États-Unis. Un haut-fonctionnaire : “Trump a atteint une sorte d’ “équilibre” politique et militaire dans un certain nombre de conflits, produisant une situation qui est à peu près la meilleure qu’une administration puisse espérer”

Quatre ans après avoir signé la désormais célèbre lettre “Never Trump” condamnant le candidat à la présidence Donald Trump comme un danger pour l’Amérique, le diplomate à la retraite Jim Jeffrey recommande au nouveau gouvernement Biden de poursuivre la politique étrangère menée par Trump au Moyen-Orient.

Mais même s’il loue le président pour ce qu’il décrit comme une approche réussie de “realpolitik” dans la région, il reconnaît que son équipe a régulièrement induit en erreur les hauts dirigeants sur le nombre de troupes en Syrie.

“Nous avions toujours des tours de passe-passe pour ne pas laisser nos dirigeants comprendre combien de troupes nous avions là-bas”, a déclaré Jeffrey dans une interview. Le nombre réel de troupes dans le nord-est de la Syrie est “bien plus important que” les quelque deux cents soldats que Trump avait initialement accepté de laisser là-bas en 2019.

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Officiellement, Trump a accepté l’année dernière de maintenir plusieurs centaines de troupes américaines – entre 200 et 400, selon diverses informations de l’époque – stationnées dans le nord-est de la Syrie pour “sécuriser” les champs de pétrole détenus par les alliés kurdes des Etats-Unis dans la lutte contre l’ISIS. Il est généralement admis que le nombre réel est plus élevé que cela – des fonctionnaires anonymes estiment le nombre à environ 900 aujourd’hui – mais le chiffre précis est classifié et reste inconnu, même semble-t-il à des membres de l’administration Trump désireux de mettre fin à ce qui est qualifié de “guerres éternelles”.
Alors qu’il quitte à nouveau la fonction publique, Jeffrey ne se moque pas pour autant du président qui divise.

La décision de 2018 de l’ambassadeur de carrière de servir dans l’administration Trump malgré son opposition politique au président – et de défendre ses politiques sur le chemin du départ – est à l’image d’un fonctionnaire décrit par ses collègues comme le parfait fonctionnaire apolitiqueJeffrey n’émet aucune polémique sur le caractère du président, même s’il affirme qu’il maintient sa décision de signer la lettre ouverte de 2016 qui dit que Trump est “erratique” et “agit avec impétuosité”.

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Jeffrey pense que Trump a atteint une sorte d’ “équilibre” politique et militaire dans un certain nombre de conflits froids et chauds différents, produisant une situation qui est à peu près la meilleure qu’une administration puisse espérer dans une région aussi désordonnée et volatile.

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“Personne, parmi tous nos alliés [au Moyen-Orient]”, ne veut vraiment voir partir le président Trump a-t-il déclaré. “La vérité est que le président Trump et sa politique sont très populaires parmi tous nos États populaires dans la région. Citez-moi un pays qui ne soit pas heureux”.

Interrogé sur la manière dont il conseillerait l’administration Biden lorsqu’elle reprendra son portefeuille, Jeffrey a déclaré qu’il exhorterait le président élu à maintenir le cap fixé par l’équipe Trump. Certaines choses que l’équipe de M. Biden pourrait vouloir défaire – comme le démantèlement de l’accord nucléaire avec l’Iran – pourraient maintenant être infaisables, selon lui. Mais surtout, n’essayez pas de “transformation”. N’essayez pas de “transformer la Syrie en Danemark”. L’équilibre, c’est la stabilité.

“Je pense que l’équilibre que nous avons créé est un pas en avant et je le préconise”, a déclaré Jeffrey.

“Je vous dis simplement la réalité telle que je l’ai vue. Je n’essaie pas de faire des faveurs à qui que ce soit. Parce qu’il est très important que quand la nouvelle équipe arrive, elle ne se dise pas, si ça a été fait par Trump, c’est que c’est mauvais”.

DefenseOne

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D’amour et de paix.

Hier dimanche 09 juillet, on apprenait dans la Sonntags­Zeitung qu'un imam prêchant au sein de la fameuse mosquée An'Nur de Winterthur aurait tenté de provoquer un attentat kamikaze au Liban. L'homme est vraiment un bon type. Requérant d'asile depuis 20 ans maintenant en Thurgovie, le personnage s'est fait d'emblée remarquer en arrivant en Suisse, commettant une nuée de petits délits avant de verser dans l'extrémisme. Ses prêches avaient fini par choquer certains musulmans qui l'avaient chassé de leur mosquée avant que celui-ci ne trouve refuge à An'Nur, abcès purulant pourtant toléré par les autorités dont la veulerie n'est plus à démontrer. Finalement, l'endroit a dû fermer ses portes non pas parce que les pouvoirs publics avaient décidé de mettre fins aux appels à la haine et au meurtre qui résonnaient le plus souvent dans ses murs mais bien parce que le bailleur a eu vent de la mauvaise réputation des lieux et a choisi de ne pas renouveler le bail. Il est vrai qu'on y avait arrêté un imam appelant au massacre des musulmans non pratiquants et une dizaine de fidèles pour faits de violence. D'amour et de paix, qu'ils disaient.

