Etats-Unis: une amie d’Hillary Clinton avait payé 500.000$ pendant la campagne pour les accusatrices de Trump

L’une des riches amies d’Hillary Clinton a payé 500 000 $ dans un effort infructueux pour financer des femmes disposées à accuser le président Trump de comportements sexuels abusifs avant les élections de 2016, a rapporté le New York Times dimanche.

Susie Tompkins Buell (photo), la fondatrice d’Esprit Clothing et donatrice majeure de la campagne Clinton pendant de nombreuses années, a donné de l’argent à la célèbre avocate Lisa Bloom qui travaillait avec un certain nombre d’accusatrices de Trump à l’époque, selon l’article explosif du journal.

Bloom a sollicité les donateurs en disant qu’elle travaillait avec des femmes qui pourraient « trouver le courage de dénoncer Trump » si les donateurs fournissaient des fonds pour leur sécurité, leur déménagement et possiblement une « maison sûre », a rapporté le journal.

L’ancien grand ennemi devenu agent de Clinton David Brock a également fait un don de 200 000 $ à la cause par le biais d’une association à but non lucratif qu’il a fondée, a rapporté le journal dans un article intitulé « Les partisans, en usant d’argent, commencent à exploiter les accusations de harcèlement sexuel ».

Bloom a dit au Times que l’effort avait été sans effet. Une femme réclama 2 millions de dollars, puis décida de ne pas se manifester. Tout comme les autres femmes non plus.

Mme Bloom a dit qu’elle avait remboursé la plus grande partie de l’argent, ne gardant que de quoi couvrir ses frais d’avocate pour avoir examiné et préparé les dossiers.

L’avocate a dit au journal qu’elle n’avait communiqué ni avec Clinton ni avec son équipe de campagne « sur tout cela ».

Elle a également soutenu qu’elle ne représentait que des clientes dont l’histoire avait pu être étayée et qu’elle avait contesté le principe de départ d’offrir de l’argent pour inciter des clientes à se manifester, rapporte le journal.

« Ça ne coûte rien de diffuser publiquement des allégations », a déclaré Bloom. « La sécurité et le déménagement coûtent cher et étaient grandement nécessaires pour un cas de cette ampleur, dans un pays rempli de tant de colère, de haine et de violence. »

L’article dit que le Times a appris que Buell et Brock étaient liés à Bloom par deux démocrates connaissant bien ces arrangements financiers et que le cabinet d’avocats de Bloom avait gardé l’argent du groupe sans but lucratif de Brock, mais avait remboursé les 500 000 $ que Buell avait versés.

Brock a refusé tout commentaire, selon le Times.

Les représentants de la campagne de Clinton ont déclaré qu’ils n’étaient pas au courant de son travail avec Bloom.

Buell n’a pas voulu commenter sur l’arrangement financier, selon le Times.

Elle a quand même affirmé être frustrée que Trump ait échappé aux répercussions tombées sur de nombreux autres hommes puissants accusés d’inconduites similaires.

L’article du Times avait creusé un article paru dans The Hill il y a deux semaines, qui disait qu’elle avait travaillé avec des donateurs de la campagne et des tabloïds pendant les derniers mois de l’élection présidentielle afin d’obtenir une indemnisation pour les victimes présumées de Trump ainsi qu’une commission pour elle-même, offrant de vendre leurs histoires.

Dans un cas, Bloom aurait pris des dispositions pour qu’un donateur rembourse l’hypothèque d’une accusatrice de Trump et aurait tenté d’obtenir un paiement à six chiffres pour une autre femme.

La femme avec l’hypothèque a finalement refusé de se manifester après s’être vue offrir 750 000 $, a rapporté The Hill.

L’article rapporte avoir pu examiner un échange de courriels entre Bloom et une femme, suggérant que des comités d’action politique soutenant Hillary Clinton auraient été sollicités, sans nommer lesquels.

Bloom, qui est la fille de la célèbre avocate Gloria Allred et qui, comme sa mère, se spécialise dans la représentation des femmes dans les cas de harcèlement sexuel, travaillait pour quatre femmes qui envisageaient d’accuser Trump. Deux ont parlé en public, et deux ont décliné.

