L’un des premiers patients soignés du coronavirus raconte : « Je suis passé à deux doigts de la mort »

Le directeur adjoint d’un lycée de Rhode Island, aux Etats-Unis, s’est retrouvé dans une unité de soins intensifs après avoir accompagné un voyage scolaire en Italie.

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Marc Thibault s’est réveillé, groggy, entouré de machines, mais il était suffisamment alerte pour savoir ce que cela signifiait lorsqu’il a levé les yeux et vu un prêtre, portant un équipement de protection, à son chevet à l’hôpital Miriam de Rhode Island.

« Oh la vache », se rappelle avoir pensé Thibault. « J’ai 48 ans et je vais recevoir mes derniers sacrements. »

[...]

« J’étais à deux doigts de la mort », a-t-il dit, la voix fatiguée. « Aucun doute là-dessus. Aucun doute là-dessus. »

Environ 80 % des cas de Covid-19 ont tendance à être légers ou modérés, et plus de 62 000 personnes dans le monde se sont rétablies. Les personnes âgées ou celles qui présentent des problèmes de santé sous-jacents sont plus exposées.

L’épreuve de M. Thibault a commencé par un voyage scolaire à l’étranger, un voyage en Europe du 14 au 22 février qui a traversé l’Italie.

[...]

Il dit que « le virus m’a frappé comme un ouragan ». Il était faible et avait du mal à respirer. L’hôpital l’a emmené aux soins intensifs, où les infirmières ont enfilé des combinaisons de type Hazmat pour entrer dans sa chambre.

Elles lui ont inséré un tube respiratoire et lui ont mis un autre tube dans la gorge pour qu’il puisse prendre des médicaments contre la pneumonie qui s’était développée dans ses poumons, a-t-il dit.

En toussant, M. Thibault a dit qu’il avait peur. Ses poumons se remplissaient de salive et les infirmières se précipitaient pour les vider, pour ensuite devoir recommencer deux heures plus tard.

« La sensation d’étouffement. C’était le pire moment », a-t-il dit. « On a l’impression de s’asphyxier, et on panique parce qu’on ne peut pas respirer. »

L’agonie a duré plusieurs jours.

[...]

 

« Ca a failli me tuer », a-t-il déclaré. « C’est alarmant quand j’entends les gens minimiser ça comme un simple rhume. C’était pas un simple rhume, pour moi ».

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Source : Wall Street Journal

article complet -Dreuzinfo:

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Voir aussi ces deux autres témoignages :

Une Chinoise guérie du coronavirus raconte sa maladie

Coronavirus patient describes in chilling detail what it is really like to have disease

France. Chronique d’un flic : “Je croise des victimes du racisme anti-Blanc chaque jour.”

Aurélien Taché, député LREM du Val-d'Oise et membre éminent du pôle idée de ce parti, a diffusé ce tweet la semaine dernière. Et il n'est malheureusement pas à son coup d'essai. Il avait déjà, entre autres, comparé le voile islamique à un simple serre-tête. Là, sous des faux aspects de « faites l'amour pas la guerre », j'ai immédiatement ressenti un malaise et de l'indignation à la lecture de sa punchline discount. D'une part, parce que j'ai la conviction que nous payons largement aussi cher le racisme authentique que ceux qui le combattent si mal. D'autre part en raison de la malhonnêteté intellectuelle de telles paroles, émanant de plus d'un représentant du pouvoir en place. En définitive, même si leur style est différent et leur bord opposé, monsieur Taché est de la même veine qu'une Nadine Morano, aux vues de leur argumentation souvent ridicule et contre-productive.

 

 

[...]

Le « céfran » facile à humilier

C'est pourquoi j'en viens enfin à son allusion au « prétendu racisme anti-Blanc », qui pour moi trahi clairement tout le reste de son œuvre. Il est inadmissible de nier ce racisme au même titre que les autres. Je croise des victimes concrètes de ce fléau chaque jour. Il suffit d'aller visiter certains forums ou même certains réseaux sociaux pour vérifier l'ampleur du phénomène. Les Blancs y ont toutes sortes de surnoms. Ça va du petit Babtou au grand Babtou, quand ce n'est pas Gouffa, Kouffar ou simple mécréant. Cependant, généralement, la victime idéale y est tout simplement décrite comme le « céfran », facile à impressionner, facile à dévaliser, facile à humilier.

