Est-ce donc pour attaquer le mal en amont que la Suède investit 400 millions de couronnes suédoises pour lutter contre le VIH en Afrique ?
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Est-ce donc pour attaquer le mal en amont que la Suède investit 400 millions de couronnes suédoises pour lutter contre le VIH en Afrique ?
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Les bien-pensants éludent la question plutôt que photographier le moment historique avec honnêteté intellectuelle et dénoncer les dégâts de la politique scélérate de l’immigration.
DE LORENZA FORMICOLA.
En Allemagne la peur est revenue au sujet de toutes ces maladies qui étaient éradiquées ou rarissimes en Occident. Depuis le cas du demandeur d’asile yéménite logé dans une église à BUNSDORF pour lui éviter l’expulsion et qui aurait contaminé cinquante bambins avec la tuberculose, cette maladie est remontée dans la classification des maladies les plus contagieuses. Mais elle n’est certes pas la seule à remonter.
Loin d'avoir honte et alors qu'il devrait être condamné pour avoir brisé une vie, il ose encore exiger...
Ces gens ne connaissent aucune décence, aucune limite: ils pensent qu'ils peuvent traiter notre pays comme un paillasson.
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Le trentenaire est certainement arrivé dans le canton alors qu’il était déjà infecté à la suite de relations homosexuelles.
Arrivé en terres vaudoises en 2013, il s’est marié avec une Suissesse qu’il avait connue sur internet. Tous deux ont entretenu des relations non protégées et la femme a été contaminée à son tour. Se découvrant malade, elle a mis en terme à leur relation et a déposé plainte contre son mari.
Sur les affiches visibles à Béziers, le couple homosexuel est remplacé par un couple hétérosexuel et le slogan évoquant l'adultère par une formule vantant la fidélité. De quoi faire réagir les réseaux sociaux... jusqu'en Australie.
Robert Ménard, le maire de Béziers, a décidé de lancer une campagne d'affichage mettant en scène un couple de jeunes mariés sur fond rose surmontant la devise républicaine, modifiée pour l'occasion : «Liberté, égalité, fidélité». Il s'agit du détournement de la campagne d'affichage de prévention contre le sida qui avait suscité la polémique la semaine passée, après que plusieurs maires ont pris la décision de la censurer.
Dans les rues de #Béziers, notre réponse à la campagne du @gouvernementFR #Fidelite pic.twitter.com/2xFGIxM7TH
— Robert Ménard (@RobertMenardFR) 28 novembre 2016
Le slogan initial «Avec un amant, avec un ami, avec un inconnu», a été remplacé par «S'aimer, se donner, tout donner». La nouvelle version semble donc mettre en avant le couple, la stabilité et la fidélité, en réponse à l'affiche originale, qui prenait en compte les cas d'adultère ou de rencontre d'un soir.
Pour le procureur, il était impossible que l’accusé séropositif ignore qu’il allait contaminer sa compagne. Un Turc de 50 ans était jugé hier par le Tribunal correctionnel de Genève.
Se sachant malade, il avait pourtant eu des rapports sexuels avec sa copine pendant six mois, en 2013 et 2014.
35 à 49 % des migrants sont infectés par le VIH après être arrivés en France. C’est la conclusion effrayante d’une étude menée auprès de 880 personnes originaires d’Afrique.
L’estimation est alarmante. Plus d’un tiers des migrants qui vivent avec le VIH en France sont infectés après leur arrivée dans le pays. C’est la fourchette basse d’une étude menée par l’Agence nationale de recherche sur le sida (ANRS) et publiée dans le Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire (BEH) de l’Institut de Veille Sanitaire (InVS).
888 personnes ont accepté d’être suivies dans le cadre de ces travaux. Elles sont originaires de Côte d’Ivoire, du Mali, de la République Démocratique du Congo… Si les profils se distinguent par leur variété, les participants sont relativement jeunes. Leur âge médian est de 28 ans pour les femmes, 30 ans pour les hommes.
Malgré ces différences apparentes, 35 à 49 % des migrants sont infectés par le VIH après leur arrivée sur le territoire français. Une estimation qui confirme les résultats de travaux menés auparavant. Les hommes sont davantage touchés que les femmes. « Ce résultat est cohérent avec l’épidémiologie du VIH en Afrique, qui touche davantage les femmes que les hommes et à un âge plus précoce, analysent les auteurs. Étant donné que les femmes et les hommes sont arrivés sensiblement au même âge en France (30 et 28 ans en médiane, respectivement, dans notre échantillon), les femmes ont une plus grande probabilité d’avoir été déjà infectées par le VIH lorsqu’elles arrivent en Europe. »
Les hommes ayant des comportements plus risqués, ce décalage pourrait s’expliquer. La probabilité est d’autant plus élevée s’ils ont migré à un jeune âge ou s’ils sont présents depuis longtemps dans l’Hexagone. Cette conclusion rend d’autant plus important le développement de la prévention et du dépistage au sein de ces populations isolées. L’utilisation des TROD (tests rapides à orientation diagnostique) et des autotests en milieu communautaire et associatif doit le permettre. Une activité en progression, à en croire une autre étude publiée dans le BEH : le nombre de TROD réalisés depuis 2012 a quasiment doublé.
Une femme médecin allemande envoie ce message d’alerte au monde :
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Hier, à l'hôpital, nous avons eu une réunion sur la façon dont la situation ici et dans les autres hôpitaux de Munich est insoutenable. Les cliniques ne peuvent pas gérer les situations d'urgence, de sorte qu'ils commencent à les envoyer tous vers les hôpitaux.
Beaucoup de musulmans refusent d’être traités par du personnel féminin et, nous, les femmes, refusons de nous occuper de ces spécimens, en particulier d'Afrique. Les relations entre le personnel et les migrants vont de mal en pis. Depuis le dernier week-end, les migrants qui arrivent dans les hôpitaux doivent être accompagnés par la police avec des unités K-9.
Beaucoup de migrants ont le SIDA, la syphilis, la tuberculose et de nombreuses maladies exotiques que nous, en Europe, ne savons pas comment traiter. S’ils reçoivent une prescription à la pharmacie, ils apprennent qu'ils ont à payer comptant. Cela conduit à des réactions violentes incroyables, surtout quand il s’agit de médicaments pour les enfants. Ils abandonnent alors leurs enfants au personnel de la pharmacie avec l’injonction : "Alors, soignez-les vous-mêmes ici!" La police doit non seulement garder les cliniques et les hôpitaux, mais aussi les grandes pharmacies !
Nous avons déclaré ouvertement : Où sont tous ceux qui avaient accueilli devant les caméras de télévision, avec des signes dans les gares ?! Oui, pour le moment, la frontière a été fermée, mais un million d'entre eux sont déjà ici et nous ne serons certainement pas en mesure de nous débarrasser d'eux.
Jusqu'à présent, le nombre de chômeurs en Allemagne était de 2,2 millions. Désormais, il sera d’au moins 3,5 millions. La plupart de ces gens sont complètement inaptes au travail. Une toute petite minorité d’entre eux ont un minimum d’éducation. Qui plus est, leurs femmes ne travaillent généralement pas du tout. J’estime qu’une sur dix est enceinte. Des centaines de milliers d'entre eux ont apporté les nourrissons et les petits enfants de moins de six ans, beaucoup émaciés et maltraités. Si cela continue, et que l'Allemagne ré-ouvre ses frontières, je retourne en République tchèque. Personne ne peut m'obliger à supporter cette situation, même avec le double du salaire que j’aurai là-bas. Je suis venue en Allemagne, pas en Afrique ou au Moyen-Orient.
Même le professeur qui dirige notre département nous a dit combien il était triste de voir qu’une femme de ménage nettoie tous les jours pendant des années pour [seulement] 800€, et que des jeunes hommes dans les couloirs viennent attendre main tendue, exigeant tout gratuitement, et quand ils ne l'obtiennent pas, ils piquent une crise.
Je n’ai vraiment pas besoin de ça ! Mais je crains que si je reviens, bientôt ce sera la même chose en République tchèque. Si les Allemands, ne peuvent pas gérer cela, en Tchéquie ce sera le chaos total. Personne n'ayant fait l’expérience d’être en contact avec eux n’a la moindre idée de leur comportement sauvage, et en particulier les Musulmans venant d'Afrique. Ils se comportent comme étant supérieurs à notre personnel, en ce qui concerne les accommodements religieux.
Pour l'instant, le personnel de l'hôpital local ne s’est pas effondré par contamination des maladies qu'ils ont amenées ici, mais, avec autant de centaines de patients chaque jour cela est juste une question de temps.
Dans un hôpital à proximité du Rhin, les migrants ont attaqué le personnel avec des couteaux après avoir amené un bébé de 8 mois proche de la mort, qu’ils avaient traîné à travers la moitié de l'Europe pendant trois mois. L'enfant est mort en deux jours, malgré les meilleurs soins reçus dans l'une des cliniques pédiatriques les plus réputées d’Allemagne. Le médecin a dû subir une intervention chirurgicale et deux infirmières ont été mises dans l'unité de soins intensifs. Personne n'a été puni.
On interdit à la presse locale d'écrire à ce sujet, donc nous avons été informés par courriel. Que serait-il arrivé à un Allemand s’il avait poignardé un médecin et les infirmières avec un couteau? Ou s’il avait répandue sa propre urine infectée par la syphilis au visage d'une infirmière et lui avait ainsi transmis son infection ? Au minimum il irait tout droit en prison et plus tard au tribunal. Avec ces personnes - jusqu'à présent - rien n'a été fait.
Je demande donc : Où sont tous ces gens qui les réceptionnent et les accueillent dans les gares ? Assis tranquilles à la maison, profitant de leurs subventions d’associations « à but non lucratif » ( !) et impatients de voir arriver d’autres trains [plein d’immigrés clandestins] qui leur permettront de jouer à nouveau leur rôle d’« accueillants » et récupérer leur part de fric.
Si cela ne tenait qu'à moi, je rassemblerais tous ces « accueillants » et les amènerais ici au service des urgences de notre hôpital, comme préposés dans un bâtiment dévolus aux seuls immigrés clandestins, de façon à ce qu’ils puissent s’occuper d’eux, eux-mêmes, sans police armée, sans chiens policiers, qui sont aujourd'hui dans tous les hôpitaux en Bavière, et sans aide médicale.
Source non identifiée
Quelque 35 parents et enfants ont saisi le Tribunal administratif fédéral dans l'affaire de la campagne de prévention contre le sida aux contenus trop osés pour eux.
Le Tribunal administratif fédéral (TAF) aura à se pencher sur les affiches de la nouvelle campagne de prévention contre le sida et autres maladies sexuellement transmissibles. L'Office fédéral de la santé publique (OFSP) n'ayant pas donné suite à leur demande d'interrompre sa campagne, quelque 35 enfants et leurs parents s'adressent aux juges de St-Gall.
Pas question d'interrompre l'exercice comme le voudraient des conseillers nationaux issus des milieux conservateurs.