Islamisation: le Centre islam et société en pleine phase de conquête!

Ci-dessus : Les collaborateurs du centre. A droite, le directeur Hansjörg Schmid

 

Par Mireille Vallette

Le Centre islam de Fribourg étend son influence avec un succès fulgurant sur la sphère islamique et sur la société profane. En mêlant allègrement science, prosélytisme et croyance.

Pour éviter de s’égarer, voyons d’abord comment le Centre suisse islam et société (CSIS) contre lequel j’avais déjà mis en garde ici et ici, se présente:

«Son objectif est d’apporter, au travers de ses activités, une contribution au vivre-ensemble dans notre société plurielle, en soulevant les questions centrales de l’auto-interprétation religieuse des musulmans et en développant des solutions pour répondre aux défis sociétaux. D’une part, le CSIS encourage l’articulation scientifique de l’islam dans la société suisse. D’autre part, tenant compte des savoirs islamiques, il favorise la discussion académique d’une perspective musulmane sur les questions sociétales.»

Cette éclairante entrée en matière étant faite, voyons comment elle s’illustre dans le rapport annuel 2016 du centre. Il témoigne d’une activité débordante qui enthousiasme médias et autorités, et attire de plus en plus d’imams et d’acteurs des associations islamiques (qui gèrent les mosquées et leurs diverses activités). Le CSIS possède deux atouts maîtres pour séduire ces derniers: l’assurance d’un financement croissant de leurs activités par le contribuable, et une maîtrise parfaite du discours qu’apprécient médias et autorités, une maîtrise de la communication que les prosélytes de l’islam désirent tous ardemment posséder.

Les experts du CSIS ont commencé des coopérations avec les universités et les Hautes écoles, noué des liens avec tous les organismes qui s’occupent d’islam en Suisse, organisé des cours, conférences et colloques. Et proposé des ateliers de formation continue «de Lugano à Bâle et de Genève à Saint-Gall». Quelque 450 participants ont goûté à ces prestations gratuitement offertes aux musulmans (ce n’est pas précisé, mais c’était une demande du centre auquel les autorités ne peuvent rien refuser).

Les ateliers traitent notamment des «associations comme acteurs sociaux», de la sexualité et de la santé, de la prévention de la radicalisation (qui ne concerne bien entendu pas seulement l’islam), des jeunes. Et un thème récurrent: les aumôneries dans les hôpitaux et les prisons… qui représentent un bassin d’emplois très prometteur. Surtout qu’il va s’étendre: le CSIS évalue un projet-pilote d’aumônerie musulmane dans les centres fédéraux pour requérants d'asile. Il examinera la possibilité d’introduire cette aumônerie «à grande échelle». Soit une mine d’or pour le futur si l’on pense à tous les foyers susceptibles d’utiliser ces services, puisque les musulmans y logent en grand nombre et que les flux issus de sociétés déliquescentes, à la démographie insensée et aux conflits religieux millénaires ne sont pas près de tarir.

Injecte-t-on autant d’argent pour expliquer les attraits laïques de notre société? Le réfugié marocain Kacem Ghazzali n’en a rien vu.

Le contribuable finance son islamisation 

Le CSIS étend son pouvoir sur les 250 à 300 centres islamiques de Suisse, qu’ils soient wahhabites, turcs ou albanais, de même que sur la formation des professionnels en contact avec les musulmans: policiers, travailleurs sociaux, soignants, enseignants, personnel des prisons, collaborateurs des services de population et d'intégration, etc. Tous apprennent les bienfaits de l’islam sauce CSIS. Et les musulmans qui y participent s’initient aux moyens d’ouvrir des espaces religieux dans les domaines où travaillent tous ces professionnels.

L’on ne demande pas au contribuable s’il est d’accord de financer ces prosélytes afin qu’ils deviennent les rois de la communication tout en s’abstenant soigneusement de dire ce qu’ils enseignent de ces versets et hadiths qui indignent et inquiètent tant d’entre nous. La lutte contre l’islamophobie fait partie du kit proposé, mais pas, bien sûr, les raisons légitimes de cette hostilité. Le prosélytisme par le foulard et la dissimulation du corps est partout.