Aujourd'hui, cette fripouille fait donc de nouveau parler de lui. Après avoir divorcé de sa première épouse suite à quelques coups et menaces de mort bien dans la droite ligne des préceptes qu'il enseigne, l'homme s'est remarié avec une jeune femme qui vient d'être arrêtée au Liban alors qu'elle s'apprêtait à commettre un attentat suicide. Selon le journal dominical, c'est son mari qui l'aurait poussée à passer à l'acte. Ce nouvel éclairage au sujet de l'islamisme en Suisse est très intéressant.

Tout d'abord, on constate que la mosquée An'Nur a pu répandre son venin sans grand tracas alors que son caractère radical voire plus était largement connu. Le procureur de la Confédération a d'ailleurs fait savoir que l'imam en question faisait l'objet d'une enquête bien avant cette affaire, ce qui confirme que le comportement du personnage était connu. La précision du Ministère public met aussi en évidence l'incurie de l'organe en question dont les enquêtes font preuve d'une indigente inefficacité.

Ensuite, force est de constater que la délicatesse dont les autorités ont fait preuve vis-à-vis de ce nid de vipères qu'était An'Nur aurait permis à l'institution de poursuivre ses activités extrémistes si les propriétaires des lieux n'avaient pas décidé de mettre un terme au bail qui les liait aux islamistes. Ces derniers vont bien comprendre le message. Comme les pouvoirs publics sont incapables de fermer ces usines à terroristes, il suffit d'être propriétaires pour éviter tout tracas. Les fonds inépuisables des monarchies pétrolières devraient suffire à mettre durablement les fous d'Allah à l'abris de petits soucis locatifs.

On relève également que lorsque quelqu'un veut bien soulever un peu le tapis, bien des choses peu reluisantes sont tout-à-coup révélées au grand jour. Alors que le terrorisme d'Allah endeuillait un peu partout sur la planète, autorités politiques et judiciaires nous expliquaient doctement que la Suisse était épargnée par le phénomène mais qu'il fallait néanmoins rester vigilant. En fait, notre pays n'est pas moins gangréné que les autres, il ne constitue simplement pas une cible mais une base de repli. Il serait pour le moins ingrat de la part des terroristes de s'en prendre à l'oasis bienveillante que constitue notre pays.

A force de regarder ailleurs, de faire preuve de mansuétude envers les égorgeurs en partance ou de retour, notre pays donne raison à Churchill qui disait d'un conciliateur que c'est une personne qui nourrit un crocodile en espérant qu'il sera le dernier à être mangé. Le jour où le crocodile en question se retournera contre nous, nous la sentirons passer. L'animal sera vigoureux car bien gavé.

 

La Côte-aux-Fées, le 10 juillet 2017                                             Yvan Perrin

Ami-e-s Bisounours, aidez-nous à faire l’amour et pas la guerre

Mes copines et moi-même avec ma fille Houria née de mon union avec Mohamed…

 

Par Caroline Alamachère

 

Mes chères sœurs et frères humains, ami-e-s Bisounours de France et d’ailleurs,

Main dans la main tou-te-s ensemble, entamons une ronde d’amour universel. Car toutes les civilisations se valent, toutes les cultures et toutes les religions. Paix et amour à tous !

coeurs

 

Des méchants nous ont frappé-e-s- en plein cœur mais nous ne devons pas répondre à la haine par la haine, nous devons les aimer aussi fort qu’ils nous haïssent, comme nous le demandent les médias, Thomas Guénolé entre autres, mais aussi les politiques comme Jean-Luc Mélenchon, qui a certifié avec justesse (bénédiction sur lui) que « les musulmans ne feraient pas de mal à une mouche » et qu’il fallait bien sûr réprimer ceux qui les stigmatiseraient.

Oui, la guerre c’est mal et la paix c’est bien… Oh ! Un papillon !papillon2

 

 

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Pour le juge italien Imposimato, « l’OTAN est une menace pour la Paix et la sécurité dans le monde »

Voici le discours du juge italien antimafia Ferdinando Imposimato, président honoraire de la Cour de Cassation italienne, prononcé lors d’une réunion à Rome le 26 octobre dernier à l’initiative du journaliste italien Giulietto Chiesa.

M. Imposimato est un personnage extrêmement respecté en Italie pour l’ensemble de son combat contre le crime organisé. Le seul fait qu’un homme de sa trempe, aussi connu et inattaquable que lui, se prononce de façon tranchée sur le danger que représente l’OTAN pour la paix dans le monde, mais aussi sur sa vision des attentats du 11-Septembre, devrait provoquer un débat national voire, européen, sur ces questions.

Il n’en est rien, de telles paroles ne seront jamais relayées par les médias grands publics et les journaux télévisés. Dormez bonnes gens.


