Wikileaks : L’administration Obama aurait privilégié les réfugiés musulmans

Rappel:

USA. Accueil de réfugiés syriens par Obama: 9’945 musulmans pour 55 chrétiens (Vidéo)

http://lesobservateurs.mg/2016/09/01/usa-accueil-de-refugies-syriens-obama-9945-musulmans-55-chretiens-video/

On notera que le clan Clinton est massivement derrière les musulmans ce qui explique l'hystérie de nos médias lorsqu'il s'agit d'attaquer Trump.

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Selon WikiLeaks, l'administration Obama aurait favorisé les réfugiés musulmans au détriment des chrétiens.Une nouvelle fois, les démocrates sont pointés du doigts par les chrétiens qui s'indignent de cette discrimination.

Atlantico : Qu'avons-nous pu observer concrètement de la part de l'administration Obama envers les chrétiens d'orient ? Pensez-vous réellement qu'ils ont pu être défavorisés par rapport aux musulmans d'orient ?

Roland Hureaux : Ce sont des informations très graves qui nous parviennent d'Amérique au travers de Wikileaks ou de Fox News.

Les courriels interceptés, ce ne sont pas des opinions, ce sont des faits - que je découvre avec vous. Les preuves représentées par les courriels échangés au sein de l'entourage d'Obama entre Prêta Banal (qui avait servi dans l'administration Clinton dans les années 1990) et John Podesta, secrétaire général de la Maison blanche sous Bill Clinton et actuel directeur de campagne de Hillary, contiennent des instructions pour recruter des Américains d'origine arabe mais seulement des musulmans, en excluant les chrétiens d'Orient donc.

Dans un courriel daté du 29 septembre 2008, elle écrit "J'ai exclu (de la liste) ceux qui sont d'origine arabo-américaine mais qui ne sont pas musulmans". Cela en violation de la Constitution américaine, qui stipule qu'"aucun questionnaire portant sur la religion ne sera imposé pour juger de l'aptitude d'un candidat à l'exercice de fonctions ou charges publiques aux États-Unis".

Instruction d'autant plus paradoxale qu'elle émane d'une ancienne présidente de la Commission américaine sur la liberté religieuse internationale, passée au service de Bill Clinton puis de Barack Obama. 

Nous sommes à la fin de 2008, elle prépare la future administration Obama, sachant qu'aux États-Unis, du fait du spoil system, les changements à la tête de l'exécutif sous un nouveau Président sont plus étendus qu'en France.

Par ailleurs, Fox News fait part d'une autre discrimination : les Etats-Unis s'étaient engagés à recevoir 10 000 réfugiés syriens, ce qui est bien normal compte tenu de la responsabilité de ce pays dans le chaos qui règne actuellement en Syrie. Sur les 10 801 Syriens qui sont entrés aux États-Unis en 2016, 56 seulement étaient chrétiens, tous les autres musulmans sunnites, ce qui ne reflète pas la part des chrétiens dans la population du pays (environ 10 % avant la guerre, moins aujourd'hui). 

Discrimination d'autant plus paradoxale que les chrétiens ont été, bien plus que les sunnites, les premières victimes de la guerre, les cibles privilégiées des rebelles islamistes. 

S'agissant du recrutement de cadres pour l'administration, on pouvait penser que les chrétiens, peu suspects de collusion avec les islamistes, auraient été un élément plus sûr. Or ils ont été systématiquement écartés.

Cette discrimination au détriment de chrétiens remonte loin : souvenez-vous que la grande entreprise militaire de Bill Clinton, la guerre de Yougoslavie (1999), se fit au bénéfice de musulmans des Balkans (Bosniaques et Albanais) avec l'appui des Turcs, contre les chrétiens orthodoxes (Serbes). 

La guerre de Syrie a vu une alliance entre les Etats-Unis et les islamistes de ce pays (dont Daesh et Al Qaïda) contre le régime musulman mais modéré et tolérant les minorités de Bachar el Assad. Peut-être avons-nous là l'explication du fait que les chrétiens aient été jugés peu sûrs car ils pouvaient difficilement approuver cette ligne. Mais comme au moment des faits, Obama n'était pas encore élu ; cet incident montre que la future politique pro-islamiste était déjà en gestation.

C'est d'ailleurs une constante de la politique américaine dans cette région que de soutenir les franges les plus radicales de l'islam, depuis le pacte passé sur le croiseur Quincy le 14 février 1945 entre le président Roosevelt et le roi d'Arabie, Ibn Séoud. Or la monarchie saoudienne a toujours protégé et financé les courants salafistes les plus radicaux du monde arabe.

S'agissant de l'exode des chrétiens de Syrie, il passe généralement par le Liban. Or, sans que cette fois les Américains y soient pour quelque chose, les agences de services et de traduction (payantes) par lesquelles les candidats à un visa pour l'Occident doivent passer sont notoirement tenues par des musulmans sunnites qui favorisent leurs coreligionnaires et défavorisent les chrétiens.