CSIS, rapport annuel, Fribourg

Esma Isis, diplômée et doctorante en «sciences islamiques» et collaboratrice du centre, illustre parfaitement que le fait de porter le foulard islamique va bien au-delà d’un simple signe d’identité religieuse. Elle témoigne aussi de la difficulté d’être croyante et de faire preuve d’un minimum d’objectivité. Selon elle, par exemple, on ne trouve nulle part dans le Coran, une discrimination entre hommes et femmes ou une hiérarchie entre les sexes! Il s’agirait là de normes et de valeurs culturelles.

Minona, dans son site Brisons le Mythe, donne une liste des versets sexistes du Coran, de même que les très nombreuses paroles de Mahomet qui les renforcent. Ils montrent l’inanité de cette obsession de musulmans modernistes non pas de rejeter ce que le Coran contient d’inacceptable, mais de lui faire dire ce qu’il ne dit pas et qu’ils aimeraient tant qu’il dise! On imagine qu’Esma Isis ne trouve pas non plus dans sa vision du Coran le moindre verset qui condamne au feu éternel tous les non-musulmans.

Notre croyante peut donc fièrement parler femmes musulmanes à un forum d’entrepreneurs, femmes et violence dans l’islam à une paroisse réformée, introduire l’islam à des élève d’un cycle d'orientation bernois. Et faire en sorte que son public se demande pourquoi il avait tant de préjugés à l’endroit de cette belle religion.

Par ailleurs, les chrétiens sont très utiles à ces activistes pour laisser croire qu’islam et christianisme, c’est du pareil au même. Quelques thèmes de l’année glanés ici ou là: «Pour ou contre la croix dans les écoles? Pour ou contre la burqa?» «Quel rôle la religion doit-elle jouer dans l’espace public? «Critique, contradiction, blasphème: questions au christianisme et à l’islam»…

Islamisation du radicalisme ?

Entre la thèse de Gilles Kepel et celle d’Olivier Roy, le CSIS a choisi: Roy soutient que la radicalité des candidats au djihad préexiste à l’islam, c’est «l’islamisation de la radicalité». Une analyse qui exonère cette religion de sa violence intrinsèque. Roy a été l’un des invités du CSIS en 2016.

Gilles Kepel défend la thèse inverse: il faut partir de l’islam, de l’hégémonie du discours salafiste pour comprendre les terroristes. Pour lui, le terme «radicalisation» comme celui d’«islamophobie» empêchent de mener le débat sur cette religion dont il rappelle par ailleurs que depuis le Xe siècle chez les sunnites, «la porte de l’interprétation du Coran est fermée, et les salafistes s’en emparent pour tenter d’imposer leur interprétation aux autres musulmans.» Kepel ne connait pas encore le CSIS qui à lui tout seul a secrètement rouvert la porte de l’interprétation du livre saint et essaie subrepticement d’en faire passer le seuil à son public.

Les bâtisseurs de pont ont besoin de passeurs

Selon le centre, les imams sont des «bâtisseurs de ponts», des médiateurs, des passeurs culturels. Il reste cependant à ces religieux quelques passerelles à franchir. Presque tous ont appris l’islam orthodoxe et ne parlent pas une des langues du pays. Les bâtisseurs de ponts ont donc un fort besoin d’intégration. Voilà encore une lourde tâche dont se charge le CSIS qui par ailleurs ne verrait pas d’un mauvais œil qu’on lui confie une formation d’imams.

Le centre est un institut interfacultaire: théologie, droit et lettres, dédié «à la formation de la relève scientifique et à la formation continue dans le domaine islam et société». Les doctorants sont des croyants musulmans. Ils acquièrent «des connaissances dans le canon classique des disciplines scientifiques islamiques». Ce doux mélange de croyances et de science est permanent. Et vu qu’il y a partout des néophytes profanes à éclairer et des musulmans à intégrer, former, rendre conscients de leurs capacités, le savoir de ces experts prosélytes sera très apprécié. Pour eux, l’avenir professionnel est radieux. Le programme souligne ces opportunités.

Commentaires

Les dirigeants du CSIS ont une approche plutôt novatrice l’islam. De quoi donc nous plaignons-nous? A vrai dire de pas mal de choses.

De ce centre «interfacultaire» de niveau universitaire, on attendrait quelques recherches réellement scientifiques: sur la nature de l’islam, la fabrication du Coran, la production de ses hadiths, l’empire croissant de la littéralité des textes dans le monde musulman et en Europe et ses dramatiques conséquences, la fidélité des exégètes depuis un millénaire à cet islam fossilisé et intolérant.

