Arzoo Masih n’a que 13 ans. Le 13 octobre dernier, alors qu’elle jouait devant la paroisse Saint Antoine de Karachi, la capitale pakistanaise, elle a été enlevée par un musulman, Ali Azhar.
Deux jours plus tard, sa famille est convoquée au commissariat. La police lui annonce qu’elle s’est convertie à l’islam et est désormais mariée à son ravisseur.
L’histoire d’Arzoo n’est pas un cas unique. Au Pakistan, comme le précise Shabbir Shafqat, président du Parti national chrétien, « la conversion forcée est devenue un outil majeur pour la persécution des chrétiens et des autres minorités ».
Une réalité dramatique confirmée par la Commission des droits de l’homme du Pakistan, qui précise que « trop souvent, [les conversions forcées] sont déguisées en conversions volontaires ».
« La dure réalité est qu’elles ne sont pas considérées comme un crime, et encore moins comme un problème qui devrait préoccuper le public. »
Son père, Raja Lal Masih, rappelle pourtant que, selon la loi pakistanaise, Arzoo est « trop jeune pour se marier ».
« À 13 ans, elle est trop jeune pour se marier. Nous avons informé les autorités ecclésiastiques de ce qui s’est passé et demandé de l’aide. Nous remercions la Commission nationale pour la justice et la paix pour sa volonté d’aider à engager des poursuites judiciaires. »
Dans ce contexte, au Pakistan, le « projet de loi sur la protection des droits des minorités, 2020 », présenté par le sénateur Javed Abbasi, membre de la Ligue musulmane du Pakistan, redonne de l’espoir.
Parmi les mesures qui visent à protéger les minorités, l’une envisage, selon Vatican News, de « considérer le ‘mariage forcé’ entre un homme musulman et un mineur d’une autre religion comme automatiquement nul et non avenu ». Des sanctions pénales seraient ainsi prévues pour les organisateurs du mariage.
Dans ce projet, les incitations à la haine et à la violence seraient également passibles de trois années de prison et d’une amende de 50 000 roupies, soit environ 260 euros, et les cas de discrimination d’une année d’emprisonnement.
Réalisé par un juif devenu athée, «Shalom Allah» dresse - entre autres - le portrait d’un jeune Vaudois, musulman depuis dix ans. Le film est sorti mercredi sur les écrans romands.
«Je suis privilégié. Avec ma barbe, on me prend pour un hipster, à la limite. Un homme blanc, ça passe partout, mais pour les convertis, en particulier pour les femmes, la vie peut être assez difficile.» Johan, 31 ans, est musulman depuis dix ans. Il a grandi dans la région de Lausanne, a les yeux bleus et un nom de famille qui n’a rien d’oriental. On devra pourtant l’appeler par son prénom et ne pas le montrer face caméra. «Je préfère ne pas me mettre davantage en avant.» Être musulman à visage découvert reste un défi. C’est ce qui fait de «Shalom Allah» un ovni cinématographique. Johan est l’un des protagonistes de ce documentaire sorti cette semaine sur les écrans romands. Un portrait rare de quatre Suisses convertis à l’islam, filmé sur plusieurs années.
Le ministère allemand de l’Immigration et des Réfugiés (BAMF) a rejeté de nombreuses demandes d’asile d’Iraniens et d’Afghans convertis de l’islam au christianisme, à la suite de « parodie de tribunal » où ils passaient en jugement, selon un pasteur de Berlin.
Dans une lettre adressée aux collaborateurs de son ministère, le pasteur Gottfried Martens, qui a baptisé plus de 1000 anciens musulmans a accusé les « traducteurs presque exclusivement musulmans » d’avoir délibérément et faussement traduit les réponses des convertis pour mettre en péril leurs demandes de séjour.
Selon World Watch Monitor (WWM) Gottfried Martens, pasteur luthérien à la Lutheran Dreieinigkeits Gemeinde a critiqué la façon dont les fonctionnaire ont examiné l’authenticité des conversions. Des questions pièges comme les noms des deux fils dans la parabole du fils prodigue ou encore de quoi Martin Luther était mort ont été posés aux nouveaux convertis.
Dans certaines audiences, a encore rapporté le pasteur Gottfried Martens à WWM, les demandeurs d’asile ont subi des moqueries à de nombreuses reprises lorsqu’ils témoignaient de l’importance de la mort de Jésus-Christ à la croix pour leurs péchés.
Beaucoup de fonctionnaires du ministère allemand «sont manifestement ignorants au sujet de la situation des chrétiens en Iran et en Afghanistan, et, pire encore, ils ne connaissent rien concernant les questions relatives à la foi chrétienne », a rajouté le pasteur Martens.
