Les minarets hurlent en avril : provocations islamistes à Lyon, Strasbourg, Valentigney…

France : L'Islam en France

 

Joachim Véliocas de l'Observatoire de l'islamisation était l'invité de Boulevard Voltaire le 6 avril 2020 pour évoquer les appels du muezzin amplifiés dans des grandes mosquées françaises.

On achève bien les chevaux, pourquoi pas les vieux au-dessus de 80 ans ?

Interview de Perrine Truong, cheffe de clinique aux urgences au CHUV, le 26 mars 2020

La vidéo ci-dessous a été recommandée par notre lecteur G. Vuilliomenet.
Au moment de cette interview, il y avait 60 morts du coronavirus en Suisse.

Perrine Truong  est une ancienne athlète (4’27 sur 1500 m et 2’12 sur 800 m), née le 29.07.1987, Elle est désormais cheffe de clinique aux urgences du CHUV. Elle raconte la situation actuelle et notamment : - Les chiffres qui ne veulent rien dire - L’hôpital MOINS rempli que d’habitude - La peur d’être débordé et de devoir faire des choix tragiques - Le drame italien - « Le Coronavirus ce n’est pas le premier et ce ne sera pas le dernier » - La nouvelle star française Didier Raoult - « Les grosses années de grippe, en France c’est 10'000 morts, on en est encore loin » - « Ce n’est pas une infection pire qu’une grippe, le problème c’est la vague » - La difficulté d’appréhender la mort dans la société actuelle - Les mauvaises informations des journalistes et des politiciens

***

Résumé Cenator : Perrine Truong dit avec un large sourire qu’elle n’a pas peur d’en mourir. Elle précise plus tard que les jeunes en bonne santé et des sportifs même dans la cinquantaine ne risquent quasiment rien.

La peur, avec le coronavirus, c’est dans l’inconnu. On a à faire à une pathologie qu’on ne connait pas bien. La peur des soignants, c’est d’être submergés au niveau de la prise en charge, de ne plus pouvoir faire face.

Puis la peur des soignants de devoir faire le choix entre deux patients, qui doit vivre, qui doit mourir. 

L’activité à l’hôpital est sous contrôle actuellement. On n’est pas vraiment en guerre. Ce n’est ni le premier ni le dernier virus, même si la pandémie va se résoudre. Il y a de la comorbidité chez la majorité des patients : diabète, obésité et surtout, beaucoup d’hypertension. 

– Est-ce qu’en milieu médical on parle de sélection naturelle ?

Perrine Truong (rires) : On en parle entre nous. (6:03-6:08) « Mais non, officiellement on ne parle pas vraiment de sélection naturelle. » 

C’est une épidémie banale qui ne tue pas plus que les autres grippes saisonnières.

Ce n’est pas pire que la grippe, le problème est la vague qui peut arriver. Tous en même temps, des patients très malades, c’est là le problème.

Intervieweur : La grippe de Hong-Kong a fait, rien qu’en France en décembre 1969, 25’000 morts. Les médias parlaient de grippe particulièrement virulente, rien d’autre. 

Perrine Truong : Le problème est que tout le monde va arriver en même temps à l’hôpital.

(9:46-10:04 ) Et puis, si on avait dit, eh bien, à partir de 80 ans, on laisse les gens à la maison, ET PUIS ILS MEURENT A LA MAISON, ce serait quasiment moins difficile que de se dire : ah ben on les a tous à l’hôpital et puis on doit décider, nous. 

ndlr: Il faut savoir que si on laisse mourir les malades à la maison dès 80 ans cela signifie que le patient sera privé de tous les soins que l'hôpital fournit AVANT l'intubation avec de l’oxygène pulsée et la phase suivante, si son état ne s'améliore pas, par l'intubation.

C’est un problème de société, la peur de la maladie et de la mort. Il y a une espèce de panique irrationnelle. Toute panique est irrationnelle par rapport à la peur. 

Les peurs, c’est parce que les informations sont relativement mal données à la population, autant de la part des journalistes que de la part des politiciens. Les recommandations ont été longtemps floues. Même moi, je me demande alors que je suis là-dedans, est-ce que j’ai le droit de le faire ou pas ?

Pour la population, beaucoup de gens ont très peur mais pas pour les bonnes raisons. 

Ça peut devenir comme en Italie ?

Oui, mais actuellement ce n’est pas le cas. 

 

******************

Vidéo | Covid-19 | Deuxième point de la situation avec Perrine Truong CRISE

Nouveau point avec la demi-fondeuse devenue cheffe de clinique aux urgences Perrine Truong. -  Le stress et la tension qui augmente - La situation sous contrôle - La sédentarité et l'âge comme facteurs principaux de risque - L'inutilité des masques dans la rue - Son quotidien.

Cette seconde vidéo a été tournée 10 jours plus tard, le 1er avril. Désormais la Suisse compte 434 morts.

Perrine Truong : Porter des masques dans la rue ? Les masques chirurgicaux sont périmés au bout de maximum 4 heures, il faut les changer. Par conséquent, dans la rue, ça n’a pas beaucoup de sens. Tout au plus, cela protège les autres lorsqu’une personne est infectée. Il faut se laver des mains. Mais le virus ne se promène pas comme ça dans l’air (16:15) (faux)*, donc mettre un masque pour se promener dans la rue, ça n’a pas beaucoup de sens.

En Suisse, on ne manque pas de matériel pour affronter cette crise, ni de masques, ni d’autres choses. 

Selon les prévisions optimistes, il y aura 1000 morts, selon les prévisions pessimistes, 100'000.

On ne sait pas quand viendra la grande vague, ni sa longueur, ni son intensité.

Pourquoi y a-t-il beaucoup de malades à un endroit et pas à d’autres ? 

Perrine Truong : Les mesures ont été prises tard pour le Tessin. Pourquoi Vaud ? A cause des grandes agglomérations.

---

* https://www.letemps.ch/sciences/coronavirus-pourrait-finalement-se-transmettre-lair

***************
Rivotril, sédatif, euthanasie ? EHPAD, personnes âgées
Ancien pharmacien, Serge Rader est auteur de plusieurs études sur les médicaments est l'invité d'André Bercoff sur Sud Radio

 

*************

FLASH !! EUTHANASIE GOUVERNEMENTALE DES PERSONNES ÂGÉES MALADES https://www.youtube.com/watch?v=rACbQ... Décret n° 2020-360 du 28 mars 2020 complétant le décret n° 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l'épidémie de covid-19 dans le cadre de l'état d'urgence sanitaire https://www.legifrance.gouv.fr/affich... ... « II.-Par dérogation à l'article L. 5121-12-1 du code de la santé publique, la spécialité pharmaceutique Rivotril ® sous forme injectable peut faire l'objet d'une dispensation, jusqu'au 15 avril 2020, par les pharmacies d'officine en vue de la prise en charge des patients atteints ou susceptibles d'être atteints par le virus SARS-CoV-2 dont l'état clinique le justifie sur présentation d'une ordonnance médicale portant la mention “ Prescription Hors AMM dans le cadre du covid-19 ”...
**********
Le gouvernement a décidé de se délester des vieux en facilitant l'euthanasie. Pour se faire l'obtention et l'utilisation du Rivotril sont facilitées. Les mesures sont "temporaires" et s'appliqueront jusqu'au 15 avril. ABONNEZ VOUS pour ne pas rater les prochains publications : https://youtube.com/c/fandhumour

https://www.youtube.com/watch?v=4unVNVEfI9E

*******************

La SOLUTION pour vaincre le CORONAVIRUS est très SIMPLE: tout le monde devrait porter un masque!

Origine de la vignette d'illustration : https://gaideclin.blogspot.com/2020/0... Contrairement aux mensonges du gouvernement pour cacher la pénurie, le masque FONCTIONNE, et même quand il n'est pas efficace a 100% , il réduit quand même l'afflux de charge virale dans le système respiratoire, ce qui permet au système immunitaire, qui n'est pas submergé de virus d'avoir le temps de développer des anticorps. En anglais, on appelle cela le "low inoculum". Ainsi, grâce a votre masque, vous serez plus faiblement contaminé et serez ensuite immunisé au lieu de vous retrouver en réanimation ou au cimetière.

https://www.youtube.com/watch?v=75iho0iNayI

*****************

Le maire de New York appelle à se couvrir le visage avec des masques "fabriqués à la maison"

Bill de Blasio a demandé jeudi soir dans une adresse aux habitants de la ville de se couvrir le visage lorsqu'ils sortent de chez eux, une première dans la ville la plus touchée par le coronavirus aux Etats-Unis. Cependant, il ne s'agit pas de porter des masques chirurgicaux, ni FFP2. "Nous ne voulons pas que vous utilisiez les masques dont ont besoin les personnels d'urgence et les soignants, martèle-t-il, et dont il n'est pas certain qu'ils pourraient être disponibles en quantité suffisante jusqu'à la fin de la pandémie". Retrouver tous les articles, interviews et décryptages de "l'Obs" sur le coronavirus : https://bit.ly/coronavirus-lobs

*******

La démagogie de la Gauche: «le réduit national ne fonctionne pas» contre le coronavirus

Cenator

Comme l’a dit Viktor Orban : « Le temps n’est plus à faire des politesses. »
Nous avons appris par une télévision hongroise qu’actuellement, sur les tarmacs en Chine, des négociateurs de nombreux pays sont présents. Lorsqu’ils voient un gros chargement qui arrive, ils s’approchent du fournisseur et demandent pour quelle somme le lot a été vendu (masques, respirateurs, protections), puis ils doublent ou triplent le prix. Bien que le lot ait été commandé par un autre pays, certainement même payé, c’est le plus offrant qui l’emporte. Ajoutons dans ce contexte la solidarité de nos chers voisins « bilatéraux », qui ont confisqué des masques et d’autres matériels destinés à la Suisse, alors que même nos soignants en manquent. À présent que le mal est fait, et que nous sommes devenus un des pays le plus infectés au monde, on nous rassure : tout est rentré dans l’ordre, la solidarité est intacte. Les médias  continuent de travailler comme si de rien n’était. Seule compte la nécessité de faire échouer la votation à venir sur la libre circulation.

