Racisme à Padoue : un salon de coiffure africain affiche des prix plus élevés pour les Blancs

Pour faire tailler votre barbe ou pour vous faire couper les cheveux, selon que vous soyez Blanc ou Noir, le tarif varie.

Voilà ce qu'on a pu voir dans un salon de coiffure africain : les prix pour les "whites" sont plus élevés que pour les "blacks".

C'est le “Corriere Veneto” qui a révélé l'affaire.

Alors, sur les ordres du Commandant Antonio Paolocci, les vigiles urbains de Padoue ont fait irruption dans ce salon de coiffure africain ‘Gloria Coiffeur Beauty Center’, situé à 2 pas de la gare, où il ont séquestré la liste des prix se trouvant à l'entrée du salon et où on pouvait voir que les prix étaient différents selon la couleur de la peau du client. Un exemple des prix proposés :

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 Coupe de cheveux ...........White : 10 euros............Black : 6 euros

Barbe ................................White : 5 euros............Black : 3 euros

 

Ceci est du pur racisme a tonné le syndicaliste Massimo Bitonci, soutenu par Fabrizio Boron, assesseur communal et par Roberto Marcato, président du petit parlement du Palazzo Moroni.

Et, immédiatement après la diffusion de la nouvelle, comme cela arrive désormais presque toujours, les immigrationnistes et la presse se sont précipités chez la coiffeuse pour l'interviewer et démontrer qu'elle n'est pas raciste....

Interview en italien ICI (voir au bas de l'article)

Pour les xénophiles souffrant de complexes d'infériorité, il sera difficile de raisonner objectivement et d'imaginer une liste de prix simplement comme celle ci :

Shampoo....................5 euros
Coupe.......................10 euros
Mise en plis..............12 euros
Couleur................... 20 euros

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Source en italien (trad. D.B.)

 

Avis aux délateurs : Un site pour dénoncer le racisme

Avis aux délateurs! A l’instar de celui de la Licra ou autres associations, Jonathan Bensaïd, avocat parisien, a crée un site, denoncerlahaine.org,  qui a  beaucoup de succès et permet de dénoncer au procureur de la République, en quelques clics et une impression,  tous les propos qui vous dérangent: discours haineux, antisémites, homophobes, etc.

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Merci à Délit d'im@ge

Etats-Unis : Un bébé de dix-huit mois dénoncé pour racisme

 

NDLR : ou comment tout faire pour booster le racisme !

02/04/2015 – Indianapolis (NOVOpress)
Aux États-Unis comme chez nous, la traque du « racisme » et sa criminalisation sont toujours plus précoces. Il n’est pas question d’attendre ne serait-ce que la maternelle. À la Chambre des représentants de l’État d’Indiana, la démocrate noire Vanessa Summers (au centre sur l’image en Une de la séance) est montée à la tribune, en tant que « femelle afro-américaine », pour dénoncer  son collègue républicain Jud McMillin et le fils de celui-ci, âgé de … dix-huit mois.

Suite

Comment culpabiliser l’homme blanc: “Une puissante expérience sociale contre le racisme”

ND CH. H. Expérience totalement manipulatrice, avec de faux messages afin de culpabiliser les Blancs. Manque de chance, les protagonistes sont exemptes de reproche. La vidéo va encore plus loin en faisant naître un sentiment de culpabilité sur la base de messages qui n'ont jamais existé. Or les Blancs vont jusqu'à s'excuser d'éléments qui ont été inventés pour les piéger.

C'est cela le véritable scandale.

https://www.dailymotion.com/video/x2jywcu_message-raciste_news

Ravis au début de pouvoir lui venir en aide, les visages de ces gens se sont pourtant rapidement assombris lorsqu'ils ont découvert la teneur du message en question. Ouvertement raciste, celui-ci s'en prenait à son destinataire en le traitant de "singe" ou encore en visant sa couleur de peau. "

Source via Fdesouche.com 

A présent regardons une vérité qui n'a aucun besoin d'être testée et qui ne provoque aucune réaction de nos médias: Cliquez sur l'image pour l'agrandir. "Babtou" étant évidemment le terme péjoratif pour désigner les Blancs.

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Martine Brunschwig Graf: «J’ai lu le Coran avec des commentaires. Je n’ai pas vu le rejet des autres religions»

Présidente de la Commission fédérale contre le racisme, Martine Brunschwig Graf s’élève avec force contre «l’islamophobie».

