Europe : la totalité de la croissance démographique est désormais due à l’immigration

Depuis 1975, 60 millions de personnes sont venus grossir les rangs de l’Union Européenne des 28. Cependant, derrière cette évolution démographique se cache un continent plus que jamais vieillissant.

 

Selon Eurostat, une nouvelle tendance apparaît ces deux dernières années: alors que les Européens font de moins en moins d’enfant, la totalité de la croissance démographique est désormais due à la l’immigration.

 

En une quarantaine d’années, l’Union Européenne (UE), en comptabilisant la population des 28 pays, Royaume-Uni compris, a connu une croissance démographique de 60 millions de personnes, indique le rapport sur l’évolution de la famille en Europe, réalisé par l’Institut de politique familiale, avec Eurostat. Aujourd’hui, l’UE à dépassé les 511,8 millions d’habitants. Au cours des 10 dernières années (2007-2017), la population européenne a donc augmenté de 13,5 millions de personnes.

Ces deux dernières décennies, la croissance de l’UE est presque entièrement due à trois poids lourds européens: la France, le Royaume-Uni et l’Espagne. A eux seuls, ces pays représentent 82%, soit 23,3 millions de personnes, de l’augmentation de la population. Au contraire, huit pays de l’UE ont vu leur population diminuer. C’est la Roumanie qui connait le plus fort déclin démographique, le pays de l’Est a perdu près de 3 millions de personnes.

Les chiffres sont pour le moins éloquents. Chaque jour en Europe, il y a 433 nouveaux jeunes de moins de 15 ans et presque 4 766 nouveaux séniors, âgés de plus de 65 ans. Quand les jeunes n’atteignent pas les 16% de la population totale, les plus de 65 ans représentent eux presque 20%, soit 80 millions de jeunes contre 100 millions de séniors. En Europe, une personne sur cinq a plus de 65 ans […]

vaticannews

La Hongrie lance une politique nataliste visant à enrayer le déclin démographique tout en « rejetant l’immigration de masse »

Le gouvernement hongrois s’est engagé à prendre des mesures pour soutenir l’accroissement naturel de la population – tout en rejetant l’immigration de masse – pour stopper le déclin démographique, suivant en cela l’annonce par le Premier ministre Orban de l’année 2018 comme année de la « famille ».

Suite

Il est temps de dire ces vérités aux Africains qui crachent sur les Blancs…

 

Avec l’article du Figaro au sujet de l’esclavage et le livre de Loïk Le Floch Prigent, c’est la fête aux pisse-vinaigre anti-blancs…

Souvenez-vous de ces articles d’août :

« Boulevard Voltaire avait publié un article de monsieur Magaye Gaye : « La persistance de la pauvreté sur le Continent résulte, à notre avis, moins d’un taux de fécondité élevé que de dysfonctionnements économiques ».

Auquel j’avais répondu : "A Magaye Gaye, qui minore la catastrophe de la démographie africaine"

Loïk Le Floch-Prigent (un monsieur qui a fait de la prison etc. Ok mais ça c’est un autre chapitre) nous livre ses réflexions dans « Carnets de route d’un Africain, un autre regard sur l’Afrique d’aujourd’hui. »

Voici quelques passages en style télégraphique :

– Il y a 2 Afriques : celle, envoûtante et mystérieuse, que nous observons depuis l’Europe et celle que nous voyons en Europe et qui suscite plus de défiance que de sympathie – ceux qui croient avoir compris l’Afrique c’est qu’on ne la leur a pas bien expliquée. – Il y a une logique occidentale cartésienne et une autre qui est africaine donc impénétrable – c’est ainsi qu’échouent les efforts politiques français, américains, russes, chinois, etc.

– L’Afrique possède des ressources gigantesques dans ses profondeurs inexplorées ou mal exploitées – l’Occident n’a pas le monopole de l’imbécillité : il y a des imbéciles partout, aussi en Afrique.