Quand le pape est venu à Lesbos, il a pris avec lui trois familles syriennes, toutes musulmanes, ce qui a choqué. Son secrétariat a fait savoir que les chrétiens n'avaient pas les papiers en règle. Voilà l'explication.

Quel est l'intérêt pour l'administration Obama/Clinton de placer des musulmans d'orient à des positions de pouvoir au dépit des chrétiens d'orient ? Pour quelles raisons sont-ils écartés au profit des musulmans parfois radicaux ?

Roland Hureaux : Il faut se replacer au moment où ces décisions ont été prises : Obama n'est pas encore élu mais il prépare ses équipes. Comme le vote est très communautaire aux Etats-Unis, il se peut que le candidat démocrate ait reçu le soutien des musulmans américains mais que les chrétiens venus du Proche-Orient aient plutôt joué les républicains (ce sont des communautés de faible importance qui ne pèsent ni l'une ni l'autre d'un poids décisif dans le vote).

Cela est en conformité avec un clivage très ancien. Face à la guerre d'Algérie, Eisenhower (républicain) était resté relativement neutre alors que Kennedy (démocrate) s'engagea, sitôt élu, à fond du côté du FLN, obligeant le général de Gaulle à précipiter l'indépendance, ce qui, au passage, montre la stupidité de ceux qui, par hostilité à la politique algérienne du général, se sont jetés dans l'atlantisme.

Mais le tropisme pro-musulman du gouvernement américain s'est accentué au cours des dernières années, comme le montre la politique étrangère du couple Obama-Clinton.

Il est vrai que le demi-frère d'Obama, Abon'go Malik Obama est trésorier d'une association missionnaire islamiste au Soudan. Mais je ne crois pas que ces instructions discriminatoires soient venues du Président : parce qu'il s'appelle Barack Hussein, parce que ses ennemis n'ont cessé de dire que, quoique officiellement protestant, il était en réalité un musulman caché, il n'avait pas intérêt à en faire trop en faveur des musulmans. Et encore, en pleine campagne, serait-il descendu dans ces détails ?

Je crois qu'il faut regarder plutôt du côté d'Hillary Clinton : sa plus proche conseillère, Huma Abedin, est une musulmane américaine dont la mère dirige les Sœurs musulmanes en Arabie saoudite et travaillait avec l'épouse du président égyptien islamiste Mohamed Morsi. Son frère Hassan est le conseiller spirituel d'Al-Jazeera.

Quant à Podesta il a été le lobbyiste attitré du Royaume d'Arabie saoudite au Congrès pour la modique somme de 200 000 dollars mensuels.

Hillary Clinton n'a cessé de favoriser les Frères musulmans ayant une affection particulière pour Erdogan et Morsi.

Elle appartient encore plus qu'Obama à cette gauche américaine postmoderne qui, reniant les valeurs chrétiennes sur certains points essentiels comme l'avortement ou le mariage homosexuel qu'elle soutient à fond, trouve bon de transcender ses propres origines en prenant le parti de l'autre, le musulman en l'occurrence. 

Nous connaissons cet état d'esprit en France. Le comportement de l'administration américaine ne devrait pas surprendre un Cazeneuve, notre ministre de l'Intérieur, qui s'agite aujourd'hui pour caser dans les communes les 8 000 réfugiés de Calais, en majorité musulmans, mais qui, il y a quelques mois, déconseillait à un maire de recevoir chez lui des chrétiens d'Orient. 

Alors qu'elle avait la mission historique de les protéger, la France est le pays qui en a reçu le moins au cours de ces dernières années ! 

En gros, la politique américaine des néo-conservateurs (les Clinton, Bush fils et Obama) peut s'expliquer par une alliance entre les Etats-Unis et le monde islamique contre la Russie. Dans ce triangle, l'Europe est un champ de bataille, pas un acteur que l'on prenne en considération. La position exprimée par Trump est différente : il propose, lui, un rapprochement avec la Russie contre l'islamisme. Affaire à suivre donc.

Suite aux révélations de WikiLeaks qui expliquent que l'administration Obama aurait favorisé les réfugiés musulmans, un pan de l'électorat chrétien accuse les démocrates de manipulation. Cette polémique sur la discrimination des chrétiens d'Orient au profit de musulmans survient après celle des emails demandant un "Printemps chrétien". Ces critiques envers les démocrates vous semblent-elles légitimes ? D'où émanent-elles ?

Blandine Chelini-Pont : Il y a plusieurs choses : d'un côté les critiques concernant l'accueil défavorable que recevraient les chrétiens d'Orient aux Etats-Unis, au profit des Syriens musulmans qui sont très majoritaires ; de l'autre les critiques privées du directeur de campagne d'Hillary Clinton qui pour résumer considère que cela ferait du bien si les catholiques se dépoussiéraient un peu. Ces critiques existent et sont situées : elles concernent une partie militante, même si pas majoritaire, qui est celle du catholicisme conservateur.