La présentation du centre citée en tête de cet article montre à quel point ses responsables entretiennent la confusion entre sciences et religion. Dans un premier article, le directeur du centre Hansjörg Schmid m’expliquait la signification de l’expression «sciences islamiques»: «Il s’agit de l’exégèse du Coran, des Hadiths, du droit islamique, de la mystique et de la théologie systématique, donc une pluralité de disciplines, comme dans les théologies chrétiennes.» Soit aucun fondement scientifique. Et si l’on passe le récit musulman au filtre de l’histoire, de l’archéologie, de l’épigraphie ou de la linguistique, il ne reste pas grand-chose de ces «sciences».

Autre étrange expression: «l’auto-interprétation scientifique islamique». «C’est l’idée de la modernité, me précisait Hans-Jörg Schmid, de la réflexion critique que des penseurs musulmans pourront mener dans notre centre.» Je maintiens ma remarque à ce propos: «Alors que les Occidentaux réfléchissent, critiquent et interprètent, les musulmans évolués «auto réfléchissent» et «auto interprètent»… Pour ne pas donner l’impression qu’ils remettent en cause l’orthodoxie de leur religion?»

Selon la vision du centre, la Suisse doit engager des moyens financiers extraordinairement élevés pour renforcer une religion déjà en pleine phase de conquête et d’occupation de l’espace public, et rendre plus efficaces ses zélateurs.

Les chrétiens (auxquels on n’a jamais appris gratuitement à mieux communiquer et à rendre leurs actions plus efficaces) se laissent instrumentaliser dans cette opération-suicide avec une complaisance qui laisse pantois.

Le CSIS, qui veut amadouer ses cibles, fait comme si les centres islamiques étaient préservés du radicalisme et du littéralisme, alors que les deux y sont présents en force (cf. mon livre, « Le radicalisme dans les mosquées suisses »). Comme d’ailleurs dans son «Conseil consultatif».

Le CSIS détruit doucement mais sûrement le caractère séculier de notre société. Sous couvert d’intégration, il forme des travailleurs sociaux «musulmans», des animatrices «musulmanes», des éducateurs «musulmans», des chercheurs «musulmans». Nous souhaitons nous, dans tous les domaines, des professionnels profanes, comme c’était le cas jusqu’à l’arrivée de cette immigration. Et ne pas verser un kopek pour rendre plus efficace le bourrage de crâne que pratiquent les mosquées, et en partie… le CSIS.

L’implicite de ce vaste dispositif, c’est que contrairement à ce que pourraient laisser penser les atrocités et les sociétés liberticides qu’il produit, l’islam n’est que peace and love. Nous sommes en pleine ère de l’imposture.

Le pire, c’est que toutes les autorités étant entrainées dans ce mouvement, on ne peut compter sur personne pour surveiller les activités de ce centre. Jusqu’à maintenant, pas le moindre contre-pouvoir, pas de vision contraire, pas d’examen critique. La Suisse s’islamise discrètement, dans l’enthousiasme des politiques et l’ignorance des populations.

csis,rapport annuel,fribourg

Source : blog de Mireille Vallette

Pays-Bas. Apeldoorn : 30 réfugiés ravagent un centre pour migrants (Vidéo)

Des images choquantes d'une émeute dans un centre d'asile aux Pays-Bas ont été diffusées.

Dans une vidéo de 40 secondes, on voit des migrants criant et jetant des chaises les uns contre les autres.

Le politicien néerlandais Geert Wilders a déclaré qu'un employé du centre lui avait envoyé la vidéo.

 

 

 

 

 

Le politicien controversé a posté la vidéo sur Twitter en écrivant: "vidéo choquante, Un centre d'asile aux Pays-Bas, à Apeldoorn, le vendredi 2 décembre. Reçue d'un employé #kickthemoutofourcountry..".

Mais la police néerlandaise a certifié que la bagarre avait eu lieu le 4 décembre 2015.

M. Wilders a déclaré aux médias néerlandais qu'il ne savait pas que la vidéo avait été prise lors d'un incident l'an dernier.

Il a dit: «Je ne le sait pas, mais cela n'a pas d'importance parce que c'est (tout de même) arrivé.»

(...)

