Genève, canton de gauche : Mobbing et sexisme dénoncés dans un service de l’État

Une lettre anonyme, adressée à la conseillère d’État Nathalie Fontanet, fait état de harcèlement au sein d’un service du Département des infrastructures.

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Dénigrement, propos déplacés ou blessants, voire «homophobes et sexistes»: la fonctionnaire évoque des «méthodes managériales peu scrupuleuses» qui auraient été dénoncées auprès du Groupe de confiance de l’État «mais, malheureusement, cela n’a donné aucun résultat».

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20min.ch

«Réservé aux femmes» : sports, transports… pourquoi les zones non-mixtes se multiplient

Clubs de sports, transports… les hommes ne sont plus les bienvenus dans certains lieux. Pas pour cause de communautarisme, mais pour que les femmes y soient plus tranquilles. Certains dénoncent un sexisme à l’envers.

Certains, et même certaines, parlent de « sexisme inversé » pour qualifier cet endroit, mettant à mal le principe d'égalité entre les individus. D'autres le désignent comme une zone de respiration permettant une parole désinhibée, surtout pour les femmes, un espace rassurant pour des victimes de discriminations voire de violences, un entre-soi nécessaire pour plus de liberté. Voici les deux visages de la très controversée « zone de non-mixité » qui fait tant parler. Nous ne parlons pas ici de communautarisme mais d'une séparation temporaire et choisie entre les deux sexes.

Dernier exemple en date : le 12 décembre, plusieurs vidéos tournées Gare du Nord à Paris et circulant sur les réseaux sociaux montrent des personnels de sécurité de la SNCF privilégiant l'accès à un wagon du RER B aux femmes (mais aussi aux enfants, aux personnes âgées ou souffrant d'un handicap). Si la SNCF assure, dans un communiqué, qu'« il n'y a pas de rame réservée aux femmes » mais qu'il s'agissait d'un « geste d'attention » dans un souci de sécurité, il n'en fallait pas plus pour que le débat s'enflamme.

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Le Parisien

Délire de genre : Les animaux mâles sont sur-représentés dans les musées d’histoire naturelle

Ndlr: La nouvelle a fait le tour de la presse de gauche.

Chaque année dans les universités occidentales, des milliers de jeunes diplômés en Études de genre mettent en œuvre toutes leurs créativités pour trouver de nouveaux sujets permettant de dénoncer les terribles inégalités entre les genres.

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Sexisme  - Une étude publiée ce mercredi démontre que les animaux mâles sont plus représentés que les femelles dans les musées d'histoire naturelle. Près de 2,5 millions d'oiseaux et de mammifères ont été analysés par des chercheurs pour en arriver à cette conclusion.

Les stéréotypes sexistes infiltrés jusque dans les musées d'histoire naturelle: les mâles oiseaux et mammifères sont sur-représentés dans leurs collections, ce qui est susceptible de biaiser les recherches menées à partir des ces spécimens, révèle une étude mercredi.

Une équipe de chercheurs a analysé près de 2,5 millions de spécimens d'oiseaux et de mammifères collectés par cinq grands musées (Londres, Paris, New York, Washington et Chicago) depuis le XVIIIe siècle, pour la plupart via la chasse et le piégeage.

Pourquoi cette démarche inédite ? «Nous nous intéressions aux préjugés de genre dans le milieu scientifique, où il y a par exemple une sur-représentation de chercheurs hommes blancs aux postes haut gradés. Aussi trouvions-nous intéressant de voir si ce biais masculin se retrouvait dans les collections des musées», explique à l'AFP Natalie Cooper, chercheuse au museum d'histoire naturelle de Londres et auteure principale de l'étude publiée dans Proceedings of Royal Society B.

Chasse orientée

Sur le vaste échantillon analysé, quand le sexe est identifié, 40% des oiseaux et 48% des mammifères, en moyenne, sont des femelles. Ce pourcentage varie en fonction des classifications, et s'avère particulièrement faible dans de nombreux nombreux cas, comme certains passereaux (9,7% de femelles), gobe-mouches noirs (11,5%), chauve-souris (9,9%), ovins (24%), belettes (24%)...

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source:

Un musée britannique décroche un tableau de nymphes pour cause de sexisme

Peut-on juger l'art des siècles passés, selon une grille de lecture féministe de 2018 ? C'est le débat qu'a lancé le musée de Manchester le 26 janvier dernier en décrochant la toile Hylas et les nymphes, œuvre du peintre britannique John William Waterhouse exécutée en 1896 sous le règne de la reine Victoria.

«Ce musée représente le corps de la femme soit comme une forme décorative passive, soit comme une "femme fatale" [en français dans le texte]», déclare l'équipe de la Manchester Art Gallery pour expliquer sa démarche sur une feuille de papier posée en lieu et place du tableau, apparemment jugé porteur de préjugés sexistes.

«Questionnons les fantasmes [masculins] de l'ère victorienne !», proclame encore la Manchester Art Galery sur son site, invitant le public à réagir dans un dispositif présenté comme une performance participative. Le décrochage a par ailleurs été filmé dans le cadre de la-dite performance par l'artiste Sonia Boyce, présentée par le centre national d'art contemporain de Nice, la Villa Arson, comme «une femme/féministe artiste noire en Grande-Bretagne, [adoptant] une pratique postmoderne interrogeant les traits de la "blackness" à l’aune d’un transnationalisme artistique.»

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Campagne anti sexiste : vers une nouvelle inquisition ?

Après le combat contre ceux qui réchauffent, les phobes et l’extrême-droite, le nouveau combat républicain, tendance est celui qui est contre le sexisme.

Pourtant, l’égalité en droit des hommes et des femmes est largement acquise…

Par les textes de loi et les mœurs de la très grande majorité

Le combat contre le sexisme s’essouffle et se cantonne souvent à hurler contre des inégalités, notamment salariales. Pourtant, même en ce domaine, après analyse sérieuse, la parité règne déjà.

Cependant, en France, la lutte continue de plus belle

Le sexisme est mis à toutes les sauces, dans toutes les attitudes, dans tous les objets du quotidien. Rasoirs roses, tampons hygiéniques, jeux pour enfants… Il y a toujours un collectif pour hurler à l’abominable discrimination sexiste.

Dernière campagne en date : « Stop — ça suffit », lancée lundi par le gouvernement, contre le harcèlement sexiste dans les transports. Elle « vise à faire évoluer les comportements », naturellement.

Les comportements des mâles Français, donc ?

Comme d’habitude, l’immigration comme cause n’est jamais citée. Cette campagne va culpabiliser encore plus le Français lambda, qui n’y est pas pour grand chose…

Au lieu d’agir selon ses missions, c’est à dire contrôler l’immigration et assurer la sécurité de tous, l’Etat maman obèse profite de la situation pour s’étendre et rééduquer le peuple français. L'exact inverse de son rôle authentique.

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