– Qui sont les parasites ? Des membres de la famille, au sens où l’on entend la chose en Afrique, c’est-à-dire tout un peuple de parents plus ou moins éloignés – qu’un chef ait une soixantaine d’enfants n’étonne personne – les ouvriers des chantiers qui ont des missions d’ 1 ou 2 ans dans des villes ou villages multiples, malgré leur peu de revenus, peuvent se retrouver accablés d’une bonne dizaine d’enfants nés de 10 femmes différentes – frères ou sœurs partagent rarement le même père ou la même mère, il faut comprendre qu’ils ont été élevés dans la même famille, voire dans le même village. – il faut entretenir les femmes, les enfants mais aussi les frères et sœurs.

– Le travail de la démocratie, travail de fourmi avec des projets et des contre-propositions, tout cela n’existe pas en Afrique.

– Les candidats successifs rêvent de s’accaparer le pouvoir pour l’exercer de la même manière que leurs prédécesseurs, sans réel programme – la communauté internationale ferme les yeux – chacun se demande ce que cela va lui rapporter, à lui personnellement et non pas au pays.

– Il m’a souvent été donné de voir le décor, je n’ai qu’à de rares fois pu entrevoir son envers.

– La société africaine compte des castes – parmi lesquelles l’humble vie des tribus avec l’emploi des langues vernaculaires et la présence insistante des traditions.

– La notion de « pays » telle qu’on l’entend en Europe n’est qu’une chimère.

– L’Africain se considère d’abord comme un « Noir » ensuite vient la famille puis la tribu et ensuite le pays – avec le morcellement en ethnies, tribus, familles et des frontières mal tracées qui causent l’instabilité des pays.

– « Quand on travestît en soldats des villageois et autres paysans, on ne fait pas d’eux des militaires pour autant. De tels procédés font songer davantage aux albums de Tintin qu’aux grands films d’aventure : on est à mi-chemin entre le cirque et le comique troupier. »

– il faut regarder la vidéo « Le retour de l’oncle belge » qui rend compte de la coopération entre la Belgique et le Congo pour la formation de son armée :

https://youtu.be/0xNL67Z81k0
.
– Les chemins de fer de la colonisation n’ont connu aucun programme sérieux de maintenance : ils deviennent des reliques qui se délitent de jour en jour comme le merveilleux Addis-Abeba – Djibouti. Les centrales électriques ne sont pas arrivées à suivre la démographie galopante des villes africaines.

– Les maladies tropicales (si combattues durant la colonisation) persistent – l’Afrique est en proie à des maladies génétiques que nul ne sait traiter par exemple la redoutable drépanocytose – « Il y a encore la lèpre, la tuberculose, la bilharziose mais la plus grande cause de mortalité demeure le paludisme » (ajoutons Ebola, SIDA, poliomyielite, fièvre jaune, variole, etc.)

– L’équilibre des sociétés traditionnelles est bouleversé – la jeunesse explose sans trouver d’emplois et cesse de respecter l’autorité des anciens – améliorer la santé des populations faisant reculer la mortalité a fait exploser la démographie – le baby-boom est tel que tout va de travers dans l’éducation – les « Bounty » ceux qui sont noirs dehors et blancs dedans, ont reçu une éducation soignée en France, G.B, USA, Canada, Chine jadis Moscou – ces jeunes gens prometteurs n’ont aucun intérêt à changer quoi que ce soit à la politique élitiste – ces cadres sont devenus une autre caste qui n’a aucunement cherché à transformer en profondeur la vie quotidienne de leurs concitoyens.

– Tout est de guingois, même dans les palais présidentiels lorsqu’il est fait appel à la main d’œuvre locale. Ils ne savent pas travailler parce qu’on ne leur a pas appris à travailler – la ville draine des milliers de candidats à l’exil – l’attrait pour la télévision procède des séries américaines ou européennes qui les font vivre dans un monde dont ils rêvent (et qu’ils viennent chercher en Europe).

– La possession de 1 ou plusieurs téléphones est devenu obligatoire pour les jeunes – avec le logement le premier poste dans le budget – leur rêve c’est un costume impeccable, assorti d’un quatre-quatre rutilant et ce dès leurs études finies. Ils n’ont pas de projet de vie à travers une profession.

