Autriche : Un réfugié tchétchène de 17 ans rackette des enfants “Il a mis un couteau sous la gorge de mon petit-fils”

"Nos deux petits-fils étaient pâles et grincheux depuis l'été, ils sortaient à peine de la maison et avaient de mauvaises notes. On s'est dit qu'ils allaient devenir pubères. Ce n'est que lorsque ma femme a parlé au plus jeune que nous avons compris ce qui se passait. Pendant des mois, un Tchétchène de 17 ans avec un casier judiciaire a fait pression sur nos petits-enfants", déclare le grand-père : "Le Tchétchène a mis un couteau sous la gorge de notre petit-fils aîné et a menacé de le poignarder s'il ne payait pas. Mon petit-fils lui a donné 700 euros par peur", explique le jeune homme de 62 ans.

Liste complète des infractions

Le Tchétchène fait l'objet d'une enquête pour vol, extorsion aggravée, lésions corporelles graves intentionnelles, menaces dangereuses et coercition aggravée, confirme Reinhard Steiner, porte-parole du ministère public à Linz : "Les enquêtes sont en cours. Pour des raisons de tactiques, nous ne pouvons en dire plus".

La famille des victimes se sent totalement impuissante

"Le pire, c'est que vous vous sentez complètement impuissant. Le Tchétchène bénéficie du statut de réfugié, on ne s'en débarrassera jamais. Et il est membre d'un gang. Nos petits-fils n'osent plus guère quitter la maison. Nous les emmenons aussi à l'école tous les jours et nous allons les chercher là-bas. Nous avons le sentiment que personne ne peut vraiment nous aider", affirme le grand-père.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Krone.at

 

Linz (Autriche) : Des migrants parodient des exécutions en pleine rue. La population a peur.

"Il y a eu des coups de feu - beaucoup de gens les ont entendus dans le quartier. Ce sont les jeunes immigrés qui jouent à des jeux de guerre dans notre Grätzel", explique une habitante du quartier Lenaupark à Linz.

Depuis des années, les habitants de Kremplhochhaus à Lenaupark sont confrontés à un taux de criminalité croissant : Trafiquants de drogue, violence, bruit, vandalisme. "Je n'ose pas quitter la maison après 15 heures, affirme la femme de 75 ans.

Les exécutions simulées provenant de bandes de jeunes constituent un autre problème. "Ça a commencé avec des jeunes qui tiraient sur des pigeons avec des répliques d'airsoft. Puis les jeux mimant des exécutions ont commencé." Il y a déjà plusieurs mois, un jeune garçon a été appréhendé par la police après que des coups de feu aient été tirés. Il portait encore la réplique d'airsfot sur lui.

Karl Pogutter, chef de la police le confirme. Dans de nombreux cas, ces garçons ne sont pas condamnables et une réplique d'airsoft est considérée comme un jouet.

"Aujourd'hui, c'est un fusil airsoft et demain, ça pourrait être un vrai fusil. Nous sommes confrontés presque quotidiennement à cette violence importée", a déclaré outré Michael Raml (FPÖ), membre du Conseil municipal de sécurité.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Krone.at

Linz (Autriche) : un demandeur d’asile afghan abusait sexuellement de jeunes femmes en exploitant leur dépendance à la drogue

A Linz, un Afghan de 34 ans aurait exploité la dépendance à la drogue de deux jeunes femmes (17 ans et 18 ans) à des fins sexuelles.

Le 21 octobre, des policiers ont arrêté le demandeur d'asile afghan dans son appartement.

L'homme de 34 ans est soupçonné d'avoir fourni de la marijuana à plusieurs sous-traitants afghans et d'avoir également donné du Crystal meth à plusieurs jeunes filles mineures.

Une adolescente de 17 ans mariée dans une mosquée

Toutefois, il est accusé de quelque chose de bien plus dégoûtant. Il aurait exploité la toxicomanie des deux jeunes femmes (17 ans et 18 ans) pour du sexe.

Il a même épousé l'adolescente de 17 ans dans une mosquée de Linz, conformément à la loi islamique, afin d'être en mesure d'accomplir des actes sexuels légitimes sur le plan religieux. Selon la police, les parents de la fille ne savaient rien du mariage.

L'accusé aurait fait circuler plusieurs kilos de marijuana et 90 grammes de Crystal meth.

L'homme de 34 ans s'est comporté de manière très peu coopérative lors des interrogatoires. Il se trouve actuellement en détention.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Heute.at

 

Autriche: Bagarre de masse entre 30 jeunes migrants armés à la gare de Linz. L’un d’entre eux brandissait un pistolet.

Une nouvelle flambée de violence à la gare de Linz s'est déroulée - encore en plein jour - vendredi à 17 heures.

Une trentaine de jeunes migrants ont livré une bagarre de masse, déclenchant une opération policière à grande échelle. Un homme a même sorti un pistolet dans le feu du combat.

Il a créé la panique parmi les passants qui n'étaient pas impliqués.

(...)

Selon le témoin, outre "l'homme au pistolet", les autres migrants étaient armés de lourdes lattes de bois. (...)

Source et article complet Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

Autriche. Linz: 60 extrémistes de gauche attaquent le stand d’information des Identitaires.

