Dans «Brèves de psy», le psychologue romand Alain Valterio condamne la pédolâtrie et la dictature du soft, qui font croire à nos bambins qu’ils sont tout-puissants.
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Le roi Philippe s'est rendu chez une famille musulmane d'Evergem, dans l'entité de Gand, lundi soir pour y rompre le jeûne, selon son souhait de participer à l'iftar auprès de simples citoyens. "C'est un événement pour lequel nous sommes très reconnaissants", précise Khalid Benhaddou, un des huit fils d'Abdel Azziz Benhaddou et le frère de Mohammed, qui a ouvert les portes de son bungalow au souverain, dans un quartier d'Evergem bordant le port.
Le Roi s'est fait expliquer le ramadan
Avec deux des 6 petits-enfants, les trois générations de la famille tentent de rompre le jeûne ensemble autant que possible. "C'est un signe d'unité et de cohésion", indique Khalid Benhaddou. Le Roi a pris le temps de faire connaissance avec les membres de la famille et de s'informer sur la signification du ramadan. L'occasion pour la famille de souligner la discipline, la rigueur et la persévérance que requièrent 18 heures de jeûne.
"C'est une main tendue envers la communauté musulmane"
Le jeûne a été rompu, avec une datte et du lait, peu après 22h00, avant un repas rassemblant des mets typiquement marocains. Khalid Benhaddou, imam à Gand et travaillant pour le département flamand de l'enseignement, avait déjà rencontré le Roi dans le cadre de la prévention de la radicalisation. "C'est une main tendue envers la communauté musulmane", estime-t-il. "Le souverain reconnait ainsi les musulmans dans leur vécu de l'islam".
S'exprimant lors d'une fête dans les jardins du palais royal d'Oslo, le monarque scandinave a salué la diversité de sa nation, soulignant que les musulmans, les homosexuels et les migrants contribuaient pleinement à l'identité de celle-ci.
«Mon plus grand espoir pour la Norvège est que [...] nous construisions ce pays sur plus de confiance, plus de solidarité et plus de générosité.» C'est en ces termes que le souverain de Norvège, Harald V, a parlé de l'avenir de son royaume, jeudi 1er septembre, lors d'un discours dans le cadre d'une garden party dans la capitale, Oslo.
Devant plus de 1 000 invités, le chef d'Etat a brisé la réserve politique habituellement associée à sa fonction, s'exprimant notamment en faveur de l'accueil des migrants et d'une plus grande tolérance à l'égard des minorités religieuses ou sexuelles. Le discours a été mis en ligne, sur YouTube, par la télévision publique norvégienne.
«Les Norvégiens sont aussi des immigrés originaires de l'Afghanistan, du Pakistan, de la Pologne, de la Suède, de la Somalie et de la Syrie», a martelé le roi, avant d'ajouter, laissant peu d'ambiguïté quant à son parti-pris en faveur de l'ouverture du pays aux migrants : «Notre "chez-soi" est là où notre cœur est. Il ne peut pas toujours se situer à l'intérieur des frontières d'un pays.»
Plus globalement, le suzerain a affirmé que les Norvégiens étaient notamment «des femmes qui aiment les femmes, des hommes qui aiment les hommes», mais aussi des personnes qui «croient en Dieu, en Allah, en tout et en rien».
Michel Garroté - Personnellement, je suis un mordu de fédéralisme, de l'Etat de Droit fédéral, comme le sont la Suisse, l'Allemagne et les Etats-Unis. La monarchie, ce n'est pas vraiment ma tasse de thé. Cela dit, je note qu'au moins deux monarchies constitutionnelles, l'Espagne et le Royaume Uni, fonctionnent mieux que la France, si je puis me permettre. Or, en France justement, la monarchie - aussi bien "absolue" que "constitutionnelle" - conserve, encore et toujours, des adeptes.
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Un tout récent sondage réalisé par BVA indique en effet que de nombreux Français pensent que la présence d’un roi au sommet de l’Etat serait bénéfique pour le pays (monarchie ou royauté ?). Près d’un Français sur quatre estime par exemple que cela aurait des conséquences positives sur l’unité nationale (39%) et la stabilité du gouvernement (37%). Pour 31% des Français, remplacer le président de la République par un monarque donnerait une meilleure image de la France dans le monde. Louis XIX, non, pardon, Louis XX, rendez-vous compte !
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Quand 20% des sympathisants de gauche estiment qu’un roi à la tête de la France peut avoir des conséquences positives sur l’unité nationale, ils sont 50% à droite et 55% au FN. La série d’attentats qui a touché la France en 2015 et 2016 a mis au cœur du débat la question de l’unité nationale, dans un contexte de défiance à l’égard de l’exécutif, voire de la classe politique dans son ensemble. C’est cette lassitude corrélée à de fortes attentes qui explique le regain d’intérêt pour un mode alternatif de régime.
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A ce propos, sur Boulevard Voltaire, Benjamin Leduc écrit notamment (extraits adaptés ; voir le 1er lien vers source en bas de page) : Parmi les raisons de ce retour en grâce de la monarchie, il y a certes le rejet du système en place, et le spectacle qui se déroule quotidiennement sous nos yeux ne peut qu’alimenter ce rejet. Mais il faut bien voir aussi que les institutions françaises coûtent deux fois plus cher que la couronne britannique ou quatre fois plus que celle d’Espagne. Une Restauration accompagnée d’une véritable simplification du mille-feuille administratif, mais dans le respect de nos réalités provinciales et régionales, permettrait sans nul doute des économies non négligeables et une baisse substantielle des impôts.
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Benjamin Leduc précise : Notons aussi - même si l’argument mercantile n’est pas le plus important - que la famille royale est génératrice de richesses, ne serait-ce qu’à travers les événements majeurs, à la fois familiaux et nationaux : couronnement, mariage, etc. Alors qu’en France, allongement de la durée de vie aidant, nous continuons à entretenir grassement les « maisons » des anciens présidents de la République, sans pour autant qu’ils nous rapportent un seul centime d’euro, ajoute Benjamin Leduc (fin des extraits adaptés ; voir le 1er lien vers source en bas de page).
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Mais où sont les prétendants ? - demande, de son côté, Emilie Defresne - sur medias-presse.info (extraits adaptés ; voir le 2ème lien vers source en bas de page) : Selon ce sondage, l’idée d’un retour du roi progresse assez spectaculairement dans le pays alors qu’aucun candidat ne réclame actuellement ce privilège, à l’encontre de ce qui était le cas jusqu’aux années 1980, même si Louis de Bourbon, le duc d’Anjou a fait une récente déclaration qui pourrait s’apparenter à un programme politique.
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Emilie Defresne : Si un prétendant réclamait sérieusement ses droits au trône, cela permettrait à cette proportion d’électeurs favorables au rétablissement de la royauté de se faire une idée sur la sorte de royauté à laquelle il pourrait s’attendre, car en Europe il ne reste plus guère comme exemples que des rois ou reines sans pouvoir, et parfois très éloignés de rois très chrétiens, comme c’est le cas en Espagne.
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Emilie Defresne : Louis de Bourbon est le fils d’Alphonse de Bourbon, aîné de la maison de Bourbon. Alors qu’il testait une piste de ski dans le Colorado, le prince royale Alphonse II, son père, a heurté à pleine vitesse un câble, très étrangement tiré en travers de la piste, qui l’a décapité en 1989, alors que son fils aîné avait lui-même perdu la vie peu avant au cours d’un accident de voiture. Une enquête pour homicide conclut en définitive à un accident.
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Emilie Defresne : Une conclusion qui n’a pas convaincu tout le monde. Son second fils Louis de Bourbon, actuel duc d’Anjou, est devenu à sa mort l’aîné des descendants mâles d’Hugues Capet par primogéniture, il deviendrait donc Louis XIX, mais jusqu’à présent il ne s’est pas montré aussi actif que son père pour endosser ses droits au trône de France, précise Emilie Defresne sur medias-presse.info (extraits adaptés ; voir le 2ème lien vers source en bas de page).
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http://www.bvoltaire.fr/benjaminleduc/le-retour-du-roi,280291
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http://www.medias-presse.info/39-de-francais-estiment-quun-roi-a-la-tete-de-la-france-aurait-des-consequences-positives/60339
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« Je ne vais pas seulement le tuer, je vais tuer sa femme, tous ses amis et brûler sa putain de maison », a menacé avec rage le souverain hachémite paraphrasant une réplique de Clint Eastwood, tirée du film Impitoyable, ajoutant que son seul problème serait de n’avoir « pas assez d’essence et de balles ».
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Dans cette interview avec Anne Sinclair datant du 14 mai 1993, le Roi Hassan II affirmait ne pas croire en la possibilité d'intégrer les Arabes dans la société française.