L’ancien Premier ministre de Malaisie : “Les musulmans ont le droit d’être en colère et de tuer des millions de Français”

Mahathir Mohamad, Premier ministre malaisien de 1981 à 2003 et de 2018 à 2020, réagit à l’attentat terroriste de Nice : “Les musulmans ont le droit d’être en colère et de tuer des millions de Français pour les massacres du passé”

 

 

 

Via Fdesouche


Rappels :

Le Cheikh Bouchikhi, imam en Malaisie : « les infidèles sont les pires créations d’Allah »

En Malaisie, la Constitution institutionnalise les discriminations raciales

Malaisie : un politicien accuse les femmes d’être responsables de leur viol et propose une loi pour les punir

Malaisie et Indonésie : La chasse aux homosexuels et aux blasphémateurs se répand dans ces pays « réputés pour leur pratique d’un islam tolérant »

Rome : un couple d’Italiens agressé par un immigré malaisien car ils s’embrassaient devant une mosquée

Bangladesh, Pakistan, Malaisie… : en Asie, en pleine montée du coronavirus, les autorités religieuses rejettent toute mesure préventive pendant le ramadan

Ils sont plus d’un milliard de musulmans en Asie. Tous attendent impatiemment le ramadan, période de rassemblements et de retrouvailles, alors même que le nouveau coronavirus prend de l’ampleur dans nombre de pays du continent. Le nouveau coronavirus a provoqué des fermetures d’écoles et de commerces dans toute l’Asie, mais les mosquées sont restées largement ouvertes. Dans certains pays, il est hors de question de modifier ses habitudes pour le ramadan malgré le covid-19.

Les imams du Bangladesh appellent les fidèles à s’entasser dans les mosquées. Ceux du Pakistan ont convaincu les autorités de ne pas fermer les lieux de culte pendant le mois saint musulman. Nuit après nuit, amis et familles célèbreront ensemble l' »iftar », la rupture du jeûne. Les autorités ont tenté de limiter les retombées sanitaires du ramadan, l’un des piliers de l’islam, qui démarre jeudi. Mais les dignitaires religieux ont balayé leurs recommandations. Au Bangladesh, le pouvoir, séculier, a ainsi appelé à réduire la fréquentation dans les mosquées. Une suggestion peu goûtée par l’un des principaux groupes d’imams du pays.

« Le quota de fidèles imposé par le gouvernement n’est pas acceptable pour nous. L’islam ne soutient pas l’imposition d’un quelconque quota de fidèles« , a tonné Mojibur Rahman Hamidi, membre du groupe extrémiste Hefazat-e-Islam, qui représente ces imams. Prier à la mosquée est « obligatoire » pour les musulmans en bonne santé, a-t-il ajouté. Vendredi, des dizaines de milliers de Bangladais se sont rassemblés pour célébrer la mort d’un prêcheur renommé, bravant les consignes de confinement.

Au Pakistan, la foi l’emporte depuis les débuts de la pandémie sur tout autre considération. Si les autorités ont tenté de limiter la fréquentation des mosquées ou d’en fermer certaines, les fidèles ont prié dans les rues adjacentes, épaule contre épaule, au mépris de toute règle de distanciation sociale. […]

L'Etat du Perlis, dans le Nord de la Malaisie, a d'ores et déjà annoncé qu'il contreviendrait aux directives de Kuala Lumpur et que les marchands de nourriture y seraient autorisés à vendre leurs denrées depuis leur domicile et sur les bords de route.

[…]

tv5 monde

via Fdesouche


Rappels :

Bangladesh. Coronavirus : Des dizaines de milliers personnes aux funérailles d’un imam

Berlin : un imam haineux au bénéfice de l’aide sociale détourne des fonds d’aide d’urgence pour le Coronavirus

Pakistan. Coronavirus : la police attaquée par une foule de musulmans après avoir tenté de fermer une mosquée

Malaisie : un politicien accuse les femmes d’être responsables de leur viol et propose une loi pour les punir

Le 31 juillet dernier, le média Malaysiakini relayait les récents propos du politicien malaisien Mohamad Imran Abd Hamid, venu défendre au Sénat un projet de loi visant à défendre les hommes du "harcèlement" des femmes. Une façon de dédouaner les violeurs de leurs actions.

"Les vêtements des femmes peuvent nous pousser à enfreindre la loi". C'est ainsi que Mohamad Imran Abd Hamid, député malaisien du parti au pouvoir, a justifié sa volonté d'instaurer une loi visant à lutter contre le harcèlement sexuel des hommes. Une façon de déculpabiliser les auteurs de violences sexuelles et de remettre la responsabilité de l'agression sur le dos de la victime.

Une loi pour rendre les femmes violées responsable de leur agression

Ses propos, tenus au Sénat malaisien fin juillet dernier, sont relayés par le média Malaysiakini. "Je propose une loi sur le harcèlement sexuel visant à protéger les hommes des actions, paroles et vêtements des femmes, qui séduisent les hommes au point de les pousser à commettre des actes comme l'inceste, le viol, regarder de la pornographie..." a clamé le politicien.

Il ajoute : "C'est important, nous (les hommes, ndlr) avons besoin d'être protégés. Les actions et vêtements des femmes peuvent nous séduire et nous pousser à enfreindre la loi et nous causer des problèmes avec la justice (...) Je demande au ministère de prendre en compte ma proposition, pour que les hommes soient en sécurité et que le pays soit en paix".

Selon lui, un homme ne peut donc pas être tenu responsable d'une agression sexuelle, celui-ci n'ayant pas pu résister au "harcèlement" de sa victime. Un projet de loi aberrant visant à dédouaner les hommes de leurs actions et remettre la faute sur la victime.

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Cosmopolitan.fr

 

Malaisie et Indonésie : La chasse aux homosexuels et aux blasphémateurs se répand dans ces pays « réputés pour leur pratique d’un islam tolérant »

En Indonésie et en Malaisie, deux pays réputés pour leur pratique d’un islam tolérant, la chasse aux homosexuels et aux blasphémateurs se répand.

Ce n’est pas un retour à l’ordre moral, car cet ordre-là n’avait jamais disparu, mais les exemples d’un tour de vis généralisé ont abondé ces dernières semaines dans les deux pays à majorité musulmane d’Asie du Sud-Est, l’Indonésie et la Malaisie. Dans ces deux nations, pratiquant généralement un islam empreint de tolérance, la chasse aux homosexuels et aux blasphémateurs de toute sorte est ouverte. Un récent événement a suscité l’émoi des mouvements malaisien de défense des personnes lesbiennes, gays, bisexuelles et transsexuelles (LGBT) : la condamnation de deux femmes qui avaient été surprises en train de faire l’amour dans une voiture.

Elles ont dû subir, le 3 septembre, le châtiment de six coups de canne en rotin, une première pour un tel « délit ». Toutes de blanc vêtues et voilées du hidjab, les deux condamnées ont reçu leur châtiment assises sur des tabourets au sein de la Cour d’application de la charia – la loi islamique – de Kuala Terengganu, capitale d’un Etat très conservateur du nord-est de la Fédération de Malaisie.

Source : Le Monde

Via Suavelos.eu

Malaisie : Scandale après le mariage d’une fillette de 11 ans

Le mariage d'un Malaisien de 41 ans avec une fillette thaïlandaise de 11 ans a semé la consternation dans le pays à majorité musulmane, un défenseur des droits des enfants dénonçant dimanche les agissements d'un «prédateur pédophile».

En Malaisie, les musulmanes de moins de 16 ans sont autorisées à se marier à condition qu'un tribunal religieux ait donné son aval.

(...)

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