Des manifestations anti-Trump éclatent en Californie et à Washington

Des centaines d'étudiants sont descendus dans les rues de Berkeley, Oakland et San Jose quelques minutes après que Donald Trump ait été déclaré le 45ème président des Etats-Unis, bloquant les routes, allumant des fusées et scandant «Il n'est pas notre président" et "F --- Trump."

Tôt mercredi matin, les manifestants ont également brûlé une effigie de Trump, brisé les fenêtres de la salle de rédaction du Oakland Tribune et mis le feu à des pneus et à des ordures dans le centre d'Oakland. Les troubles ont également forcé les responsables de BART à fermer la station de la 12ème rue d'Oakland City Center.

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A Berkeley, la manifestation a atteint plus de 200 personnes. Les gens chantaient "A qui sont les rues? Ce sont nos rues" a déclaré Anderson Lanham, un étudiant en deuxième année de l'Université de Californie de Berkeley sur Twitter.

Dans la Baie du Sud, une manifestation a fait rage à l'Université d'État de San Jose. Des étudiants vêtus de pyjama se sont massés devant les dortoirs en hurlant, "je n'abandonne pas." Des plaintes pour tapage nocturne ont commencé à être déposées lorsque des centaines de manifestants ont pris possession de la place de Tower Lawn, selon le Spartan Daily.

"Le temps de la réforme commence avec nous", a déclaré un étudiant face à un tonnerre d'acclamations.

Une autre a déclaré qu'elle avait voté pour Hillary Clinton, mais que sa voix "n'avait pas été entendue" parce que beaucoup de ses pairs "n'avaient pas fait la même chose."

Déterminés à se faire entendre, les étudiants de l'Université d'État de San Francisco ont également lancé leur propre rassemblement.

Ailleurs, des manifestation ont surgi à l'Université de Californie à Santa Cruz, Los Angeles , Irvine et San Diego .

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

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Genève : Des étudiants sommés de laisser leur logement aux migrants

Christian Hofer: A noter que le "gentil" Pablo Cruchon a milité pour les réfugiés. Bien entendu, le personnage est membre de SolidaritéS, un mouvement socialiste. Il est donc à la racine du problème des étudiants tout en prétendant militer pour... leur bien-être!

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Toute l'hypocrisie et la malfaisance de la gauche pour notre peuple résumées dans cette mascarade: Les autres avant les nôtres!

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Une soixantaine de personnes ont manifesté ce matin à la place du Bourg-de-four contre le non-renouvellement du contrat de bail d’une quinzaine d’étudiants. Ils font partie de l’association Xénope et logent au 154 route de Malagnou. Affublés de masques représentant Serge Dal Busco, ils ont dénoncé l’intention du conseiller d’Etat de transformer le bâtiment en foyer pour requérants d’asile.

Les étudiants déplorent un fausse promesse. «En juin, on nous a pourtant assuré que notre contrat de bail, qui se termine le 31 décembre, serait renouvelé, avance une étudiante qui souhaite garder l’anonymat. En septembre le discours a changé, et on nous a fait poireauter jusqu’à la semaine dernière avant la confirmation. Loger des requérants, c’est important, on ne s’y oppose pas. Mais l’Etat nous met en concurrence avec eux et instrumentalise la situation d’une population précaire.»

Présents à la manifestation, des personnalités politiques et des représentants du syndicat étudiant (CUAE) sont venus apporter leur soutien aux étudiants. Pablo Cruchon, secrétaire de Solidarités, rappelle que «ce sont des étudiants à budget très faible qui n'occupent pas indûment un lieu, ils ont un contrat de bail.

Source

Rappel:

Vaud. La Tour-de-Peilz: 70 migrants imposés sans discussion dans un bâtiment neuf destiné initialement aux étudiants

Bâle: La famille des deux garçons ayant refusé de serrer la main avait… déposé une demande de naturalisation

Christian Hofer: C'est dire à quel point ils prennent notre pays pour un paillasson. Ils se comportent en totale opposition avec nos us et coutumes et ne sont là que pour en profiter. Il est bien clair que notre administration pourrait encore accepter cette demande, comme elle l'a fait avec des délinquants, meurtriers naturalisés, pour la plus grande joie de la gauche. On a pu voir un concept d'acceptation populaire être remplacé par des procédures strictement administratives, la justice étant devenue folle dans notre pays.

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Les frères, qui ont refusé la poignée de main à leur professeure veulent devenir suisses. Une demande correspondante est actuellement en attente à la Direction de la sécurité de Bâle.

Le père des étudiants de Therwiler, qui s'est retrouvé dans les manchettes en raison de la dispense de la poignée de main, a demandé la naturalisation pour lui-même et sa famille, rapporte le " Basler Zeitung ".

La Direction de la sécurité (SID) l'a confirmé au journal: "La demande a été reçue au SID le 4 janvier." Ainsi, la famille est appelée à l'Office des migrations pour un entretien personnel, comme il est d'usage dans un processus de naturalisation. Par la suite, l'assemblée communale du lieu de résidence du requérant décide de l'obtention. Les décisions négatives doivent être justifiées.

Le père syrien est venu en 2001 en tant que réfugié politique en Suisse et a, par la suite, acquis le permis de séjour C. Il sert d'imam à la mosquée du roi Faysal à Bâle.

 

Source Traduction Christian Hofer pour Les Obsevateurs.ch

Rappels:

Bâle: Les deux enfants syriens qui refusent de serrer la main de leur professeure déclarent que « personne ne peut les forcer »

Mosquée de Bâle: Sur le mur de la mosquée est écrit « Tous les crimes contre les mécréants sont permis »

Hommages à Hitler et à l’état islamique dans des lycées tunisiens

Dans plusieurs établissements de Keirouan et Jendouba, les élèves, qui célébraient la fin d'examens, ont déployé des calicots géants à la gloire du Troisième Reich et de l'Etat islamique.

En Tunisie, l'«islamofascisme» n'est pas qu'une formule médiatique, et peut prendre un visage bien concret. Pour la «Dakhla», fête qui vient traditionnellement clôturer la fin de l'épreuve de sport au bac, les élèves déploient des calicots géants sur la façade de leur établissement. Au lycée de Jendouba au nord-est du pays, une bannière représentant Hitler saluant le drapeau allemand a été déployée, rapporte le site de Francetv Géopolis.

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