– Ministères et administration sont truffés de jeunes verbeux se cherchant un destin tandis que le travail de terrain est confié à un personnel non formé ou à des Chinois. La politique d’éducation de masse est donc un échec par défaut d’analyse des véritables besoins du pays et aussi par manque de motivation réelle des jeunes. – « C’en est fini de l’ascenseur social qui existait lors de la période coloniale, tandis que les élèves studieux et appliqués se faisaient remarquer par les curés ou les instituteurs, qui leur ouvraient la voie vers des études supérieures : tout cela a été remplacé par une auto-reproduction des élites – le niveau de culture et de savoir s’est effondré avec la déchristianisation – on ne sélectionne plus les élites parmi les bons élèves » – « le bilan d’ensemble, c’est-à-dire sans tenir compte des exceptions, est effectivement catastrophique. »

– Il n’est pas rare de voir des étages entiers du Crillon retenus par un unique chef d’état africain.

– Les douaniers demandent ce qu’il y a pour eux dans les bagages – la corruption commence à l’aéroport à la douane mais que dire des ports où les agents publics devraient avoir pour tâche de remplir les caisses de l’Etat au lieu de chercher avidement à remplir les leurs ? – « Les aides directes expédiées aux Etats disparaissent en grande partie dans les abîmes de la corruption. »

– La présence insistante de sorciers, de croyances, de superstitions, de gris-gris et autres fétiches… de drogues aphrodisiaques tant la virilité passe chez eux pour une affaire de la plus haute importance.

– Si le propriétaire ne reste pas près de sa voiture il n’en retrouvera que la carrosserie, toutes les pièces détachables étant déjà cannibalisées.

– Parmi toutes les religions : « Le coran est récité par des foules qui n’en comprennent pas un traître mot » – « Il y a des évangélistes africains, des sectes chrétiennes abondantes, des musulmans spécifiques à chaque contrée : tout cela à l’encontre des intérêts du peuple africain, mais qui malheureusement progresse ».

Voilà quelques bouts de phrases glanés dans les 266 pages. Ajoutons les problèmes de l’énergie, eau potable, égouts, déchets et hygiène, religions, langues, la femme africaine, école et santé, les ONG et leurs effets pervers, les communautés, etc.

– « Où va l’Afrique? » « Le peuple ne voit depuis des dizaines d’années aucun progrès à sa situation et l’effritement des ouvrages d’art bâtis par les colons qu’ils se prennent de temps en temps à regretter (…) Le pillage interne et externe des richesses africaines n’a donc jamais cessé, tandis que le cynisme le dispute à l’hypocrisie, et ce, d’une manière accrue ces dernières années. Jadis, certains acteurs plaçaient dans leurs efforts une manière de passion et de bonne volonté, mais le monde nouveau, celui de la finance mondialisée, n’offre plus la moindre place à de tels élans. »

A l’heure où les frontières cèdent sous la poussée immigratoire, la lecture de ce livre nous donne une petite idée de ce qui est en train de nous arriver…

Pour compléter le tableau je vous invite à lire mes souvenirs du Congo dans les années 1956-1959 dans Atelier Cà della Fiola

Si les enfants que nous étions alors avaient pu continuer à grandir ensemble, aujourd’hui le Congo serait un des pays les plus prospères et modernes de la planète et la catastrophe migratoire n’aurait pas eu lieu.

Conclusion : que les pisse-vinaigre anti-blancs aillent régler leurs problèmes chez eux au lieu de cracher dans la soupe chez nous.

Anne Lauwaert

Article paru également sur Riposte Laïque

Europe: le Grand Remplacement est irréversible, « ce qui est mathématique est incontestable »

(…) La France a pourtant un rôle à jouer dans une Europe en déclin démographique, et qui ne parviendra à maintenir son niveau actuel de population que grâce aux apports migratoires. En dehors de la France, l’UE, à elle seule, a de nouveau affiché un solde naturel négatif en 2016, de 215.000 personnes.

L’Allemagne (qui a connu une croissance démographique deux fois supérieure à celle de la France) et l’Italie perdent chaque année autour de 150.000 «autochtones», chacune, soit davantage que le nombre total des victimes de la bombe d’Hiroshima.