Les convertis de l’islam au christianisme dans des pays comme l’Iran, le Pakistan et l’Afghanistan sont confrontés au rejet par leurs communautés et dans certains cas à des menaces de mort, car ils ont commis, aux yeux de l’islam, la trahison ultime de l’apostasie.
Martens a par ailleurs critiqué l’Église catholique et l’Église protestante EKD, qui se sont opposées à la séparation des logements des chrétiens et des réfugiés musulmans, car cela pouvait suggérer que les deux religions ne puissent pas cohabiter pacifiquement.
De son côté, Heinrich Bedford-Strohm, président du Conseil des Églises protestantes (dont l’EKD est membre) a déclaré qu’il rencontrerait des politiciens pour exprimer leur inquiétude au sujet de la manière dont les convertis iraniens et afghans sont traités.
«J’ai l’impression, cependant, que le BAMF a maintenant donné des ordres pour juger les convertis particulièrement sévèrement. » a déclaré le pasteur Martens.
Un porte-parole de Portes Ouvertes en Allemagne a affirmé sur ce sujet : « les chrétiens ont soit fui de leur pays d’origine en raison de leur nouvelle foi et de la persécution qu’ils ont dû vivre à cause d’elle, ou ont finalement cru en Jésus-Christ après avoir fui l’Allemagne. » Les renvoyer dans leur pays d’origine est totalement irresponsable compte tenu de la situation des chrétiens convertis dans des endroits comme l’Iran ou l’Afghanistan, parce que c’est vraiment une question de vie ou de mort. Portes ouvertes exige une révision immédiate de la politique de la BAMF en direction des convertis.
Dans un rapport édité par Portes Ouvertes en Allemagne, cet organisme qui travaille au côté des chrétiens persécutés a demandé que les convertis puissent bénéficier de l’aide de traducteurs chrétiens et que s’ils subissent des attaques, ils puissent être hébergés séparément.
Source
Pendant ce temps, la Tribune de Genève nous assène son idéologie de gauche victimaire:
Un homme a été condamné ce jeudi à Rennes à 17 mois de prison ferme pour avoir frappé sa compagne qui refusait de se convertir à sa religion. Il estimait notamment qu'il « fallait se marier religieusement pour ne pas être dans le péché. »
Un homme de 34 ans, a été condamné, hier soir, pour des violences conjugales sur fond de radicalisation islamiste.Le 30 janvier, des musulmans pratiquants alertent la police suite à des propos entendus à la mosquée. Les fidèles nourrissent, après la prière, des inquiétudes de radicalisation pour un homme.
un gang de musulmans a ciblé la maison d'une famille chrétienne au Pakistan
Ils ont kidnappé un frère et une sœur après que ces derniers aient refusé de se convertir à l'Islam
Le frère Arif a ensuite été torturé et sa sœur Jameela a été violée
Arif a réussi à s'échapper et à revenir auprès de sa famille, mais Jameela est toujours manquante
Un frère a été torturé et forcé à écouter sa soeur de 17 ans en train de se faire violer collectivement après avoir été enlevés par un gang de musulmans au Pakistan et avoir refusé de se convertir alors qu'ils sont chrétiens.
La British Pakistani Christian Association a déclaré qu'elle a soutenu la famille de Kasur (situé dans l'est du pays) après l'agression.
Selon l'organisme, le gang musulman a ciblé la maison familiale, qui était une maison de boue dans un petit village, sachant qu'ils étaient chrétiens et les a menacés avec des fusils, des bâtons et des poteaux métalliques.
Le gang leur a dit de se convertir à l'islam ou de mourir, mais la famille a refusé et a dit qu'ils étaient résolus à rester chrétiens.
Les hommes les ont ensuite ligotés et ont bandé les yeux. Ils ont emmené avec eux Arif, 20 ans, ainsi que sa soeur Jameela 17ans dans un bâtiment inconnu.
Dans cet endroit, Arif a été torturé, puis a dû écouter sa sœur en train de se faire violer dans une pièce séparée.
Le lendemain matin, il a réussi à s'échapper et à revenir auprès de sa famille qui avait pu se libérer de ses entraves.
Selon l'organisme de bienfaisance, la police locale a refusé d'enquêter sur l'affaire et la famille est profondément traumatisée.
Wilson Chowdry, président de la British Pakistani Christian Association a déclaré: «Nous allons maintenant commencer la tâche ardue de les aider à reconstruire leur vie dans une atmosphère de sécurité.
«Toutefois, la fille capturée pourrait bien ne jamais être trouvée et son enlèvement malveillant est à l'origine d'une grande angoisse et de désespoir.