Fox News Via Fdesouche.com

L’enquête sur les liens entre Trump et la Russie aurait été financée… par Hillary Clinton

Le Washington Post révèle que le Parti démocrate et l'équipe de campagne d'Hillary Clinton aurait financé un rapport sur les liens entre la Russie et Donald Trump.

L'équipe d'Hillary Clinton et le Comité national des démocrates (DNC) auraient contribué au financement de recherches qui ont alimenté le dossier sensible sur les liens de la campagne électorale de Donald Trump avec la Russie, selon le le Washington Post.

En avril 2016, l'avocat Marc Elias, qui travaillait pour la campagne d'Hillary Clinton et le DNC, aurait retenu l'entreprise Fusion GPS, basée à Washington, pour enquêter sur les relations de Donald Trump avec la Russie, selon le journal. Les paiements à cette entreprise se seraient poursuivis jusqu'à quelques jours avant l'élection présidentielle de novembre.

Dès avant l'accord avec les démocrates, Fusion GPS aurait entrepris des recherches sur Donald Trump à la demande d'un de ses rivaux du camp républicain pour la primaire. L'identité de ce rival n'est pas encore connue, selon le journal.

Fusion GPS a demandé à un juge fédéral de rejeter une demande de la commission du renseignement de la Chambre des représentants d'accéder à ses comptes bancaires, arguant que cela violerait ses droits constitutionnels.

Un rapport critiqué

Le rapport contenant les recherches en question, qui compte 35 pages, a été préparé par Christopher Steele, un ancien agent du MI6, le contre-espionnage britannique, et constitue une pièce maîtresse des enquêtes du Congrès sur les ingérences de la Russie dans l'élection présidentielle américaine de 2016.

Donald Trump avait, dès le début de l'enquête du Congrès, qualifié le rapport de «fake news», de désinformation. Controversé, ce rapport fait état de nombreuses allégations compromettantes pour Donald Trump, notamment l'existence d'une vidéo à caractère sexuel impliquant des prostituées ou des échanges d'informations pendant près d'une décennie avec le Kremlin. De nombreux commentateurs, y compris parmi les opposants au président américain, ont souligné le caractère peu crédible de certaines informations contenues dans ce dossier.

Le 21 octobre dernier, le président américain avait tweeté que le département de la Justice et le FBI «dev[aient] immédiatement divulguer l'identité de ceux ayant financé» la réalisation de ce rapport, après avoir laissé entendre qu'il pouvait s'agir des démocrates, et sans exclure que la Russie ou le FBI en soient à l'origine.