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Via réseauinternational.net

«Nous venons en paix»… mais nous pillons vos églises pour financer le djihad

Ci-dessus, la cathédrale de Cologne

«Nous venons en paix», c’est la chronique de Novopress sur des choses vues sur le web et les réseaux sociaux à propos de nos chers « migrants » / « réfugiés » / Bisounours… une petite pastille de vérité dans un océan de propagande aux bons sentiments… mais chut… PADAMALGAM !
Aujourd’hui, visite en Allemagne...

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Bergoglio : Le coran est un livre de paix et l’islam n’est pas une religion violente….

“Scanning the news so you don’t have to. So far nothing from the Pope about the oppression of Christians by Muslims in the Middle East and other parts of the world. Which brings this to mind. Can a holy man be holy if he betrays his own people and let’s them be crushed by another faith without uttering a word of support or condemnation on his brothers’ behalf? Instead he offers them (and us) more bilge and doubletalk about the “religion of peace.”
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Voir l'interview du pape ICI

 

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Pour l’attribution post-mortem du Prix Nobel de la Paix à Kadhafi

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Même les pays européens qui ont l’expérience centenaire de la gestion de l’Afrique et de l’Asie (ainsi la France ou la Grande-Bretagne) ne parviennent plus à administrer leur folie communautariste ! Pour éviter des clashs, autrement dit de véritables guerres civiles interethniques et interreligieuses, ils sont obligés de dissimuler toute tension pré-insurrectionnelle, voire étouffer les crimes les plus atroces comme des viols de masse d’enfants. En revanche, des pays comme la Suisse, qui n’ont pas l’habitude de gérer des masses africaines ou asiatiques sur leur territoire, sombreront plus vite que les anciens empires. Depuis quelques années, l’opinion helvétique s’habitue à subir cette invasion, car il est dit, par des manipulateurs : « Regardez ces Albanais, regardez ces Turcs. On les a intégrés et cela n’a pas posé de problème ». C’est la « tactique du voleur chinois » : le criminel entre dans votre boutique et déplace par des mouvements imperceptibles l’objet convoité vers la sortie ; une fois près de la porte, il s’en saisit et se sauve. Or la Suisse a accepté, voire partiellement assimilé sur son sol, des populations issues de pays dépendant depuis des siècles de la culture européenne et germanique. Avec l’Afrique et l’Asie qui s’abattent actuellement sur elle, elle sera désarmée, car elle n’aura aucun moyen pour communiquer avec ces allogènes que les journaux helvétiques du système montrent, dans un effort de manipulation, nettoyer les chemins suisses avec des râteaux. Quelle image d’Épinal ! Certes, les envahisseurs se tiennent calmes pour l’instant, car, réfugiés statuaires, ils perçoivent le minima social suisse. Il faut qu’en Suisse, l’on soit conscient que ce minima social helvétique surpasse le traitement officiel du chef d’État-major éthiopien ou du président du Mali ! Tant que la Suisse aura la possibilité d’injecter ces sommes monstrueuses – qui, par ailleurs, créent un appel d’air pour des tribus d’Érythrée –, elle connaîtra une certaine paix civile, qui ressemble cependant plus à une anesthésie temporaire. Mais dès que l’argent manquera (car les élites ne font plus confiance aux banques suisses qui ont perdu la guerre financière face aux États-Unis) ou dès que se formeront différentes communautés allogènes sur le sol helvétique lesquelles pourront dès lors faire chanter le pouvoir fédéral (regardez les crimes raciaux en France commis quotidiennement dans les zones de non-droit où la police n’ose se rendre), ce sera la fin de la Confédération helvétique !

 

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L’Union Européenne c’est la guerre !

Article de François Asselineau datant de 2012, à relire...

Le Prix Nobel de la Paix a été attribué à l'Union européenne, au moment même où, de l'Afghanistan à la Libye, et de l'Irak à la Syrie, l'Union européenne apparaît désormais clairement comme le simple paravent politique d'une alliance militaire euro-atlantiste voulant imposer la loi du plus fort à la planète entière.

Cette attribution n'est donc pas seulement choquante du point de vue politique : tout le monde a compris que son objet est de tenter - bien inutilement d'ailleurs - de redonner un peu de prestige à une construction européenne dont les conséquences apparaissent désormais de façon criante comme désastreuses dans tous les domaines sans exception : économique, social, financier, monétaire, politique, social, industriel, scientifique, commercial, culturel, diplomatique et militaire.

Une décision orwellienne

Cette attribution est également choquante du point de vue de la morale et de l'éthique, En procédant à une inversion totale des valeurs qu'elle sous-tend, l'attribution du Prix Nobel de la Paix à l'UE/OTAN revêt un caractère "orwellien", en rappelant cet infernal univers décrit dans le roman 1984 : "De son poste d’observation, Winston pouvait encore déchiffrer sur la façade l’inscription artistique des trois slogans du Parti :

« LA GUERRE C’EST LA PAIX - LA LIBERTÉ C’EST L’ESCLAVAGE - L’IGNORANCE C’EST LA FORCE »

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