Interview :

- On se focalise souvent sur le racisme de la société d’accueil. Il existe aussi un racisme intercommunautaire, par exemple celui des ressortissants balkaniques et d’autres populations immigrées envers les Noirs. Des Noirs entre eux. Traitez-vous aussi de ce racisme?  Le rejet de l’autre existe partout, chez tout le monde. Nous nous préoccupons aussi de celui-ci, mais nous n’avons pas d’étude spécifique sur ce sujet, nous faisons des analyses plus globales. Cela dit, aucun racisme n’est acceptable qu’ils soit intercommunautaire ou non.

- Ici, nous biberonnons à l’antiracisme dès le plus jeune âge. Ce n’est pas le cas de minorités dont la culture est très éloignée de la nôtre.
Ce n’est pas une question de culture. Des personnes viennent de très loin et ont du respect pour l’autre.

- Il s’agit aussi de culture. Pour prendre un autre exemple, nos sociétés sont les plus avancées dans l’égalité entre hommes et femmes. Le patriarcat, au contraire, fait partie de la culture de nombreuses minorités.
Nous vivons dans un Etat de droit que chacun est tenu de respecter. Les comportements des uns et des autres doivent s’inscrire dans la loi qui interdit par exemple l’excision ou le mariage forcé. C’est un principe central. On n’est pas toujours aussi avancé que l’on croit: lorsque j’avais 20 ans, je n’avais le droit de voter ni sur le plan cantonal, ni sur le plan fédéral.

- J’aimerais comprendre ce que vous entendez par islamophobie. Si je dis que le Coran est un livre de haine contre toutes les autres religions. Que les mouvements religieux revendiquent le droit à des pratiques sexistes, rétrogrades et bigotes. Que ces revendications prônent des comportements contraires à la constitution. Suis-je islamophobe, c’est-à-dire dans le sens habituel, raciste?
On peut critiquer une religion sans être raciste. Mais le rejet cette religion de cette manière péremptoire éveille volontairement le rejet de tous ceux qui la pratiquent. C’est un discours dangereux. Qui peut s’arroger le droit d’interpréter de façon absolue la Thora ou le Coran?
Quant à l’islamophobie, prise au pied dela lettre, elle signifie peur de l’islam.On peut être islamophobe sans être pour autant condamnable au titre de l’article 261 bis (norme pénale antiraciste).

- Avez-vous lu le Coran, vous êtes-vous informée sur la doxa musulmane, les Hadiths, la biographie de Mahomet?
J’ai lu le Coran et certains commentaires surtout. Je n’ai pas vu ce rejet des autres religions. Des musulmans interprètent avec distance ces textes. Je ne suis pas spécialiste et ne prétend pas l’être. Cette discussion montre simplement combien l’idée d’avoir un centre de compétence sur l’islam à l’Université de Fribourg est judicieuse.

- Les atrocités n’ont cessé de croitre et les attentats de se multiplier au nom de cette religion, jusqu’au chaos sanglant actuel. Or, les religieux d’ici se sont contentés d’un «pasdamalgamme», sans explication. Dans ces conditions, ne pensez-vous pas que l’hostilité envers l’islam est compréhensible?
Des gens se saisissent de l’islam pour commettre des crimes, comme ça a été le cas dans le passé avec d’autres religions. Ceux qui le faisaient prétendaient aussi lire au pied de la lettre leurs textes pour justifier leurs actes. Les atrocités de Daesh ou Boko Haram ont des effets sur le rejet des communautés musulmanes d’ici, comme l’a, sur les juifs, l’intensification du conflit du Moyen-Orient. Il n’y a pas de place pour les discours de haine.

- Les religieux musulmans enseignent ici depuis des décennies un texte discriminatoire, esclavagiste, misogyne et guerrier, qui inspire encore de nombreux pays. Ils ont invité des prêcheurs de haine, ils n’ont jamais levé le petit doigt pour combattre le radicalisme. Les Frères musulmans ont pris le contrôle de milliers de mosquées en Europe. Un résultat de ce laxisme, ce sont ces milliers d’Européens qui vont torturer et décapiter. Ne pensez-vous pas légitime de demander à ces religieux de reconnaitre la violence de leurs textes au lieu de nier qu’elle existe?
Je le répète, il n’y a pas de place dans notre pays pour des discours de haine. Je ne suis pas d’accord avec votre affirmation concernant le rôle des textes. Ceux qui commettent les crimes dont on parle prennent la religion comme prétexte, mais ils sont en fait des terroristes. Par ailleurs, il est important est d’avoir une analyse contemporaine de la manière dont une religion s’inscrit dans un Etat de droit, et on entend de plus en plus de voix musulmanes qui vont dans ce sens. A ce propos, ce qui me sidère, c’est que des opposants à l’islam refusent la création du centre de compétence à Fribourg. Analyser scientifiquement ces sujets est indispensable.