Source

Hillary Clinton – Ça s’est (pas) passé comme ça

Hillary Clinton Campaigns Across US One Day Ahead Of Presidential Election

   
Michel Garroté  --  Battue il y a dix mois par Donald Trump, Hillary Clinton s'était faite discrète depuis son échec à l'élection présidentielle. L'ex-candidate du Parti démocrate a livré, mardi 12 septembre 2017, aux États-Unis, un récit personnel sur sa défaite, "What Happened", "Ça s'est passé comme ça" en français, récit qui paraît chez Fayard le 20 septembre 2017 (c'est ce qu'elle a raconté lors d'une longue interview diffusée dimanche 10 septembre 2017 sur la chaîne CBS, premier acte de la tournée promotionnelle de son livre). Si l'épouse de Bill Clinton endosse la responsabilité de sa défaite, elle pointe également le rôle de protagonistes externes, en premier lieu le FBI, la Russie et les médias américains (c'est toujours la faute des autres...).
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L'ancienne candidate, qui fêtera en octobre ses 70 ans, ne mâche pas ses mots sur le successeur de Barack Obama. Donald Trump est tour à tour désigné comme menteur, sexiste, indigne et incompétent (il manque réac, macho, facho, etc.). Elle dit s'être « frappé le front » en l'entendant expliquer que le problème nord-coréen n'était « pas si simple » (y'a pas de quoi se frapper mais bon...). Elle raconte le « choc » de la soirée du 8 novembre 2016, dans sa chambre d'hôtel de New York, le sentiment d'être vidée, la tristesse qui ne la quitta pas pendant des semaines (pauvre petite va...).
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Relaxation, famille et chardonnay :
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Refusant antidépresseurs et psychanalyste, elle confie avoir trouvé refuge dans sa famille, une technique de respiration alternative enseignée par sa professeur de yoga (mdr) et le chardonnay (bourrée dès le matin ?). « Il n'y a pas eu une journée depuis le 8 novembre 2016 durant laquelle je ne me suis pas posé la question : pourquoi ai-je perdu ? J'ai parfois du mal à me concentrer sur autre chose », écrit celle qui s'était fait une religion, depuis un quart de siècle, de ne jamais fendre l'armure en public (Il n'y a pas eu une journée depuis le 8 novembre 2016 durant laquelle je ne me suis pas posé la question : pourquoi ai-je perdu ? Elle est narcissique on dirait...).
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La sortie de What Happened (Ça s'est passé comme ça) s'accompagne d'une tournée de promotion aux États-Unis et au Canada, avec des séances de dédicaces mardi à New York, d'interviews et 15 conférences payantes jusqu'en décembre. Ce rouleau compresseur médiatique fait grincer les dents de quelques démocrates, qui préféreraient aller de l'avant. Mais, signe qu'elle garde un socle de supporteurs indéfectibles, plusieurs conférences sont déjà complètes (elle va encore se faire plein de pognon la mémé...).
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Le douloureux souvenir de l'investiture de Donald Trump :
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Le récit qu'Hillary Clinton fait de la cérémonie d'investiture de Donald Trump, à laquelle elle a participé en tant qu'ancienne première dame, est tragi-comique. Elle imagine le discours qu'elle aurait fait, mais raconte avoir échangé un regard de stupéfaction avec Michelle Obama, et se moque des élus républicains venus la saluer, rappelant à l'un qu'il l'avait traitée d'antéchrist. Elle éreinte son ex-rival des primaires démocrates, Bernie Sanders, lui reprochant son agressivité durant la campagne. Et répète un conseil prodigué par Barack Obama : « N'essaie pas d'être branchée, tu es grand-mère » (c'est une véritable auto-psychanalyse, son bouquin à la con...).
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Elle confirme surtout l'analyse qu'elle avait ébauchée publiquement ces derniers mois, énumérant les facteurs ayant contribué à sa défaite : désir de changement, rejet de sa personne, misogynie, sentiment de désaffection économique d'une partie des classes populaires blanches. Mais, selon elle, Donald Trump a aussi exploité « l'anxiété raciale et culturelle » des Blancs. « Nombre de ces électeurs avaient peur que les gens de couleur - surtout les Noirs, les Mexicains et les musulmans - menacent leur mode de vie » (Tiens donc ?...).
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Tous ces facteurs, toutefois, n'ont pas suffi à eux seuls ; jusqu'au bout, les sondages l'ont placée en tête. Hillary Clinton est persuadée, citant notamment l'analyse du site FiveThirtyEight.com, que c'est l'intervention du directeur du FBI, James Comey, 11 jours avant l'élection, qui a fait basculer une fraction de l'électorat dans quelques États-clés vers Donald Trump, suffisamment pour assurer sa victoire. M. Comey avait soudainement rouvert l'enquête sur ses mails, avant de la refermer deux jours avant le scrutin (jusqu'au bout, les sondages l'ont placée en tête, et elle, propre sotte, elle y a cru...).
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Hillary Clinton refuse de prendre sa retraite :
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Combinée aux messages internes piratés par la Russie et publiés par WikiLeaks, la réouverture de ce dossier brûlant a eu un effet dévastateur, démultiplié par l'obsession selon elle démesurée des journalistes politiques pour l'affaire. « Leur vrai problème est qu'ils ne peuvent supporter l'idée de faire face à leur propre responsabilité dans l'élection de Trump », accuse-t-elle. Le New York Times en prend pour son grade (c'est plutôt elle qui est dévastée par l'obsession d'avoir perdu, non ?).
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Propos ridicules sur la Macronie :
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Et de citer la France en exemple, où le piratage de dernière minute de l'équipe d'Emmanuel Macron n'a pas été couvert par les médias, la loi l'interdisant. « Les électeurs français semblent aussi avoir tiré les leçons de nos erreurs en rejetant Le Pen, la candidate de droite pro-Moscou. Je me console à l'idée que notre malchance a contribué à protéger la France et d'autres démocraties. C'est déjà cela » (Macron a gagné grâce aux déboire de la vieille dame américaine...).
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Que prévoit Hillary Clinton aujourd'hui ? Elle assure qu'elle ne se représentera plus (on dit ça, mais après...). « Mais je ne vais ni bouder ni disparaître. Je ferai tout pour soutenir les candidats démocrates », conclut-elle, ignorant les démocrates qui espèrent tourner, un jour, la page Clinton (voir lien vers source en bas de page).
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Michel Garroté pour Les Observateurs
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http://www.lepoint.fr/monde/hillary-clinton-se-livre-sur-les-coulisses-de-sa-defaite-12-09-2017-2156219_24.php
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Etats-Unis: «Ça fait très mal», Hillary Clinton ne se représentera plus à la présidentielle américaine