Dans beaucoup de quartiers, le petit céfran est non seulement une proie facile, mais aussi une aubaine pour se faire valoir auprès des potes. Il est déjà tellement accablant, en tant que policier, de ne pas pouvoir freiner ce phénomène convenablement et il faudrait en plus, d'après monsieur Taché et d'autres grands esprits, que nous les laissions seuls à la cave. Au nom de quoi devrions-nous nier ces plaies saignantes ?

[...]

Le Point

Lire aussi Une association réveille le débat sur le « racisme anti-Blanc »

 

Rappels :

Rokhaya Diallo : « la France se voit comme un pays blanc et chrétien, on doit changer cette perception »

France: Lorsque la gauchiste Christiane Taubira voulait passer sous silence la traite négrière arabo-musulmane

Pas de déchéance de nationalité pour les terroristes binationaux, confirme Christiane Taubira

 

 

Après le drame de Dallas, formidable témoignage d’un policier noir sur le racisme aux Etats Unis

Dans l’émotion des tensions raciales aux États-Unis après les récentes manifestations du mouvement Black Lives Matter (« les vies noires comptent ») et le drame de Dallas, un officier de police noir, Jay Stalien, a rédigé sur sa page Facebook une lettre ouverte qui a été partagée par 80 000 personnes en trois jours. En voici la traduction littérale :

Suite sur Dreuz

Asile en Allemagne: Le maire écologiste “Ils n’ont aucune reconnaissance. Leurs femmes sont toutes voilées. “

Boris Palmer est le maire écologiste (Die Grünen) de la ville universitaire de Tübingen. Sur sa page Facebook, il vient de faire le récit de sa visite dans un centre de réfugiés. Extraits]

Une jolie ville allemande qui se fait islamiser, avec la complicité de nos élites. Aucun remerciement à attendre: tout leur est dû!

J’ai passé une heure riche d’émotions dans un centre pour réfugiés. Il y a six mois, la ville a proposé au district la Shedhalle comme centre d’hébergement d’urgence. [...] La culture, qui utilise ce bâtiment depuis longtemps, a dû céder la place. Un sacrifice nécessaire.

Un peu plus de 100 personnes y vivent maintenant. [...] Ces derniers temps, le centre a fait l’objet de bruyantes critiques. C’est pourquoi, en tant que représentant du propriétaire, je suis allé aujourd’hui voir ce qu’il en était.

Le centre a tous les inconvénients d’un centre situé dans une halle. Il n’y a pas d’intimité. Six personnes, une famille quand c’est possible, se partagent un espace séparé sans plafond. Mais les installations sanitaires étaient neuves (préfabriqués), leur nombre est suffisant, il y a deux salles de réunion, un cabinet médical. Ce n’est pas beau, mais acceptable pour un hébergement provisoire pendant la durée de la procédure de demande d’asile; personne ici n’est officiellement reconnu.[...]

Lorsque je pénètre dans la halle, seuls les hommes viennent d’abord à ma rencontre.[...] Une manifestation m’attend dans la halle, rien que des enfants. Ils brandissent tous des pancartes qui dénoncent des conditions inhumaines. Les femmes sont toutes voilées et si loin derrière que le contact s’avère impossible. Pendant que je me fais montrer les installations, la troupe d’environ 25 personnes se met bruyamment en mouvement. Personne ne parle allemand ou anglais. Lorsque deux interprètes proposent leur aide, une discussion s’installe.

Le ton est passionné, revendicatif, presque même agressif. J’explique que je comprends, que personne n’aimerait longtemps vivre ainsi et que nous ne demandons qu’une chose, du temps pour pouvoir régler le problème. Le district de Tübingen a accueilli autant de réfugiés que l’ensemble des États-Unis (2500). [...]

Les concierges [...] : « Ils se sont imaginé qu’ils auraient de suite un appartement et que tout se ferait automatiquement. [...] Il n’y a pas de reconnaissance. » [...]

Pendant ce temps, femmes et hommes se sont à nouveau réunis en deux groupes strictement séparés. J’ai énormément de mal à m’imaginer comment nous intégrerons ces gens dans notre société, notre système éducatif, notre marché du travail. Si nous devions y parvenir, ce ne serait qu’au prix d’énormes efforts pendant une décennie, et ce n’est envisageable que si le nombre des nouveaux arrivants supplémentaires reste limité.