- Vous êtes opposée à l’interdiction du foulard à l’école. Vous avez pourtant rappelé que le foulard est imposé par la contrainte à des femmes dans le monde et qu’il est loin d’être un signe religieux anodin. Pourquoi l’autoriser pour des fillettes?
Avec le soutien du Conseil d’Etat genevois, j’ai décidé, il y a 20 ans que le foulard serait interdit pour les enseignantes, mais autorisé pour les élèves. Les enseignantes exercent une fonction d’autorité et transmettent un symbole religieux avec le foulard. Mais rien ne justifie une telle interdiction pour les élèves. L’interdire signifierait que ces filles seraient soit instruites à la maison, cloitrées, soit envoyées dans une école religieuse ultra. Par ailleurs, la constitution genevoise dit que chaque enfant a droit à un enseignement public dans sa formation de base. L’école publique permet à ces élèves une vision du monde plus ouverte et porteuse de choix.

- En France pourtant, où ce foulard est interdit, un nombre infime d’élèves musulmanes ne suivent pas l’école publique. Mais en l’acceptant, vous confirmez à ces filles issues de familles très conservatrices, cette vision que les garçons sont des prédateurs. On les prive de leur enfance.
Au contraire, nous leur donnons l’occasion de se confronter à d’autres réalités. Il peut arriver que des filles abandonnent le foulard avant la fin de la scolarité. Et tout récemment, le Grand Conseil a refusé un projet de loi visant l’interdiction du foulard pour les élèves, reconnaissant que la décision prise il y a 20 ans ne pose aucun problème. Personne n’a cité la moindre difficulté ou réclamation.y compris les auteurs du projet de loi.

- Vous êtes opposée à l’interdiction du niqab, comme la quasi-totalité des associations musulmanes. Cette défense d’un symbole terrifiant de leur religion et du statut réservé aux femmes ne fait-elle pas le lit d’une d’hostilité accrue envers l’islam?
Lorsqu’on décide d’une interdiction, il faut pouvoir la faire respecter. Le jour-même du vote au Tessin, le conseiller d’Etat Gobbi, membre du comité d’initiative, a déclaré à propos de la question des touristes que le Tessin allait l’appliquer de façon souple. Les lois que l’on n’est pas en mesure de faire respecter sont mauvaises. . La démocratie est fragilisée.
Prohiber les visages masqués dans l’espace public pour des raisons de sécurité, c’est un débat en soi. Je ne suis pas à l’aise quand je vois des hommes ou des femmes avec le visage couvert. Mais ça se discute d’une autre façon quand on vise une religion. Décréter un territoire vide de niqabs dans l’idée qu’on va faire progresser la réflexion est erroné. En l’occurrence, on ne résout pas un problème réel, on l’utilise pour remettre en question l’islam. En Suisse, qu’est-ce qui doit être impérativement interdit ? Ceux qui prônent l’interdiction du niqab ne mettent
pas en évidence des problèmes à résoudre, mais une campagne à mener contre l’islam.

- Ces mouvements offensifs invoquent la liberté de religion dans leurs revendications. Or, leurs textes la condamnent et elle n’existe dans aucun pays musulman. N’est-il pas légitime de leur demander d’éclaircir cette contradiction?
Il n’est pas juste et il est même dangereux de rendre responsables les musulmans d’ici de ce qui se passe ailleurs, comme il n’est pas juste de rendre les juifs responsables de ce qui se passe au Proche-Orient. Les musulmans en Suisse n’ont ni à s’expliquer, ni à se justifier. Mais ils ont exprimé à diverses reprises leur rejet de l’extrémisme praitqué au nom de l’islam.

- Mais l’immigration musulmane est la seule…
Ça n’a rien à voir avec l’immigration, 30% d’entre eux sont Suisses.

- Lorsque j’ai écrit mon premier livre, seuls 14% l’étaient… Mais j’en viens à ma
dernière question. Des critiques de l’islam sont menacés de mort, doivent être protégés nuit et jour, certains sont assassinés. Depuis l’affaire Rushdie, la censure et l’autocensure n’ont plus cessé. En point d’orgue, les meurtres de Paris. Pensez-vous que la liberté d’expression à l’égard de de l’islam existe encore?
Il existe beaucoup de gens qui placent encore des caricatures sur internet. La liberté d’expression doit exister et les gens doivent être protégés afin qu’ils puissent s’exprimer. Des musulmans sont eux-mêmes victimes de l’extrémisme . Les gens se censurent ou non en fonction de leur appréciation des risques. On a vécu autrefois des situations analogues. Je pense qu’on s’en sortira. Il existe une disposition dans le code pénal, l’article 260, qui condamne le blasphème. J’y suis plutôt opposée. Mais je remarque que personne n’a fait appel à cet article jusqu’ici. J’observe aussi que le Tribunal fédéral privilégie la liberté d’expression. Le dernier cas qu’il a traité est le salut hitlérien sur la plaine du Grütli qui n’a
pas été condamné. Mais là, je pense que c’est un mauvais signal.