On ne l’y reprendra plus. Hillary Clinton, candidate malheureuse à la présidentielle de 2016 face à un novice en politique, affirme qu’elle ne se représentera plus et reconnaît que sa défaite contre Donald Trump « reste encore très douloureuse ».

« Cela reste très douloureux, ça fait très mal », a reconnu Clinton, 69 ans, dans une longue interview accordée à l’émission CBS Sunday Morning, la première d’une série pour promouvoir son nouveau livre « What Happened » (« Ça s’est passé comme ça », Fayard, 20 septembre), qui parle de sa campagne.

« J’en ai fini d’être candidate »

Si elle tient parole, elle marque ainsi la fin d’une longue carrière politique qui l’a vue devenir en 2016 la première femme candidate à la présidentielle d’un grand parti américain. Et cela après huit ans comme sénatrice de New York, 4 ans comme secrétaire d’Etat de Barack Obama et huit ans comme Première dame lors des deux mandats de son mari Bill Clinton.

« Les forces à l’œuvre en 2016 ne ressemblaient à rien de ce que j’avais vu ou lu », dit-elle, c’était « la tempête parfaite ». Elle reconnaît l’échec de sa stratégie de tenter d’offrir des solutions aux électeurs en colère, déçus ou laissés pour compte que le milliardaire a su si bien séduire.

« Un tas de gens ne voulaient pas entendre parler de mes plans. Ils voulaient que je communie dans leur colère. Et j’aurai dû m’y prendre bien mieux pour leur faire comprendre que je les comprenais », a-t-elle reconnu.

« J’ai ressenti un énorme sentiment d’abandon »

Elle juge que sa plus grande erreur a été d’utiliser un serveur personnel pour ses courriels alors qu’elle était Secrétaire d’Etat. Une erreur qui lui a valu des attaques incessantes de ses adversaires républicains et une enquête funeste du FBI, qui in fine a été abandonnée.

Clinton, souvent présentée comme une froide calculatrice, a aussi reconnu le vide terrible qu’elle a ressenti après sa défaite surprise et ce malgré une large avance dans le vote populaire : « J’ai ressenti un énorme sentiment d’abandon, une perte de sentiments, de direction et de tristesse », a-t-elle confié et pour se guérir elle s’est promenée beaucoup dans les bois, a rangé les placards, et « bu une bonne quantité de Chardonnay ».

« C’était une transition très dure », avoue-t-elle. « J’ai vraiment eu du mal, je ne ressentais rien, je n’arrivais pas à réfléchir, j’étais juste assommée et totalement épuisée ».

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L’«indépendante» chasse aux «fake news» sur Facebook sera menée par… l’un des plus grands donateurs d’Hillary Clinton

Les US ne cessent d’évoquer la propagande et les «fake news» contre lesquels il faut lutter. Pour faire du fact-cheking, Facebook a choisi... les plus grands donateurs d’Hillary Clinton et du establishment américain. Découvrez l’analyse de RT.

