Suite à cet interrogatoire le Washington Post a diffusé un article repris par tous les médias grand public selon lequel Hopkins était revenu sur ses déclarations et avait reconnu qu’il les avait fabriquées [5]. Ce qui est parfaitement faux. Hopkins a démenti les affirmations du journal et persisté dans sa déclaration. Il y a eu manifestement ici une tentative par la presse de manipuler l’opinion publique et de discréditer le jeune lanceur d’alerte.

Entre temps le jeune John Hopkins a été mis à pied et privé de tout salaire pour diffamation contre le service postal, et avant même le résultat de l’enquête judiciaire. Dire la vérité n’est donc pas dépourvu de risques. On le voit, la pression sur ceux qui oseraient dénoncer les irrégularités est énorme. Et l’on se demande bien pourquoi. Mais la grande presse soi-disant si prompte à dénoncer les injustices du monde n’en a pas dit un mot. On peut priver arbitrairement un jeune homme de son salaire sans que la grande presse soi-disant gardienne des droits humains ne s‘en émeuve un seul instant.

Une autre déclaration d’une jeune femme du Michigan va encore plus loin.

DECLARATION DE MELISSA A. CARONE

La déposante, Mellissa A. Carone, étant la première dûment assermentée, déclare et atteste ce qui suit:

1. Je m'appelle Mellissa A. Carone, j'ai été engagée par Dominion Voting Services pour faire du travail informatique au TCF Center pour l'élection du 3 novembre 2020, je suis résidente du comté de Wayne. (Michigan).

2. Je suis arrivée au Centre TCF vers approximativement 6 h 15 du matin le 3 novembre 2020 et j'ai travaillé jusqu'à 4 h 00 du matin le 4 novembre 2020. Je suis rentrée chez moi pour dormir, puis je suis revenue au TCF Center à 10 h 00 du matin et dans lequel je suis restée jusqu'à 1 h 45 de l’après-midi. Durant ce temps, je n'ai été témoin que d’actions frauduleuses.

3. Les personnes chargées du décompte (qui étaient très peu ou pas du tout formées) recevaient un "lot" (pile de 50) de bulletins de vote par correspondance qu’ils passaient par la tabulatrice (NdT machine à compter les bulletins). Les tabulateurs se coinçaient 4 à 5 fois par heure, quand ils se coinçaient l'ordinateur signalait l’erreur au travailleur par le numéro du bulletin de vote bloqué et donnait la possibilité soit de rejeter le lot soit de continuer la numérisation à partir duquel la personne chargée du décompte devait rejeter le lot ; en plaçant le bulletin de vote problématique au-dessus du lot et rescannant le lot entier. J'ai vu d'innombrables travailleurs rescanner les lots sans les rejeter en premier, ce qui a eu pour résultat que les bulletins de vote étaient comptés 4 à 5 fois.

4. Vers approximativement minuit, j'ai été appelée pour aider l'un des travailleurs avec un bourrage de papier et j’ai remarqué que son ordinateur avait numérisé plus de 400 bulletins de vote - ce qui signifie qu'un lot avait été compté plus de 8 fois. Cela s'est produit un nombre incalculable de fois pendant que j'étais au centre TCF. J'ai confronté mon manager, Nick Ikonornakis, en lui disant à quel point c'était un gros problème, Nick m'a dit qu'il ne voulait pas entendre que nous avions un gros problème. Il m'a dit que nous étions là pour aider avec le travail informatique, pas pour gérer leur élection.

5. Le processus d’adjudication (Ndt contrôle de la validité des bulletins), d'après ce que je comprends, suppose qu’il y ait un républicain et un démocrate qui examinent ces bulletins. J'ai entendu de nombreux travailleurs parler pendant les changements d'équipes selon lesquels sur plus de 20 machines il y avait deux démocrates jugeant les bulletins de vote dans un processus inéquitable.

6. Ensuite, je veux décrire ce qui s'est passé durant le changement d'équipe, ça a été un désastre chaotique. Ça a pris plus de deux heures pour que les employés arrivent à leurs «zones assignées», plus de 30 employés ont été emmenés à l'étage et ont dit qu'ils n'avaient pas de travail à faire. Ces personnes ont été choisies pour compter les bulletins, parmi lesquels 6 m'ont avoué n'avoir reçu absolument aucune formation.

7. Les travailleurs de l'équipe de nuit étaient libres d'aller et venir à leur guise, ils pouvaient sortir de la salle de comptage et aller fumer. C'est illégal, car il y avait des urnes et des piles de bulletins de vote partout, n'importe qui aurait pu en retirer ou en apporter, et personne ne les regardait.

8. Il y a eu deux fourgonnettes qui se sont arrêtées dans le garage de la salle de comptage, une lors du changement de jour et une lors du changement de nuit. Ces fourgons apportaient apparemment de la nourriture dans le bâtiment parce qu'ils n'avaient même pas assez de nourriture pour 1/3 des travailleurs. Je n'ai jamais vu aucune nourriture sortir de ces fourgons, par hasard, il a été annoncé aux nouvelles que le Michigan avait découvert 100'000 bulletins de vote de plus - même pas deux heures après le départ de la dernière camionnette.

9. Lorsqu'un travailleur avait un bulletin de vote qu'il ne pouvait pas lire ou qu'il y avait quelque chose par exemple de renversé dessus, ils devaient aller à une table sur laquelle il y avait des bulletins blancs dessus et en remplir un autre. Ils étaient censés les remplir exactement comme celui qu’ils avaient reçu mais ce n’était pas du tout le cas. Les travailleurs signaient aussi le nom de la personne à laquelle appartenait le bulletin de vote - ce qui est clairement illégal.

10. Samuel Challandes et un autre jeune homme dans la vingtaine étaient chargés d’introduire les résultats dans l'ordinateur principal. Ils n'avaient absolument aucun superviseur, mon manager Nick devaient les assister pour toutes questions, mais Nick était au rez-de-chaussée la plupart du temps dans l’assistance avec les IT (Ndt les informaticiens).