Source et article complet via Fdesouche.com

Les Clinton accusés de pédophilie

Nos remerciements à Yann Merkado et 

 

https://youtu.be/q0NECKLELi4

 

Gros titres : des sources confirment l'enquête du FBI sur Clinton impliquant des liens avec la pédophilie
*** Note : J'ai volontairement refusé de publier cette histoire jusqu'à ce que je sois convaincue que l'information fournie par ma source soit valable. Bien que la spéculation concernant cette information a été publiée par d'autres médias, je ne propage pas quelque chose que je ne peux pas examiner de près et entièrement remonter. Il est important de noter que jusqu'à aujourd'hui, ni Bill, ni Hillary Clinton n'ont été inculpés de délit. ***

Source Facebook (traduction automatique de Facebook)

L’ex directeur du FBI qui a déclaré : « Les Clinton sont une famille de criminels. »

 

« C’est comme du crime organisé. Je veux dire, la Fondation Clinton est une fosse septique. »

L’ex directeur a aussi critiqué la conduite du FBI dans l’enquête des emails de la candidate démocrate, affirmant qu’elle a été empêchée par le procureur général Loretta Lynch – un allié de Clinton.

James Kallstrom a dit, « Le souci c’est que cette enquête n’a jamais été une vraie enquête. »

Il a ajouté : « Dieu nous en garde, nous avons mis quelqu’un comme ça à la Maison Blanche. »

Il a aussi déclaré : « Les agents sont furieux de ce qu’il se passe, je le sais personnellement. »

En ce qui concerne le scandale, M. Trump a déclaré lors d’un rassemblement dans le Michigan : « Pourquoi est-elle autorisée à participer à la présidentielle? Hillary Clinton est inapte et non qualifiée pour être la présidente des États-Unis, et elle est susceptible d’être l’objet d’enquêtes criminels pendant un très, très long moment. »

Source – Traduction : Le Nouvel Ordre Mondial

Steve Pieczenik: Le coup d’État d’Hillary Clinton

Nos remerciements à Yann Merkado pour la vidéo et la traduction

 

https://youtu.be/uw5Vw9yBEO4

 

La vidéo de Pieczenik est sortie hier à peine et totalise pourtant déjà plus de 650 000 vues. Les informations qui sont présentées sont choquantes (et à la fois pas totalement nouvelles pour ceux qui suivent les informations non relayées par les médias de masse). Ce qui est vraiment nouveau, c'est le fait que des agences de renseignement US auraient collaboré avec Wikileaks pour mettre à mal la campagne présidentielle de Clinton et la mettre enfin à sa place: en prison. C'est également ce qu'évoquait le lanceur d'alerte de la NSA William Binney il y a quelques jours au sujet du piratage du DNC. Cela vient d'être confirmé par l'ancien ambassadeur Craig Murray: ces emails viennent de cercles officiels à Washington.

Source

Le nouveau clip de Campagne de Trump dénonce la corruption et les mensonges des Clinton

L’équipe de Donald Trump tape fort à quelques jours de l’élection avec un clip sur la corruption et les mensonges des Clinton.

Pendant ce temps, les journalistes français avouent :

"Tout le monde sait que Hillary Clinton est une très mauvaise candidate. Elle a un soupçon de rapport un peu compliqué avec la vérité (sic)"

Clinton connaissait certaines questions. Les accusations de Trump sont confirmées.

Hillary Clinton a reçu en avance des questions qui lui ont été posées lors de débats de la primaire démocrate, révèlent des emails publiés lundi par WikiLeaks, qui confirment des accusations lancées par Donald Trump.

Un des emails rendus publics est particulièrement parlant: rédigé par l'actuelle présidente intérimaire du Parti démocrate, Donna Brazile, il est adressé à John Podesta, président de la campagne de Mme Clinton et Jennifer Palmieri, directrice de la communication de la candidate.

«Une des questions qui sera posée à HRC (Hillary Rodham Clinton, NDLR) proviendra d'une femme qui a une éruption cutanée», avertit Mme Brazile, qui officiait alors comme commentatrice sur la chaîne CNN. «Sa famille a été empoisonnée au plomb et elle demandera ce qu'Hillary pourrait faire pour les gens de Flint si elle devient présidente», précise Donna Brazile.

Source et article complet

 

 

WikiLeaks: les journalistes d’AP impliqués dans le scandale Clinton

Les révélations de WikiLeaks ne s’arrêtent pas. La correspondance de John Podesta, directeur de campagne de la candidate démocrate à l’élection présidentielle américaine Hillary Clinton, publiée par le site, dévoile les liaisons de l’équipe de Mme Clinton avec les journalistes de l’agence Associated Press (AP).

Les journalistes de l'agence Associated Press (AP) étaient impliqués dans le règlement du scandale autour de la correspondance de la candidate démocrate à l'élection présidentielle américaine Hillary Clinton, apprend-on de la correspondance de John Podesta, directeur de campagne de Mme Clinton, publiée par WikiLeaks.