Les chrétiens représentent environ 4% de la population du Pakistan et font profil bas dans un pays où les militants musulmans sunnites ciblent souvent au moyen de bombes ceux qu'ils considèrent comme hérétique, y compris les chrétiens, les soufis et les musulmans chiites.
(...)
Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
Christian Hofer: A noter que ce sont aussi les femmes qui votent à gauche en Autriche, d'où la victoire du protagoniste de gauche aux présidentielles. Ce sont encore des femmes qui ont fait tant de mal à la Suisse: Calmy-Rey, Ruth Dreifuss, S. Sommaruga, Cesla Amarelle, Ada Marra...
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Les nouvelles musulmanes sont pragmatiques, y compris vis-à-vis du port du voile.
Les femmes sont plus nombreuses que les hommes à se convertir à l'islam en Suisse.
Entre 3000 et 4000 d'entre elles ont choisi cette religion en 2012 sur un total de 5000 personnes, indique Petra Bleisch dans sa thèse, rédigée alors qu'elle était chercheuse en science des religions de l'Université de Fribourg.
Les chrétiens du Pakistan touchés par les inondations cet été sont actuellement forcés de se convertir à l’Islam ou devenir des esclaves, ou bien ils ne pourront recevoir aucune aide du gouvernement.
Des milliers de musulmans d'Algérie se convertiraient au christianisme, désenchantés par le «Printemps arabe» et la montée d'un islam violent, selon Ali Khidri, le seul distributeur de Bibles du pays qui croule actuellement sous les demandes. Des centaines de personnes viennent chaque mois aux bureaux de la Société de Bibles d'Algérie, assure son secrétaire exécutif. Ali Khidri souligne aussi que des milliers de musulmans se rendent dans les églises pour en savoir plus sur la foi chrétienne.
Comment France Info aide la mère d’un converti à avouer sa honte d’avoir eu peur de la religion du prophète. Un morceau d’anthologie.
Par Florence Berger
Elle est gentille, Clara. Et serviable aussi. Lorsque France Info la contacte pour témoigner sur la conversion à l’islam de son fils de 18 ans, en janvier 2014, on devine qu’elle hésite un peu, mais surmonte bien vite sa timidité naturelle.
De toute manière elle n’a rien à craindre: elle est en terrain ami, du côté du Bien, et elle a un rôle à jouer. France Info est là pour l'épauler, et elle-même va aider la radio à dire aux gens ce qu’il faut penser de tout cela. Alors, Clara délivre son message. Il ne faut pas avoir peur de l’islam. Allah et Dieu, c'est «en fin de compte la même chose». Il faut faire confiance à son enfant. Quand elle parle de son fils, on croirait entendre la Vierge Marie.
Répétez après moi
Que la sérénité de Clara se retrouve seulement chez une toute petite minorité de parents de convertis importe peu aux journalistes de France Info. Ils sont justement là pour présenter la réalité telle qu'elle devrait être, et ainsi remettre les éventuels récalcitrants dans le droit chemin. Tous les parents dans cette situation devraient réagir avec la même joie tranquille que l’exemplaire maman belge. Ainsi, il n’y aurait plus de défiance entre les communautés, plus de racisme. L'islam n'aurait plus de défauts puisqu'on ne les verrait plus. Parfois, la présentatrice Catherine Pottier la guide, subtilement, rien que par l’intonation. La voix de Catherine Pottier, c’est comme les yeux d’Elise Lucet sur France 2: l’auditeur ou téléspectateur se sent invité à faire son mea culpa. Mea culpa de quoi? Mais oui: vous êtes là dans votre canapé, dans votre voiture, dans votre pays où tout va bien, si si, tout va bien, alors que d’autres humains souffrent. Honte à vous. À la question posée sur un ton ostensiblement surpris, «et pourquoi [étiez-vous] terrorisée [en découvrant sa conversion]? », Clara répond comme il le faut: «C’est honteux, mais j’avais peur de l’islam». Lorsque l’enthousiasme de son invitée faiblit, la journaliste prend le relais : l'islam, «une religion peut-être plus profonde, avec une vraie volonté de s'engager». Comme on s’engageait dans le communisme ?
La peur, ennemie à abattre
Petite, Clara a dû apprendre au catéchisme qu'on peut «pécher en pensée». On devine qu’elle s’est entraînée toute sa vie à combattre les mauvais sentiments, comme la peur. Ça l’a aidée à éteindre les petites alarmes qui se sont allumées dans sa tête lorsque son fils lui a annoncé avoir embrassé la religion de Mahomet.