La Suisse, qui vit dans son rêve droit-de-l'hommiste et bisounours, a manqué gravement de se préparer à la pandémie ; l’establishment et les journalistes n’ont eu pour souci que la sauvegarde de leurs privilèges par les mensonges, la désinformation et la propagande habituelle.

L’origine de ce désastre se trouve dans la toute-puissance journalistique. En Suisse romande, presse, radio, TV et même la majorité des sites internet d’information générale sont aux mains des gauchistes. Toute cette crise sanitaire que nous traversons en Suisse aurait pu être grandement atténuée si nos médias n’avaient pas désinformé la population aussi gravement, si le couple « journalisme-establishment politique » avait eu le souci de servir la population au lieu de se servir lui-même.

Les journaleux de la RTS auraient dû investiguer sur l’épidémie, avec la masse des correspondants, en Chine et ailleurs, que les contribuables entretiennent.

La Mongolie et la Russie, qui ont de longues frontières communes avec la Chine, les ont fermées depuis la mi-janvier, mais tout cela n’a pas alerté les correspondants.

Alors que l’épidémie était bien présente, Heidi.news écrivait encore le 11 mars 2020, à l’instar de tous les médias officiels :
« Alors que 645 personnes sont infectées par le coronavirus et que le pays enregistre 4 décès, des voix s’élèvent pour fermer les frontières, les écoles et les universités. D’un point de vue épidémiologique, Patrick Mathys, chef de la section Gestion de crise et collaboration internationale à l'OFSP, a rappelé que la politique du «réduit national ne fonctionne pas» face au coronavirus. » (raisonnement repris également par le Temps).

Jadis, le Réduit national était un des symboles du génie et de l’esprit d’indépendance de la Suisse, une réalisation source de fierté.
De nos jours, grâce au travail de sape de la gauche, cette réalisation est regardée comme un symbole d’une Suisse renfermée, ridicule, qui se cramponne à sa sécurité inutilement.

Aucun autre son de cloche n'est audible. Cette situation résulte du fait que l’information n’a d’autre but que de servir les idées chéries de l’establishment et de la RTS.

Tout ce beau monde fonctionne en cercle fermé. Par exemple, Paul Ackermann, rédacteur en chef du site « d’information » Heidi.news, a été formé par l’Hebdo, puis a travaillé pour 20minutes.fr, pour LeFigaro.fr, puis pour le Huffington Post, ainsi que pour le groupe Le Monde ;

Alain Rebetez a aussi un long parcours de journaliste de gauche, de l’Hebdo à la RTS, du Matin à Heidi.news ;

etc.

L’empire de la gauche médiatique est déjà extrêmement puissant en France, voire tout-puissant en Suisse. Ses ramifications mènent à tous les destructeurs de l’Occident, comme l’Open Society de Soros, à des ONG de tout poil, aux incontournables professeurs d’universités romandes et parisiennes, auxquels la RTS et la presse romande se réfèrent constamment.

Des vases communicants continuels sont à l’œuvre entre la RTS, les autres médias, le monde de l’enseignement et le monde politique. Ces piliers, en unissant leurs forces, ont pu imposer, mine de rien, leur vision du monde à la société tout entière.
Tous les autres sont écartés des micros et taxés de populisme ou d’extrême droite.

C’est dans ce contexte de vérité monochrome que des mensonges ont été débités sur cette « mauvaise grippe qui ne tue que les vieux et les malades »... jusqu’à l’explosion de la pandémie.

A présent, personne n’est responsable de ce qui nous arrive. Le ministre français Édouard Philippe continue de dire : « Je ne laisserai personne dire qu’il y a eu du retard sur la prise de décision du confinement ».
En Suisse, les masques seraient encore inutiles, étant introuvables, tout comme l’eau et le savon seraient suffisants puisque les solutions désinfectantes pour les mains sont en rupture de stock. Le manque d'anticipation des autorités responsables est totalement nié, par exemple à Forum du 31.3 par Brigitte Rorive, directrice des finances des HUG (10:47).

*

À l’inverse, certains pays, pleinement affranchis de la bien-pensance, ont agi tout autrement.

Par exemple, la Hongrie. Cette dernière a introduit le 4 mars, avant tous les autres pays européens et dès l’apparition du premier cas de coronavirus sur son territoire, des mesures pour contrer la propagation du virus. Orban a établi un cadre juridique pour cette période d’exception, mis sur pied une task force chargée de coordonner les stratégies appliquées dans les domaines des hôpitaux, de l’économie, de la communication avec la population, etc.

Une semaine plus tard, le 11 mars, « l’état de danger » a été décrété, avec fermeture des frontières, limitation drastique des réunions, des mouvements, tandis que des démarches étaient menées auprès de la Chine pour acquérir des respirateurs, masques et autres articles indispensables à la protection de la population.

Résultat : le 30 mars 2020, 300 personnes sont infectées en Hongrie, 15'000 en Suisse, 44'000 en France : la différence de prise en charge se voit dans les chiffres !

Malgré cela, les médias occidentaux s’en tiennent à leurs rengaines habituelles sur la Hongrie constamment diabolisée, et ses mesures de prévention sont devenues un nouveau prétexte pour fustiger Orban :

La Hongrie […] entre en confinement partiel à partir d’aujourd’hui […] et le matin, les magasins sont réservés aux personnes âgées. Le Premier ministre nationaliste Viktor Orban s’apprête à faire voter par sa majorité une loi controversée qui lui donnerait les pleins pouvoirs pour une durée illimitée, et ce malgré les critiques du Conseil de l’Europe, du Parlement européen et de nombreuses organisations des droits de l’homme. À Budapest, une correspondance de Florence La Bruyère :
Viktor Orban profite-t-il de la pandémie pour prendre les pleins pouvoirs ? Grâce à cette loi, son gouvernement pourra légiférer par décrets, sans aucun contrôle du Parlement […] et aucune élection ni référendum n’aura lieu pendant cette période. […] Pour les partis d’opposition, qui ont demandé en vain qu’une date limite soit incluse dans la loi, il s’agit d’un véritable putsch. Depuis dix ans, Viktor Orban a orchestré un recul massif des droits de l’homme en Hongrie. […] « Ce n’est pas l’épidémie que Viktor Orban veut éliminer, c’est la démocratie », dénonce l’opposition.

(RTS, journal de 08:00, samedi 28.03.2020 : 1:56:00 - 1:57:20)

*

En Suisse, Stéphane Montabert a avisé la population dès le 12 février, sur son blog et sur notre site, du désastre Covid-19 qui nous pendait au nez :  Coronavirus: l'urgent retour des frontières.
Par la suite, il a publié plusieurs articles sur la pandémie, articles très bien documentés, dépourvus de toute idéologie. L’avenir récent a confirmé qu’il avait raison sur toute la ligne.

*

12 février 2020: Coronavirus: l'urgent retour des frontières

23 février 2020: Coronavirus: le monde d'après (première partie)

25 février 2020: Coronavirus: le monde d'après (seconde partie)

01 mars 2020: Coronavirus: nouvelles du front

08 mars 2020: Coronavirus: politique de la crise

10 mars 2020: Coronavirus: la Suisse capitule

13 mars 2020: Coronavirus: Pourquoi une pandémie seulement maintenant?

17 mars 2020: Coronavirus: le pari fou de l'immunité

20 mars 2020: Coronavirus: Quand les rois sont nus

 

L’accueil de la police à Saint-Denis (93) par la diversité durant le confinement COVID-19

27 mars 2020 - Le Franc-Moisin, Saint-Denis (93): tensions "jeunes" vs police durant le confinement COVID-19
Depuis le début du confinement suite au coronavirus Covid-19, des tensions éclatent dans plusieurs cités de Seine-Saint-Denis. Jeudi 26 mars 2020, dans la soirée c’est dans le quartier du Franc-Moisin à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) que le ton est monté, aux alentours de 00h.
Selon une source policière, « une vingtaine d’individus ont tendu un piège aux forces de secours et de police en dressant un guet-apens. Ils ont mis le feu à une voiture pour les forces de l’ordre qui se déplacent. Les pompiers et les policiers ont été la cible de jets de projectiles et de tirs de mortiers, une fois sur place ».

La vérité sur le Directeur général de l’OMS, d’extrême gauche, Tedros Adhanom Ghebreyesus (vidéo en 2 parties, sous-titrée en français)

 

Si les sous-titres ne s’affichent pas, veuillez les activer en cliquant sur le pictogramme.

*****

Plus d’infos sur László Toroczkai:

Après la débâcle du parti Jobbik, associé actuellement avec la Gauche hongroise, László Toroczkai a formé un nouveau parti, le "Mi Hazánk" (Notre Patrie), qui avait dans son  programme, lors des élections au Parlement Européen de 2019, le Hunxit, à savoir que la Hongrie quitte l’UE.

L. Toroczkai : « Si les Quatre de Visegrád arrivent à rester forts et unis, alors il y a de l’espoir pour que l’Union européenne survive ». A ne pas manquer !