La correspondance rendue publique par WikiLeaks dévoile les discussions datées de juin 2015 au sein de l'équipe d'Hillary Clinton visant le règlement du scandale autour de son proche, Sidney Blumenthal, qu'elle n'avait pas soumis à l'examen du département d'État à l'époque.

Le plan d'actions dédié est discuté dans cette correspondance avec la participation du porte-parole d'Hillary Clinton, Brian Fallon. En particulier, le représentant de campagne de Mme Clinton Nick Merrill évoque dans un mail l'idée de « remettre une histoire » aux journalistes amis de l'agence AP Matt Lee ou Bradley Klapper. Une copie de l'article écrit par ces auteurs est également ajoutée dans le fil de la correspondance. Cet article cite les propos de Nick Merrill qui indique que les 55 000 pages de documents ont été soumises à l'examen du département d'État, y compris tous les courriels de Sidney Blumenthal, justement celles que les fonctionnaires n'avaient pas trouvé.

En tant que secrétaire d'État entre 2009 et 2013, Hillary Clinton menait sa correspondance de travail via sa propre ressource privée. Elle a été ainsi accusée de cacher des informations et de faire potentiellement fuiter des secrets d'État. Mme Clinton a soumis près de 30 000 emails à l'examen du département d'État, mais a supprimé 30 000 courriels supplémentaires qu'elle a déclarés comme personnels.

Le Bureau fédéral d'enquête (FBI) avait déjà enquêté sur l'utilisation par Mme Clinton en tant que secrétaire d'État d'un serveur privé pour envoyer et recevoir des informations classées confidentielles. Selon les conclusions du bureau, les actions de Mme Clinton ne constituaient pas un crime. Cependant, selon l'annonce vendredi 28 octobre du membre du Congrès et chef du comité de surveillance de la Chambre des représentants Jason Chaffetz sur Twitter, le FBI vient de rouvrir l'affaire des emails d'Hillary Clinton. Suivez Sputnik sur Telegram pour ne jamais manquer les actualités les plus importantes grâce à nos sélections du matin et du soir. Pour recevoir les actualités de notre chaîne, il suffit de télécharger l'application Telegram sur n'importe quel smartphone, tablette ou ordinateur puis cliquer sur le lien et appuyer sur « Join ».

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Nos remerciements à Didier S.

Le FBI va enquêter à nouveau sur les emails d’Hillary Clinton

Dans une lettre dévoilée ce vendredi, le patron du FBI indique que ses services vont mener de nouvelles investigations dans l'affaire des emails de l'ancienne secrétaire d'Etat. De nouveaux éléments seraient apparus.

A 11 jours du premier tour de la présidentielle américaine, l'annonce est fracassante. Le directeur du FBI James Comey a écrit à des élus ce vendredi pour les informer que ses équipes allaient de nouveau enquêter sur l'affaire de la messagerie privée d'Hillary Clinton, dans une lettre rendue publique par des élus républicains du Congrès.

"Dans le cadre d'une affaire distincte, le FBI a pris connaissance de l'existence d'emails semblant pertinents pour l'enquête", indique James Comey. "Je vous écris pour vous informer que l'équipe enquêtrice m'en a informé hier, et que j'ai donné mon accord pour que le FBI prenne les mesures d'enquête appropriées afin de permettre aux enquêteurs d'examiner ces emails et de déterminer s'ils contiennent des informations classifiées".

Selon le New York Times, ces nouveaux emails auraient été découverts sur du matériel électronique saisi et appartenant à Huma Abedin, ancienne collaboratrice d'Hillary Clinton, et à son mari, Anthony Weiner. Cet ancien représentant démocrate avait démissionné en 2011 de son poste à la suite d'un scandale de textos à caractère sexuels.

Source

Scandale sur le clan Clinton : La Bombe de Wikileaks dont vous n’avez jamais entendu parler

Première traduction doublée

Yann Merkado inaugure un nouveau format de traduction : le doublage.
Si vous faites buzzer cette vidéo, il prendra le temps d’en faire de nombreuses autres.
Bon visionnage, et à vos partages !

Alors que les médias vous distraient en accusant Trump, accumulant quotidiennement des articles artificiels à charge, de grosses révélations ont émergé.

https://youtu.be/s74AFyf6XrM

Source

Christian Hofer: A noter que maintenir le public dans l'ignorance et la bêtise est une technique de manipulation très connue, dont aujourd'hui nos médias abusent (censure des actes criminels des migrants,  étalage de stars nues, déni de réalité et minimisation, diabolisation des personnes de droite, focalisation sur les sujets annexes tel le sport, propagande pro immigration et pro islam).

Hillary et Bill Clinton ont reçu près d’un million de dollars de Deutsche Bank

La candidate démocrate à la Maison-Blanche accumule une jolie fortune depuis plusieurs années en donnant des discours rémunérés en moyenne 225.000 dollars par de grandes entreprises. Le Parti républicain saute sur l'occasion de la tempête qui frappe Deutsche Bank pour rappeler que de 2012 à 2014, «Hillary» a donné deux discours devant des parterres de clients de la banque allemande. Son époux a fait de même. Leur compte en banque commun s'en est trouvé crédité au total de 955.000 dollars.