Pour se rassurer malgré tout, Clara a voulu savoir ce qu’est l’islam. Elle avait bien retenu une autre leçon maintes fois répétée: on ne craint que l’inconnu; l’inquiétude envers ce que pense l’Autre est le fait des gens incultes, ceux qui n’ont pas bénéficié assez longtemps des bienfaits de l’école et de l’université. Ceux qui ne lisent pas Le Monde, ceux qui n’écoutent pas France Inter ou France Info. Elle s’est donc renseignée, et on imagine qu’elle a trouvé ce qu’elle cherchait. Dans les textes fondateurs de l’islam, beaucoup de mots admirables tels que «paix , «charité» , «respect», «miséricorde», «générosité». Dans les médias établis, des statistiques montrant que la majorité des musulmans ne posent aucun problème de violence.
Elle a probablement aussi pensé à ces femmes voilées si affables qu'on rencontre parfois. Que l'islam prône la générosité essentiellement entre musulmans ne lui est pas venu à l’esprit. Et les autres signes peu rassurants qu'il donne avec insistance sur le reste de la planète et dans l’histoire de l’humanité, elle les a sagement ignorés. Mieux vaut ne pas trop se poser de questions, dans certains cas. Maintenant, Clara est apaisée. Elle a décidé de ne plus s'inquiéter. Elle a même écrit un livre pour les autres parents, intitulé «Mon fils s’est converti à l’islam, même pas peur». C’est bien, Clara.
Même pas triste ?
Doit-on jeter la pierre à Clara? Certes, elle a été naïve; elle doit faire partie de ces parents qui pensent qu’en matière d’éducation, il faut se laisser guider par l'enfant. Mais au moins, elle a voulu donner une spiritualité humaniste à ses fils. «Parfois, on priait autour d’une bougie.» La bougie, ce n’est déjà pas mal, alors que tant de foyers ne connaissent que la lueur des écrans solitaires. Malgré son message optimiste, elle semble un peu déçue du choix de son fils, elle qui «était en dehors des dogmes». Car lui, maintenant, baigne dedans.
On devine son regret: avec une pratique religieuse plus structurée, Simon n’aurait pas eu besoin d’aller chercher ailleurs la «communauté de prière» qui lui manquait tant. Sans doute a-t-elle raison. Mais il aurait fallu une bonne dose de dogme pour rivaliser avec l’islam. L’apaisement de l’esprit en échange de son réglage sur pilotage automatique.
Où sont les hommes
Dans cet entretien, pas un mot sur le père. Existe-t-il, est-il présent, a-t-il son mot à dire? Clara semble seule pour éduquer ses enfants. Pas facile dans une Europe abreuvée de déconstructionnisme. Au moment de sa conversion, son fils avait derrière lui plusieurs années de lavage de cerveau médiatique et scolaire où on lui avait instillé la honte absurde de vivre dans un pays relativement prospère et d'avoir parmi ses ancêtres des contemporains de la colonisation du Congo. Si ce n’est toi, c’est donc ton arrière-arrière-grand-père. Une haine de soi à laquelle a dû s’ajouter le dégoût que peut provoquer la société de consommation chez un jeune en quête de sens.
Mais pourquoi avoir choisi l’islam, précisément la religion la plus dure, celle qui s’est construite contre les autres? Il a pourtant pu comparer la Bible et le Coran, puisqu’il les a lus. À son âge, il ne sait peut-être pas que l’islam est devenu l’idéologie de ralliement de tous ceux qui détestent l’Occident. Il ignore sans doute aussi que s’il lui prenait l’envie d’apostasier, il devrait y réfléchir à deux fois. Mais peu lui importe en ce moment. Il a trouvé dans cette religion virile des certitudes que l’amour inconditionnel de sa mère ne pouvait pas lui apporter. Si, comme ce jeune homme évoqué par André Comte-Sponville*, il avait demandé au dalaï-lama comment se convertir au bouddhisme, il aurait reçu cette réponse admirable: «Mais pourquoi le bouddhisme ? En France, vous avez le christianisme… C’esttrès bien, le christianisme!» Mais personne n’a donné à Simon le goût d’une certaine civilisation, celle des Lumières et des droits humains. La sienne.
Florence Berger (nom connu de la rédaction), mars 2015
*André Comte-Sponville, L’esprit de l’athéisme – introduction à une spiritualitésans Dieu. Poche, 2006
Parti du Nord vaudois en octobre 2013, Abou* combat en Syrie dans les rangs de l’Etat islamique, après être passé par Jabhat al-Nosra. Selon plusieurs sources, il serait émir d’un groupe composé de dizaines de djihadistes francophones.
Adopté, d’origine maghrébine, Abou s’est converti à l’islam en 2012, s’est radicalisé via Internet, puis est parti en Syrie en octobre 2013. Plusieurs sources proches des milieux sécuritaires et djihadistes confirment au Temps qu’il occupe depuis des fonctions dirigeantes. Récit d’une surprenante et rapide ascension.
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