«Tous dans le même panier» : une commune hongroise interdit burqas, mosquées … et propagande gay

 

 

Un tout nouveau test de dépistage du coronavirus en 15 minutes voit le jour en Belgique

Publié le mercredi 25 mars 2020

Le laboratoire Hospitalier Universitaire de Bruxelles (LHUB-ULB) vient d'annoncer avoir développé un test de diagnostic permettant de détecter en 15 minutes la présence du virus SARS-COV-2 chez les patients présentant une infection sévère.

Venant s'ajouter aux tests de biologie moléculaire classiques, pas encore assez nombreux et relativement longs, utilisés en laboratoire, ce nouveau test marqué CE devrait être disponible la semaine prochaine.

Il s’agit d’un test "antigénique", ce qui signifie qu'il va réagir aux antigènes (les protéines virales) et les détecter à partir du prélèvement respiratoire naso-pharyngé du patient.

Pour mettre au point ce test, le LHUB-ULB a travaillé en étroite collaboration avec la société Coris Bioconcept (www.corisbio.com) basée à Gembloux, et avec le soutien du Centre National de Référence Pathogènes Respiratoires, ainsi que plusieurs partenaires européens.

Basé sur le principe de l'immunochromatographie

"Ce test de diagnostic rapide est basé sur le principe de l'immunochromatographie (une technique sur bandelettes comparable à un test de grossesse) et permet de détecter directement les antigènes du virus dans les prélèvements respiratoires chez environ 60% des malades", annonce le laboratoire LHUB-ULB.

"Ce test montre une très bonne spécificité, nous dit le Pr Delphine Martiny, microbiologiste et responsable de la cellule coordination Covid-19 au sein du LHUB-ULB, qui a travaillé avec ses collaborateurs internes et externes (Université de Liège et KUL) à la validation de ce test. Si le résultat du test est positif, cela signifie que le virus est présent dans l’échantillon respiratoire du patient. Par contre, si le résultat du test est négatif, des tests complémentaires sont nécessaires. Formulé autrement, on peut dire que 60 % des patients qui sont infectés par le virus auront un résultat positif."

A qui s'adresse ce test? "Dans notre stratégie diagnostique, il s’adressera à l’ensemble des patients suspects d’infection à COVID-19 se présentant aux services des urgences", nous répond la microbiologiste.

Quelle est sa place parmi les autres tests?

A savoir quelle est sa place parmi les autres dépistage et quel est son intérêt? "Il s'agit d'un test qui devrait être utilisé en première intention sur les échantillons naso-pharyngés reçus au laboratoire pour diagnostic de COVID-19, nous dit le Pr Martiny. Réaliser ce test rapide en première intention nous permettrait en effet d’éviter des tests de biologie moléculaire inutiles pour tous les échantillons se révélant positifs. Outre leur long délai de réponse, ces tests de biologie moléculaire ont le désavantage de nécessiter du personnel spécialisé et des instruments plus sophistiqués.

Le test rapide fournissant un résultat endéans 15 minutes, il permettra, pour 60 % des patients infectés et nécessitant une hospitalisation, de prendre directement la décision, par exemple, de les diriger dans les unités dédiées à la prise en charge des patients atteints de Covid19, ce qui est un gros avantage en termes de prise en charge de ces patients ".

Suite à l’évaluation clinique réalisée chez plusieurs centaines de patients suivis dans ces hôpitaux ou au CHU de Liège, ce test a été certifié par les autorités sanitaires belges. Des milliers de tests de ce type sont actuellement en production.

Le laboratoire Hospitalier Universitaire de Bruxelles (LHUB-ULB) assure les activités de médecine de laboratoire des Cliniques Universitaires de Bruxelles hôpital Erasme et des hôpitaux du réseau Iris (Institut Jules Bordet, CHU Brugmann, Hôpital des Enfants Reine Fabiola, Hôpitaux Iris Sud, CHU Saint-Pierre), qui devraient mettre en pratique ce test tout prochainement.

source: https://www.lalibre.be/planete/sante/un-tout-nouveau-test-de-depistage-du-coronavirus-en-15-minutes-voit-le-jour-en-belgique-5e7b443b7b50a6162bba611a

Coronavirus : éléments simples pour survivre

Publié le 22 mars 2020 - par - Riposte Laique

À certains esprits chagrins (heureusement très peu nombreux) qui m’accusent de donner des faux conseils, je leur dis que je ne fais que reprendre des informations que j’ai trouvées dans des livres et/ou sur Internet et qui sont à disposition libre du public. Je ne donne pas de conseils, j’informe. Évidemment, cela suppose beaucoup de temps consacré à rechercher les bonnes informations. Je ne suis qu’un transmetteur d’idées, je n’invente rien et ne me targue d’aucun titre médical. J’ai simplement une assez longue expérience de ces produits que j’ai souvent expérimentés pour moi-même ou pour mes proches ou amis.

Quant à vos remarques concernant Voltaire, j’étais au courant de ces informations contradictoires mais je pensais tout simplement vous dire que je suis pour le droit à la liberté d’expression la plus totale.

Louis Pasteur aurait été le plagiaire de Jacques Antoine Béchamp (médecin-pharmacien-chimiste et découvreur des « microzymas » – 1816-1908) dont il a combattu les idées toute sa vie pour reconnaître avant de mourir que Béchamp avait raison.

Pasteur a émis une hypothèse fausse quand il a déclaré qu’il faut s’attaquer aux problèmes des infections en éradiquant le microbe. Car contrairement à cela, c’est le terrain qui est la base de l’infection et non les bactéries ou les virus eux-mêmes.

« Le microbe n’est rien ; le terrain est tout », citation de Claude Bernard, éminent professeur de médecine contemporain et opposé à Pasteur.

Aujourd’hui, avec cette pandémie non contrôlée ni combattue à la racine par la médecine allopathique (officielle), on en déduit que Claude Bernard avait raison.

Partant de ce principe, on comprendra aisément que le renforcement du système de protection individuel appelé système immunitaire sera l’objectif prioritaire pour combattre ce Coronavirus. Seul ce système de protection est capable de tuer ce virus en attente d’un hypothétique vaccin ou d’un médicament réellement efficace et sans danger.

De nombreuses recherches sont en cours – liste non exhaustive (avec une possible voie de succès avec l’hydroxychloroquine, un dérivé de la chloroquine, un ancien médicament anti-paludique remis à l’honneur par l’éminent virologue Didier Raoult et peut-être aussi avec un concentré de l’armoise commune ou artemisia qui est également une plante antipaludéenne – expériences menées par des Canadiens).

L’Interféron Alfa 2b

Un médicament antiviral cubain a démontré son efficacité en Chine pour traiter des patients atteints du Coronavirus.

Parmi les 30 médicaments sélectionnés par la Commission nationale chinoise de la santé pour lutter contre le Coronavirus, on retrouve un antiviral cubain : l’Interféron Alfa 2b. Ce médicament est produit en Chine depuis 2003 par l’entreprise cubano-chinoise ChangHeber.

Plus de 1 500 Chinois ont été traités avec succès avec ce produit.

*L’Interféron Alfa 2b a démontré son efficacité contre les virus présentant des caractéristiques similaires à celles du Covid-19. Ce médicament permet d’éviter les complications et la multiplication des symptômes chez les patients. Il ne s’agit donc pas d’un vaccin, mais d’un médicament servant à atténuer la gravité de la maladie. Jusqu’à présent, plus de 1 500 Chinois ont été traités avec succès avec ce produit. Plus de 15 pays ont déjà demandé à Cuba le droit de recourir à ce médicament, déjà utilisé au Venezuela, au Panama et au Costa Rica.

C’est en 1981 que Cuba a développé et utilisé pour la première fois des interférons (protéines naturellement produites par les cellules de notre système immunitaire) pour stopper une épidémie mortelle de virus de la dengue. L’isolement de Cuba voulu par les USA a forcé ce pays à effectuer des recherches médicales sur des produits naturels efficaces, par manque de médicaments, avec des résultats très encourageants et souvent supérieurs aux recherches conventionnelles américaines. Le potentiel humain en matière de recherche était présent car Cuba possède un haut niveau de culture parmi la population.

Mais en attendant, ce sont des centaines de personnes qui perdent la vie chaque jour. Et il faut réagir très vite.

Le virus est le plus petit de tous les agents pathogènes. Il se compose d’un filament d’acide nucléique protégé par une enveloppe protéique. Il ne dispose donc pas d’un métabolisme propre et n’est pas en état de se reproduire de manière autonome, comme les bactéries : il a absolument besoin de la cellule d’un organisme vivant, l’hôte.

N’étant pas protégées par la peau, nos muqueuses – celles, par exemple, de nos voies respiratoires – sont les cibles privilégiées des attaques virales. Le virus s’accroche à une cellule, y pénètre, envoie son matériel génétique, forçant la cellule à le répliquer, à produire elle-même d’autres virus.

Les virus n’étant pas des cellules comme les bactéries, ils ne peuvent être éliminés de la même manière que celles-ci. Les antibiotiques n’agissent pas sur les infections virales (sauf dans certains cas précis liés par exemple à la pneumopathie – justement cas du Coronavirus ; pour cette raison le professeur Raoult a associé, dans un test récent de traitement par hydroxychloroquine, un antibiotique spécifique).

Le Coronavirus est un virus à structure ARN. Il est possible que les rayons ultraviolets du soleil UVA et UVB « cassent » ou modifient en quelque sorte cette structure (une société allemande travaille sur un vaccin en utilisant les modifications d’ARN ; Trump a voulu racheter très cher le brevet exclusif pour les USA). Cela pourrait laisser entendre que cette pandémie s’atténuerait à partir de l’été. Donc ce n’est pas tant une question de chaleur que de soleil, même si les deux sont souvent liés.