L'épisode devient plus embarrassant à la lumière de l'amende que le Département de la justice envisage aujourd'hui d'imposer à Deutsche Bank pour avoir vendu des obligations gagées sur créances immobilières douteuses (subprimes) de 2005 à 2007.

L'ancienne secrétaire d'État qui fait campagne en affirmant incarner l'Américain «moyen» victime des abus de Wall Street, savait déjà en 2012 que Deutsche Bank figurait sur la liste des grands établissements susceptibles d'être sanctionnés par la justice de son pays qui l'accuse d'avoir contribué à la crise financière et ruiné des millions d'épargnants et de petits propriétaires.

Source et article complet

Nos remerciements à Didier S.

 

WikiLeaks: Assange va faire des révélations sur Hillary Clinton (vidéo du direct)

WikiLeaks fête mardi ses dix ans en se targuant d’avoir lancé le phénomène des plateformes internet de divulgation de documents secrets et son controversé fondateur Julian Assange a promis de poursuivre son travail malgré les vives critiques.

«Les attaques contre nous nous rendent encore plus durs », a assuré Julian Assange retranché dans l’ambassade d’Équateur à Londres depuis 2012 pour éviter son extradition en Suède, dans un entretien au magazine allemand Der Spiegel.

Suivre la conférence en direct vidéo

L’ex-hacker, qui fait l’objet d’un mandat d’arrêt dans le cadre d’une enquête pour un viol présumé en 2010, doit s’exprimer par vidéoconférence lors d’une conférence de presse de ses aficionados à Berlin mardi vers 10h locales. Il devrait alors rendre publiques des informations au sujet d’Hillary Clinton.

Une apparition de l’Australien prévue le même jour au balcon de l’ambassade d’Équateur à Londres a été annulée pour des raisons de sécurité, selon WikiLeaks.

Source

Les casseroles de madame Clinton

L’élection  Présidentielle est dans six semaines et d’après ce que je lis dans la presse française, elle va opposer :

A ma droite: monsieur Trump , un démagogue, milliardaire et donc automatiquement quelque peu douteux,qui fait appel aux instincts les plus bas des électeurs, tels le racisme, l’islamophobie ou le nationalisme au front de taureau. C’est du moins ce que me dit la presse française. Depuis l’émergence de Ronald Reagan, je n’ai jamais vu quelqu’un être aussi attaqué par les oints du seigneur et autres hommes de Davos, ce qui aurait tendance à me le rendre sympathique. Après tout, si Attali et BHL déteste monsieur Trump, il ne peut pas être complètement mauvais.

A ma gauche : madame Clinton, la candidate « de gauche », c’est-à-dire  de Goldman-Sachs et de Wall-Street, pétrie de bons sentiments et munie d’une énorme expérience puisqu’elle fût sénateur de l’Etat de New-York où elle vota pour la guerre en Irak, ministre des affaires étrangères de Barak Obama, créatrice de la fondation Clinton, œuvre charitable bien connue. Et donc elle a fait don de sa personne à son pays depuis fort longtemps puisqu’elle n’a jamais rien fait d’autre dans sa longue vie que de la politique, ce qui, chacun en conviendra est admirable. Remarquons au passage que la fortune actuelle des Clinton se monte à plus de $ 300 millions, ce qui prouve que faire don de sa personne à son pays peut être payant.

Curieusement, la presse française parle très peu d’un certain nombre de casseroles que madame Clinton traine derrière elle, et il me semble donc utile de faire un petit « état des lieux » des légères impropriétés qui l’ont suivies, elle et son ex président de mari tout au long de leurs carrières.

Commençons au début, en Arkansas, quand elle était la femme du gouverneur (et futur président). La principale société en Arkansas fait dans la production de produits alimentaires. Madame Clinton décide de spéculer sur la bourse des matières premières à Chicago, passe quelques dizaines d’ordres les uns après les autres, dont aucun n’est perdant, ce qui est admirable de compétence.

De ce fait, elle transforme quelques milliers de dollars en plusieurs centaines de milliers de dollars. L’enquête qui aura lieu après montre qu’en fait les ordres avaient été passés par l’un des principaux dirigeants de la société de produits alimentaires qui avait sans doute besoin que le gouverneur soit compréhensif.

Nul doute qu’il ne s’agisse du bon vieux système, si ça marche c’est pour le compte de la personne que l’on veut corrompre, si ça ne marche pas c’est pour le compte de la société qui a besoin d’un service politique. Technique vieille comme les marchés, serais-je tenté de dire.

Continuons à Washington. Madame Clinton, épouse du président, décide que les gens qui gèrent l’agence de voyages internes à la Maison Blanche sont incompétents et les vire tous. Ils sont remplacés par une société appartenant à des très proches “amis” des Clinton. Plainte s’en suit.Commission d’enquête.