Avec une importante et grandissante immigration, en réponse à un ICF constamment inférieur à 1,55 enfant par femme dans l’Union européenne (UE), hors France, il y aura donc toujours autant d’habitants en Europe, mais les Européens y seront progressivement minoritaires. Et ce qui est mathématique est incontestable (…)

Source : https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/cercle-173724-population-le-desert-francais-2114593.php

Via CivilWarInEurope

La démographie africaine explose et modifiera complètement l’Europe (Vidéo)

Les données démographiques détermineront l'histoire du monde au cours des prochaines décennies. Selon le Bureau du recensement des Etats-Unis, 2045 est l'année au cours de laquelle les Blancs deviendront une minorité dans leur propre pays. La même tendance est observable en Europe. Dans les années quatre-vingt-dix, ces continents ont commencé leur transformation: de sociétés relativement monolithiques, elles se sont transformées en sociétés multiculturelles, ce qui a entraîné une augmentation rapide de la population latine aux États-Unis et l'afflux d'immigrants d'Afrique et d'Asie en Europe.

Les milieux universitaires et la classe dirigeante estiment que les différents groupes ethniques qui arrivent en Europe et aux États-Unis se fondent dans les communautés indigènes et se dissolvent en une ou deux générations, en adoptant les valeurs et les normes occidentales supérieures parce qu'elles sont prétendument universelles.

La croissance démographique européenne native atteindra bientôt son apogée, puis la tendance s'inversera, déjà observable en Russie et en Pologne. Les populations des Pays-Bas et de l'Allemagne ne se développent qu'en raison du nombre croissant de migrants non-occidentaux de deuxième génération.

En un rien de temps (historiquement parlant), la composition ethnique européenne ressemblera à celle du Brésil ou de l'Inde.

La montée sans précédent de Front National, les émeutes dans les banlieues, le premier parti turc au Parlement néerlandais, le terrorisme dirigé par l'islam, le mouvement Black Lives Matter et les discussions sans fin dans les médias occidentaux entre les opposants et les partisans multiculturels, les Blancs et Non-blancs, les islamistes et les chrétiens sont simplement quelques pièces d'un tableau plus vaste. Et nous nous attendons encore bien plus à l'avenir.

 

 

Les changements démographiques importants ne sont en aucun cas limités à l'Europe. La population de l'Afrique, qui devrait continuer à croître au rythme actuel sans précédent jusqu'en 2100, dépasse déjà celle de l'Europe, et la population indienne sera plus importante que celle de la Chine, qui atteindra son apogée en 2030.

En 2100, l'Afrique représentera 40% de la population mondiale, tout en contribuant très peu au PIB mondial.

Beaucoup plus de gens vivront en Afrique et en Asie du Sud qu'en Europe ou en Amérique du Nord. Un économiste néolibéral considère que nous sommes tous identiques, des êtres humains remplaçables, indépendamment de leur race, de leur patrimoine ou de leur religion.

Par conséquent, il n'y a aucune raison de croire que les Africains ne devraient pas être autant productifs que les Japonais et aussi efficaces que les Allemands. Si tel est le cas, les populations en déclin d'Europe, du Japon, des États-Unis et de la Chine seront compensées par les hommes et les femmes jeunes, énergiques et dynamiques d'Afrique qui, selon eux, prendront avec succès la relève et géreront le moteur de croissance du monde.

Un regard sommaire sur la condition des villes américaines composées de majorités afro-américaines, d'Haïti ou provenant d'États africains ne soulève pas tellement d'espoir, c'est pourquoi notre équipe a une vision différente. L'histoire écrite de l'Afrique subsaharienne a débuté il y a environ cent ans, en phase avec le début de la colonisation européenne.

Ce qui montre que même la conscience africaine a été façonnée par les Européens, sans parler de l'économie du continent, qui continue de dépendre du soutien technique et financier de l'Europe et de la Chine. Le changement de démographie qui approche créera des tensions ethniques et aura un impact profond sur l'économie mondiale en général.

Source Traduction Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

Nos remerciements à 

En 2100, 40 % de l’humanité sera africaine

Un jeune Terrien sur trois âgé de 15 à 29 ans vivra en Afrique en 2050. C’est probablement la donnée la plus marquante de l’évolution de la démographie mondiale telle que la prévoient désormais les Nations unies (ONU).

