Si un non à l'initiative de mise en œuvre sortait des urnes le 28 février, le message envoyé serait le suivant selon Toni Brunner: «Venez, criminels, venez en Suisse, il ne pourra rien vous arriver ici.»
Blog Archives
L’UDC offre au Parlement le choix demandé
Ci-dessus : Guy Parmelin, Thomas Aeschi et Norman Gobbi
Par Toni Brunner, conseiller national, président de l'UDC Suisse.
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Interview de Toni Brunner dans l’émission “Mise au point”
Grande perdante en 2011, l’UDC a le vent en poupe, surfant sur la vague migratoire. Pour son président, toutes les solutions passent par un frein à l’immigration. Interview de Toni Brunner :
Polémique artificielle: «Toni Brunner insulte des milliers de donateurs»
Le président de l'UDC a critiqué mercredi la Chaîne du Bonheur dans la presse romande. Des propos qualifiés d'insoutenables par le directeur de la fondation humanitaire.
«Je n'ai rien donné! J'ai de la peine avec la politique organisée de la pitié.» Toni Brunner n'a pas mâché ses mots, mercredi, en répondant aux questions des lecteurs du «Matin», «24 Heures» et la «Tribune de Genève». A la question de savoir s'il avait donné de l'argent pour les réfugiés syriens dans le cadre de la récente collecte de la Chaîne du Bonheur, le président de l'UDC a affirmé qu'il préférait donner son argent à des organisations de bienfaisance, sans préciser lesquelles.
Des militants d’extrême gauche huent le discours de Tony Brunner à Zürich
L'UDC a investi la gare de Zurich pour présenter des candidats zurichois aux élections fédérales. Des militants d'extrême gauche ont gâché la fête en huant le discours de Toni Brunner.
Toni Brunner : Agir avant qu’il ne soit trop tard
Le chaos de l’asile devient de plus en plus insupportable. Les premières à faire les frais de la politique de la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga sont les communes, qui supportent des charges toujours plus importantes, et en définitive l’ensemble de la population Suisse.
Le nombre de requérants d’asile a énormément augmenté ces derniers mois. Les problèmes non résolus dans le système d’asile suisse sont de plus en plus graves. C’est là une conséquence directe de l’accord de Schengen/Dublin, ce tigre de papier. Toute l’Europe ploie sous les flux de demandeurs d’asile. Au lieu de soutenir les camps de réfugiés sur place, les États européens déplacent les émigrants économiques d’un lieu à l’autre et administrent un système qui ne fonctionne pas. Les États sud-européens, en particulier l’Italie, ne respectent en aucune façon les engagements pris dans l’Accord de Dublin. Plus grave encore : les fonctionnaires italiens remettent aux requérants d’asile renvoyés de Suisse vers Italie en application de l’Accord, dès leur arrivée à l’aéroport, un document qui les enjoint de quitter le pays dans un délai de quelques jours, sous menace d’une peine de prison. Ces individus reviennent alors directement en Suisse.
En préambule à la votation de l’an dernier sur les modifications de la loi sur l’asile, on nous a promis que les déserteurs érythréens seraient expressément exclus du statut de réfugié. Mme Sommaruga n’a pas tenu compte de ce verdict populaire. Le taux de reconnaissance pour les ressortissants érythréens durant les sept premiers mois de 2014 est excessivement élevé, à 60%. Les communes doivent tôt ou tard faire les frais de cette politique négligente, à travers leur aide sociale. À l’échelle nationale, cela représente avec les années des milliards de francs à la charge des contribuables. Le taux d’aide sociale pour les Érythréens frôle en effet les 100%.