11. A un moment j'ai entendu Samuel parler à Nick à propos de la perte de tonnes de données, ils ont tous pris leurs téléphones et se sont mis d’un côté de l’étage. J'ai demandé à Nick ce qui se passait et il m'a dit que tout était pris en charge et de ne pas m'en soucier. Je crois vraiment que c'était quelque chose de très crucial qu'ils venaient juste de dissimuler.

12. J'étais la seule républicaine à travailler pour Dominion Voting, et sur l’étage il y avait beaucoup de commentaires terribles faits par les employés de la ville et ceux de Dominion à propos des Républicains. Je n'ai pas montré que j'étais républicaine, j'ai une famille à la maison et je savais que j’allais devoir marcher jusqu'à ma voiture à la fin de mon quart de travail. Si quelqu'un avait un drapeau américain sur sa chemise ou sur son masque, il était automatiquement considéré comme un partisan de Trump.

13. J'ai appelé le FBI et leur ai rapporté ce que j’avais vu, il m'a été dit que je recevrai un rappel en retour de leur part.

14. Je fais de mon mieux pour m'assurer que quelque chose soit fait à ce sujet, j'y étais et j'ai vu tout ça se dérouler.

En ce 8 novembre 2020, est venue devant moi personnellement Mellissa A. Carone, qui en ma présence a exécuté l'affidavit qui précède et qui, ayant dûment juré, dépose et atteste qu’elle a lu l'affidavit ci-dessus souscrit par elle et en connaît le contenu, et qu'il en est de même de ses propres connaissances et croyances, sauf en ce qui concerne les questions qu'elle déclare être à titre informatif, mais qu’elle croit être vraies.

Suivent les signatures de Melissa A. Carone et d’autres témoins.

[6]

Melissa Carone a donc affirmé dans sa déclaration avoir vu un fourgon arriver au milieu de la nuit, censé amener une nourriture qu’elle n’a jamais vue, et suspecte donc que c’étaient des bulletins de vote. Et les enregistrements publiés plus tard montrent qu’effectivement à 06 h31 du matin un lot de 149'772 bulletins a bien été enregistré et dont 96 % (!) étaient en faveur de Joe Biden. A ce stade les déclarations de la jeune Melissa Carone sont donc plutôt confirmées.

Dans le graphique ci-dessus on voit qu’à 6:31 AM un lot de 149’772 bulletins a bien été enregistré, dont 96% en faveur de Biden. Ce lot a inversé l’avance de Trump sur Biden (graphique du bas). (N.B. ce graphique comme celui qui suit ont été faits par des analystes de données républicains mais ils ne sont contestés par personnes)

Bien sûr on pourrait se dire que c’est un pur hasard, un hasard que le plus gros lot arrive juste en fin de nuit, qu’il est à 96 % en faveur de Biden (ce qui est énorme) et que cela arrive précisément dans un Etat pivot dont le résultat est crucial.

Sauf que l’on peut douter aussi de ce hasard lorsque ce même scénario se répète lui aussi dans un autre Etat pivot comme le Wisconsin, qui voit lui aussi arriver le plus gros lot le lendemain au milieu de la nuit, que ces bulletins sont tous en faveur de Biden et qu’ils inversent donc eux aussi l’avance de Trump sur Biden.

(N.B. Selon la très réputée avocate Sidney Powell, ancienne procureure fédérale, qui a déposé des actions en justice en Géorgie et en Pennsylvanie le 25 novembre, avec derrière elle des experts en mathématiques et statistiques, elle possèderait des preuves irréfutables d’impossibilités statistiques. L’argument repose sur le calcul des probabilités. Lorsque vous lancez 86'000 fois de suite une pièce il est impossible qu’elle retombe 86'000 fois de suite sur le même côté. Ce qui semblerait être arrivé avec certains lots de bulletins en faveur de Biden et qui montreraient donc des séries en faveur de Biden bien trop longues et bien trop lisses pour être crédibles dans un phénomène d’aléatoire. Si de telles suites assez longues de bulletins sont prouvées et peuvent être recoupées à des témoignages de fraudes alors nul doute que des enquêtes judiciaires auront lieu avec à la clé de possibles annulations de scrutins et de possibles scandales avec destinations prisons garanties.)

[7]

En tout état de cause on comprend ici en tout cas deux choses. La première est que si Trump n’obtient pas des audits complets et agréés par lui, la vérification de la validité de tous les bulletins, et pas de simples recomptages de voix, alors nous serons face à une parodie de justice, son droit d’être entendu et de faire valoir son droit seront violés. Il y aura sur le fond un déni de justice.

On comprend aussi que tout se jouera au niveau des preuves, en rappelant qu’une chose peut bien être arrivée mais ne jamais être reconnue par la justice. La vérité de la vie réelle est parfois ignorée par la vérité judiciaire lorsque cette dernière trouve que les éléments présentés ne sont pas assez probants, ce qui est souvent une affaire d’interprétation dans laquelle la subjectivité (politique) peut parfois aussi jouer de sales tours.

Ce que l’on voit dans les graphiques présentés ci-dessus ne sont à ce stade que des anomalies statistiques. Si l’on prend individuellement ces anomalies elles ne prouvent rien, tant qu’on ne trouve pas d’autres éléments liés ou qu’on n’a pas de confirmation d’actes malveillants. Il a été dit que ce ces lots de bulletins de vote sortis du milieu de la nuit s’expliquaient parce que c’étaient des votes par correspondance qui ont surtout la faveur des Démocrates. Ce qui reste aussi à prouver et en relation avec les affirmations de la jeune Melissa Carone ou avec les arguments de l’avocate Sidney Powell. Mais ce qui gêne surtout ici, c’est – précisément – et déjà, l’accumulation de toutes ces anomalies, de toutes ces affirmations de fraudes et d’autres erreurs de toutes sortes qui, à ma connaissance, vont toujours et tout le temps dans le même sens, c’est-à-dire exclusivement en faveur de Joe Biden et des Démocrates.

Des anomalies et des erreurs inexpliquées il y en a. Lorsque accumulées elles vont toutes et toujours dans le même sens en faveur d’un seul candidat, que s’y ajoute des plaintes étayées, alors la suspicion est plus que fondée.