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

A noter que le problème est déjà connu depuis des années:

Une fois tous les deux mois, l’employée Maaike fait face à une agression. Cela fait partie du quotidien, dit-elle: «il y a naturellement beaucoup d’émotion et de tension lors d’une telle conversation».

Les employés des centres de demandes d’asile (Den Bosch, Zevenaar, Ter Apel en Apeldoorn) ont signalé entre 2012 et 2015 environ 300 incidents/agressions. C’est la première fois que ces rapports sont rendus publics. Depuis 2011, l’Immigration et le Service de Naturalisation consigne précautionneusement les incidents afin d’avoir une vision précise de la nature et de l’ampleur de ceux-ci. En trois ans, 358 menaces ou tentatives de suicide ont été rapportées.
Les chiffres réels sont plus élevés, car les incidents du centre d’asile Schiphol sont depuis 2013 enregistrés dans un autre système. Le personnel ne signale également pas tous les incidents: «Nous encourageons la signalisation des incidents. Nous n’acceptons évidemment pas qu’une intimidation puisse influencer une décision».

«Vluchtelingenwerk Nederland» juge triste que ces employés soient confrontés à des agressions. L’organisation souligne que les agressions des demandeurs d’asile sont souvent orientées vers eux-mêmes et que les chiffres doivent être relativisés. «Il s’agit d’environ 100 plaintes par an sur 22.000 personnes qui ont fait une demande d’asile en 2014, c’est un pourcentage très faible».
Incidents

L‘année passée ont été traitées près de 22.000 demandes d’asile, contre 9.838 en 2013. Le principal groupe venait de Syrie (7.245), suivi par les demandeurs d’asile de l’Erythrée (2.449).
Dans les centres d’asile néerlandais seuls 2.741 incidents ont été enregistrés durant les six premiers mois de 2014. Après le suicide du demandeur d’asile russe Aleksandr Dolmatov, il a été décidé d’améliorer le système d’enregistrement.

Source

Allemagne: Les migrants incendient leur foyer avec un narguilé. 100’000 euros de dégâts.

Gössweinstein

Après l'incendie dévastateur dans un foyer pour demandeurs d'asile, les enquêteurs ont appréhendé deux suspects. Apparemment, les réfugiés voulaient allumer un narguilé,  ils ont manipulé des braises brûlantes - et ont ainsi incendié l'ancien café,

Les experts estiment les dégâts à 100'000 euros. (...)

Pour les deux hommes, le problème ne fait que commencer: ils doivent répondre d'incendie criminel par négligence. Les deux individus ont fait état "d'informations contradictoires sur les circonstances de l'incendie" selon un communiqué de presse de la police, toutefois ils ont reconnu leur erreur.

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Le scénario actuel des enquêteurs de l'incendie est le suivant: Les deux candidats ont apparemment allumé un narguilé, mais ont jeté le charbon de bois de manière inadéquate. «L'une des femmes de l'hébergement a senti de la fumée en pleine nuit et a réveillé tout le monde," déclare Reiner Polster, employé d'asile à la municipalité Gößweinstein. Ils ont eu de la chance dans la malchance: personne n'a été blessé.

Source Traduction Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

 

Uri: Malgré la vive opposition, la Confédération veut imposer le centre pour migrants

La conseillère d'Etat chargée des affaires sociales Barbara Bär (PLR) était accompagnée de représentants du canton et de la Croix-Rouge.

Mais les choses se sont corsées dès le début de l'allocution de la ministre. «Pas comme ça», a interjecté la porte-parole d'une société d'intérêts contre l'installation du centre. Celle-ci reproche à l'élue son manque de respect et de politesse et affirme que la commune a été mise devant le fait accompli durant les vacances d'été.

Malgré ce revers, Barbara Bär ne compte pas renoncer à installer un centre d'accueil à Seelisberg, explique-t-elle à l'ats.

Source et article complet

Allemagne : Un hôtel 4 étoiles pour les clandestins et le chômage pour les employés autochtones

ND Christian HoferNous parlions déjà de cet hôtel ici. A présent nous apprenons que le personnel ayant cotisé et sans doute financé l'aide à ces migrants via ses impôts est... licencié.