Le tableau global est connu. De 7,5 milliards d’individus, la population de la planète passera à 9,8 milliards en 2050 pour atteindre, probablement, 11,2 milliards à la fin du XXIe siècle. Les deux géants resteront la Chine et l’Inde, qui comptent aujourd’hui respectivement 1,4 milliard et 1,3 milliard d’habitants, soit, à eux deux, plus du tiers de la population mondiale. Dès 2024, le classement s’inversera, l’Inde dépassant alors la Chine.

Mais c’est en Afrique que la population va croître le plus. Le Nigeria, par exemple, sera passé de quelque 191 millions d’habitants à plus de 410 millions en 2030, délogeant les Etats-Unis de la troisième place mondiale.

Dans son rapport « Perspectives de la population mondiale, la révision de 2017 », publié le 21 juin, le département des affaires économiques et sociales (DESA) de l’ONU prévoit que « de 2017 à 2050, la moitié de la croissance de la population mondiale sera concentrée dans seulement neuf pays : l’Inde, le Nigeria, la République démocratique du Congo, le Pakistan, l’Ethiopie, la Tanzanie, les Etats-Unis, l’Ouganda et l’Indonésie ».
Amélioration des conditions de vie

L’Afrique, qui compte aujourd’hui 1,3 milliard d’habitants représentant 17 % de la population mondiale, en totalisera près de 4,5 milliards à l’horizon 2100, soit 40 % de l’humanité. Elle aura alors quasiment rejoint l’Asie, qui aura régressé de 60 % à 43 % de la population planétaire (4,8 milliards d’habitants contre 4,5 milliards actuellement). En cause, le ralentissement de la démographie chinoise, puis son lent déclin dans la deuxième moitié du XXIe siècle.

Pourquoi donc l’Afrique connaît-elle une telle explosion ? « La transition démographique y a commencé plus…

Le Monde

Italie: « L’immigration, un incontestable atout pour un pays en déclin démographique » selon Caritas et Migrantes

Le 26e rapport sur l’immigration en Italie a été présenté ce mercredi 21 juin 2017 à Rome, entre autres par le cardinal Francesco Montenegro, archevêque d’Agrigente en Sicile et président de la Caritas Italie, et par Mgr Guerino di Tora, évêque auxiliaire de Rome et président de la fondation Migrantes.

Ce rapport, qui fourmille de chiffres et de données précises, tord d’abord le cou à l’idée répandue d’une «invasion migratoire» dans la péninsule, qui ne compte en réalité que 8,3% d’étrangers, soit 5 026 1153 personnes sur une population totale de 60 665 551 résidents. En outre, les migrants qui arrivent sur les côtes italiennes ne sont, pour la plupart, que de passage. À noter toutefois que l’Italie se transforme en terre d’installation pour les femmes, –qui constituent plus de 50% des migrants–, et qui requièrent la citoyenneté après un long processus d’intégration.

Mais ce rapport veut aller au-delà des statistiques pour s’interroger sur le profil et les visages de cette immigration, qui se caractérise avant tout par sa jeunesse. Pour les auteurs du document de 430 pages, cette jeunesse représente un incontestable atout pour un pays en déclin démographique. Enfants nés sur le sol italien de parents étrangers, étudiants des universités italiennes: ces nouvelles générations seront les protagonistes de la société de demain.

«L’Italie d’aujourd’hui et de demain, ou réussira à être différente, c’est-à-dire capable de nouvelles rencontres et de relations, ou n’aura pas de futur», assène le rapport. C’est donc la jeunesse qui doit être mise au centre de l’action.

[…]

Évoquant la réforme du code de la nationalité actuellement débattue au sein du Parlement italien et qui cristallise beaucoup de tensions, l’archevêque d’Agrigente a plaidé pour la prise en compte du droit du sol dans l’octroi de la nationalité italienne aux étrangers: «selon moi, le droit d’appartenir à une terre, si j’y suis né et y ai grandi, si j’y suis depuis un certain temps, si l’un de mes parents a la nationalité, devrait être reconnu. Pourquoi ne devrais-je pas l’avoir si j’ai fait mon chemin jusqu’ici avec les autres? Seulement parce que je viens d’une autre terre? (…) Cette fermeture absolue me laisse perplexe», a avoué le président de la Caritas Italienne.