Cela, bien entendu au conditionnel car en principe les virus ne meurent qu’à partir d’une température de 60 degrés. Mais la chaleur pourrait ralentir leurs déplacements. Cependant, on constate par exemple que le Maroc ou l’Algérie commence à subir de plein fouet cette pandémie, or le climat de ces deux pays est beaucoup plus chaud qu’en France, sans parler d’autres nombreux pays également plus chauds dans lesquels ce virus est maintenant bien présent (par exemple l’Espagne).

Je vous propose donc de continuer le tour d’horizon des différentes options possibles.

Avertissement : ces indications ne permettent nullement de tuer le Coronavirus mais de fortifier votre organisme afin de mieux lutter contre lui. Certains, par exemple affirment que l’ail peut tuer ce virus. Cela n’est pas juste.

L’ail va contribuer à augmenter votre résistance générale même s’il est reconnu comme étant un puissant virucide et bactéricide.

Les plantes qui augmentent la résistance de votre système immunitaire : Gingembre – ail – citron – cannelle – l’échinacée pourpre – thym – sureau noir – réglisse.

Le gingembre : améliore le système circulatoire en élargissant les artères, activant la circulation du sang et réchauffant le corps en entier. Il active également la transpiration, donc particulièrement indiqué si on a de la fièvre. On utilise principalement sa racine fraîche ou séchée, découpée, hachée ou en poudre. À associer avec du mille-feuilles ou de la fleur de sureau

L’ail : cette plante est connue depuis des temps forts anciens. Formidable plante antivirale et anti-bactéries

Sureau noir : action antivirale directe – empêche la duplication des virus

Échinacée pourpre ou angustifolia : forte action antivirale – canalise la fièvre – à combiner avec le sureau noir (teinture-mère de racines fraîches de préférence) – déconseillée aux jeunes enfants. Cette plante nous vient des Amérindiens qui l’utilisent depuis des centaines d’années

Réglisse – renforce la respiration – antivirale à associer avec du thym – du citron et de la cannelle. La réglisse est déconseillée aux insuffisants cardiaques ou hypertendus.

Les huiles essentielles anti-virales : (les plus puissantes)

Eucalyptus radiata et globulus – estragon – girofle – anis vert – origan – ravinstara

huiles essentielles anti-déficience immunitaire

cannelle de Chine – niaouli – origan – sarriette

voir le docteur Jean-Pierre Willem – meilleur spécialiste en huiles essentielles

Le microbiote et les prébiotiques :

 

« L’homme sage est celui dont l’intestin fonctionne bien » – Siddhārtha Gautama fondateur du bouddhisme

Le microbiote (anciennement appelé la flore intestinale) est absolument essentiel au bon fonctionnement du corps humain. Il est constitué de 100 milliards de bactéries qui occupent pour la plupart l’intestin grêle et le gros intestin. On en trouve également dans l’estomac et l’œsophage mais en quantité moindre. L’estomac possède un PH de 2, c’est-à-dire extrêmement acide. Quelques bactéries parviennent cependant à survivre dans ce milieu très hostile.

Ces bactéries représentent un poids de 2 kg environ ! Ce sont elles qui vont permettre au corps de fonctionner parfaitement. S’il y a déséquilibre de ce microbiote, la maladie s’installe. Les scientifiques sont désormais convaincus que l’on pourrait assimiler ce système à un deuxième cerveau à l’être humain tant son importance est grande.

L’alimentation est la base de son bon fonctionnement. Et par conséquent de la possibilité de lutter contre toute incursion de toutes bactéries ou virus pathogènes. Je vous laisse regarder sur internet la description d’une alimentation idéale pour entretenir ce microbiote.

La glutamine est l’élément clé son fonctionnement. On en trouve facilement sur internet sous forme de poudre ou gélules pour les personnes désireuses de renforcer ce microbiote. On peut parler également des yaourts. Il faut tout faire pour conserver des intestins en bonne santé et notamment dont la paroi ne fuit pas car dans ce cas, une barrière intestinale trop perméable est la cause de nombreux dérèglements dont certains très graves. Le syndrome de l’intestin qui fuit est la cause de nombreux problèmes de santé.

Docteur Stéphane Résimont – médecine fonctionnelle

 

Professeur Joyeux : https://professeur-joyeux.com/2014/08/06/role-immunitaire-intestin/

Face à la pénurie de masques orchestrée par ce gouvernement de criminels, on peut réutiliser les masques qui ont déjà servi. C’est de la médecine « de brousse ». On enferme les masques contaminés dans une boîte hermétique pendant 5-6 jours, au sec, et les virus sont tués ! Deuxième solution, on les fait chauffer à 70° pendant une heure dans un four (pas dans un micro-ondes à cause de la barrette métallique pour le nez), la texture des masques résiste très bien à la chaleur jusqu’à au moins 90°. Des médecins pratiquent ainsi car ils n’ont pas le choix. On peut également vaporiser abondamment un mélange d’eau et d’eau de javel (10 %) et laisser sécher durant 2-3 heures.

Comment porter correctement un masque FFP ?

Pour être efficaces, les masques doivent être correctement utilisés. Pour cela :

Se laver les mains

Placer le masque sur le visage, la barrette nasale sur le nez

Tenir le masque et passer les élastiques derrière la tête sans les croiser

Pincer la barrette nasale avec les deux mains pour l’ajuster au niveau du nez

Vérifier que le masque soit bien mis. Pour cela, il convient de contrôler l’étanchéité :

Couvrir la surface filtrante du masque en utilisant une feuille plastique maintenue en place avec les deux mains

Inspirer : le masque doit s’écraser légèrement sur le visage

Si le masque ne se plaque pas, c’est qu’il n’est pas étanche et il faut le réajuster

Après plusieurs tentatives infructueuses, changer de modèle car il est inadapté

Une fois ajusté, ne plus toucher le masque avec les mains

Un masque FFP mal adapté ou mal ajusté ne protège pas plus qu’un masque chirurgical.

Fabrication d’un masque :

On peut fabriquer soi-même un masque avec très peu d’ingrédients. Il y a sur internet de nombreuses vidéos d’explication. Je vous en donne une qui me paraît très simple. Vous prenez deux ou trois épaisseurs de papier genre Sopalin que vous placez l’une sur l’autre. Vous ajoutez une épaisseur qui sera à l’extérieur en papier de soie (pour les emballages délicats). Ce papier de soie à une texture très fine. Vous découpez l’ensemble selon un patron que vous aurez récupéré. Vous fixez l’ensemble avec du scotch large et vous fixez 2 élastiques.

Bien entendu ce masque n’aura pas la capacité de filtration d’un masque FFP2 ou FFP3 mais c’est mieux que rien. Il faut savoir que les masques FFP2 ou 3 ont une porosité de 0,6 micron. Or le Coronavirus mesure 0,1 micron. Donc a priori il devrait passer au travers mais il est projeté sur forme de gouttelettes beaucoup plus grosses. Difficile d’évaluer la porosité du papier de soie mais je dirais environ 2-3 microns. Vous avez également les sacs aspirateurs de type HEPA ou ULPA et beaucoup d’autres choses. Ensuite vous vaporisez le masque de fortune avec par exemple de l’argent colloïdal (qui tue 650 espèces de bactéries et de virus en moins de 5 minutes) et/ou bien quelques gouttes d’huile essentielle de ravinstara ou d’eucalyptus radiata.

Le jeûne :

Le jeûne est sans doute l’une des plus anciennes approches d’autoguérison.

Même dans la nature, les animaux cessent instinctivement de manger quand ils sont malades ou blessés. Le jeûne complet consiste à s’abstenir de tout aliment (solide et liquide), à l’exception de l’eau, pendant une période plus ou moins longue dans le but de reposer, détoxiquer et régénérer l’organisme. Selon ses tenants, le jeûne contribuerait au maintien d’une bonne santé, au même titre qu’une saine alimentation, l’exercice physique et l’équilibre émotif.

Pratiquer le jeûne durant 3 jours par exemple 2 ou 3 fois par an peut être une excellente solution afin de débarrasser son corps de tous les éléments indésirables qui se sont accumulés.

Je vous renvoie vers internet où vous trouverez quantité d’informations sur cette pratique.

L’argile : l’argile qui guérit (presque) tout – qui tue les virus

C’est le naturopathe Raymond Dextreit (1908-2001) avec son livre mondialement connu « l’argile qui guérit », qui a popularisé l’usage de l’argile en médecine alternative. Il a parlé de l’argile en usage externe mais sa fille Micheline ainsi que le docteur Jade Allègre ont complété l’usage de l’argile en interne. Jade Allègre, tout d’abord naturopathe, a passé son doctorat de médecine en 2012 avec un mémoire consacré à l’argile.

(http://jade-allegrecom/publications/These_Jade_Allegre.pdf)

Cette remarquable femme médecin, dite médecin aux pieds nus, a passé une bonne partie de sa vie à se rendre chez les peuples pauvres afin de pratiquer sa science de la guérison par l’argile.

Micheline Dextreit :

https://www.youtube.com/watch?v=hoQeZxLPEWc

Jade Allègre :

https://www.youtube.com/watch?v=uEHu-8b5WfI

Devenez géophage, mangez de l’argile :

https://www.alternativesante.fr/argile/devenez-geophage-mangez-de-l-argile

Jade Allègre nous rappelle que depuis l’avènement des animaux et des hommes sur terre, ceux-ci ont toujours consommé de l’argile. Intervention passionnante de ce médecin.