Les «fausses nouvelles» est un phénomène qui envahit des réseaux sociaux, comme nous le disent sans cesse les médias américains.  Comment Facebook  propose-t-il de lutter contre un tel fléau ? C’est très simple : vous choisissez un organisme de vérification des faits, de préférence celui qui a les liens les plus étroites avec l’establishment américain et le faites passez pour un mécanisme indépendant et impartial. Les résultats ne vont pas se faire attendre...

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Rappel: Facebook autorise un groupe d’extrême gauche à censurer les « fausses informations »

Hillary Clinton organise une soirée pour ses donateurs déçus

   
Michel Garroté - Après avoir dépensé 1,2 milliard de dollars pour sa campagne présidentielle, un record historique (du jamais vu), voilà qu’Hillary Clinton organise une soirée pour remercier des sponsors qui ont donné des millions pour assurer sa victoire, pardon, sa défaite (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : ce prix de consolation sera-t-il suffisant pour motiver le réseau de donateurs pour la prochaine présidentielle ? Hillary Clinton, la candidate démocrate perdante à l'élection présidentielle américaine 2016, a en effet bénéficié de la campagne politique la plus coûteuse de toute l'histoire du pays, selon le New York Post.
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L'ensemble des dépenses de sa campagne (incluant les dons privés, non plafonnés, et les aides publiques) s'est ainsi élevé à 1,2 milliard de dollars. Le contribuable allemand a versé 2,4 M EUR à la Fondation Clinton sans le savoir. Outre les donateurs privés, ce sont les contribuables allemands qui s'avèrent avoir versé plus de 2 millions d'euros à la Fondation Clinton, et la France, selon les documents obtenus par le New York Post, n’ont apparemment rien à leur envier. Sans oublier l’Arabie saoudite, le Qatar ou encore le Koweït qui figurent parmi les plus généreux donateurs.
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Par opposition, le républicain Donald Trump, qui a remporté la course à la Maison Blanche, n'a dépensé que 600 millions de dollars, soit la moitié du budget de la démocrate. De surcroît, Donal Trump a financé un peu plus d'un dixième de sa campagne lui-même. ​Et voilà qu’après avoir perdu, à la grande surprise de ses nombreux donateurs, Mme Clinton organise une soirée pour tous ceux qui n'ont pas lésiné afin de pouvoir continuer à bénéficier de leur influence illimitée et d’immenses sommes d’argent. La Fondation Clinton a même financé le mariage de la petite Chelsea, la fille des Clinton, si on en croit les mails de John Podesta, révélés par WikiLeaks.
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Ce prix de consolation sera-t-il suffisant pour compenser les rêves déçus des milliardaires ? Hillary Clinton et le candidat démocrate à la vice-présidence Tim Kaine vont faire la fête à l'hôtel Plaza le 15 décembre 2016. La soirée aura lieu dans la grande salle de bal au troisième étage (ndmg - ne pas trop se pencher au-dessus du balcon).
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Les invités viendront nombreux. Parmi eux, Harvey Weinstein, Anna Wintour, Alan Patricof, Tory Burch et Marc Lasry, selon les informations du New York Post. « Heureusement, il n’y aura pas de balcons, donc personne ne pourra sauter », ironise une source du tabloïd (ndmg - décidément, le balcon...). Et d’ajouter : « Essaye-t-elle de garder le réseau des donateurs en vie pour la prochaine présidentielle ? » (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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https://fr.sputniknews.com/international/201612121029132270-hillary-soiree-sponsors/
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Adaptation de Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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Nouveaux mensonges d’Hillary Clinton