Archives : Trois interviews d’humanistes de culture musulmane qui combattent pour nos valeurs démocratiques : Kacem El-Ghazzali, Saïda Keller Messahli, Hamid Zanas

 

Commentaire de Sami Aldeeb:

La Commission fédérale contre le racisme n’a jamais fait preuve ni de courage, ni de lucidité. Ce qui est nuisible aussi bien pour la Suisse dans son ensemble que pour les musulmans.

Présidée par M. Georg Kreis de 1995 à 2011, elle a à sa tête depuis 2012 Mme Martine Brunschwig-Graf. En la nommant à la tête de cette commission, le Département fédéral de l’intérieur n’a fait que remplacer un cheval borgne contre une jument aveugle…. comme le démontre cette interview sur laquelle je reviendrai. Entre-temps, je suggère à Mme la Présidente de lire mon petit ouvrage « La Fatiha et la culture de la haine« .

Italie : Harcelé et frappé par un Africain, il est inculpé pour racisme

14/03/2015 – PEROUSE (NOVOpress)
C’est l’histoire d’un Italien de 55 ans, dans la belle ville de Pérouse, qui n’avait pas encore compris dans quel pays il vivait désormais. Il y a quelques jours, à l’arrêt du tramway, un Noir lui a demandé un billet. Malgré son refus, l’Africain n’a pas cessé d’insister. L’Italien a fini par s’énerver et a lancé : « Va-t’en, nègre de m… » L’Africain est effectivement parti, mais pas avant de lui avoir lancé un coup de poing en pleine figure.

L’Italien a alors cru bon d’aller au commissariat, pour se plaindre d’avoir subi une agression de la part d’un étranger. Grâce à la description qu’il a donnée, la police a pu retrouver rapidement l’agresseur, un Sénégalais de 35 ans, qui a été déféré au parquet.

Mais les agents ont aussi expliqué à l’Italien « que l’expression qu’il avait employée pour chasser l’étranger constituait un acte illicite et discriminatoire, et qu’une procédure pénale allait être engagée contre lui ». L’Italien a protesté en vain : « Les Africains, je les vois comme ça ». Il a été inculpé pour violation de la loi Mancino, « qui punit tout comportement comprenant une discrimination pour motifs raciaux ».

Source

Alors qu’elle défendait les clandestins, une responsable CGT menacée et victime de racisme anti-blanc

Un homme a été condamné aujourd’hui par le tribunal correctionnel de Paris à deux mois d’emprisonnement avec sursis pour avoir proféré des menaces de mort contre une syndicaliste venue soutenir des coiffeuses sans-papiers en grève à Paris.


Le tribunal l’a reconnu coupable d’avoir menacé de mort Marilyne Poulain, responsable immigration au sein de l’antenne parisienne du syndicat CGT. Il n’a pas suivi les réquisitions du parquet, qui avait demandé six mois d’emprisonnement avec sursis. Le tribunal a également alloué 500 euros de dommages et intérêts à Marilyne Poulain au titre du préjudice moral, ainsi qu’un euro de dommages et intérêts à l’Union départementale CGT Paris.

« C’est ahurissant qu’on ne prenne même pas en compte le fait d’avoir à payer sa défense », a réagi son conseil, Me Maxime Cessieux, en référence au fait que le tribunal n’avait pas accordé d’indemnité sur la base de l’article 475-1 du code de procédure pénale (remboursement des frais engagés par la partie civile).

Poursuivi pour les mêmes faits à l’endroit d’une autre syndicaliste et d’un militant communiste, le prévenu a été relaxé de ces accusations. Selon les trois plaignants, l’homme avait menacé de les « décapiter », eux et « toute (leur) famille », considérant que les « Blancs » n’avaient « pas à s’occuper de ce qui se (passait) dans le quartier ».

Le Figaro via Fdesouche.com

Campagne gouvernementale contre le racisme en Italie : “ouvrez votre esprit, rejetez les préjugés”

« Accendi la mente, spegni i pregiudizi » [“Ouvrez votre esprit. Rejetez les préjugés”] 

 Une campagne contre le racisme®™, les discriminations®™ etc. a été lancée ce jeudi 5 mars par le gouvernement italien.

• Page officielle du  gouvernement italien
• Vidéo de présentation par exemple ici ou ici
• Liens d’actus google sur ce sujet ici

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Rappels

  • Hurlant des versets du Coran, un marocain saccage une église italienne
  • Italie : «Je suis clandestin, je fais ce que je veux ! » et il frappe deux personnes âgées
  • Italie : 150 « réfugiés » dévastent l’hôtel dans lequel ils ont été accueillis.
  • Les immigrés ont coûté 2 milliards d’Euros à l’Italie en 2014
  • Italie : les réfugiés refusent de manger des pâtes. Ils exigent la nourriture de leur propre pays
  • Les italiens s’opposent en masse à la présence des immigrés
  • Rome : tensions entre les habitants et les immigrés 
  • Conversations entre Roms : « Viens en Italie, on y vole facile »
  • Rome : 30 réfugiés africains prennent d’assaut un bus
  • etc

 

 

Source: Fdesouche

Grasse : un pâtissier taxé de racisme colonial……..

Si la musique adoucit les mœurs, la pâtisserie, elle, est capable d'allumer l'opinion. La preuve avec la polémique qui court depuis ce mardi sur la Toile à propos de gâteaux vendus par un pâtissier grassois. Des douceurs que le mouvement anti-raciste CRAN – Conseil Représentatif des Associations Noires – dénonce comme du "racisme colonial".

Si la musique adoucit les mœurs, la pâtisserie, elle, est capable d'allumer l'opinion. La preuve avec la polémique qui court depuis ce mardi sur la Toile à propos de gâteaux vendus par un pâtissier grassois. Des douceurs que le mouvement anti-raciste CRAN – Conseil Représentatif des Associations Noires – dénonce comme du "racisme colonial".

L'association, qui exige le retrait immédiat des gâteaux sous peine de déposer plainte pour incitation à la haine raciale, les définit ainsi : « Ces friandises s’inspirent des fantasmes coloniaux concernant les Noirs (regards ahuris, bouches surdimensionnées, nudité obligée, organes sexuels protubérants.Pire encore, compte tenu de leur nom ("Dieux" et "Déesses"), ces pâtisseries tournent en ridicule les religions africaines » Et se demande également s'il est opportun que le pâtissier, par ailleurs président d'un club de football, conserve ses fonctions.

Ce dernier, Yannick Tavolaro, qualifie cette démarche de "terrorisme intellectuel" et jure : "je ne céderai pas à la pression". Pas question pour lui de renoncer à commercialiser ses "Dieux" et Déesses". "Ou alors, il faut que j'arrête aussi les religieuses, les pets-de-nonne, et quoi d'autre encore", lance-t-il, exaspéré. Et de menacer à son tour de déposer plainte pour diffamation.

Source

Martine Brunschwig-Graf sur le baromètre du sentiment raciste

RTS / Forum du 12 février 2015"

"Il y aura du travail de persuasion et d'explication à faire [...]" conclut la journaliste...

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Racisme anti-blanc et apologie du terrorisme à Angoulême : « 12 blancs de moins, ça s’arrose »

Le signalement avait été fait directement au parquet d’Angoulême, dans les jours suivant les attentats contre Charlie Hebdo. Selon le témoignage, le mercredi 7 janvier, au bar Le Rush, à Ma Campagne, 4 jeunes se seraient réjouis des attentats. Parmi les propos relevés, alors que les chaînes d’info continues établissaient le bilan humain des attentats: « 12 blancs de moins, ça s’arrose », entre autres propos racistes ou pro-terroristes. Le parquet avait diligenté une enquête.

La Charente Libre via Fdesouche

Berne veut mesurer le racisme

Le Conseil fédéral a décidé mercredi d'introduire un instrument d'enquête consacré au phénomène du racisme en Suisse. Ces informations permettront de disposer d'indicateurs sur la cohabitation en Suisse et le cas échéant d'améliorer la cohésion sociale.

Le but est d'identifier suffisamment tôt l'émergence de ce type d'attitude, explique le gouvernement.

L'évaluation portera sur des thèmes-clés comme le racisme, l'hostilité à l'égard des musulmans et des juifs ou plus globalement sur l'intolérance (ND Ch. H.: Remarquez qu'on ne parle aucunement de la christianophobie et que les musulmans sont dores et déjà présentés en tant que victimes...).

Source