Vincent Foster, très proche de madame Clinton et très impliqué dans cette affaire  se «suicide» juste avant d’avoir à témoigner, et dans cette nuit  là toutes ses archives disparaissent. Madame Clinton est blâmée par la commission d’enquête et le New-York Times déclare à la suite de ses témoignages qu’elle est une menteuse pathologique. Les anciens de l’agence de voyages sont réinstallés dans leurs fonctions.

Passons à sa carrière. Pendant sa campagne présidentielle, elle nous fait un coup à la BHL, expliquant que, quand elle était allée en Bosnie en tant que ministre des affaires étrangères, elle avait dû sortir de l’avion sous les bombardements, au péril de sa vie. Le film de sa visite montre qu’il n’en était absolument rien, que la garde d’honneur l’attendait, qu’elle est montée tranquillement dans la voiture officielle et qu’il n’y avait pas le moindre danger. De même, elle raconte que ses quatre grands parents étaient des immigrants alors qu’un seul des quatre l’était… qu’elle s’appelle Hillary à cause de celui qui le premier a conquis l’Everest alors que cela s’est passé bien après sa naissance et ainsi de suite… Madame Clinton semble avoir une relation très compliquée avec la vérité.

C’est elle, en tant que ministre  qui est à l’origine du soutien apporté à messieurs Sarkozy et Cameron pour renverser Kadhafi, faisant ainsi sauter le verrou qui empêchait le déversement de l’Afrique sur l’Europe. On en voit les effets heureux tous les jours.

Arrive l’incident de Benghazi ou plusieurs américains sont tués dont l’ambassadeur en Lybie. Ce même ambassadeur réclamait depuis des semaines un renforcement de sa protection sans que son ministre madame Clinton daigne lui répondre et nul ne sait pourquoi il était à Benghazi qui avait été évacué par tous les autres diplomates. La rumeur veut qu’il ait été chargé d’organiser –par madame Clinton- le transfert illicite d’armes aux rebelles syriens.

Quand le poste US est assailli pendant la nuit madame Clinton ne juge pas bon de faire envoyer des avions basés à Naples (à une demi heure de la Lybie) malgré les demandes des militaires. Le lendemain, le massacre ayant eu lieu, elle prétend devant le Congrès que la révolte était spontanée et imprévisible alors même que la CIA avait été avertie par tous les autres services secrets que quelque chose se préparait. La thèse de madame Clinton était que l’émeute « spontanée » trouvait sa source dans un film qui venait d’être posé sur Internet et où le prophète Mahomet était vilipendé, ce que tous les observateurs compétents tels le chef du département Moyen-Orient à la CIA démentiront devant le Congrès. Il est à craindre que le pauvre ambassadeur n’ait su trop de choses.

Dans la crise syrienne que les USA semblent avoir monté de toutes pièces pour essayer de renverser les Assad au profit des alliés Sunnites de l’Arabie Saoudite tout le monde sait que madame Clinton était à la tète du parti des faucons qui voulaient envahir militairement la Syrie.  Ce qui n’est guère étonnant quand l’on sait que la principale conseillère et amie de cœur de madame Clinton est de parents Saoudiens qui étaient affiliés à la confrérie des frères musulmans (sa propre mère avait créé la confrérie des sœurs musulmanes) tandis que le frère de cette même conseillère dirige à Oxford le département des études musulmanes subventionnée… par le principal financier d’Al-Qaïda, saoudien bien entendu.

Et cette collaboratrice de madame Clinton, de nationalité américaine maintenant et dont je ne mets pas en doute le patriotisme a eu accès à tous les emails et à toutes les informations y compris les plus secrètes qui sont passées sur le bureau de la ministre des affaires étrangères. Nous voilà rassurés.  Ce qui nous amène au scandale suivant, celui du serveur privé de madame Clinton établi dans le sous- sol de sa maison.

Il existe une loi aux USA qui s’appelle le « freedom of information act »  qui fut passée après le scandale du Watergate sous Nixon. Cette loi dispose que tousles actes, délibérations et recommandations des hommes politiques aux USA, quand ils sont au pouvoir, doivent être systématiquement conservés dans les archives de l’administration en question et que chaque citoyen peut en demander communication sous le contrôle d’un juge qui en expurgera les informations tenant à la sécurité nationale. Ce qui veut dire que pour un ministre, il ne peut pas y avoir de systèmes de communication autonome. Or, madame Clinton a établi un tel système, ce qui constitue un premier crime.

L’ayant établi, elle a ensuite juré sous serment qu’elle ne s’en servait que pour des raisons personnelles et cela a été prouvé comme faux par le FBI, puisque l’on a trouvé des centaines d’emails afférents à la diplomatie américaine sur ce serveur dont certains marques confidentiels (C  ). Ensuite, pour se dédouaner,  elle a dit qu’elle ne comprenait pas ce que le signe C voulait dire sur les documents qu’elle recevait alors qu’elle en avait marqué elle-même de multiples envois.