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Michel Garroté - La face cachée d'Hillary Clinton apparait toujours plus au grand jour (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Le site internet Wikileaks, qui révèle chaque semaine des e-mails concernant Hillary Clinton, a dévoilé qu’une collaboratrice de la chaîne CNN avait donné à Mme Clinton la liste des questions qui allaient être posées durant un débat de la primaire démocrate l’opposant à Bernie Sanders. Mais c’est surtout l’affaire de sa propre boîte email qui s’est réinvitée sur le devant de la scène. Le FBI avait classé l’affaire en début d’année, mais son directeur, James Comey, vient d’annoncer qu’il rouvrait l’enquête sur Hillary Clinton.
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Pour rappel, Hillary Clinton a utilisé sa boîte e-mail personnelle alors qu’elle était Secretary of State, c’est à dire n°2 du gouvernement Obama en charge entre autres des affaires internationales. Or cet usage est totalement interdit, vu qu’il expose les secrets d’Etat et les opérations militaires à n’importe quel « pirate » sur internet. Hillary Clinton avait plaidé l’ignorance, et le FBI, n’ayant pas trop le choix, lui avait accordé le bénéfice du doute. Mais ses opposants avaient au passage souligné que de nombreux e-mails avaient été effacés du serveur avant l’enquête.
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Le contenu des e-mails pourrait avoir des conséquences, par exemple si le secret d’activités militaires a ainsi été fragilisé (chacun pense à l’assassinat de l’ambassadeur des Etats-Unis en Libye alors qu’Hillary Clinton était en poste). Mais s’ajoute désormais à cela le risque d’accusations de mensonge et de parjure. Comme lors de l’affaire Monica Lewinski, frasque sexuelle de Bill Clinton alors qu’il était président, ce n’est plus l’affaire en elle-même qui est jugée, mais le mensonge (potentiel) de l’élu. Le risque pénal est donc important pour Hillary Clinton (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/11/hillary-clinton-menteuse-et-pas-meilleure-que-fran%C3%A7ois-hollande-pour-les-secrets-detat-.html
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Triche d’Hillary Clinton prévenue à l’avance de questions: Une consultante de CNN démissionne

Nous parlions de cette affaire déjà ici. Devant la gravité des faits, la journaliste est licenciée.

Visiblement ce que divulgue WikiLeaks est considéré comme très important aux USA, tout le contraire des médias européens qui ont longtemps évité de parler de toutes ces révélations, préférant écrire des articles anti-Trump.

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CNN a annoncé lundi 31 octobre avoir cessé de collaborer avec Donna Brazile, présidente du Comité national démocrate et commentatrice politique, après la publication par WikiLeaks de courriels laissant entendre qu’elle a communiqué à l’équipe d’Hillary Clinton des questions prévues pour un débat.

https://youtu.be/xtBbaTM368E

Source et article complet

Les mégadonateurs d’Hillary Clinton

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Michel Garroté - La candidate démocrate s’est appuyée sur des contributions très élevées (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page), alors qu’elle-même assure vouloir réformer le système de financement des campagnes politiques. 1,14 milliard de dollars : c’est la somme totale levée par la campagne de Hillary Clinton à la fin du mois de septembre, selon une analyse du Washington Post. D’après le journal, plus d’un cinquième de cette somme proviendrait de 100 riches individus et syndicats. Depuis les années 1970, “aucun président n’a jamais été élu avec l’aide de riches contributeurs ayant consenti des dons aussi énormes”, souligne le quotidien.
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“Clinton s’est appuyée à fond, dès le début de sa campagne, sur les super-PAC” : des “comités d’action politique” réputés indépendants des candidats, mais qui les soutiennent et qui peuvent effectuer des donations illimitées en vertu d’un arrêt de la Cour suprême de 2010, Citizens United v. Federal Election Commission. “Elle entrerait à la Maison-Blanche avec une grande dette à l’égard d’une petite élite de donateurs qui la soutiennent, elle et son mari, depuis des décennies”, relève le Post (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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http://www.courrierinternational.com/article/etats-unis-des-megadonateurs-au-service-dhillary-clinton
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Donald Trump a bien eu un problème de micro lors de son débat avec Hillary Clinton

Lorsque le candidat a dénoncé la piètre qualité de l’appareil, il n’avait pas convaincu grand monde.