La liste des éléments qui peuvent fortifier votre organisme afin de mieux combattre ce virus peut être encore longue, je vous renvoie à d’autres recherches. Merci de me faire part de vos remarques et observations.

Jean Gautier

Source: https://ripostelaique.com/coronavirus-elements-simples-pour-survivre.html

*****

*L’Interféron B est utilisé par exemple pour la sclérose en plaques et l'hépatite B virale chronique. C'est un traitement coûteux.

Un docteur français de Wuhan explique pourquoi il faut «un arrêt complet» de la France pendant 2 semaines

22.03.2020

Le docteur Philippe Klein, directeur français d’une clinique de Wuhan, ville qui a vu apparaître les premiers cas de Covid-19, a indiqué que la France ne prenait pas de mesures assez drastiques pour enrayer l’épidémie. Selon lui, il faudrait «un arrêt complet du pays» pendant au moins deux semaines.

Tandis que les mesures se font de plus en plus strictes en France face au Covid-19, la situation semble nettement s’améliorer en Chine, où aucun nouveau cas n’a été identifié en trois jours consécutifs. Philippe Klein, médecin français et directeur d’une clinique internationale à Wuhan, a affirmé à France Info que les mesures en place dans l’Hexagone n’étaient pas assez sévères.

«Nous devons faire comme les Chinois, c'est-à-dire que sur une période de quinze jours, il faut un arrêt complet du pays. Plus de transports en commun, un contrôle des frontières, un confinement strict des personnes et pendant cette période, identifier toutes les personnes présentant le virus et toutes les personnes en contact», a-t-il conseillé.

Il estime par ailleurs qu’il est possible d’enrayer l’épidémie en quatre semaines, prenant à nouveau l’exemple de la Chine: ils «ont pris le taureau par les cornes, ils ont pris des décisions drastiques mais indispensables et qui ont permis sur une période de quatre semaines d'arrêter l'épidémie».

D’autres exemples à suivre

Le docteur Klein a cité les exemples de l’Allemagne et de la Corée du Sud, «qui ont utilisé énormément de tests, qui ont dépisté pour isoler les personnes présentant le virus». Il a également évoqué le Japon, qui a limité les dégâts en menant des enquêtes approfondies sur les premières personnes atteintes dans les clusters sur son territoire. La France a donc de quoi s’inspirer pour mieux s’attaquer à l’épidémie.

Une conversation avec Emmanuel Macron

Le docteur affirme également avoir fait part de son expérience au chef de l’État. «Je lui ai expliqué point par point ce qui s'est passé ici, à l'épicentre de l'épidémie. Avec une certitude: celle que maintenant, elle est terminée ici et que la France se retrouve au même niveau que la Chine au début du mois de février», a-t-il précisé à France Bleu. Il espère qu’Emmanuel Macron suivra ses conseils pour ses prochaines décisions.

Plusieurs villes ont déjà décidé d’aller au-delà des mesures du gouvernement, notamment en instaurant un couvre-feu. L’Assemblée a durci les sanctions en cas de violation des règles de confinement, l’amende s’élevant à 1500 euros en cas de récidive.

Depuis plusieurs jours, la France fait face à une constante progression du nombre de cas de Covid-19, avec notamment une augmentation de 20% des décès entre vendredi 20 et samedi 21 mars. Le bilan s’élève désormais à 562 morts sur le territoire, avec 6172 personnes hospitalisées, dont 1525 en réanimation.

source: https://fr.sputniknews.com/france/202003221043357668-un-docteur-francais-de-wuhan-explique-pourquoi-il-faut-un-arret-complet-de-la-france-pendant-2/

Témoignage d’un Français, sur Youtube, sur la situation en Chine

La Chine n'a pas arrêté le confinement, elle l'a allégé. Mon cousin habite en banlieue de Pékin depuis 14 ans, marié à une Chinoise.

TOUS les Chinois portent un masque dans la rue depuis 2 mois, et quasiment tous des gants jetables.

Le couvre-feu est appliqué avec rigueur. La moitié des commerces restent fermés, les distances de sécurité sont toujours appliquées dans les rues. Tout contrevenant est placé en isolement, puis en détention, sanction passible de 2 ans de prison sans jugement.

L'activité économique reprend à hauteur de 30% cette semaine, 60% la semaine prochaine et si tout va bien à 100% fin avril.

Les frontières resteront fermées à tout étranger jusqu'à fin juin minimum.

Je suis désolé de le dire, mais seuls les pays à régime autoritaire avec un système sanitaire adéquat vont s'en sortir rapidement... Quant aux autres, bon courage jusqu'à Noël.

 

Source : commentaire de Darth Vilanus (20.03.2020) à cette vidéo.

 

Covid-19: fact-checking des vidéos venant de Chine

Coronavirus en Chine : les vidéos décryptées

Début 2020, lors de l’épidémie de coronavirus en Chine, de nombreuses vidéos ont émergé des réseaux sociaux chinois avant d'être relayées sut Twitter ou Facebook. Elles montrent les conséquences de l’épidémie apparue à Wuhan et les mesures exceptionnelles prises pour l’endiguer : zone de confinement la plus importante de l’histoire de l’humanité, mises en quarantaine forcées, hôpitaux débordés par le nombre de malades et de morts... Le plus souvent, ces vidéos sont dépourvues de date, de lieu ou même d’auteur. Certaines se révèlent trompeuses. « Le Monde » a voulu vérifier la fiabilité de plusieurs d’entre elles, représentatives de l’ensemble, et y apporter des éléments de contexte. Analyse en vidéo.

 

Alcool ménager (éthanol dénaturé et méthanol) et chlore : la désinfection contre le coronavirus en Chine

Cenator : Il y a deux mois, nous aurions déjà pu prendre conscience de la gravité de ce virus lorsque nous avions vu des images, venant de Chine, présentant des camions munis de canons désinfectants ainsi l’instauration d’un blocus stricte. Jamais à ma connaissance, la Chine n’a réagit avec un telle vigueur.

Ainsi, il était prévisible que la Suisse serait bien mois préparée à une telle épreuve ; le temps passant et le premier article de Stéphane Montabert ont confirmés ces craintes.

Stephan Montabert a écrit le 12 février 2020 :Coronavirus: l'urgent retour des frontières

« Beaucoup de gens vont mourir du Coronavirus. Mais aussi de l'incompétence des politiciens.

La pandémie originaire de Wuhan effraie et se répand de jour en jour. Le virus est plus rapide que les bureaucrates en charge de l'endiguer.

Depuis le début de l'épidémie en décembre, le foyer infectieux a pris de l'ampleur [...] »

 

Nos autorités, nos spécialistes auraient dû réagir d’une manière adéquate, en fermant à temps nos frontières, limier les transports à l’indispensable, faisant des stocks (de solutions désinfectantes, de masques et de gants, équipements en suffisance pour soins intensifs).

Comme la Chine craignait également une pénurie pour elle-même et que tout se fabrique en Chine, il aurait fallu agir vite.

Tous ceux qui ont persisté à parler de « grippette », du faible taux de mortalité du virus, et d’autres avis d’ « experts » devraient être traduits en justice ; il n’y a pas d’excuse à cela.
Lorsque l’on ne sait pas, on la ferme… et lorsque l’on est grassement payé pour l’ouvrir, on pèse ses mots. L’immunité de ces gens devrait cesser.

La RTS a encore essayé récemment (Infrarouge du 18.03 https://www.rts.ch/emissions/infrarouge/11170263-soiree-speciale-coronavirus.html   « Soirée Spéciale Coronavirus » ) de minimiser les dangers de propagation en racontant que de simples protections suffisent, s’il y a 1 ou 2 mètres de distance.

Dans les magasins de Suisse Romande : seul l’alcool comestible est disponible, alcool en trop faible concentration pour désinfecter.
Il est trop tard pour courir les pharmacies pour trouver de l’Ethanol.
L’eau de Javel est difficile à trouver.
Le gel désinfectant et les masques, gants, n’en parlons pas.
Les masques filtrant les virus, n’en rêvons pas.

Un bout de tissus serré autour de la bouche, c’est mieux que rien. Mais il ne faut pas oublier que lors de la Convention Chrétienne à Mulhouse, être simplement dans une salle avec 2500 personnes (où les gens respiraient, éventuellement toussaient) a permis d’infecter des centaines de personnes. Il ne suffit pas d’éviter les postillons, le virus, infiniment petit, nécessite de se protéger la bouche, le nez et les yeux.

*****

Le journal russe MK (Moskovski Komsomolets) a interviewé une habitante de Harbin – l’ancienne capitale russe de la Mandchourie – où jusqu’il y a peu la ville était en zone rouge à cause du coronavirus. Tujara Savvina explique comment se passait la désinfection et avec quels moyens pratiques les Chinois ont vaincu le coronavirus.

MK : Lors du pic de l’épidémie, les rues chinoises étaient traitées avec un mélange spécifique. Quel était-il ?

Touyara Savvina (TV) : Des véhicules ad hoc propageaient un mélange désinfectant. Je ne peux pas en donner la composition, mais l’odeur rappelait le chlore. Et les rues étaient couvertes d’une couche blanche, donc je pense qu’ils désinfectaient au chlore.

MK : Les entrées d’immeubles aussi ?

TV : Les entrées d’immeubles et les ascenseurs étaient lavés au chlore. Ça sentait, comme dans un hôpital.

MK : Avec quelle fréquence vous laviez-vous les mains ?

TV : À chaque fois qu’on rentrait du dehors. Et on les passait au gel hydroalcoolique. Il était souhaitable de se laver le visage aussi.