Or il existe une autre loi aux USA qui précise que quiconque a mis en danger le système de communication de la diplomatie américaine est passible de prison.Le général Petraeus, le héros de la guerre d’Irak et à  cette époque le patron de la CIA a été débarqué et sa carrière brisée parce qu’il avait glissé quelques informations  sur l’oreiller à sa petite amie journaliste.

Le crime de madame Clinton est dans le fond beaucoup plus grave. Il se murmure par exemple à Washington que le scientifique nucléaire Iranien qui vient d’être exécuté à Téhéran l’aurait été parce que son nom figurait dans ces communications non protégées comme agent de la CIA. Si cela venait à être prouvé par de nouveaux emails, les chances de madame Clinton  de rentrer à la Maison Blanche deviendraient infimes tandis que ses chances d’intégrer une prison monteraient fortement.

Enfin, madame Clinton a juré sous serment et à plusieurs reprises ne s’être JAMAIS servi de son serveur privé pour des raisons autres que familiales, ce qui constitue un parjure avec lequel la justice américaine ne plaisante pas. Et comme ces archives ont été effacées malencontreusement après que les autorités US aient donné l’ordre de ne pas y toucher, madame Clinton a commis un nouveau forfait.

Troisième crime puisqu’une partie de ses archives deviendraient alors inaccessibles.

Madame Clinton devrait donc passer devant les tribunaux pour ces trois raisons.

Heureusement, il ne fait pas le moindre doute que les services secrets Chinois, Iraniens ,Russes et sans doute français ou anglais aient «hacké » le  serveur de madame Clinton, ce qui n’était guère difficile, et que certains d’entre eux se feront une joie de fournir les documents à Wikileaks  les plus intéressants, c’est-à-dire les plus compromettants quelques semaines avant l’élection présidentielle, c’est-à-dire dans les semaines qui viennent.

Il ne restera donc rien d’autre  à la justice américaine que de poursuivre madame Clinton, ce qui fera désordre ou au président Obama de la gracier, ce qui fera encore plus désordre.

Mais le pire de tout est certainement la fondation Clinton qui n’est qu’une grotesque machine   à toucher de l’argent pour les Clinton, en étant en fait un outil qui permet aux pays étrangers de corrompre les autorités américaines en leur permettant de donner de l’argent aux politiciens américains, ce qui est bien sur interdit par la loi.  Les autorisations administratives pour un investissement aux USA n’étaient données  ainsi par le Secrétariat d’Etat que si de grasses donations étaient faites à la fondation Clinton. Les rendez-vous avec la ministre n’étaient obtenus que si l’ex Président (le mari de la ministre) pouvait donner une conférence où sa venue était payée $ 500.000 ou plus .

Miraculeusement, cette fondation n’a pas été « auditée »  depuis sa création, et elle doit être la seule dans son cas, mais il semble de plus en plus que des sommes portant sur des centaines de millions de dollars qui ont été payées officiellement par de grands pays démocratiques comme l’Arabie Saoudite ou le Qatar à  la fondation ne soient jamais apparus dans les comptes de la dite fondation. Où est donc passé l’argent ?

On sait aussi aujourd’hui qu’à peine 5 % des donations allaient aux nobles objectifs de la fondation, 95 % allant aux dépenses de fonctionnement, c’est-à-dire à l’entretien des Clinton et de la machine politique démocrate qui s’est vendue aux Clinton.Cette fondation restera sans doute dans l’histoire des Etats-Unis comme la plus grande escroquerie jamais faite par des politiques dés que la justice pourra s’y intéresser, ce qui n’arrivera bien sur que si monsieur Trump est élu, puisque le ministre de la justice actuel fait partie du clan Clinton depuis le début et qu’elle a déjà bloqué toutes les tentatives faites par le Congrès ou les citoyens pour savoir ce qu’il en était vraiment. Et madame Clinton a déjà annoncé que si elle était élue, elle la garderait comme ministre de la justice. Encore une fois nous voila rassurés.

Mais le plus extravagant dans toute cette histoire est le rôle que joue la grande presse américaine qui défend bec et ongle le clan Clinton, suivie bien sur par tous nos oints du seigneur franco-français.

Certes, chacun sait que la majorité des journalistes est « de gauche», mais on aurait pu espérer qu’entre la gauche et la vérité, les journalistes choisiraient la vérité ou à tout le moins la recherche de la vérité.

Or, il n’en est rien.

Le Mc Carthysm règne aux USA à nouveau et tous ceux qui se permettent de mettre en question la probité des Clinton ou la santé de la candidate sont immédiatement pris à partie et mis au rencart. La nouvelle blague aux USA est que CNN veut dire Clinton News Network, et quiconque écoute cette chaine de désinformation comprendra immédiatement pourquoi. Pour être parfaitement clair, à l’exception du Wall Street Journal et de la chaine de télévision Fox news (qui tous les deux appartiennent à Murdoch), les seules informations dignes de ce nom sur le couple Thénardier que constituent les Clinton se trouvent sur Internet, ce qui confirme mes suspicions sur le monde journalistique dans son ensemble qui ne semble plus faire correctement son boulot de quatrième pouvoir.