Quand, après son débat télévisé lundi soir avec Hillary Clinton, Donald Trump s’était plaint de son micro, il n’avait pas convaincu grand monde: et pourtant, a annoncé vendredi la très sérieuse Commission sur les débats présidentiels, le candidat républicain avait raison.

«Concernant le premier débat, le système audio de Donald Trump a rencontré des problèmes, ce qui a affecté le niveau du son dans la salle du débat», a indiqué sans autre précision la Commission, sur son site internet.

«Ils m’ont donné un micro défectueux. L’avez-vous remarqué? Mon micro ne portait pas bien dans la salle», avait déclaré le milliardaire. «Quand quelqu’un se plaint de son micro, c’est qu’il ne passe pas une bonne soirée», avait de son côté assuré Hillary Clinton.

Source

L’offensive anti-Kadhafi basée sur des postulats erronés

   
Michel Garroté - En ce mois de septembre 2016, il y a environ 235.000 migrants en Libye, prêts à partir pour l'Italie dès que l'occasion s'en présentera. Le nombre de migrants arrivés en Italie par la Méditerranée depuis le début de l'année 2016 a déjà atteint 128'397 personnes. En 2015, ils étaient plus de 100'000. Un chose est ainsi de plus en plus claire : l'intervention militaire anti-Kadhafi a fait de la Libye l'une des principales portes d'entrée vers l'Europe pour des centaines de miliers de musulmans illégaux dont des centaines de terroristes de l'Etat Islamique (EI).
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Fait révélateur, dans un rapport publié le mercredi 14 septembre 2016, des parlementaires britanniques accablent, eux aussi, l’intervention militaire menée par la France et le Royaume-Uni en Libye en 2011 contre l'ex-chef de l'État libyen Mouammar Kadhafi (voir lien vers source en bas de page) : "La stratégie du Royaume-Uni fut fondée sur des postulats erronés et sur une analyse partielle des preuves". Le rapport n'est pas non plus tendre à l'égard de l'ex-président français Nicolas Sarkozy, fer de lance de l'opération militaire en Libye. Les parlementaires britanniques citent notamment les conclusions d'un conseiller d'Hillary Clinton après une conversation avec les services de renseignements français.
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Selon le rapport britannique, conseiller d'Hillary Clinton a détaillé auprès de celle-ci, qui était à l'époque secrétaire d’État américaine, les motivations du président français, qu’il résume en cinq points : accéder au pétrole libyen ; accroître l’influence de la France en Afrique du Nord ; servir son propre intérêt politique en France ; fournir à l’armée française l’occasion d’asseoir sa position dans le monde ; couper court aux ambitions de Kadhafi visant à supplanter la domination de la France sur l’Afrique francophone. Aucune mention donc de la protection des civils réprimés par Mouammar Kadhafi, officiellement brandie pour justifier l'intervention militaire sur le sol libyen.
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L'échec de la transition post-Kadhafi en Libye est également un sujet sensible aux États-Unis, où Hillary Clinton a dû répondre à des accusations après l'attaque de l'enceinte diplomatique américaine de 2012 à Benghazi, dans laquelle l'ambassadeur américain Christopher Stevens et trois autres Américains ont été tués. L'actuelle candidate démocrate à la présidence, qui était secrétaire d'État du président Barack Obama au moment des faits, a dû témoigner dans un climat tendu devant le Congrès, et l'opposition républicaine a dénoncé un scandale politique.
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En Libye, cinq ans après la chute et la mort de Mouammar Kadhafi, le chaos continue de régner dans le pays où le gouvernement d'union nationale (GNA), soutenu par l'ONU, peine à asseoir son autorité sur l'ensemble du pays depuis son installation en mars à Tripoli.
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Mardi 13 septembre 2016, les forces du gouvernement libyen - non reconnu - qui siège dans l'Est se sont emparées du dernier des quatre terminaux du Croissant pétrolier, des installations cruciales pour l'économie du pays situées entre Benghazi et Syrte, une ville d'où les forces du GNA tentent, depuis quatre mois, de chasser le groupe jihadiste État islamique (EI) qui en avait fait son bastion (voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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Source :
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http://www.france24.com/fr/20160914-intervention-militaire-2011-libye-rapport-parlementaires-britanniques-cameron-sarkozy
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Hillary Clinton ne savait pas que C signifiait «confidentiel». Elle a détruit ses smartophones au marteau pour cacher ses emails au FBI!