[...]

Je pense toujours qu’il n’est utile à personne de décrire la situation autrement que comme on la voit. Qu’elle puisse être aussi sérieuse, m’accable.

Je reviens de cette visite en ayant conscience que nous devons faire beaucoup plus que ce que nous avons fait jusqu’à présent.

(Traduction Fdesouche)

Source

Nuit debout : le témoignage stupéfiant d’un CRS

Un CRS témoigne de la violence des manifestants de la Nuit debout

Un CRS, en poste près de la place de la République à Paris où se tient le mouvement Nuit debout, déplore sur RMC le comportement de certains militants.

Des CRS impuissants face aux dégradations de certains militants du mouvement "Nuit debout". C'est le ressenti d'Étienne, un CRS en poste aux abords de la place de la République, à Paris, où se rassemble le mouvement. Sur l'antenne de RMC, il témoigne de l'impossibilité d'intervenir pour empêcher les dégradations : "On regarde les gens tout casser, uriner partout… On n'a pas formellement ordre de ne pas bouger, c'est que les ordres ne viennent pas. On est là, mais on ne peut pas intervenir", raconte-t-il.
Si aucune dégradation n'a eu lieu depuis deux nuits, selon la Préfecture de police de Paris, grâce aux organisateurs, les nuits précédentes ont été marquées par différents troubles aux abords de la place, notamment jeudi dernier.

Suite

Attentats de Bruxelles : Walter, amputé d’une jambe, appelle à ne pas faire d’amalgames

Les journalistes de RTL ont rencontré Walter Benjamin, qui se trouvait à l’aéroport de Zaventem le jour des attentats de Bruxelles. Aujourd’hui, Walter a été amputé de la jambe droite et ne sait pas encore si son autre jambe est sauvée. Malgré ses blessures, il appelle au calme et à la tolérance.

«  J’espère que les gens seront assez intelligents pour comprendre que 99,99% de la population musulmane est extraordinaire et qu’il ne faut pas mélanger. Ce ne sont pas 20 ou 30 personnes qui représentent l’entière communauté »

 

Le mardi 22 mars, Walter devait s’envoler pour Israël, pour rendre visite à sa fille. Il se trouvait dans la rangée 4 au moment de la première explosion qui a eu lieu à Zaventem. « J’ai cru que c’était un pétard. Puis j’ai vu des gens courir, crier. Le temps était trop juste pour réaliser ce que c’était. Quelques instants plus tard, il y a eu une deuxième déflagration qui a été très forte et là j’ai été projeté en arrière sur le sol« . [...]

« Ma vie, je la dois à un militaire de l’armée belge que je voudrais remercier. Il est venu vers moi, m’a pris dans ses bras et m’a serré très fort. Il m’a dit ‘parle-moi, reste avec moi, regarde-moi dans les yeux, ne t’endors pas’ « . L’homme l’a maintenu éveillé et lui a fait un garrot. [...]

7sur7.be

Sur son Facebook:

Suite à la diffusion sur rtl d'un reportage me montrant à l'hopital j'ai reçu des milliers de messages de soutien en mp sur fb de musulmans de Belgique. Vous qui vous posez la question pq les musulmans ne descendent pas ds la rue. N'avez vous jamais imaginé qu'ils pourraient eux aussi avoir peur d'exprimer certains sentiments publiquement. Je lis sur internet que certains estiment que j'ai perdu 99% de mes neurones pour avoir dit que la communauté musulmane est extraordinaire. Je maintiens mes propos. Et je vais vous raconter 2 histoires à cet effet car une personne pour moi avant d'être étiquettée est d'abord un être Humain. Lors de mon service militaire à Peutie durant l'instruction j'ai à un moment donné été insulté, brimé par les autres enrolés car JUIF, Dans mon unité il y avait un garçon d'origine Marocaine lui n'a pas laissé faire il m'a défendu il a ete le SEUL et a prévenu que quiconque toucherait à son cousin Juif le toucherait à lui. Il a alors prévenu que s'il fallait il viendrait attendre à la sortie de la caserne avec tous amis. Ses cousins. En 2003 j'ai trouvé un emploi chez Bel company comme gerant je devais reprendre en main le point de vente rue Marie Christine à Laken car personne ne voulait travailler dans ce quartier à forte densité maghrebine j'ai relevé le defi. En qq mois mon point de vente faisait plus d'abonnements telecoms que celui de la rue neuve. J'ai respecté mes clients contrairement à celui the phone house à qq metres de moi. Je disais salaam, choukran quelques mots qui m'ont permis de gagner la confiance et le respect de tous mes clients. Mohammed un vieux monsieur du quartier et client me demandait de lui ecrire sa correspondance car il ne savait pas écrire le Francais, on m'apportait du thé à la menthe, des gateaux, des kilos de viande hallal de la boucherie Bader. Lors du ramadan je souhaitais moubarak à mes clients. Quelques marques de respect qui m'ont valu de ne jamais avoir eu de problème avec quiconque et d'être invité à de nombreuses fêtes du quartier. J'ai tout simplement respecté les gens dans leur diversité. Suite à ce qui m'est arrivé aujourd'hui, encore plus qu'hier je veux dire aux Belges de toute confession CONSTRUISONS des ponts entre nous et non des murs prennons notre destin en mains si les politiciens en sont incapable comme ils continuent à le démontrer sur les plateaux téle. Les communautés de notre pays appellent à l'aide et eux ils n'ecoutent rien. Ne plus voir bruler de drapeaux de quelque nation que ce soit dans les rues de Bruxelles. Ensemble tous ensemble reconstruisons une nouvelle société Belge Noir Jaune Rouge. Des ponts et non des murs, des murs de haine. Shalom, Salaam, Paix, Vrede, Peace. Walter Walter Benjamin

Constat alarmant sur la situation de l’armée française. Témoignage [vidéo]

Révélations chocs et effarantes d'un ancien soldat français sur l'état de l'armée dans notre pays et le communautarisme étranger qui domine désormais.

Témoignage recueilli dans le cadre du JT de TV Libertés du mercredi 9 mars

Le témoignage bouleversant de Simone sur le terrible quotidien des Calaisiens [vidéo]

Témoignage à ne pas manquer !

 

A l’occasion de la journée de Rungis, le 7 février, si les douze intervenants, tous remarquables, marquèrent fortement les esprits, le moment fort fut incontestablement l’intervention de Simone Héricourt, Calaisienne de toujours. Cette femme du peuple bouleversa la salle, en décrivant ce qu’était le Calais de son enfance, qu’elle aimait, et ce qu’est devenu la ville, et la vie quotidienne des habitants, harcelés par des clandestins violents, abandonnés par les autorités, et vivant dans la peur.

C’est cette femme, venue avec son mari, pourtant gravement malade, qui risque d’être expulsée de chez elle, dans les prochains jours, si la solidarité patriotique ne se met pas rapidement en place. L’Etat, qui consacre des centaines de millions pour les dix mille clandestins qui n’ont rien à faire dans cette ville, va-t-il voler la maison de cette femme, pour y installer des migrants ? A nous d’empêcher ce scandale !

Ecoutez ce témoignage bouleversant d’un quart d’heure, et faites le circuler partout.

Résistance Républicaine

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https://youtu.be/rrPQuGNkjFU

Allemagne: Témoignage d’une salariée d’un centre de migrants « Je n’en peux plus. Ils exigent des appartements et des belles voitures. Ils se comportent de façon inadmissible envers nous, les femmes.»

« Je n’en peux plus » Une habitante de Hambourg travaille dans un centre d’accueil des migrants nouvellement arrivés. Cette trentenaire raconte à quoi ressemble son quotidien et pourquoi elle envisage maintenant la démission. La crise des réfugiés ne cesse de s’aggraver. Dans les centres d’hébergement de Hambourg, la situation est aussi extrêmement difficile ; dans le « Welt am Sonntag » une employée anonyme raconte son quotidien.

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Merci à Anne

Agressions du Réveillon à Cologne : témoignage exclusif d’une Française présente sur place

NOVOpress a pu recueillir le témoignage d’une Française présente à Cologne lors du réveillon. À lire Marie*, la situatiub était déjà très tendue avant le réveillon, rendant d’autant plus coupables l’inaction de la police et le silence des médias. Elle exprime de plus une légitime inquiétude pour la suite des événements.

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Une Belge agressée à Cologne témoigne: “Ça a duré toute la soirée et toute la nuit”

Suite aux agressions sexuelles et aux vols subis le soir du Nouvel an à Cologne, de nombreuses Allemandes livrent leurs témoignages dans la presse. Elles font état d'attouchements, essentiellement dans la gare et à proximité de la cathédrale, par des groupes d'hommes perçus comme des "arabes" ou des "nord-africains".