Comment expliquer par exemple ces autres erreurs de « transferts de voix » qui ont comme par hasard enlevé des voix à Trump pour les attribuer à Biden ? Deux cas au moins sont à ce jour documentés. L’un dans le comté d’Antrim (toujours le Michigan) qui a soustrait 3'000 voix à Trump pour les attribuer à Biden, donnant à ce dernier 6'000 voix d’avance sur Trump. Les autorités ont reconnu l’erreur, redonné l’avance à Trump, sans toutefois s’étendre ni livrer aucun rapport, attribuant ce transfert de voix à une simple erreur d’un clerc (greffier) qui aurait oublié de mettre à jour le logiciel servant à agréger les résultats. Dans le Michigan, donc, on peut arriver à envoyer des hommes sur la lune mais avoir des logiciels incapables d’additionner des boules rouges et des boules bleues sans les confondre entre elles et les mélanger. Ce n’est tout simplement ni sérieux ni crédible.

Le deuxième cas certifié (à ma connaissance et à ce jour) est arrivé en Pennsylvanie, où tout le monde a pu voir en direct sur CNN le total des voix de Biden augmenter de 19'958 voix alors qu’il diminuait instantanément du même montant pour Trump (ne pas confondre avec l’erreur du Kentucky en 2018). L’erreur a ici aussi été reconnue, et selon les fournisseurs du système informatisé de compte électoral ce serait cette fois une erreur de totaux provenant du comté d’Armstrong qui auraient été entrés manuellement et « par erreur » à l’envers par un opérateur !

Deux erreurs ici certifiées et corrigées, une fois parce que le logiciel n’a pas su faire l’addition l’autre fois parce que c’est l’opérateur qui n’a pas su la faire manuellement. Et à chaque fois une erreur en faveur de Biden. Toujours en faveur de Biden. Qui peut seulement croire ça ?

Et ici ce ne sont que des exemples parmi d’autres qui ne cessent de s’accumuler au milieu d’actes très graves, comme ceux décrits par exemple dans cette autre plainte déposée par Cheryl A. Costantino et qui s’ils sont prouvés devraient à mon sens à eux seuls faire annuler tout le scrutin du Michigan.

Extrait :

« En résumé, cette plainte soulève de nombreux cas de fraude, y compris, mais non limité à:

a. Les accusés traitaient et comptaient systématiquement les bulletins d’électeurs dont le nom ne figurait pas dans le fichier des électeurs qualifiés (QVF) ou dans le fichier supplémentaire. Lorsque le nom d’un électeur ne pouvait pas être trouvé, l’employé électoral attribuait le vote à un nom aléatoire déjà dans le QVF d’une personne qui n'avait pas voté.

b. Les accusés demandaient aux agents électoraux de ne pas vérifier les signatures sur les bulletins de vote par correspondance, d’antidater les bulletins de vote par correspondance et d’enregistrer ces bulletins indépendamment de leur validité. (… suit jusqu’à lettre j.) »

[8]

Ce que l’on voit ici, déjà, au travers des quelques éléments présentés, ce ne sont ni des anecdotes ni des broutilles. Ce que l’on voit ne ressemble pas à des faits isolés mais bien à une volonté étendue, globale, plurielle et quasi systématique qui va toujours dans le même sens. Les faire passer pour des élucubrations du président Trump ou des faits insignifiants revient tout simplement à travestir la réalité, et à faire croire aux citoyens autre chose que la réalité.

QUAND LA DÉMOCRATIE S’EFFONDRE

Bien évidemment toutes ces erreurs, anomalies et plaintes, ne sont à ce stade que des dossiers pré-judiciaires. Mais ils montrent cependant, déjà, une véritable catastrophe pour nos démocraties, littéralement un effondrement de la Démocratie et de nos valeurs, et non pas pour la raison que l’on pourrait croire, et sans préjudice de ce que dira la justice.

Lorsque celui qui est censé être le gardien de la vérité (la presse) devient celui-là même qui sabote la vérité alors l’on comprend où l’on veut en venir.

Au vu des plaintes, des anomalies statistiques et des témoignages, Trump était (et sera toujours) parfaitement légitimé à demander des enquêtes et des comptes en justice, toutes les enquêtes, tous les audits et tous les recomptages qu’il pourra juger nécessaires. Comme n’importe quel citoyen le serait dans n’importe quel Etat de Droit. Mais au a lieu de demander le respect de son droit, de le reconnaître, c’est une curée médiatique visant à détruire qui s’est déchaînée contre lui, avec une stupidité parfois sans bornes. Et c’est ici exactement ça le problème.

Entre un président de la commission des affaires étrangères du Bundestag allemand, qui à peine deux jours après le vote, s’est précipité sur CNN tel un lèche-bottes (c’est le nom qui convient) pour dire (enfin) tout le mal qu’il pensait de Trump (quel courage) et alors que le sort définitif de l’élection n’était pas encore connu (quelle stupidité) [9] ; entre un rapport de l’OSCE du très européen observateur digne de confiance de l’élection qui a produit son rapport complet lui aussi à peine deux jours après le vote et alors que l’élection n’était pas encore certifiée ni purgée de ses contentieux juridiques (quelle intelligence, si le résultat change entre temps) rapport officiel qui n’a trouvé dans l’élection comme seul vrai problème qu’une attitude négative de Trump durant la campagne (quel crédit, qui les croira encore ?) [10]  ; entre des médias parfaitement pitoyables qui ont eux-mêmes (s’érigeant en juges) élu Biden en manipulant l’information et qui, jusqu’à la RTS, sont arrivés à nous expliquer, un jour que Trump commençait à reconnaître sa défaite, puis à nous dire (puisque ce n’était pas vrai) qu’il était dans le délire, on comprend que le problème ce n’est pas seulement que cette élection puisse voir son intégrité remise en cause.

Le problème c’est cette presse qui ment et manipule, qui décide, contrairement aux faits, ce que doivent croire ou non les citoyens à propos du résultat d’une élection. Le problème c’est cette chaîne de désinformation allant des politiques aux journalistes qui peut faire croire aux gens l’exact inverse de la réalité. Car non, Trump n’agit pas en dictateur qui refuse illégitimement le transfert du pouvoir, c’est un candidat qui au vu des faits et des témoignages est parfaitement légitimé à demander des enquêtes et des comptes judiciaires avant tout transfert du pouvoir présidentiel.

Au vu des faits et des témoignages, Trump ne viole pas les institutions (le pourrait-il seulement) c’est au contraire un candidat qui en demande le respect et l’intégrité.

La vérité est un des piliers de la démocratie. Si les faits ne sont pas traduits correctement alors plus aucune décision ne peut plus être prise librement, la démocratie n’est plus qu’un simulacre vide de sens.

Ce que l’on a ici sous nos yeux c’est un effondrement de la Démocratie.

Non pas parce que nous assistons à un degré inédit de corruption électorale dont la justice devra dire ce qu’il en est, mais parce que nous avons sous les yeux une presse mondiale qui est en train de mentir sur les faits, de tenter de manipuler l’opinion publique en travestissant la réalité au point de heurter sans aucune sanction nos valeurs de vérité et de démocratie.

Ce qui se passe juste là sous nos yeux c’est une péjoration profonde et délétère de l’état de notre Démocratie. C’est celui d’un monde où c’est la presse qui désormais fait la loi. Une presse profondément corrompue.

Face à un tel événement, face à une telle démonstration de corruption et de travestissement de la réalité, on comprend que l’après ne sera plus jamais comme l’avant, que des réactions vont forcément être engendrées. Essayer de manipuler le sort d’un scrutin électoral c’est amener la corruption jusqu’au cœur même de la Démocratie, seul un fou oserait croire qu’une telle tentative de manipulation de cette ampleur puisse rester sans conséquences.

La presse, stupide parce qu’arrogante, a ici franchi le Rubicon, une ligne rouge dont il ne sera pas possible de revenir en arrière. Quelqu’un forcément en payera le prix. La presse parce que le peuple l’aura prise odieuse la main dans le sac, le peuple parce que sans opposition les journalistes sans scrupules iront toujours plus loin dans la manipulation.

Les citoyens qui ont un peu de conscience devraient se lever frontalement contre cette presse qui tente actuellement de manipuler l’opinion publique. Nul ne peut prétendre vivre en liberté et en démocratie lorsque la presse peut relater de manière exactement inverse à la réalité ce qui se passe dans la première puissance économique et démocratique du monde. Et au-delà des théories et des opinions, ce sont les faits, et ils sont là, juste sous vos yeux.

Si vous ne le croyez pas relisez juste les affidavits que la presse tente de faire passer pour de simples anecdotes ou des élucubrations. Et demandez-vous si vous risqueriez vous-même 5 ans de prison pour les soutenir devant un juge. Sans doute alors auriez-vous à nouveau un peu plus accès au véritable sens de la réalité.

Michel Piccand

P.S.

Cet article n’est qu’un instantané de la situation. Celle-ci amenant chaque jour son lot de faits nouveaux. Tout ce qui pourrait encore se passer ne change rien à ce qui est dit sur l’effondrement de la Démocratie et la corruption de la presse. Le crime, comme l’on dit, est déjà consommé.

Ce qu’il importe de voir c’est que sans internet, sans les médias alternatifs, sans les réseaux sociaux, les citoyens suisses et plus généralement européens n’auraient strictement rien su de la réalité présentée ici. Ceux qui suivent la RTS, Le Temps, Tamedia, Ringier, l’ATS, Le Monde, l’AFP, etc. n’en auraient strictement rien su. Et ça c’est une leçon capitale. A retenir.

Alors que nous écrivions ces lignes, que la bataille juridique devient de plus en plus énorme et que son existence et sa légitimité ne font aucun doute, que l’avocate Sidney Powell vient juste de déposer ses plaintes en Géorgie et Pennsylvanie, qu’elle va encore amener de nombreuses preuves, que le nombre de témoignages de fraudes ne cesse de se multiplier, la RTS publiait le titre ci-dessous. Si ça ce n’est pas de la désinformation alors on ne sait pas ce que c’est.

https://www.rts.ch/info/monde/11782282-donald-trump-fait-un-pas-de-plus-vers-lacceptation-de-sa-defaite.html

NOTES

[1]

https://www.senatorlanatheis.com/theis-barrett-letter-urges-benson-to-take-action-on-alleged-voter-fraud-irregularities/

[2]

AFFIDAVIT OF RICHARD HOPKINS

https://fr.scribd.com/document/483333233/AFFIDAVIT-OF-RICHARD-HOPKINS

[3]

USPS Whistleblower Richard Hopkins FULL COERCIVE INTERROGATION By Federal Agents.

https://www.youtube.com/watch?v=QkNkQ2nDQfc&feature=youtu.be

[4]

https://twitter.com/McAdooGordon/status/1326759794913456129

Tweets du 11-12 nov.

[5]

https://www.washingtonpost.com/investigations/postal-worker-fabricated-ballot-pennsylvania/2020/11/10/99269a7c-2364-11eb-8599-406466ad1b8e_story.html

[6]

AFFIDAVIT OF MELISSA A. CARON

https://www.greatlakesjc.org/wp-content/uploads/Supplemental-Brief-Motion-for-TRO-Costantino.pdf

[7]

Sidney Powell

https://www.youtube.com/watch?v=TSZagObThPY

https://www.defendingtherepublic.org/

[8]

PLAINTE COSTANTINO p. 3

https://www.greatlakesjc.org/wp-content/uploads/Complaint-Costantino-FINAL-With-Exhibits.pdf

[9]

INTERVIEW DE NORBERT RÖTTGEN (CDU) président de la commission des affaires étrangères du Bundestag allemand, sur CNN. 4 novembre 2020.

German lawmaker: Trump's behavior 'awful' Amanpour

https://edition.cnn.com/videos/tv/2020/11/04/amanpour-norbert-roettgen-trump.cnn

[10]

RAPPORT OSCE

Des élections très compétitives aux États-Unis ternies par l'incertitude juridique et des tentatives sans précédent de saper la confiance du public, disent les observateurs internationaux.

(Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe)

« Les allégations sans fondements de carences systématiques, notamment de la part du président sortant, y compris lors de la nuit de l’ élection, nuisent à la confiance du public dans les institutions démocratiques ».

Rapport des constats et conclusions préliminaires de la Mission internationale d’observation de l’élection, publié le 4 novembre 2020. P. 23.

Bureau des institutions démocratiques et des droits de l'homme de l'OSCE (ODIHR) et de l'Assemblée parlementaire de l'OSCE (AP OSCE).

https://www.osce.org/files/f/documents/9/6/469437.pdf

20minutes.ch et Trump

24.11.2020 à 00:48

Trump donne son feu vert au processus de transition politique

(AFP/NXP) Tout en se montrant combatif, le président américain sortant a autorisé le début du protocole de transition vers une administration Biden.

Il n’a jamais été aussi près d’admettre sa défaite: Donald Trump a finalement donné lundi soir son feu vert au processus de transfert du pouvoir à Joe Biden, qui avait commencé, sans l’attendre, à dessiner son gouvernement.

Après plus de deux semaines d’un refus sans précédent dans l’histoire politique américaine, Donald Trump s’est toutefois encore gardé de reconnaître directement la victoire du démocrate. Il a promis sur Twitter de poursuivre un «juste combat» alors qu’il multiplie les recours en justice, sans succès, pour tenter de démontrer des fraudes lors du scrutin présidentiel du 3 novembre. Et «je crois que nous triompherons», a-t-il affirmé.

«Néanmoins», a nuancé le président américain sortant, «dans l’intérêt supérieur de notre pays, je recommande» que l’agence gouvernementale chargée du transfert du pouvoir fasse «ce qui est nécessaire concernant les protocoles, et j’ai demandé à mon équipe de faire de même».

L’équipe de Joe Biden a aussitôt pris note d’une étape permettant «un transfert du pouvoir pacifique et sans accroc». Le démocrate prépare son entrée à la Maison-Blanche le 20 janvier avec plusieurs personnalités chevronnées ayant servi sous Barack Obama, comme Antony Blinken, futur chef de la diplomatie américaine, ou Janet Yellen, pressentie au Trésor. L’ancien secrétaire d’État John Kerry, 76 ans, fera lui aussi son retour à Washington en tant qu’émissaire spécial du président sur le climat, signe de l’importance qu’accorde Joe Biden à ce dossier.

«République bananière»

Aucun doute ne pesait plus sur le fait que le démocrate deviendrait le 46e président des États-Unis. Mais le déni jusqu’ici de Donald Trump ...

[...]

article complet: https://www.20min.ch/fr/story/trump-donne-son-feu-vert-au-processus-de-transition-politique-555272594920
(AFP/NXP)

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*****

25.11.2020 à 21:49

Trump n’en démord pas: «Nous avons gagné facilement»

(AFP/NXP) Le président sortant a appelé ses partisans à «inverser» le résultat de l’élection présidentielle lors de l’Assemblée locale de Pennsylvanie.

Le président américain Donald Trump a appelé mercredi ses partisans à «inverser» le résultat de l’élection présidentielle plus de deux semaines après l’annonce de la victoire de son rival démocrate Joe Biden, dénonçant, sans preuve et malgré les revers en justice, un scrutin «frauduleux».

Dans une curieuse scène, le milliardaire républicain s’est adressé à travers un haut parleur de téléphone, tenu au micro de son avocat Rudy Giuliani, à des sénateurs républicains de l’Assemblée locale de la Pennsylvanie. «Nous devons inverser cette élection», a-t-il déclaré. Les démocrates «ont triché. Ça a été un scrutin frauduleux.»

Les résultats de cet Etat-clé ont été certifiés officiellement mardi en faveur de Joe Biden. Aucune fraude massive n’a été démontrée lors de la présidentielle du 3 novembre.

source: https://www.20min.ch/fr/story/trump-nen-demord-pas-nous-avons-gagne-facilement-454123081651

Pour le journal français Le Nouvel Obs, Trump est un fasciste

Trump est le premier fasciste produit par la pop culture

Donald Trump est indubitablement un fasciste, et sa manière de quitter le pouvoir comme un forcené cerné par la police le montre une fois de plus. Mais il est un fasciste d’un genre nouveau. Il n’est pas sorti des sous-sols habituels de l’extrême droite. Il n’a pas été propulsé sur la scène politique par une alliance de militaires et de religieux. Son talent oratoire n’est pas celui d’un tribun entraîné à soulever des foules de skinheads. Il faut rappeler que Trump, avant d’être politicien, exerçait le métier étrange de célébrité, et que ses employeurs étaient les institutions culturelles qui, aujourd’hui, le combattent.

[...]

Nouvelobs.com

Entre Fox News et Trump, un bruyant divorce

Libération, par Hala Kodmani5 novembre 2020
((article repris également par le journal suisse subventionné, et par conséquent militant, Le Courrier.)

Citation Joseph Staline vote : Ce qui compte ce n'est pas ...

***

Rien ne va plus entre la chaîne ultra-conservatrice du groupe Murdoch et le président sortant. Mercredi matin, les présentateurs et commentateurs vedettes ont corrigé les déclarations victorieuses de Trump au grand dam de la Maison Blanche.

«Fox News s’éloigne de Trump sur la pointe des pieds comme on s’écarte dans une soirée du gars qui vient de péter.» Cette comparaison imagée a été tweetée jeudi à l’aube par Gabriel Sherman, journaliste à Vanity Fair et auteur d’un best-seller sur la chaîne ultra-conservatrice.

Il venait de révéler qu’un Donald Trump furieux avait appelé Rupert Murdoch, propriétaire de Fox News, «hurlant en exigeant le retrait immédiat» par la chaîne de son information sur le vote de l’Arizona en faveur de Joe Biden. Fox News avait été la première source, avec l’agence Associated Press, à rapporter que les 11 voix des grands électeurs de cet Etat revenaient à Biden tandis que les cartes de projection présentées à l’antenne étaient les plus pessimistes pour Trump.

La veille déjà, lorsque le président avait, dans un discours depuis la Maison Blanche, revendiqué la victoire en direct, criant à la fraude, les commentateurs de Fox News avaient été à la pointe des critiques.

La petite phrase de la star Chris Wallace, présentateur de l’émission politique la plus regardée du pays, accusant Trump de «craquer une allumette sur une situation inflammable», a été reprise par de nombreux commentateurs. C’est ce même Chris Wallace qui a aussitôt pointé les mensonges du Président sur les votes qui lui étaient acquis. Non, Trump n’a pas gagné tous les États qu’il a énumérés, a-t-il corrigé à l’antenne. Non, il n’a pas déjà gagné cette élection, comme il l’a affirmé.

De quoi nourrir la colère de l’équipe de campagne de Trump, habituée à avoir Fox News comme son principal relais d’information. «Fox News a manipulé les informations la nuit dernière», a affirmé un ancien conseiller du Président au journaliste de Vanity Fair. «Il faut que ça change, sinon il y aura des conséquences majeures», a-t-il menacé. Jeudi dans la journée, l'équipe de campagne de Trump a publié un communiqué dénonçant le rédacteur en chef du service actualité de Fox News comme un «démocrate électeur de Clinton et donateur de Biden», et l'accusant d'avoir attribué un État à Biden avant la clôture officielle du dépouillement.

Que sa chaîne d’information préférée soit porteuse de mauvaises nouvelles a été sans doute le coup de grâce pour le président américain, le signe que son deuxième mandat était compromis.

Car entre Fox News et Donald Trump, plus qu’une alliance, c’est une convergence idéologique et commerciale qui a longtemps existé. Chacun doit tout à l’autre. Dès sa première campagne pour la Maison Blanche en 2016, Trump a été propulsé par la chaîne, qui a de son côté vu prospérer son audience en l’accueillant régulièrement sur les plateaux, allant jusqu’à relayer ses fake news, sans les corriger ou les nuancer.

Mais un début de virage de Fox s’est amorcé dans les dernières semaines de la campagne.

Le patron de la chaîne, Rupert Murdoch, magnat des médias, aurait confié à ses associés depuis des mois que Trump allait perdre, rapporte Vanity Fair. Lors de l’un de ses derniers rassemblements électoraux dans le Michigan, vendredi dernier, Donald Trump s’est moqué de l’animatrice vedette de Fox News, Laura Ingraham, pour avoir porté un masque sanitaire. Il s’est plaint du groupe en général, disant à la foule : «Quelque part le long de la ligne, nous avons perdu Fox, mais ce n’est pas grave.» En effet, qu’importe que la chaîne ne porte plus sa voix si Trump n’est plus président des Etats-Unis.

Hala Kodmani

source: https://www.liberation.fr/planete/2020/11/05/entre-fox-news-et-trump-un-bruyant-divorce_1804706

 

Donald Trump attaque violemment le docteur Fauci

20 Minutes avec AFP - Pour le locataire de la Maison-Blanche, s’il avait écouté l’immunologue les Etats-Unis auraient eu « 700.000 ou 800.000 morts »

Donald Trump continue de s’en prendre au docteur Anthony Fauci, figure pourtant respectée aux Etats-Unis et membre de la cellule de crise de la Maison-Blanche sur le coronavirus. Les propos du président sont une nouvelle fois très virulents. « Les gens en ont marre [d’entendre parler] du Covid […] marre d’entendre Fauci et tous ces idiots », a-t-il déclaré dans un échange téléphonique lundi avec des membres de son équipe de campagne, auquel plusieurs médias américains ont eu accès.

« Ce type est un désastre »

Pour le locataire de la Maison-Blanche, le docteur Fauci « est un désastre ». « Il est là depuis 500 ans », a-t-il encore ironisé, évoquant cet expert de 79 ans reconnu mondialement, qui dirige l’Institut des maladies infectieuses. « Si nous l’avions écouté, nous aurions eu 700.000 ou 800.000 morts », a affirmé Donald Trump, tout en jugeant qu’il serait contre-productif de le limoger à l’approche de l’élection présidentielle du 3 novembre.

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article complet: https://www.20minutes.fr/monde/2889099-20201020-cooronavirus-donald-trump-attaque-violemment-docteur-fauci

Washington. Marche des femmes : des militants du BLM auraient frappé une supportrice de Trump. Elle a été hospitalisée pour des blessures à la tête et au cou.

La supportrice pro Trump Isabella Maria DeLuca affirme que des activistes de la Marche des femmes et de Black Lives Matter l'ont agressée à Washington, D.C., samedi, lors d'un rassemblement pro-Trump.

Madame DeLuca a partagé une photo de ses blessures sur Twitter samedi. Son message est rapidement devenu viral.

Madame DeLuca - directrice de l'information pour les Républicains pour le renouveau national - a déclaré qu'elle manifestait pacifiquement à Washington samedi avec un drapeau pro-Trump quand une femme s'est approchée d'elle et a commencé à essayer de lui enlever le drapeau.

Le journal a noté que Madame DeLuca manifestait également pour montrer son soutien à la juge Amy Coney Barrett, candidate à la Cour suprême.

 

 

Selon le rapport, lorsque la femme plus âgée s'est approchée de Madame DeLuca et n'a pas réussi à arracher le drapeau, elle a commencé à frapper et à donner des coups de poing à Madame DeLuca.

Dans une déclaration, Madame DeLuca a déclaré : "La première femme était une femme blanche plus âgée - elle portait des lunettes, la chemise noire étincelante et scintillante de Black Lives Matter. Elle aurait pu être ma grand-mère, honnêtement."

 

 

 

Elle a poursuivi en expliquant qu'une femme plus jeune s'est approchée. Celle-ci aurait alors également tenté d'arracher le drapeau pro-Trump de Madame DeLuca. Lorsque Madame DeLuca a refusé de le laisser, la jeune femme aurait commencé à la frapper et à l'étrangler.

Selon le communiqué, "Madame DeLuca a déclaré qu'elle se sentait réticente à se défendre en raison de l'âge avancé de son agresseur, mais qu'elle était déterminée à récupérer le drapeau lorsqu'il a été arraché".

Madame DeLuca a été hospitalisée après l'attaque et, selon le communiqué, elle a été traitée au moyen d'un collier cervical en raison de blessures à la tête et au cou.

Madame DeLuca a partagé une photo de ses blessures sur Twitter, avec la légende suivante : "Les conséquences du soutien à @realDonaldTrump lors de la Marche des femmes d'aujourd'hui"

Lundi matin, Madame DeLuca - qui a apparemment reçu des réactions négatives pour avoir partagé son histoire sur les médias sociaux - a tweeté : "Le fait que je doive même venir ici et me défendre devant une bande de gauchistes dégoûtants est triste. Elle m'a volé mon drapeau et j'ai levé la main pour le récupérer au sol afin de ne pas recevoir de coups de pied quand je me trouvais à terre".

 

 

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Theblaze.com

 

États-Unis : la chaîne NBC News avait fait interroger Joe Biden par des “électeurs indécis” qui étaient en réalité pro-Biden

NBC News a, lors d’une session de questions réponses en début de semaine, présenté des électeurs “indécis”, qui avaient déjà déclaré leur soutien au candidat démocrate Joe Biden sur la chaîne sœur du réseau, MSNBC.

L’avocat Peter Gonzalez et le responsable marketing Ismael Llano avaient posé des questions à Joe Biden lundi, lorsqu’il était apparu au devant de ce que la chaîne avait qualifié de “public d’électeurs indécis de Floride”.

Cependant, Gonzalez et Llano avaient été présentés dans un segment de MSNBC en août pour expliquer pourquoi ils soutenaient Biden. Si nous avons quatre années supplémentaires de Trump, bonne chance, et bonne chance pour que l’avenir attire des électeurs plus jeunes“, avait déclaré M. Gonzalez alors qu’un bandeau de MSNBC indiquait qu’il “va voter pour Biden”. Llano avait également été identifié comme “votant pour Biden” et avait fait l’éloge de l’ancien vice-président.

 

 

Or lundi, Lester Holt de NBC déclara que Llano “a voté pour Hillary Clinton il y a quatre ans, mais avait voté républicain par le passé”. Gonzalez, dont l’historique de vote n’a pas été mentionné, avait demandé à Biden d’apaiser les inquiétudes de sa famille qui craint que le démocrate ne soit redevable à “la gauche radicale”.

Les électeurs cubano-américains et vénézuéliens du sud de la Floride sont visés par les messages de la campagne Trump qui prétendent qu’un vote pour Joe Biden est un vote pour la gauche radicale et le socialisme, et même le communisme“, a déclaré M. Gonzalez. Que pouvez-vous dire aux membres de ma famille, à mes amis – qui sont naturellement concernés par cette question – pour qu’ils se sentent à l’aise de voter pour Joe Biden et Kamala Harris ?

Ce n’est pas la première fois que des réseaux de télévision présentent des opposants à Trump se faisant passer pour des électeurs indécis, difficiles à trouver et souvent moins bavards sur leurs opinions politiques. Le mois dernier, ABC News avait décrit plusieurs critiques de Trump comme des électeurs indécis, dont un qui avait précédemment décrit Trump comme un “crétin”, un “pathétique”, un “cochon”, un “porc” et un “vaurien d’âne” sur les médias sociaux.

Un autre électeur “indécis” présenté à l’émission de NBC, Mateo Gomez, avait déclaré à MSNBC le 30 septembre pencher plutôt pour voter Biden que Trump après avoir regardé le premier débat.

NBC News n’a pas répondu à notre demande de commentaires.

D’autres personnes présentées à l’émission avaient affiché une nette préférence pour Biden sur les réseaux sociaux. Michelle Cruz Marrero, décrite comme une ancienne républicaine, n’a pas semblé être indécise : Plusieurs de ses “photos de couverture” sur Facebook sont soit pro-Biden, soit anti-Trump.

 

 

Une autre électrice à l’émission, Cassidy Brown, avait demandé à Biden comment protéger “les droits reproductifs des femmes”. Biden avait ensuite tweeté l’échange et s’était engagé à codifier l’affaire Roe contre Wade. Mais l’utilisation des réseaux sociaux par Cassidy Brown suggère également qu’elle n’est pas une électrice indécise. […]

Washington Free Beacon

Via Fdesouche

Denver (États-Unis) : un manifestant pro-Trump abattu, à nouveau les antifas célèbrent sa mort

 

 

 

 

Une personne est décédée et un autre homme, qui, selon la police, était un garde de sécurité privé, est en garde à vue après une fusillade lors d’un duel de manifestations samedi au centre-ville de Denver.

9News a rapporté qu’un de leurs employés et un entrepreneur de la chaîne de télévision ont été placés en garde à vue. La chaîne a confirmé plus tard que le garde avait été embauché par Pinkerton et que «c’était la pratique de 9NEWS depuis plusieurs mois d’embaucher des services de sécurité privés pour accompagner le personnel lors des manifestations».

La police a d’abord déclaré que deux personnes avaient été placées en garde à vue, mais a déclaré plus tard que l’une d’entre elles n’était pas impliquée dans l’incident. Ils ont tweeté que le suspect était un agent de sécurité privé sans affiliation avec les antifas.

Un homme participant à ce qui a été présenté comme un «rassemblement des patriotes» a pulvérisé du gaz lacrymogène sur un autre homme et cet homme lui a tiré dessus avec une arme de poing. La police a déclaré samedi après-midi qu’elle travaillait sur une enquête sur l’homicide.

[…]

Au début des rassemblements, les deux groupes se criaient dessus et la police se tenait à côté. Un manifestant a brûlé un drapeau à fine ligne bleue devant les officiers.

 

 

Les manifestants de droite se trouvaient à l’intérieur de l’amphithéâtre tandis que les manifestants de gauche étaient à l’extérieur. La police ne laissait personne d’autre entrer dans la zone de l’amphithéâtre, mais à 15h30, la barrière a cédée.