Christian Hofer: La vidéo de Twitter relève que Hillary Clinton a aussi détruit au marteau ses smartphones pour cacher ses emails au FBI. Elle est totalement disqualifiée pour devenir présidente.

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Le FBI publie des notes embarrassantes sur les e-mails de l'ancienne secrétaire d'Etat américaine.

Les accusations de négligence fragilisant Hillary Clinton dans sa campagne présidentielle ont été renforcées vendredi par des notes d'enquête inédites du FBI, révélant que la candidate a jonglé avec les données confidentielles et les téléphones portables quand elle était secrétaire d'Etat.

https://youtu.be/2DuGFlccS6o

13 téléphones portables

Selon les 58 pages de documents publiés vendredi, elle a expliqué à la police fédérale qu'elle «faisait confiance» à ses interlocuteurs afin que ceux-ci fassent attention à ne pas lui envoyer d'informations sensibles par email. Et elle a confié ignorer que l'annotation «C» figurant sur certains documents signifiait «confidentiel».

Hillary Clinton a aussi utilisé 13 téléphones portables susceptibles d'avoir envoyé des emails par son serveur personnel clintonemail.com.

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Hillary Clinton au pied du mur

Un juge fédéral américain a ordonné à Hillary Clinton de répondre par écrit à une série de questions sur sa messagerie privée.

La justice américaine a clairement énoncé début juillet qu'elle ne poursuivrait pas Mme Clinton pour avoir utilisé des serveurs et une messagerie d'emails privés quand elle dirigeait le département d'Etat. L'organisation Judicial Watch a toutefois décidé d'engager des poursuites contre la candidate dans ce dossier.

Le directeur de cette institution, James Comey, avait déclaré que l'enquête du FBI avait établi que Mme Clinton avait été «extrêmement négligente» en envoyant des informations secrètes depuis son compte email personnel lorsqu'elle était à la tête de la diplomatie américaine entre 2009 et 2013.

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Trump désormais au coude-à-coude avec Clinton, selon un sondage

La popularité de Donald Trump a nettement progressé et l'homme d'affaires talonne désormais Hillary Clinton dans les sondages en vue de la présidentielle américaine, révèle une enquête d'opinion publiée mercredi.

Ce sondage reuters/Ipsos réalisé auprès d'électeurs qui pensent aller voter le 8 novembre prochain indique que 41% des Américains soutiennent Hillary Clinton, tandis que 40% préfèrent Donald Trump, alors que 19% sont indécis.

La semaine dernière, l'ancienne sénatrice et candidate probable du camp démocrate devançait son rival républicain d'environ 13 points.

Seul républicain en course

Le sondage témoigne d'une envolée de la popularité du milliardaire depuis que ses deux derniers adversaires dans la course à l'investiture, Ted Cruz et John Kasich, ont jeté l'éponge.

Source

Clinton et Soros sont les fomentateurs des incidents dans les meetings de Trump, non Sanders !

Par Hildegard von Hessen am Rhein.

Dans les colonnes de Boulevard Voltaire, j’avais déjà lancé le doute sur les incidents qui se produisaient lors des réunions Trump depuis Chicago, historiquement corrompue. J’alléguais, sans preuves, me basant sur ce qui se passe en Allemagne contre PEGIDA, dont j’apportais les preuves, encore une fois, ici, sur mon blog, mais aussi dans les colonnes de Boulevard Voltaire, que les contre manifestants à PEGIDA étaient payés 20 €/h par le Land de Saxe. Je supposais que les troubles au sein des réunions électorales de Trump étaient le fait d’agitateurs payés aussi.

Voici que mes doutes sur ces agitations organisées dans les meetings de Trump sont confirmés par Roger Stone, que j’évoquais également ici et dans les colonnes de BV.

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