Et d’ailleurs, les journalistes des grands médias sont dans les sondages d’opinion au plus bas niveau jamais atteint, juste avant les hommes politiques et les prostituées, ce que je trouve très sévère pour les prostituées.

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Clinton s’excuse auprès des électeurs de Trump mais continuera à “dénoncer le racisme de Trump”

La candidate démocrate à la Maison Blanche s'exprimait initialement vendredi soir lors d'un événement de levée de fonds à New York. Ce genre de soirées qui sont généralement fermées à la presse. Cette fois, devant les caméras de télévision à l'occasion du "gala LGBT pour Hillary" et devant de nombreux militants homosexuels, l'ex-secrétaire d'Etat a dépeint, "en gros", 50% de l'électorat de l'homme d'affaires qu'elle affrontera le 8 novembre lors de la présidentielle.

"Pour généraliser, en gros, vous pouvez placer la moitié des partisans de Donald Trump dans ce que j'appelle le panier des pitoyables", a lancé l'ancienne chef de la diplomatie américaine sous les applaudissements. Avant de détailler: "Les racistes, sexistes, homophobes, xénophobes, islamophobes. À vous de choisir". "La nuit dernière j'ai 'généralisé en gros', et ce n'est jamais une bonne idée. Je regrette avoir dit 'la moitié', c'était mal", a-t-elle reconnu samedi dans un communiqué face à la polémique nationale suscitée par ses propos. La veille, elle avait poursuivi son raisonnement, affirmant que plupart de ces soutiens de Donald Trump sont "incorrigibles, mais heureusement ils ne sont pas l'Amérique".

Hillary "insultante"

"Wow, Hillary Clinton a été TELLEMENT INSULTANTE envers mes supporteurs, des millions de personnes incroyables, qui travaillent dur. Je pense que cela va lui coûter cher dans les sondages!", a réagi Donald Trump dans un tweet samedi, à moins de deux mois de l'élection présidentielle. "Pile au moment où Hillary Clinton dit qu'elle va démarrer une campagne positive, elle fait tomber son masque et révèle son vrai mépris pour les Américains ordinaires", a abondé Jason Miller, un responsable de la campagne du milliardaire, dans un communiqué.

Une erreur

Outre les nombreuses réactions indignées des soutiens du milliardaire, des commentateurs politiques ont évoqué une sérieuse erreur de la part d'Hillary Clinton. "Le 'panier des pitoyables' de Clinton était une erreur", a par exemple tweeté Matthew Dowd, analyste politique sur ABC News, au moment où les sondages prédisent une course plus disputée qu'attendu pour la Maison Blanche. Mais bien qu'elle ait reconnu une erreur sur cette affirmation, celle qui entend devenir la première femme présidente des États-Unis a assuré dans son communiqué qu'elle continuerait à dénoncer "la rhétorique sectaire et raciste" de son rival.

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Hillary Clinton traîne dans la boue les partisans de Trump (Vidéo)

La candidate démocrate à la présidentielle Hillary Clinton estime que la moitié des partisans de son rival républicain Donald Trump sont à ranger dans le "panier des lamentables".

S'exprimant lors d'une levée de fonds à New York, ouverte aux journalistes, Hillary Clinton a jugé que Trump, par son comportement, avait donné une voix aux discours de haine de ces personnes.

"Malheureusement il y a des gens comme ça. Et il les a mis en valeur ", a-t-elle asséné.

Certaines de ses personnes sont au-delà de toute rédemption, a-t-elle jugé, ajoutant qu'elles ne représentaient pas l'Amérique.

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Calmy-Rey: «Je soutiens Hillary Clinton dans sa course à la présidence»

Hillary Clinton peut devenir la première présidente des Etats-Unis. Vous la connaissez bien. Vous la soutenez?

Je la soutiens moralement et j’espère vraiment qu’elle sera élue. Elle a de très bonnes chances. Mme Clinton est une personne avec laquelle non seulement j’ai bien fonctionné, mais qui a aussi démontré, dans tous nos contacts, qu’elle connaissait très bien ses dossiers, qu’elle savait maîtriser des situations tendues.

Son élection serait-elle une bonne chose pour nos relations bilatérales avec les Etats-Unis?

Mme Clinton a toujours su très bien défendre les intérêts amé­ricains. Tout comme moi je dé­fendais face à elle les intérêts de la Suisse. Nous n’étions pas toujours d’accord. Mais elle connaît le monde, elle a été secrétaire d’Etat, elle a énormément voyagé. Je ne sais pas si elle connaît bien la Suisse, mais elle a tout à fait conscience des intérêts d’un pays comme le nôtre, qui sont parfois divergents de ceux des Etats-Unis. Elle l’a prouvé quand nous avons négocié l’accord concernant UBS.

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