Source

Des Dirigeants sans Enfants mènent une Europe Somnambule à l’Abîme

  • « L'Europe aujourd'hui n'a pas envie de se reproduire, de se défendre ni même de prendre parti pour elle-même dans un débat ». — Douglas Murray, The Times .
  • « 'Se découvrir soi-même' devient plus important que de bâtir un monde ». — Joshua Mitchell.

Jamais l'Europe n'a été dirigée par autant de politiciens sans enfants. Ils sont modernes, ouverts, multiculturels et savent que « tout finira avec eux ». À court terme, être sans enfant est un soulagement car cela implique zéro dépense pour la famille, aucun sacrifice et personne pour se plaindre d'un avenir mal préparé. Comme l'indique un rapport de recherche financé par l'Union européenne : « Pas d'enfants, pas de problème ! ».

Etre mère ou père vous oblige à vous projeter dans l'avenir du pays dont vous avez la charge. Mais les dirigeants les plus importants d'Europe ne laisseront aucun enfant derrière eux. La chancelière allemande Angela Merkel, le Premier ministre néerlandais Mark Rutte et le président français Emmanuel Macron sont sans enfants. La liste s'allonge avec le Premier ministre suédois Stefan Löfven, le Premier ministre luxembourgeois Xavier Bettel et le Premier ministre écossais Nicola Sturgeon .

N'ayant pas d'enfants, les dirigeants d'Europe donnent le sentiment de n'avoir aucune raison de s'inquiéter de l'avenir de leur continent. Le philosophe allemand Rüdiger Safranski a écrit:

« Pour les personnes sans enfants, penser en termes de générations futures n'est guère pertinent. Par conséquent, ils se comportent de plus en plus comme s'ils étaient les derniers, le dernier maillon de la chaîne ».

« L'Europe se suicide. Ou du moins ses dirigeants ont décidé de se suicider », a écrit Douglas Murray dans The Times. « L'Europe aujourd'hui n'a pas envie de se reproduire, de se défendre, ni même de prendre parti pour elle-même dans un débat ». Murray, dans son nouveau livre, intitulé The Strange Death of Europe, baptise le phénomène : « une fatigue civilisationnelle existentielle ».

Angela Merkel a pris la décision fatidique d'ouvrir les portes de l'Allemagne à un million et demi de migrants pour enrayer l'hiver démographique de son pays. Ce n'est pas un hasard si Merkel, qui n'a pas d'enfants, a été appelée « la mère compatissante » des migrants. Merkel se moque de savoir si cet afflux massif de migrants ne risque pas modifier la société allemande en profondeur, et pour toujours.

Dennis Sewell a récemment écrit dans le Catholic Herald :

Cette idée de « civilisation occidentale » rend plus épineuse la panique démographique. Sans elle, la réponse serait simple : l'Europe n'a aucune inquiétude à avoir sur le nombre de jeunes qu'il faut trouver pour soutenir ses personnes âgées dans leurs années de déclin. Plein de jeunes migrants cognent aux portes, grimpent sur les barbelés ou s'embarquent sur des fragiles esquifs pour atteindre nos rives. La seule chose à faire est les laisser entrer.

Le statut de femme sans enfant d'Angela Merkel est le reflet de la société allemande : 30% des femmes allemandes n'auront pas d'enfants indiquent les statistiques de l'Union européenne, et ce ratio passe à 40% chez les diplômées de l'Université. La ministre allemande de la Défense, Ursula von der Leyen, a déclaré que, sauf à redresser le taux de natalité, le pays devra « éteindre la lumière ».

Selon une nouvelle étude publiée par l'Institut national d'études démographiques, un quart des femmes européennes nées dans les années 1970 n'auront pas enfants. Les leaders européens ne sont pas différents. En 1940, une femme sur neuf née en Angleterre et au Pays de Galles était sans enfant à l'âge de 45 ans, mais en 1967, ce pourcentage est passé à une femme sur cinq.

Le nouveau président français Emmanuel Macron a rejeté l'idée exprimée par l'ex-président François Hollande que « la France a un problème avec l'islam ». Il est contre la suppression de la nationalité française pour les djihadistes et affirme avec insistance, et contre toute évidence, que l'Etat islamique n'a rien d'islamique: « Ce qui pose problème n'est pas l'islam, mais certains comportements dits religieux qui sont imposés aux fidèles de cette religion ».