MK : L’une des règles principales, ne pas se toucher le visage pour que le virus n’entre pas par les muqueuses…

TV : Oui, on ne se touchait pas le visage.

MK : C’est difficile ?

TV. On s’y habitue. On y arrive.

MK : Vous stérilisiez aussi les vêtements pour l’extérieur ?

TV : Non, on les mettait s’aérer sur le balcon. Puis on les ramenait dans l’entrée et on les remettait pour sortir.

MK : Et pour les chaussures ?

TV : On passait les semelles au chlore.

MK : Et pour les produits achetés au supermarché ?

TV : Dès qu’on rentrait, on lavait à l’eau chaude les emballages, puis on frottait ça à l’alcool ménager.

MK : Et les poignées de portes ?

TV : Celles qu’on touchait après être allés dehors, à l’alcool ménager. N’oubliez pas de faire pareil avec les téléphones.

MK : Si vous touchiez quelque chose dehors, vous étiez gantés ?

TV : Oui, toujours en gants. Quand il faisait froid, on mettait les gants en latex par-dessus les gants, ensuite on n’a mis que des gants en latex. À usage unique, évidemment.

MK : Avez-vous des antiseptiques particuliers ?

TV : Tous les gens de notre ville se sont faits donner une bouteille d’alcool médical. Soit c’est le maire qui a donné, soit le directeur de la distillerie.

MK : À utiliser pur ou dilué ?

TV : Pur, quelle est l’utilité d’un alcool dilué ? Une bouteille d’un litre pour un mois suffit amplement.

MK : Qui étaient ces gens qui assuraient l’ordre dans les rues et mesuraient la température ?

TV : Les gens avec les brassards rouges, ce sont des volontaires, des habitants. En Russie on les appellerait des responsables de section d’immeubles. Les concierges et les gardiens s’y sont mis.

MK : Les masques ont connu une pénurie en plein pic de l’épidémie. Qu’avez-vous fait ?

TV : Les masques ont été en pénurie dès le début de l’épidémie. On n’en avait que 50, quand le dernièr a été utilisé, on les a lessivés et on les repassait. Tout ce qui était lié à la désinfection manquait : le chlore, les produits pour laver, le savon a été dévalisé, surtout celui anti-bactérien.

MK : Que mangiez-vous pour améliorer l’immunité ?

TV : On buvait du thé au gingembre râpé, au citron et au miel.

Traduit par Louis-Benoît Greffe

[cc] Breizh-info.com, 2020, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine – V

L’Italie dépasse la Chine en nombre de décès

20min.ch, 19.03.2020, 18:19 heures

L'Italie a dépassé jeudi soir la Chine pour le nombre de morts du coronavirus, avec 427 décès en 24 heures pour atteindre un total de 3405, selon un décompte de l'AFP à partir de chiffres officiels.

L'Italie devient donc le premier pays pour le nombre de morts dus à l'épidémie de Covid-19 devant la Chine (3245), l'Iran (1284) et l'Espagne (767). L'Italie avait recensé officiellement ses deux premiers morts le 22 février.

18:17 heures

Roche: pénurie de production pour les tests de coronavirus

Le nombre de tests de coronavirus actuellement disponibles ne suffit pas pour mettre en oeuvre les recommandations de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) pour un dépistage à large échelle, selon l'industrie pharmaceutique. «La demande dépasse l'offre de loin», a indiqué le patron du colosse bâlois Roche, Severin Schwan, jeudi lors d'un point presse virtuel de la faîtière IFPMA.

«Il est important que les tests soient dans dans un premier temps destinés pour les patients à risque et ceux présentant des symptômes de la maladie. Les tests à grande échelle ne sont simplement pas possibles», a-t-il assuré.

18:09 heures

Trump en veut à la Chine

Donald Trump a estimé jeudi que le monde payait «le prix fort» pour la lenteur initiale de la Chine à transmettre des informations sur le nouveau coronavirus.

«Cela se serait beaucoup mieux passé si on avait su tout cela quelques mois plus tôt, cela aurait pu être contenu dans une région de Chine d'où c'est parti», a dit le président des Etats-Unis, employant une nouvelle fois la formule controversée «virus chinois».

article complet:

 

vidéo: Une longue colonne de camions militaires a parcouru les rues de Bargame dans la nuit de mercredi à jeudi. Les poids-lourds transportent des corps des victimes du coronavirus qui ne trouvent plus place au crématorium. Les délais pour les crémations sont devenus trop longs, Les corps, une soixantaine, ont donc été transférés à Modène, dans le Frioul (nord-est), ou encore au Piémont.
******

Masques interdits, désorganisation totale, risques de contagion… Les policiers révoltés par la gestion de la crise du coronavirus

Depuis mardi midi, les policiers sont chargés de faire respecter le confinement imposé aux Français. En première ligne, ils sont interdits de porter les masques de protections et déplorent le manque d’équipement, d’organisation, d’instructions et de considération.

« Si on était vraiment en guerre, on prendrait une branlée en quelques jours ». C’est par ces mots crus qu’un commissaire entame la description de la mise en place du dispositif de confinement à l’échelle de la police nationale. Depuis mardi midi, les Français ont le devoir de rester chez eux, sauf exceptions que certains policiers jugent déjà trop nombreuses et difficiles à discerner. « Une personne âgée qui marche, un jeune qui fait de la moto ou un troisième qui fait des tractions dans la rue… tous ont l’excuse du sport, c’est sans fin », décrit l’un d’entre eux après deux jours de contrôles. Concrètement, ils ne savent pas comment fixer la limite, ni même comment gérer ces amendes qu’ils sont désormais chargés de distribuer. D’habitude, tout se fait électroniquement, mais le logiciel n’a pas été mis à jour avec cette infraction. Résultat, ils remplissent des PV blancs « au doigt mouillé ». « C’est dramatique, on a aucune instruction, aucun matériel, rien. On se démerde », décrit l’un d’eux. A Paris, c’est même la mairie qui s’est étonnée de l’hésitation dont faisait preuve la préfecture de police. Mardi, le confinement commençait à midi. Le « plan de continuité de l’activité » est arrivé à 14h30, et le PV de verbalisation à 20 heures… Pas moyen de verbaliser avant ! Mardi soir, les autorités ont compris que la sensibilisation n’avait pas fonctionné, ils ont passé l’amende de catégorie 1 à 4, et les policiers ont commencé à faire leur travail.

Ils regrettent que le Président n’ait pas eu un mot pour eux, qui sont pourtant en première ligne pour faire respecter cette mesure essentielle à la régulation du travail médical. Ils peinent surtout à excuser le manque de cap. Amers, la plupart ne s’en étonnent même plus. Ils ont l’habitude de continuer leur mission sans reconnaissance. Mais cette fois-ci, tous réclament un minimum de matériel afin de mener la guerre. Car eux aussi ont un problème de masques. Concrètement, ils n’en ont pas alors que leur contact avec la population est évidemment pluri-quotidien. Sans compter les mauvaises interprétations des directions départementales, qui semblent très concrètement adapter la théorie à la réalité plutôt que de dire la vérité. C’est un mail de celle des Yvelines qui a mis le feu aux poudres. Les masques sont rares, et leur usage extrêmement limité par la direction générale. Dans un mail de la direction départementale de la sécurité publique des Yvelines, cela devient :  « Je confirme les déclarations du chef d’état-major qui viennent de m’être rappelées par la direction centrale : il est absolument proscrit de porter le masque sur la voie publique ou à l’accueil du public. » Dans la bouche des policiers, il devient « interdit de se protéger ». « Le virus est dangereux pour le monde entier sauf pour les flics français ? », interroge légitimement l’un d’entre eux. Pour le moment, aucune réponse. Pendant ce temps-là, 100.000 masques vont être distribués en prison, difficile de comprendre.

Les dizaines de vidéos qui circulent déjà montrent en effet des scènes d’émeutes, de disputes ou d’affrontements avec les forces de l’ordre dans certaines banlieues de l’immigration qui ont pris l’habitude de se faire une mauvaise presse.

Et pourtant, ces masques seraient précieux sur le terrain. Depuis mardi midi, l’immense majorité des Français a compris la consigne, limite drastiquement ses déplacements et se munit de l’attestation nécessaire pour sortir. Mais il reste une petite partie de la population qui s’en fiche éperdument. « Je ne vous fais pas un dessin, ce sont toujours les mêmes populations qui nous posent problème », se lasse un policier de la banlieue parisienne. Un policier parisien raconte un échange avec des jeunes qui refusaient de rentrer chez eux : « C’est Allah qui décide quand je meurs, pas le virus. » Les dizaines de vidéos qui circulent déjà montrent en effet des scènes d’émeutes, de disputes ou d’affrontements avec les forces de l’ordre dans certaines banlieues de l’immigration qui ont pris l’habitude de se faire une mauvaise presse. Lors de ses contrôles, ce policier raconte des scènes hallucinantes : « Des jeunes continuent à sortir fumer leur chicha dehors, à plusieurs. Quand on arrive, ils font semblant d’éternuer, de tousser et nous crachent dessus. Sans gants et sans masques, vous croyez qu’on peut contraindre ces gens là ? » Sans se mettre en danger, non.