Une internaute de LaLibre.be, présente ce soir-là avec une amie dans la ville allemande, a contacté la rédaction pour signaler que "pas mal d'éléments ne sont pas mentionnés dans les articles". Préférant conserver l'anonymat*, elle regrette que "les journaux ne précisent pas que les victimes n'étaient pas qu'allemandes. Mon amie et moi étions venues de Liège. De plus, les origines des individus nous semblent peu correctes, nous avons eu affaire à pas mal d'individus d'origine turque et du Moyen-Orient".

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Parislam ou le témoignage d’une Parisienne du 14ème

Par

Née à Paris et vivant dans le 14ème depuis bien longtemps, je vais vous en compter la triste déchéance…

Il y a une trentaine d’années déjà, commençait une forte immigration africaine, notamment maghrébine ;  depuis quelques années, elle est majoritairement noire africaine ; de nombreux parisiens choisissaient de retirer leurs enfants de l’école publique qui pourtant correspondait à leurs convictions, pour les mettre dans des écoles privées catholiques, y compris si ça n’était pas leur religion ; (parfois pour le malheur des enfants vus les actes de pédophilie qu’ils y ont subis, je peux en témoigner, mais ça c’est une autre histoire), conséquence du fait que nos enfants ne pouvaient rester dans le secteur public. Non pas bien sûr par racisme mais parce que les élèves enfants d’immigrés africains avaient bien souvent un comportement inadmissible qui empêchaient les autres d’étudier dans de bonnes conditions. Néanmoins je précise que certains parents arabes ont fait de même, souhaitant que leurs enfants aient une bonne éducation.

Mon fils habite en région parisienne, la population y est à 80% issue de l’immigration africaine, il devra déménager après la maternelle de ses enfants afin qu’il  puisse trouver une école où l’éducation pourra être donnée dans de bonnes conditions; ma petite-fille de 4 ans me décrit comment une petite noire africaine de sa classe agresse tous les enfants, les frappe et casse leurs affaires, elle en a très peur ! Ces parents  laissent souvent  trainer leurs enfants dans les rues et sont incapables de les éduquer, ça ne les empêche pas d’en avoir 5 ou 6 et de bien en vivre, contrairement aux Français sans abris qui crèvent dans les rues; je suis pour la restriction des allocations familiales à 2 ou 3 enfants, déjà dans le 14ème, environ 60 % des élèves sont d’origine africaine, ils étaient minoritaires il y a encore 20 ans.

Dans les squares du quartier depuis ce temps, sur les bancs, aucun mélange ; il y avait les bancs des Arabes et des Noires, ceux des Françaises, de façon naturelle, et cela perdure.

Cet arrondissement étant pour notre malheur géré par des maires de gauche depuis bien longtemps, sachant que désormais seuls les immigrés votaient pour eux,  avec  l’aide du Maire de Paris, ils ont créé une véritable invasion noire et arabe, affolante pour la population française ou bien intégrée. Ils leur ont octroyé en priorité les logements sociaux après une simple manifestation, alors que des Français attendent depuis des années en vain, des aides sociales et financières en abondance par l’intermédiaire des Centres d’Action Sociale avec distribution d’argent quasi illimitée, des traductions des documents en arabe payées par les mairies, des centres médico-sociaux gratuits quasiment réservés aux immigrés, sans-papiers, clandestins, alors que pour les Parisiens ayant peu de ressources et pas de mutuelle, l’accès leur en est très  difficile !

En 2006,  Bertand DELANOE en bon dictateur qu’il était,  a autoritairement et sans aucune concertation des locataires, acheté  des immeubles sociaux ou pas majoritairement habités par des Français et les a transformés en HLM, modifiant bien entendu sensiblement leur population.  (Aparté, je ne supporte pas le vocabulaire des journalistes parlant bêtement des « quartiers sensibles », voire de ZUS, zone urbaine sensible, le mot étant bien mal approprié.)

Quant à Nicolas SARKOZY et sa Loi BOUTIN qui a créé les surloyers dits de solidarité, faisant fuir les locataires français ne pouvant payer ces sommes exorbitantes, il a fait en sorte que tous les logements laissés vacants par sa faute soient désormais attribués et occupés par des Noirs et des Arabes. Facile pour lui qui comme tous les politiques n’habiteront jamais en HLM et se moquent de ce qu’ils nous font subir, tout comme les rois dans leurs palais !!! Il nous a trahi, ne nous a ni écoutés ni compris. Depuis, le bruit, les odeurs de cuisine, la dégradation, les conflits, on connait grâce à lui ! (Bien sûr il y a aussi en HLM des Français mal élevés et bruyants…) ; or les HLM sont imposés partout en France !

Souvent, sur la Mairie du 14ème ou lors de manifestations à Montparnasse, les maires apposent des affiches et banderoles proposant le droit de vote aux résidents non européens, sachant qu’hormis eux plus personne ne veut voter à  gauche, du fait de son hypocrisie, de ses mensonges, de son manque de cohésion entre ses paroles et ses actes.

Rapidement nous avons vu notre arrondissement, nos quartiers tranquilles, changer, se dégrader, s’enlaidir. Quasiment tous les commerces d’alimentation qui fermaient ont été repris par d’affreux commerces  moches, sales, gérés par des barbus, des boucheries halals, des snacks ordinaires, d’affreux bazars indiens avec toute leur marchandise chinoise en plastique multicolore étalée sur les trottoirs etc… Nos quartiers ressemblent petit à petit à Barbès…

Ni la Préfecture de Paris ni les maires ne réagissent pour sauver Paris; pire, lorsque les Parisiens veulent porter plainte, les commissariats de Paris n’ont jamais assez d’effectifs, nous ne sommes plus protégés. De fait, les statistiques sur les plaintes à Paris sont totalement faussées !

Le nord de Paris est déjà très atteint, les quartiers que j’aimais, comme la Gare du Nord, sont fortement dégradés voire dangereux désormais….

Lorsque nous allons en consultation à l’hôpital de notre  quartier, la « clientèle » majoritaire est désormais d’origine  africaine, bénéficiant de notre généreuse AME dont on fait croire aux Français qu’elle permet d’éviter des contagions et dont je peux témoigner qu’elle rembourse tous les frais des interventions extrêmement couteuses concernant la stérilité, les FIV pour les Africaines ou Arabes ne pouvant avoir d’enfant… Elle ruine notre système de santé et fait que les Français n’ont souvent plus les moyens de se soigner. Parfois les Africaines ne payent pas, indiquant que « leur pays paiera », y compris si les caissiers répondent qu’ils ne reçoivent jamais les paiements.

Mais l’horreur absolue, ce sont les Puces de Vanves, le dimanche après midi : presque 100% des vendeurs et acheteurs parlent arabe ; on y trouve depuis environ 20 ans tout l’attirail et les déguisements de notre « richesse pour la France » : djellabas, foulards islamiques, babouches, mais pire, des disques et livres sur des stands de religion normalement interdits, parfois  en langue arabe non traduits en français, des mendiants en djellabas qui collectent de l’argent pour la construction de mosquées, des vendeurs illicites de produits contrefaits, des affichages mensongers et trompeurs etc… sans compter les nombreux voleurs car la circulation y est très difficile du fait de l’étroitesse. Et l’on y croise de nombreuses femmes en burka, dont seuls les yeux apparaissent, de vrais fantomes qui font peur à tous et notamment aux enfants ! Des connes qui ne réalisent pas que dans de nombreux pays musulmans, les femmes rêvent de sortir sans voile, habillées librement comme elles le souhaitent, et qui ont la chance de vivre dans un pays laïque dont personne ne leur a expliqué les valeurs et principes !!!

J’imagine qu’il en est de même aux Puces de Montreuil et de la région parisienne.

Mais ce qui choque, c’est l’hypocrisie d’Anne Hidalgo : savez vous que des agents de sécurité de la Mairie de Paris y circulent tous les dimanches, et que même lorsqu’on leur signale ces faits inadmissibles et illégaux, ils ne font strictement rien ! Depuis 20 ans la population du quartier signale ces faits graves, en vain !!!

Prenez à Paris les transports en commun notamment l’autobus et vous comprendrez l’écœurement des parisiens : les retraités de moins de 65 ans même ne bénéficiant que d’une petite retraite n’ont pas droit à la moindre réduction (cout du Pass Navigo pour Paris, 70 € / mois) ; or environ 50 % des Noirs et Arabes les utilisent en fraudant, et du fait qu’ils ne prennent pas le temps de valider leur ticket, se précipitent de surcroît sur les places assises alors que les « crétins de français » ayant pris le temps de valider leur ticket restent debout !

Dans le métro, ils enjambent les portillons automatiques ou bousculent ceux qui valident afin de passer sans payer. Lorsqu’on le signale aux employés de la RATP, ils répondent qu’ils ont consigne de ne pas réagir afin de ne pas se faire agresser pour un ticket de métro. Devinez qui sont les seuls imbéciles honnêtes ???

Concernant les transports, savez-vous également que les clandestins bénéficiant de l’AME (Aide Médicale d’Etat) bénéficient également de la gratuité des transports parisiens, avec bien sûr tous les documents officiels alors qu’ils sont illégaux ? Cherchez l’erreur…

Les immeubles parisiens, les logements, parlons-en… Dès qu’ils commencent à y être nombreux, ce sont dégradations, saleté, jolis balcons transformés en vide-greniers pourris, tags, gardiens ou voisins agressés, bruit insupportable jour et nuit , et comme souvent,  aucun respect des autres, des règles, des coutumes…

Mais si vous êtes Parisien et réagissez, immédiatement vous vous faites traiter de raciste, sale blanc ou sale français ! Idem dans les transports lorsqu’ils hurlent en arabe avec leurs téléphones portables.

Moi qui aime ma ville, comme la majorité des Parisiens et des touristes, je suis consternée, attristée par ce qu’elle devient, par la faute de ses 2 Maires, B. DELANOE et A. HIDALGO : sale, répugnante, peuplée de cracheurs qui nous donnent envie de vomir, la belle Place de la République souvent transformée en camp retranché envahi par les africains, est abimée, taguée y  compris la magnifique statue… Lorsque je croise des touristes dans Paris, j’ai honte !!! Honte pour ma ville, pour notre réputation, pour ses chauffeurs de taxis désormais presque tous Noirs et Arabes qui souvent les arnaquent et leur prônent leurs croyances… Honte aux réseaux de Noirs africains qui les agressent sur tous les sites touristiques, honte que majoritairement les responsables des restaurants et magasins touristiques ne soient plus français, et soient souvent impolis, agressifs et arnaquent…

Honte que nos Maires de gauche détestent leur ville, qu’ils dépensent des sommes folles pour fêter le ramadan mais rien pour les transports des retraités parisiens avant 65 ans, rien pour faire respecter notre belle ville visitée par les touristes du monde entier, agressés et volés aux Champs Elysées par les Roumains, idem dans le métro ; honte qu’à cause de nos Maires irresponsables  ne pensant qu’à leur élection, notre belle VILLE DE PARIS soit désormais considérée comme dangereuse; dans mon quartier j’ai déjà entendu 2 fois des tirs de kalachnikov dûs à des fusillades à des terrasses de café !

Parfois les commerçants arabes, qui n’ont plus rien à voir avec les gentils et polis épiciers arabes d’avant, sont odieux avec les clients français et nous montrent bien à quel point ils nous méprisent ; dans nos supermarchés désormais, souvent le personnel parle en arabe, malgré nos protestations et signalements à leurs directions.

Depuis quelques  temps, ceux qui, il y a encore peu de temps s’habillaient à l’européenne, ont changé. Ils portent  des foulards islamiques,  les enfants de plus en plus souvent revêtent des djellabas, pour bien montrer leur différence et probablement nous prouver qu’ils ne sont pas Français comme nous…d’ailleurs il est bien connu que leurs parents refusent qu’ils se marient avec des  Français, et contrairement aux immigrés, comme ma famille, venus eux pour enrichir la France, l’aimer et y travailler, la grande majorité ne donne pas de prénoms français aux enfants nés en France.

Il y a donc une nette aggravation à Paris, sans doute due à l’excès de tolérance de ses Maires.

Ils sont donc Français lorsque ça les arrange, mais  ne se considèrent pas comme tels, et ont chez eux le portrait du roi ou du président du pays dont ils sont issus. Et ne parlons pas des horribles paraboles qui défigurent nos immeubles, les enlaidissent, afin qu’ils regardent leur TV arabe, même s’il y a des antennes sur l’immeubles et si les paraboles sont interdites !

D’ailleurs, je ne supporte par que l’on parle de terroristes français. Les journalistes que je méprise tout autant que les politiques, devraient dire de nationalité française.

Les squares où l’on amène nos jeunes enfants sont devenus les repères des petits Africains qui bien souvent les terrorisent, les insultent comme ils le font avec les gardiens ; on y trouve des kalachnikov jouets ! Nous n’osons plus y aller tant ils leur font peur, déjà violents et agressifs.

On nous dit après chaque attentat qu’il ne faut pas faire d’amalgame, je ferais dont remarquer à nos politiques que certes, tous les musulmans, loin s’en faut,  ne sont pas des terroristes, dont ils sont également victimes, mais que tous les terroristes sont musulmans, à se demander ce qui dans cette religion génère tant de haine et de mort.

J’ai un total respect pour les Noirs et Arabes qui se considèrent comme Français, les restaurateurs qui refusent de proposer de la cuisine halal préférant la cuisine traditionnelle française, quitte à se faire agresser par leurs collègues coreligionnaires, pour ceux qui choisissent de parler français même s’ils connaissent l’arabe, pour ceux qui donnent à leurs enfants des prénoms français, pour ceux qui respectent la France, ses valeurs, sa laïcité, qui s’habillent à l’européenne. Pour moi, ce sont des Français.

Les autres, je ne les considère par comme Français, même s’ils en ont la nationalité bradée, usurpée, offerte par des politiques que je méprise plus que les prostituées qui bien souvent sont obligées de faire ce qu’elles font. Quant à l’hypocrisie des journalistes qui ont voulu manipuler le peuple français lorque la droite était au pouvoir, qui votent à gauche mais inscrivent leurs enfants dans des écoles privées, je les méprise. Qu’ils sachent que s’ils nous prennent pour des imbéciles, c’est réciproque, et à juste titre.

Quant à Mme Taubira et à notre gouvernement actuel, je considère que si ses membres avaient travaillé en entreprise, ils auraient tous été virés pour incapacité et sans indemnités, et qu’elle mériterait la prison, si l’on compte le nombre de personnes assassinées alors que leurs meurtriers auraient dû être en prison, y compris dans les attentats du vendredi 13 novembre. Elle est complice, responsable. Elle devrait être jugée.

J’invite tous les Parisiens, les habitants d’Ile de France, de la France entière, à mettre à leur fenêtre des drapeaux français après chaque attentat perpétré sur notre sol.

Et surtout, je les invite à élire un(e) Maire de Paris qui respecte et aime vraiment Paris, et non plus un Maire qui se considère comme tunisien et une Maire qui détruit et enlaidit la capitale,  ne respecte pas les lois et ruine les Parisiens à des fins électoralistes.

PARIS ENVAHI, PARIS ENLAIDI, PARIS SALI,  MAIS PARI REUSSI !!!

Sonia Villiers

Riposte Laïque

Immigration. Calais: “Je ne suis pas raciste mais je vais déménager parce que j’ai peur”

La rue de Bitche se termine en impasse. Au bout de cette impasse, se trouve la résidence La Pinède, dont les locataires excédés ne supportent plus la promiscuité avec les migrants, qui défilent par dizaines jour et nuit pour éviter un long détour. Les grillages consolidés voilà trois jours ont déjà été arrachés.

[...] Natacha Bouchart, sénatrice-maire LR de Calais, est venue sur place la semaine dernière après une série de dégradations sur des véhicules en stationnement, incidents imputés aux migrants. « À toute heure ils crient, chantent, dansent, et maintenant dégradent », déplore Claudine Bué. L’idée « d’un mur anti-bruit comme celui chemin Castre » au Virval, qui aurait aussi la fonction de mur anti-intrusion, serait à l’étude selon les riverains. En attendant, les grillages arrachés ont été consolidés ces derniers jours… puis de nouveau forcés « une demi-heure après leur pose ».

Une voisine confesse : « Je suis heureuse de pouvoir me payer une place de parking dans la résidence fermée, notamment quand je rentre seule la nuit. Certains migrants regardent chez nous, nous font des signes parfois provocateurs, ou fouillent les poubelles. Je ne suis pas raciste et je comprends leur détresse, mais j’ai peur. Il y a tellement de passages… Mon appartement est super, mais je ne pense pas rester ici. » [...]

Source via Fdesouche.com