Macron prêche une sorte de déjeuner-buffet multiculturel : il évoque le colonialisme comme un « crime contre l'humanité », prône « l'ouverture des frontières », et affirme contre toute évidence qu'il il n'y a pas de « culture française ».

Selon le philosophe Mathieu Bock-Coté, Macron, âgé de 39 ans, marié à son ancien professeur de théâtre elle-même âgée de 64 ans, est le symbole d'une « bonne mondialisation libérée de la mémoire de la gloire française perdue». Ce n'est pas un hasard si « Manif Pour Tous », un mouvement qui a lutté contre la légalisation du mariage homosexuel en France, a appelé à voter contre Macron en tant que « candidat antifamille ». Le slogan de Macron, « En Marche ! », incarne les élites mondialisées qui réduisent la politique à un exercice, une performance.

C'est pour conquérir l'Europe que le leader turc Erdogan exhorte les musulmans à avoir « cinq enfants » et que les imams musulmans exhortent leurs fidèles à « élever des enfants ». Les suprémacistes islamiques travaillent à produire un conflit de civilisations au cœur de l'Europe ; ils dépeignent les pays qui les accueillent en Occident comme des civilisations sur le point de s'effondrer, sans population, sans valeurs et ne portant plus aucun intérêt à leur propre culture.

A voir Merkel, Rutte, Macron et tous les autres, les suprémacistes islamiques auraient tort de se gêner. Nos dirigeants européens nous mènent comme des somnambules vers la catastrophe. Que peut bien leur faire qu'à la fin de leur vie, l'Europe ne soit plus l'Europe ? L'essayiste Joshua Mitchell l'a très bien expliqué, « se trouver » devient plus important que construire un monde. La longue chaîne des générations a déjà fait le travail. Maintenant, jouons ! ».

Giulio Meotti, journaliste culturel à Il Foglio, est un journaliste et un auteur italien.

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Est-ce notre faute si les Africains refusent contraception et planning familial ?

Bien des gens ne sont pas rationnels, ils veulent le beurre et l’argent du beurre. Ils veulent vivre tranquilles mais ont mauvaise conscience de ne pas être accueillants. Ils se croient plus ou moins responsables du malheur des autres.

Pourtant, il est facile de montrer que les migrants économiques font leur malheur eux-mêmes. Par exemple en Afrique, il y avait 200 millions d’habitants en 1960 et maintenant, environ 55 ans plus tard, ils sont 1200 millions. La population a été multipliée par six en une courte période et ça continue, le nombre de naissances est très supérieur au nombre de morts.

Aucune terre, aucun continent ni même aucune planète ne peut supporter longtemps une telle croissance, c’est très au-dessus des possibilités naturelles. Mais les mentalités sont responsables du refus de la contraception et du planning familial. Qu’ils restent chez eux et deviennent responsables d’eux-mêmes. Nous n’avons pas à avoir mauvaise conscience en les refusant puisque nous avons nous-mêmes de nombreux problèmes pour survivre convenablement.

A cela s’ajoutent les migrants venant dans le but de nous imposer leur idéologie musulmane, et en particulier la charia. Là, il faut être catégorique et très ferme, ne faire aucune concession. Mais nous avons besoin de pétrole … et les traîtres incapables qui nous ont gouverné depuis plus de quarante ans nous ont vendus aux propriétaires de champs pétroliers (au lieu de chercher d’autres solutions énergétiques). Et en plus, ils ont accumulé une dette excessive sur nos épaules. Il y a longtemps qu’ils auraient dû être jugés et condamnés. Mais c’est toujours eux qui gouvernent.

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En Allemagne, les migrants projettent le taux de natalité à un niveau record

L’afflux de migrants a réussi à stopper le recul de la fécondité en Allemagne. Une première depuis 30 ans.

Pour la première fois depuis 1982, le taux de natalité en Allemagne est reparti à la hausse, relate le journal Frankfurter Allgemeine Zeitung, se référant à l'Office fédéral de la statistique. Le taux de fécondité enregistré dans ce pays en 2015 a atteint 1,5 enfant par femme, un niveau observé la dernière fois seulement en 1982. À titre de comparaison, l'année précédente, le taux n'a pas dépassé 1,47.