Mais le problème des masques seraient pourtant pour certains « l’arbre qui cache la forêt »

Leur véritable inquiétude vient de l’absence totale d’organisation de leur travail et des risques de contagion qui vont avec. Dès le week-end dernier, tous les policiers ont reçu l’ordre de suspendre tous les dossiers en cours. Un membre parisien de la Brigade anti-criminalité (BAC) explique : « On ne fait plus que les violences aux personnes et les pillages que génèrent cette situation. » Finis les vols, les cambriolages ou les stupéfiants. A titre d’exemple, un arrondissement parisien qui enregistre 20 à 25 gardes-à-vues par jour en temps normal était à zéro hier. Résultat ? « On se fait chier », lance-t-il sans détour. S’ils restent mobilisés, c’est parce qu’ils craignent une explosion de cambriolages alors que beaucoup d’appartements sont désertés, ainsi que des pillages de pharmacies ou de supermarchés qui encaissent en ce moment beaucoup d’argent.

Mais plus grave que l’ennui, le risque de contagion : les policiers sont encore tous présents dans les services, malgré le confinement de quelques uns qui présentent les symptômes du virus. « Le soir, on retrouve nos femmes, nos enfants, le risque c’est l’explosion de malades dans les prochaines semaines », résume-t-il. Aucun roulement n’est aujourd’hui organisé.

Le niveau de désorganisation est hallucinant

Là encore, les ordres et contre-ordres sont légions. C’est dans un commissariat de la grande couronne que l’exemple est donné : « Le niveau de désorganisation est hallucinant, entame un policier. Lundi soir, on nous demande de faire une rotation entre le chef de service et l’adjoint pour préserver les cadres d’une possible contamination en même temps. Mardi matin, on le met en place, et mardi soir, on reçoit un ordre contraire nous demandant d’être tous présents. Nos commissariats ont quasiment 100 % de leurs effectifs, sans protection, alors que les missions ne le nécessitent plus du tout. » Y’a-t-il un pilote dans l’avion ?

Sans compter les commandes de la hiérarchie, que certains peinent très largement à comprendre. Ce mercredi matin, certains commissariats ont du envoyer leur adresse, leur numéro de téléphone et leurs horaires d’ouverture. N’est-ce pas déjà su ? Pour quoi faire ? Aucune réponse.

C’est géré comme si ça allait durer trois jours. Si dans un mois, tous les policiers sont contaminés, il ne faudra pas s’étonner.

Mardi matin, jour de confinement, on leur demandait de faire remonter le nombre de procurations faites pour le premier tour des municipales, comparés à celles de 2017, et de 2014. « Comme si c’était le sujet du jour… », s’agace l’un d’eux. 

Tous comprennent qu’une telle mesure d’exception, prise très rapidement, soit difficile à mettre en place. Ce qu’ils ne pardonnent plus, c’est le manque de vision. « C’est géré comme si ça allait durer trois jours. Si dans un mois, tous les policiers sont contaminés, il ne faudra pas s’étonner. Ce serait une catastrophe, mais il serait trop tard », conclut un commissaire.

Les Hongrois qui travaillent en Occident rentrent massivement

Les Hongrois qui travaillent en Occident rentrent massivement chez eux.
Ce ne sont que ceux qui ont la nationalité et leurs familles qui peuvent rentrer. Inutile de dire qu’il y a énormément de soignants parmi ces gens qui rentrent qui vont renforcer le front contre le coronavirus... 

Mais le poste frontière de Hegyeshalom est complètement engorgé, avec 24 kilomètre d’attente, car aux Hongrois s’ajoutent tous ceux qui veulent traverser la Hongrie et il n’a pas été possible de faire passer les Hongrois en priorité.
Les Bulgares et les Roumains peuvent traverser la Hongrie à des heures fixes entre 21h et minuit. Mais la file interminable de ceux qui veulent rentrer en Ukraine, en Serbie ou en Macédoine n'en démordent pas et ils bloquent tout le monde.

Vive la solidarité européenne!

Une personne âgée qui attend depuis plus d’une journée pour franchir la frontière hongroise est en difficulté, la famille très inquiète a averti les autorités : sa voiture a rendu l’âme et son téléphone ne fonctionne plus.

Résumé Cenator

*****

******

En voyant ce qui se passe en France, on comprend aisément les Hongrois qui préfèrent rentrer chez eux :

 

En France également, les voitures des infirmières sont souvent vandalisées pour voler les masques et le désinfectant qui s’y trouvent :

https://twitter.com/anthonysarti11/status/1239857322383589382

source: https://ripostelaique.com/pillages-agressions-le-vivre-ensemble-a-lepreuve-des-faits.html

L’un des premiers patients soignés du coronavirus raconte : « Je suis passé à deux doigts de la mort »

Le directeur adjoint d’un lycée de Rhode Island, aux Etats-Unis, s’est retrouvé dans une unité de soins intensifs après avoir accompagné un voyage scolaire en Italie.

Pour contribuer à Dreuz.info en utilisant votre carte de crédit sans vous inscrire à Paypal, cliquez sur ce lien Paypal.Dreuz, et indiquez le montant de votre contribution.

Marc Thibault s’est réveillé, groggy, entouré de machines, mais il était suffisamment alerte pour savoir ce que cela signifiait lorsqu’il a levé les yeux et vu un prêtre, portant un équipement de protection, à son chevet à l’hôpital Miriam de Rhode Island.

« Oh la vache », se rappelle avoir pensé Thibault. « J’ai 48 ans et je vais recevoir mes derniers sacrements. »

[...]

« J’étais à deux doigts de la mort », a-t-il dit, la voix fatiguée. « Aucun doute là-dessus. Aucun doute là-dessus. »

Environ 80 % des cas de Covid-19 ont tendance à être légers ou modérés, et plus de 62 000 personnes dans le monde se sont rétablies. Les personnes âgées ou celles qui présentent des problèmes de santé sous-jacents sont plus exposées.

L’épreuve de M. Thibault a commencé par un voyage scolaire à l’étranger, un voyage en Europe du 14 au 22 février qui a traversé l’Italie.

[...]

Il dit que « le virus m’a frappé comme un ouragan ». Il était faible et avait du mal à respirer. L’hôpital l’a emmené aux soins intensifs, où les infirmières ont enfilé des combinaisons de type Hazmat pour entrer dans sa chambre.

Elles lui ont inséré un tube respiratoire et lui ont mis un autre tube dans la gorge pour qu’il puisse prendre des médicaments contre la pneumonie qui s’était développée dans ses poumons, a-t-il dit.

En toussant, M. Thibault a dit qu’il avait peur. Ses poumons se remplissaient de salive et les infirmières se précipitaient pour les vider, pour ensuite devoir recommencer deux heures plus tard.

« La sensation d’étouffement. C’était le pire moment », a-t-il dit. « On a l’impression de s’asphyxier, et on panique parce qu’on ne peut pas respirer. »

L’agonie a duré plusieurs jours.

[...]

 

« Ca a failli me tuer », a-t-il déclaré. « C’est alarmant quand j’entends les gens minimiser ça comme un simple rhume. C’était pas un simple rhume, pour moi ».

Pour contribuer à Dreuz.info en utilisant votre carte de crédit sans vous inscrire à Paypal, cliquez sur ce lien Paypal.Dreuz, et indiquez le montant de votre contribution.

Source : Wall Street Journal

article complet -Dreuzinfo:

***

Voir aussi ces deux autres témoignages :

Une Chinoise guérie du coronavirus raconte sa maladie

Coronavirus patient describes in chilling detail what it is really like to have disease

Coronavirus : la Chine en guerre contre la vérité

par Giulio Meotti -10 mars 2020 -Traduction du texte original: Coronavirus: China's War on the Truth

  • « L'épidémie a mis à nu la corruption, la bureaucratie, le contrôle de l'information et la censure qui sévissent dans ce pays. » - Phillip Wu, écrivain indépendant à Pékin, The Guardian, 1er mars 2020.
  • Il y a eu aussi ces journalistes et militants qui ont dit la vérité, puis qui ont été arrêtés ou ont « disparus ». Le régime chinois claironne son intention de publier un livre en six langues sur l'épidémie qui présenterait le président Xi comme le « leader à la tête d'une puissance mondiale » mais qui est aussi « proche du peuple ».
  • L'Italie a commis l'erreur fatale de faire confiance au régime chinois. Au lieu de contrôler chaque personne - Chinoise ou Italienne – de retour de Chine à partir de janvier, l'Italie a gardé ses frontières ouvertes. Des dizaines de milliers d'Italiens sont aujourd'hui en quarantaine ...
  • L'idée que le coronavirus pourrait avoir un lien avec le laboratoire de virologie de Wuhan passe pour une « théorie du complot », mais le refus de la Chine d'accepter l'aide des Centers for Disease Control des États-Unis (Centres de contrôle de la maladie) a suscité des soupçons bien naturels.

« Au train où vont les choses, la Chine est susceptible de causer des dommages importants au reste du monde, par accident ou intentionnellement », a écrit le 29 janvier Daniel Henninger, chroniqueur du Wall Street Journal .

« Le gouvernement communiste chinois ne représente pas seulement une menace existentielle pour ses 1,4 milliard de citoyens, mais aussi pour le reste du monde » a écrit le 20 février le célèbre historien Victor Davis Hanson.

Selon The Sunday Times,

« à la fin du mois de décembre, les laboratoires chinois ont identifié un mystérieux virus qui s'est avéré être un nouvel agent pathogène hautement infectieux. Mais ordre leur a été donné d'arrêter les expérimentations, de détruire des échantillons et de supprimer toute information à ce sujet, a révélé un média chinois.

« A Wuhan, centre de l'épidémie, un responsable régional de la santé a exigé la destruction des échantillons de laboratoire qui ont été à l'origine de la pneumonie virale inexpliquée du 1er janvier. La Chine n'a reconnu la transmission interhumaine que plus de trois semaines après qu'elle ait eu lieu.