En plus de l'invasion, de la censure des médias, de l'arbitraire gouvernemental, du matraquage idéologique, de la culpabilisation, des agressions et autres viols, les autochtones doivent à présent débarrasser le plancher, sans ménagement. Des travailleurs européens honnêtes sont licenciés au nom du politiquement correct, pour héberger des gens venus profiter de notre continent!

Oui c'est cela l'enrichissement que l'on nous avait promis.

https://youtu.be/aQvjSc5lGFw

Bienvenue à Exact.

Pris par surprise et abandonnés, c'est ce que les employés de l'hôtel Maritim ressentent dans la ville de Halle.

L'hôtel a été transformé en logement pour réfugiés.

Les employés ont été informés par les médias que l'hôtel stoppait ses activités et aujourd'hui la plupart ne savent pas ce qui va se passer pour eux.

D'un hôtel 4 étoiles à un centre de réception pour réfugiés. Nos reporteurs sont sur place.

L'hôtel Maritim à Halle, jeudi dernier. Les voitures de police sont en position. Les employés sont rassemblés du côté de l'entrée.

L'hôtel a cessé toutes ses activités immédiatement.

"Ils (les responsables de l'hôtel) font tout cela sans nous consulter, juste au-dessus de nos têtes."

Les visiteurs et les gens qui ont leurs propres affaires dans l'hôtel sont écartés et on leur dit de partir.

(...)

Depuis la semaine dernière, rien n'est plus comme d'habitude désormais. Ils ont transformé l'hôtel 4 étoiles en un centre pour réfugiés.

Les employés l'ont appris dans les médias au début du mois de septembre.

Andreas Lehmann est le président du conseil des travailleurs.

Nous l'accompagnons à son dernier jour de travail. Il a travaillé dans l'industrie hôtelière pendant 37 ans. Il a été l'auditeur de l'équipe de nuit à la réception de l'hôtel. A présent, il est sans emploi.

"Oui je suis fâché que mon emploi soit fini. Je ne sais pas...

Je suis furieux. Je ne sais pas comment je suis supposé agir."

(...)

Environ 50 de ses collègues ont été virés.

Britt Heidenreich est présente aussi. C'est son anniversaire aujourd'hui. Elle est âgée de 42 ans, durant 25 ans elle a travaillé à l'hôtel Maritim en tant que serveuse.

La fermeture soudaine l'a prise totalement par surprise, comme chacun.

"Comment devons-nous traiter cela... Nous sommes en train de le voir, nous ne pouvons pas croire à cette situation."

(...)

Traduction Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

Suède : les emplacements des centres d’accueil des migrants seront désormais secrets

La Suède ne veut plus dévoiler l’adresse des centres d’accueil pour les demandeurs d’asile.

En cause, les incendies qui ont réduit en cendres ou endommagé une quinzaine d‘établissements. La police privilégie la piste criminelle.

“Nous avons repensé les procédures d‘évacuation, parlé aux résidents, et dans certains cas, nous avons durci les mesures de sécurité. Il faut plusieurs éléments supplémentaires pour que l’on puisse se sentir à nouveau en sécurité, ce qui est notre objectif“m insiste Wills Åberg, de l’Agence des Migrations;

La Suède est l’un des pays d’Europe qui attire le plus de réfugiés. Elle prévoit entre 140 et 190 000 demandes d’asile cette année, pour une population de moins de 10 millions d’habitants.

Source

Suisse: 50 millions supplémentaires pour les centres d’accueil des réfugiés

La réalisation de nouveaux centres fédéraux d'accueil des demandeurs d'asile nécessitera davantage de moyens financiers.

Contre l'avis de l'UDC, le National a accepté jeudi par 125 voix contre 51 de libérer 50 millions de francs dans le budget 2015 pour les constructions civiles. Il a ensuite donné sans opposition son feu vert à une facture totale de 253,5 millions de francs, dont 165,4 millions pour les constructions et 88,1 millions pour les locations. Le Conseil des Etats doit encore se prononcer.

Source

St-Gall transforme une maison de vacances en centre d’asile

Le canton de St-Gall va louer une maison de cure et de vacances gérée jusque-là par des nonnes à Amden, au-dessus du Walensee, pour faire face à la pénurie de places pour les réfugiés.

Source et Article en allemand

Le prix des chambres était de 100.-- par personne et par nuit en chambre individuelle comme notifié sur ce lien.

Ces requérants seront mieux logés que de nombreux Suisses!

Photos de la maison de cure et de vacances:

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