Alors que le niveau de natalité pour les femmes qui possèdent la nationalité allemande n'a pas connu de forte augmentation (1,43 en 2015 contre 1,42 en 2014), le taux de fécondité des femmes étrangères a grimpé de 1,86 à 1,95. Avec 1,47 enfant par femme tous âges confondus en 2014, l'Allemagne a connu l'un des taux de fécondité les plus bas d'Europe même si les pays du sud de l'Union européenne font encore moins bien, selon Eurostat. Malgré ce mieux en Allemagne, le niveau de fécondité reste largement sous le seuil de renouvellement des populations qui est de 2,1 enfants par femme.

Source

France : l’islamisation expliquée par la démographie (Vidéo)

Célèbre démographe, Yves-Marie Laulan organise le 13 octobre de 9h à 18h, à l’Espace Bellechasse, 18 rue de Bellechasse dans le 7 arrondissement de Paris, un important colloque intitulé :”Comment lutter contre l’inévitable islamisation de la France”. Entouré de nombreux intervenants, le spécialiste de la démographie va démontrer que nous sommes soumis à deux évolutions de populations divergentes et contrastées : la population d’origine, dite de souche, dont la fécondité est insuffisante et la population extra-européenne, souvent de religion musulmane, dont le nombre ne cesse de croître et cela de manière exponentielle. Cette situation aboutit à une transformation profonde de la société et à une islamisation de la France.

https://youtu.be/lHSfeW9W6X8

Source : http://www.tvlibertes.com/2016/10/10/10717/islamisation-de-la-france

Via CivilWarInEurope

Royaume Uni : Mohamed prénom le plus populaire pour les nouveaux nés !

Mohammed est le nom le plus populaire pour les garçons en Angleterre et au Pays de Galles mais si il n’est pas en haut de la liste officielle c’est parce qu’il y a de nombreuses façons différentes de l’écrire.

Il y a eu 7.361 enfants nés l’année dernière appelé Mohammed, Muhammed, Mohammad ou Mohamed, selon le Bureau national des statistiques qui en aurait fait le numéro un des noms de garçons si les variations d’écriture avaient été prises en compte.

Au lieu de cela, c’est Oliver qui arrive en tête de la liste tandis que Amelia domine chez les filles (…)

Il y a officiellement 14 façons différentes d’épeler Mohammed – qui signifie «celui qui est louable» – (…) La variation la plus populaire sur la liste est «Muhammad», qui a terminé 12e avec 3.730 garçons nés avec le nom (…)

Source : http://www.dailymail.co.uk/news/article-3770523/Oliver-Amelia-popular-baby-names.html

via Civilwarineurope.com

Démographie : Suicide de l’Europe et explosion de l’Afrique

Quel silence assourdissant face au suicide démographique de l’Europe à l’horizon 2050! Les projections démographiques des grandes régions du monde d’ici là sont connues et réévaluées tous les deux ans par les Nations unies et régulièrement par Eurostat pour les seuls pays de l’UE, mais il faut être un spécialiste des bases de données pour s’en servir.

De fait, personne n’en parle, surtout à Bruxelles où l’on préfère produire des rapports sur les révolutions technologiques, le développement durable ou la transition énergétique. [...]

Alors que s’ouvre la semaine prochaine l’université d’été du Medef, Jean-Michel Boussemart et Michel Godet invitent l’Europe à pratiquer une politique de quotas en fonction des besoins du marché du travail et à encourager la relance de la fécondité. [...]

Le Figaro via Fdesouche.com

« Afrique : le cauchemar démographique »

« Afrique : le cauchemar démographique » présenté par Yves-Marie Laulan et « Africanistan » de Serge Michaïlof

♦ Le 15 mai 2015, l’Institut de géopolitique des populations organisait un colloque sur le thème « Afrique : le cauchemar démographique ». Les actes en ont été publiés aux éditions L’Æncre dans un opuscule qui mérite de retenir l’attention.

A la question qui constituait le sous-titre de la manifestation : Les 4,2 milliards d’Africains pourront-ils submerger l’Europe ? les intervenants ont apporté une réponse qui n’est certes pas exempte de motifs d’espérance, mais qui n’est finalement pas très encourageante.

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