Un rassemblement autorisé du «Mouvement identitaire» (Identitären Bewegung“ IB) sur la place publique de Taubenmarkt à Linz a été pris d'assaut par des contre-manifestants violents.

A  l'aide d'environ 20 personnes, le Mouvement identitaire a organisé une « zone identitaire » - un stand d'information, dont le but est « d'entrer en contact avec la population, avec les patriotes et les opposants politiques et de discuter pacifiquement » comme l'explique l'organisateur.

Violence et vol

Un petit groupe de gauchistes se tenait déjà prêt à côté du stand d'information, regardant le paysage. Soudain, une foule violente d'environ 60 personnes s'est formée, prenant d'assaut le stand afin d'empêcher la manifestation.

L'un des extrémistes de gauche a même attaqué les militants du Mouvement identitaire avec une chaîne en fer! Selon l'organisateur Luca Kerbl, une personne a été blessée et un drapeau a été volé. Par chance, le pire a pu être évité. Selon la police, des projectiles ont également été utilisés.

Source Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

Linz (Autriche) : trois Syriens tabassent une jeune femme puis agressent les policiers venus les arrêter

Trois jeunes Syriens dans un restaurant ont tabassé une jeune femme, ils ont été ensuite interrogés par trois policiers. Les immigrants ont résisté à leur arrestation en attaquant les policiers.

Les trois policiers étaient en patrouille sur la route lorsqu’ils ont été arrêtés par un homme qui leur a indiqué que sa copine s’était fait agresser par des Syriens.

Lorsque les fonctionnaires ont voulu vérifier les cartes d’identité des trois suspects syriens âgés de 21, 23 et 29 ans, le trio a été immédiatement agressif, affirmant haut et fort: « On n’a rien fait ». L’aîné a frappé l’un des policiers, tandis qu’un autre Syrien a résisté si violemment à son interpellation qu’il a blessé un policier.

Krone.at via Fdesouche.com

Autriche. Linz: Une jeune femme violée brutalement par des Arabes dans la cave d’un centre pour requérants d’asile.

Une jeune fille a été violée - dans le sous-sol d'un centre pour réfugiés à Linz.

Un viol brutal a occupé la police criminelle de Linz pendant deux semaines:

Deux hommes auraient tout d'abord demandé une cigarette à une jeune femme de 18 ans, puis l'aurait menacée et finalement traînée dans une cave. Là, les deux individus l'ont attaquée, abusant de la jeune femme.

 (...)

Le crime horrible a été commis dans la cave de la maison sise au numéro 50. C'est un ancien bordel où 30 demandeurs d'asile sont logés aujourd'hui. Les résidents actuels ont été examinés - sans résultat.

Cependant les auteurs doivent connaître la maison, sachant que le sous-sol était déverrouillé. Selon la victime, il s'agit d'Arabes.

Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

La gare de Linz est devenue la gare de la peur

Photo : La population autrichienne se plaint de déjections et d'ivresse généralisée. Les femmes de la région ne veulent plus entrer dans la gare 

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Cette gare est devenue le point de rencontre des "réfugiés". Pendant la journée, ils se saoulent et le soir, ils agressent sexuellement les femmes qui passe dans la gare de Linz.

"Ce sont des prédateurs, cette gare est devenue le terminus de la peur", a déclaré une femme autrichienne épouvantée par les hordes de migrants qui ont transformé en "terre franche" ce qui est en réalité la gare de Linz en Autriche. Un endroit devenu le terrain des réfugiés. Cette femme, interviewée par le Daily Mail, en explique les raisons : "Wifi gratuit, fast food, boissons bon marché et salles d'attente chauffées".

Le "terminus de la peur" est devenu le point de rencontre des migrants refoulés d'Allemagne, qui se trouve à quelques kilomètres de Linz. Comme l'explique le quotidien britannique, cet endroit est devenu pour les femmes une "no-go zone", un lieu à éviter.

En fait, leur mentalité est comparable à celle observée à Cologne : les réfugiés sont saoûls et ils molestent les femmes. Ce sont des prédateurs sexuels, bourrés d'alcool qui cherchent à voler des baisers, qui insultent, qui lancent des commentaires obscènes et molestent chaque passante. La femme interviewée par le Daily Mail est tellement terrifiée qu'elle n'a pas voulu que son nom soit cité.

"Comment je me sens ? C'est terrible. Ce sont des prédateurs, ils sont saoûls et sont partout. Venir ici la nuit ? Je préférerais plutôt prendre un billet pour l'enfer".  En plus, cette femme doit, jours après jour, justifier ses propos : "Je suis une bonne personne, je ne suis pas une nazie. Mais ils n'ont pas le droit de se comporter ainsi dans ma ville. Ou n'importe où. Comment osent-ils transformer ma gare en terre de peur".

Une situation honteuse qui reste en l'état car la police et presque toutes les autorités se sont refusé à identifier les migrants qui posent problèmes. Que ce soit en Allemagne ou en Autriche,  ces migrant sont considérés comme venant de pays non dangereux. Et effectivement, la plupart viennent d'Algérie, de Tunisie et du Maroc...

Un père, fatigué de voir sa fille terrorisée, a adressé une lettre au gouverneur local, Josef Puehringer : "Ma fille qui a 16 ans est terrorisée quand elle doit traverser la gare de Linz, surtout le soir".

 

Source en italien (trad. D. Borer)