Violences urbaines à Limoges. Halte à la victimisation de la racaille ! [L’Agora]

Les 21 et 22 avril, « Beaubreuil » et « Bastide », deux quartiers de Limoges historiquement réputés pour abriter d’intenses trafics de stupéfiants, ont été le théâtre d’émeutes urbaines que la pudeur médiatique a qualifié de « faits divers ».

Dans cette droite ligne, on s’étonnera à peine des précautions de langage euphémiques et néologiques employées par la presse :

    • « incidents » pour faire référence aux destructions de biens publics et privés (dont l’annexe de la Mairie !),
    • « jeunes » pour parler de délinquants,
    • « quartiers sensibles » pour mentionner des zones de non-droit,
    • « Échauffourées » pour décrire d’une scène de guérilla urbaine,
    • « partie de cache-cache » pour définir le travail de maintien de l’ordre des policiers,
    • « perturbateurs » pour désigner les membres d’une faction séditieuse.

Tout comme de la sélection des témoignages qui parlent « d’un papa d’une quarantaine d’années » pour décrire un tunisien en situation irrégulière, drogué, en état d’ivresse sur la voie publique en totale violation des règles de confinement, auteur de jets de pierre et de violences contre les forces de l’ordre, outrancier à leur encontre et déjà connu des services de police.
Bref, un enfant de cœur !

Mais le paroxysme de l’inversion des valeurs réside dans le fait qu’on focalise l’attention sur les conditions dans lesquelles a eu lieu l’interpellation. [...]

article complet: https://www.breizh-info.com/2020/04/25/142215/violences-urbaines-a-limoges-halte-a-la-victimisation-de-la-racaille-lagora/

France : Collomb parlant des quartiers “C’est la loi du plus fort des trafiquants et des islamistes. La situation est très dégradée.”

Lors de son discours de passation de pouvoir à Edouard Philippe, qui assure désormais l'intérim, le ministre de l'Intérieur démissionnaire Gérard Collomb a martelé qu'en France des quartiers échappaient encore à la loi de la République.

Démissionnaire à la tête du ministère de l'Intérieur, Gérard Collomb ne laisse pas derrière lui une République française sûre et apaisée – de son propre aveu. «Le terme de reconquête républicaine prend, dans ces quartiers, tout son sens. Parce que oui aujourd'hui, c'est plutôt la loi du plus fort qui s'impose, [celle] des narco-trafiquants, des islamistes radicaux, qui a pris la place de la République», a-t-il déclaré lors de son discours de passation de pouvoir à Edouard Philippe, le matin du 3 octobre, évoquant certains quartiers dits difficiles en France.

Le désormais ex-chef de la place Beauvau avait un «message à faire passer» : «La situation s'est très dégradée» dans certains territoires, a-t-il prévenu, listant, pêle-mêle : «Les quartiers Nord de Marseille, au Mirail à Toulouse, à la périphérie parisienne, Corbeil, Aulnay, Sevran...» «Il faut à nouveau assurer la sécurité dans ces quartiers, mais je crois qu'il faut fondamentalement les changer. Quand des quartiers se ghettoïsent, se paupérisent, il ne peut y avoir que des difficultés», a statué Gérard Collomb.

 

 

«Je crois vraiment que, dans la périphérie parisienne, on ne peut plus continuer à travailler commune par commune. Il faut une vision d'ensemble pour recréer de la mixité sociale», a-t-il encore conseillé.

Enchaînant aussitôt sur la thématique de l'accueil des migrants, toujours prégnante dans l'actualité politique française, le ministre de l'Intérieur sur le départ a estimé que si ces derniers étaient logés dans les quartiers à problèmes, la situation deviendrait d'autant plus «ingérable».

Contraint d'accepter la démission de Gérard Collomb de son poste de ministre de l'Intérieur, Emmanuel Macron a chargé dans l'urgence le Premier ministre Edouard Philippe d'assurer l'intérim, en attendant de nommer son successeur à la tête de ce ministère clé. Le 2 octobre, dans les colonnes du Figaro, Gérard Collomb avait décidé de maintenir sa proposition de démission – refusée un premier temps par le chef de l'Etat –, entérinant les dissensions entre le ministre de l'Intérieur et le président de la République. Gérard Collomb avait expliqué vouloir se consacrer pleinement à l'élection municipale de Lyon, prévue initialement pour 2020. A droite comme à gauche, de nombreux élus de l'opposition ont ironisé sur une situation qui semble échapper au président de la République.

RT / Cnews.fr

Manifestation chrétienne de Britain First dans un quartier musulman de Luton (Bury Park)

Bury Park à Luton est une zone connue pour abriter des extrémistes musulmans, des fanatiques d'ISIS, des prêcheurs de haine et des terroristes. C'est probablement le pire endroit islamisé et le plus chaud de toute la Grande-Bretagne. C'est là que le groupe Britain First est allé manifester en portant haut les valeurs chrétiennes.

Vidéo (en anglais) :

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Source

Merci à Pierre H.