« Caixin Global, une très respectée publication indépendante, a apporté la preuve éclatante qu'une dissimulation de grande ampleur a eu lieu dans les premières semaines de l'épidémie, au moment précis où il était encore possible de la contrôler. »

Dans un discours prononcé le 31 décembre 2019, Xi Jinping a annoncé triomphalement l'arrivée d'une année « qui sera d'une importance fondamentale dans la réalisation des objectifs de ce premier centenaire ».

« La censure. Elle peut avoir des conséquences mortelles », a déclaré le secrétaire d'État américain Mike Pompeo le 25 février. « Si la Chine avait autorisé ses journalistes et ses professionnels de santé à parler et à enquêter librement, les autorités chinoises elles-mêmes et les gouvernements étrangers auraient été mieux préparés à relever le défi ». Malheureusement, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a fait le contraire et a « félicité » la Chine pour sa mobilisation contre le virus. L'Europe s'est également empressée d'apaiser la Chine.

En Chine, 780 millions de personnes - soit la moitié de sa population – ont des déplacement contraints. Et Xi Jinping utilise la crise sanitaire pour renforcer son contrôle sur la société chinoise. Depuis 2013, il n'a eu de cesse d'accroitre son immense pouvoir pour devenir « président à vie » et il a profite du coronavirus pour faire taire la dissidence et resserrer son étreinte sur la société.

L'Italie qui dispose de la population la plus contaminée en Europe affronte une situation que Massimo Galli, le principal spécialiste des maladies infectieuses à l'hôpital Sacco de Milan décrit ainsi :

« Nous sommes en situation d'urgence absolue. Oui, je suis inquiet. De toute évidence, l'épidémie progresse dans toute une partie de l'Italie ... Le système de santé approche de son point de rupture. Le nombre de patients hospitalisés simultanément parce qu'ils souffrent de maladies graves est l'équivalent d'un tsunami. Ce n'est que la pointe de l'iceberg. Même le meilleur système de santé au monde, et nous faisons partie des meilleurs, approcherait de son point de rupture ».

Pendant ce temps, la Chine poursuit sa guerre contre la vérité. Le laboratoire du Shanghai Health Center a été fermé le 12 janvier, au lendemain du jour ou l'équipe du professeur Zhang Yongzhen a rendu publique la séquence du génome du coronavirus sur des plateformes scientifiques ouvertes. Le régime chinois a empêché ses biologistes d'élaborer des moyens pour contenir l'épidémie. Leur « crime » ? Avoir diffusé la séquence en question avant que les autorités chinoises aient pris elles-mêmes la décision.

« L'épidémie a mis à nu la corruption qui sévit dans ce pays, sa bureaucratie, son contrôle de l'information et sa censure », a déclaré Phillip Wu, journaliste indépendant à Pékin. Et ceux qui s'imaginent que le régime chinois est uniquement préoccupé des affaires chinoises, doivent absolument lire cet article britannique qui révèle comment la Chine bride la liberté académique au Royaume-Uni.

Zeng Yingchun et Zhen Yan, deux infirmières de Wuhan, épicentre de l'épidémie de coronavirus, ont, dans une lettre publiée par The Lancet, imploré la communauté scientifique internationale de venir en aide à la Chine :

« Les difficultés liées aux conditions de travail et à l'environnement dépassent l'entendement. Les équipements de protection, tels que les respirateurs N95, les écrans faciaux, les lunettes, les blouses et les gants, manquent cruellement. Les lunettes en plastique doivent être nettoyées et stérilisés à plusieurs reprises dans le service, ce qui les rend quasiment inopérantes ».

Le lendemain, les infirmières ont demandé au Lancet que leur lettre soit dépubliée.

Le régime chinois a arrêté Li Wenliang, le médecin auteur de la première alerte sur cette épidémie qui a fini par le tuer. Le 30 décembre, Li Wenliang a envoyé une mise en garde à ses collègues médecins, mais la police lui a dit d'arrêter de « diffuser de fausses informations ». De nombreux journalistes ont dit la vérité, mais ont été arrêtés ou ont « disparus ». Les médias sociaux en Chine ont parlé du virus plusieurs semaines avant que le gouvernement n'agisse officiellement. Le régime communiste chinois annonce maintenant son intention de publier un livre sur l'épidémie qui présentera le président Xi comme le « leader d'une puissance mondiale » mais aussi comme un chef « proche du peuple ». Le livre sera traduit en six langues.

L'Institut de virologie de Wuhan qui promeut des recherches sur les « agents pathogènes les plus dangereux du monde » dispose du plus haut niveau de confinement biologique de tout le continent. Emettre l'idée que le coronavirus est lié aux recherches menées à Wuhan sur les virus amène certains à vous taxer immédiatement de « complotisme ». Mais le refus des Chinois d'accepter immédiatement l'aide des Centers for Disease Control des États-Unis a fait germer des soupçons. Selon Paul Wolfowitz, ancien président de la Banque mondiale et ancien secrétaire adjoint américain à la défense :

« Le fait que Wuhan abrite un Institut de Virologie qui mène des recherches avancées sur les virus et que certaines de ses missions sont classifiés parce qu'effectuées pour le compte de l'armée chinoise a suscité des spéculations bien prévisibles ; le nouveau virus Corona a très bien pu s'échapper de cet institut ».

« Méfiez-vous du narratif chinois : le coronavirus a très bien pu s'enfuir d'un laboratoire », a écrit Steven Mosher, expert de la Chine, dans le New York Post. Nous ne connaissons pas la vérité et ne la connaîtrons sans doute jamais. La théorie selon laquelle le virus se serait échappé d'un centre de recherche biologique pourrait s'avérer très « fragile ». Mais compte tenu du niveau de secret qui règne en Chine et de la dangereuse censure qui a été instaurée, au nom de quoi les interrogations sur l'origine du virus seraient-elles illégitimes ?

A l'évidence, les communistes chinois n'ont aucun respect pour la vie, la liberté ou la dignité humaines. Le régime tue des prisonniers pour prélever leurs organes à des fins de transplantation et procède à des « avortements forcés » pour « contrôler la population ». Il y a non seulement une épidémie de virus mais aussi une épidémie « d'infanticides ». Harry Wu, un activiste chinois des droits de l'homme âgé de 75 ans, affirme que « six à huit millions de personnes sont détenues dans des « camps de rééducation ». En taisant la vérité sur ce coronavirus mortel, le régime chinois a mis en danger son propre peuple mais aussi la communauté internationale.

L'erreur fatale de l'Italie a été de faire confiance au régime chinois. Au lieu de contrôler tous les voyageurs - chinois ou italiens - revenant de Chine à partir de janvier, l'Italie a gardé ses frontières ouvertes. Au 10 mars, 9 172 personnes étaient infectées et 464 avaient décédé. Le 8 mars, la quarantaine a été imposée à un quart de la population italienne, accroissant ainsi les risques de paralysie de l'économie du nord de l'Italie, augmentant la peur et l'hystérie de la population. A Milan, la population a entrepris de vider les supermarchés. L'Italie est désormais le troisième pays le plus infecté au monde après la Chine et la Corée du Sud, avec l'Iran non loin derrière.

Dans le South China Morning Post, le professeur Dali Yang, politologue à l'Université de Chicago, a comparé les retombées du coronavirus à la catastrophe de la centrale nucléaire de Tchernobyl en Ukraine en 1986. « Ce sera une crise aux proportions de Tchernobyl, notamment parce que la lutte contre le virus va s'étaler sur plusieurs années », a déclaré Yang. Les sociétés pharmaceutiques et biotechnologiques du monde entier travaillent sur un vaccin qui devrait à un moment donné limiter les dégâts. En Russie soviétique, en 1979, des spores mortelles d'anthrax se sont échappées d'un centre de fabrication d'armes bactériologiques de Sverdlovsk, tuant au moins 64 personnes. Les autorités soviétiques et russes ont réussi à masquer l'incident jusqu'en 1992. Les catastrophes nucléaires, virales et biologiques - suivies d'une campagne de l'État pour imposer le secret - semblent être monnaie courante dans les dictatures.

Malheureusement, les pays occidentaux commettent sans arrêt la même impardonnable erreur : Chine communiste ou Union soviétique, il est impossible de faire confiance à une dictature paranoïaque et impitoyable. Le dissident chinois Ma Jian est formel , « le totalitarisme de Xi est un virus qui menace la santé et les libertés du peuple chinois, mais aussi pour la santé et la liberté des autres peuples de la planète ».

Un post sur WeChat dédié à feu le Dr Li Wenliang était composé de citations du chimiste soviétique Valery Legasov, qui a enquêté sur la catastrophe de Tchernobyl mais que le régime soviétique a réduit au silence :

« Il y a un prix à payer pour les mensonges. Ce prix n'est pas que nous les confondions avec la vérité. Le vrai danger est qu'à force d'entendre des mensonges, nous ne soyons plus capables de reconnaître la vérité ... »

Legasov a fini par se suicider. Un jour, nous, Occidentaux, pourrions avoir à nous repentir de ne pas avoir demandé des comptes au régime communiste chinois pour les crimes qu'il a commis de sang-froid. Apaiser la Chine, après avoir apaisé l'Union soviétique, n'est pas seulement un échec ; c'est une menace mortelle.

Giulio Meotti, éditeur culturel pour Il Foglio, est un journaliste et auteur italien.

BEIJING, CHINA - DECEMBER 02: Chinese President Xi Jinping speaks with Russian President Vladimir Putin via a video link, from the Great Hall of the People on December 2, 2019 in Beijing, China. (Photo by Noel Celis - Pool/Getty Images)

source: Gatestoneinstitute: