Les jeunes gymnastes suédois libres d’exercer dans la catégorie de genre de leur choix

Les jeunes gymnastes suédois peuvent désormais choisir la catégorie, homme ou femme, dans laquelle ils souhaitent pratiquer leur sport. Une décision qui entend combattre les inégalités liées aux expressions de genre.

Genève: Les filles priées de courir en salle à cause de la mosquée?

Dans la plus grande école du canton de Genève, située face à la mosquée, les cours d’endurance pour les étudiantes ne sont dispensés à l’extérieur qu’une fois sur quatre.

« Les filles du Collège et école de commerce André Chavanne ne peuvent pas pratiquer la gymnastique à l’extérieur le vendredi ; cela afin de ne pas indisposer les fidèles de la mosquée voisine. Certains profs imposent cette discrimination, d’autres non. » Transmise, il y a quelques jour au « Matin », l’information semblait pour le moins fantaisiste. Renseignement pris auprès d’une dizaine d’étudiantes de cette école genevoise, la plus grande du canton (où les cours de gym ne sont pas mixtes), la réponse a été unanime : « C’est surtout les garçons qui ont leurs cours d’endurance dehors. » Quel que soit le jour de la semaine. Certaines collégiennes concèdent cependant avoir déjà couru sur la piste d’athlétisme, à raison de quelques fois par année, mais l’essentiel de leurs leçons serait donné en salle. A notre grande surprise, aucune n’y trouve rien à redire : « Au moins nous, on est au chaud ! »

Des programmes différenciés ?

Interpellé sur la question, le directeur de l’établissement, Roland Jeannet, nous a communiqué la statistique des cours d’endurance dispensé depuis la dernière rentrée scolaire. Le constat est sans appel : sur les huit leçons (de deux heures chacune), les filles ne sont sorties qu’une fois sur quatre (une moyenne de 23%, quel que soit le jour de la semaine), contre près de deux fois sur trois pour les garçons (63%). Le vendredi après-midi, jour de prière à la mosquée, l’écart est encore plus marqué : les jeunes hommes se sont rendus sur la piste d’athlétisme 80% du temps, contre seulement 25% pour les étudiantes.

Fin 2014, la question avait déjà été soulevée lors d’un conseil de direction de l’école : « Il semblerait que les filles ne sortent pas faire du jogging dans le parc (voisinage, manque d’envie ?) », rapporte le procès-verbal de la séance. Lequel précise que « le conseil de direction souhaite que les filles sortent comme les garçons ».

(…)

Les enseignantes de gym n’ont en tout cas pas oublié un incident survenu en 2009 : une quinzaine d’étudiantes avaient été prises à partie (insultées, photographiées à leur insu, agressées à coups de cannettes de soda) par un groupe de musulmans, lesquels leur reprochaient d’avoir couru en tenue impudique « durant l’heure de la prière ». Un vendredi après-midi.

« Si cela dérange des fidèles de voir des filles courir les jambes nues, une solution aurait été de planter une haie ou des arbres des deux côtés », réagit Hafid Ouar - directeur de la Fondation de l'Entre-Connaissance et ex-porte-parole de la mosquée.

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Vaud: Une bande de jeunes tabasse des juniors et leur coach

ND Ch. H. Remarquez que la police est incapable de remonter une simple conversation WhatsApp et parle de "fauteurs de trouble" pour une agression dégueulasse et massive. Second élément, comme d'habitude, aucune mention d'identification des agresseurs alors qu'il y a de nombreux témoins... je vous laisse deviner pourquoi et qui agit d'une telle sorte, notamment tabasser à plusieurs une personne à terre et sur la tête.

«Tout est parti d’un groupe WhatsApp (ndlr, application de messagerie sur téléphone). J’y ai pris la défense d’un ami et il y a eu des échanges d’insultes avec des jeunes de Crissier.

Quand le coach David Favre voit s’avancer trois individus dans la salle de gym, il tente de calmer les esprits et de faire ressortir le groupe. «Mon jeune a malgré tout décidé d’aller discuter pour essayer de régler la situation, mais eux n’étaient pas venus pour discuter…, explique-t-il. Quand ils l’ont empoigné à sept ou huit, j’ai vite donné mon téléphone à un jeune pour qu’il appelle la police et j’ai essayé de m’interposer. C’est là que j’ai pris un coup-de-poing et un coup de pied, rien de grave. Au total, ils étaient une vingtaine de 15 à 20 ans, ils étaient plus que nous en tout cas.

L’un des footballeurs a la mauvaise idée d’essayer de vouloir filmer la scène avec son téléphone portable pour ramener une preuve, ce qui lui vaut d’être violemment frappé. «Au final, tout le monde a reçu des coups, reprend Michel. Pour ma part, j’ai reçu plusieurs coups de pied d’un groupe de quatre quand j’étais au sol, notamment à la tête.»

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