DenverPost

 

 

 

 

 

 

Via Fdesouche

Michelle Obama fustige un président Trump «raciste», semant «la peur et la confusion»

Donald Trump est «raciste» et sème «la peur et la confusion» dans l'esprit des Américains, a fustigé mardi l'ancienne Première dame Michelle Obama dans un réquisitoire sévère, à moins d'un mois de la présidentielle américaine.

«Ce que le président fait est clairement faux, c'est moralement mal et, oui, c'est raciste», accuse-t-elle, en référence à la vague de manifestations contre leTim Pierces brutalités policières assimilées par Donald Trump à du «terrorisme intérieur».

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Lefigaro.fr

Cyclisme : un champion américain de 19 ans publie des tweets pro-Trump, son équipe le suspend “jusqu’à nouvel ordre”

Quinn Simmons (19 ans), le jeune coureur américain, champion du monde juniors en 2019, était passé pro cette saison, chez Trek-Segafredo. Après avoir terminé 2e du Tour de Hongrie, et 135e de la Flèche Wallonne, il va devoir interrompre momentanément sa saison. Il vient en effet d’être suspendu par son équipe « jusqu’à nouvel ordre » pour avoir publié, sur son compte twitter, un message jugé polémique et politique.

L’Equipe


Quinn Simmons, 19 ans, l’un des plus jeunes coureurs du peloton WorldTour, a été désavoué mercredi par son équipe Trek-Segafredo. Le sponsor principal avait soutenu les valeurs du mouvement Black Lives Matter.

 

 

Le cyclisme professionnel serait-il devenu soudain féministe, écolo et antiraciste ? En moins de deux mois, les organisateurs du Tour de France ont supprimé la cérémonie des hôtesses sur les podiums (faisant apparaître un homme et une femme pour remettre le prix au vainqueur), annoncé un système de pénalité prenant effet dès 2021 pour tout coureur jetant ses papiers d’emballage ou bidons usagés dans la nature. Et voilà que dans la nuit de mercredi à jeudi, un jeune prodige du cyclisme est mis à pied par son équipe pour avoir tenu des propos favorables à Donald Trump et potentiellement imprégnés de racisme. Il s’agit de l’Américain Quinn Simmons, 19 ans, qui «ne courra plus avec Trek-Segafredo jusqu’à nouvel ordre». Son employeur indique : «De façon regrettable, le coureur de l’équipe Quinn Simmons a pris des positions sur Internet que nous trouvons clivantes, injustes et néfastes pour l’équipe, pour le cyclisme professionnel, pour ses fans et pour l’avenir positif que nous espérons contribuer à créer pour ce sport.»

(…) Ce remarquable début de carrière a explosé en vol mercredi sous l’effet de quelques tweets qui confirment que le trumpisme n’est pas une idéologie tout à fait ordinaire. Ainsi, en réponse à un message de José Been, journaliste néerlandaise qui appelle ses contacts pro-Trump à ne plus la suivre, Quinn Simmons a répondu «Bye» avec l’émoji d’une main qui salue. Or, le coureur a choisi une main de couleur noire…

(...)

Libération

Trump reproche à la Chine d’avoir «infecté le monde»

Le président américain a vivement attaqué Pékin pour sa gestion de la pandémie de Covid-19 ce mardi lors de l’Assemblée générale des Nations Unies à New York.

«Les Nations Unies doivent tenir la Chine pour responsable de ses actes» au début du Covid-19 et pour avoir «lâché cette peste à travers le monde», a lancé le président des États-Unis, parmi les premiers à intervenir dans une vidéo enregistrée à l’ouverture de cette grand-messe diplomatique annuelle organisée de manière virtuelle en raison de la crise sanitaire.

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TdG


Note : Pendant ce temps, les socialistes suisses, loin d'accuser la Chine communiste, veulent faire payer les "riches". On le comprend bien, il s'agit ici de détourner l'attention de la responsabilité de l'idéologie de gauche tout en incriminant des personnes qui sont innocentes mais jugées "coupables" parce que riches, conformément au dogme gauchiste.

A relever également le long silence du Conseil fédéral sur la responsabilité de la Chine. A n'en pas douter, le même Conseil fédéral qui n'hésitera pas à faire pression sur le peuple pour "rembourser" la dette provoquée par cette pandémie.

 

Rappels :

Chine : Une virologue en exil assure que le Covid a été crée dans un labo

Coronavirus : De nombreuses protections en Suisse ne sont pas aux normes. La faute aux autorités.

Coronavirus : Berne n’a cessé de mentir sur le port des masques. « Lors de la crise, des fonctionnaires fédéraux conservaient une partie des stocks pour eux, tout en décourageant le port du masque à la population. »

Coronavirus : Après avoir martelé durant des mois que le port du masque ne servait à rien, Berset veut à présent le rendre obligatoire dans les transports publics

Daniel Koch de l’OFSP : « Il n’est actuellement pas faisable de rendre les masques obligatoires. Il faudrait 300 millions de masques pour cela. »

 

États-Unis. Une enveloppe adressée à la Maison Blanche et contenant du poison interceptée

Une lettre contenant du poison et adressé à la Maison Blanche a été interceptée ce samedi selon plusieurs médias américains. Le FBI assure que « pour l’instant il n’y a pas de menace connue pour la sûreté publique ».

Aux États-Unis, une enveloppe adressée à la Maison Blanche contenait une substance identifiée comme étant de la ricine, un poison mortel, ont rapporté samedi plusieurs médias, citant un responsable fédéral au courant de la situation.

L’enveloppe, qui semble provenir du Canada, a été interceptée dans un centre de courrier du gouvernement avant qu’elle n’arrive à la Maison blanche, ont rapporté le New York Times CNN et le Wall Street Journal.

Interrogé sur ces informations de presse, le FBI a déclaré qu’il enquêtait avec les services secrets et les services d’inspection postale américains sur une lettre suspecte reçue dans un centre postal du gouvernement.

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Ouest-france.fr

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