Cologne (All.) : un Syrien avait placé une bombe à clou. La presse cache l’origine du criminel.

On a pu l'admirer de manière exemplaire une fois de plus dans le cas de la tentative d'attentat terroriste à la gare de Cologne-Deutz samedi dernier : la police de Cologne a arrêté un suspect de 21 ans dans cette affaire. Il n'y a plus que deux possibilités pour rendre compte de ces cas : Soit l'expression populaire "Un homme" est utilisée, avec un anonymat complet de l'ethnicité et de l'origine de l'auteur. Ou - si la personne en question est un Allemand bio, alors la désignation de la nationalité est non seulement sans problème, mais aussi obligatoire pour le désamorçage préventif des préjugés "racistes".

Il est d'autant plus surprenant de voir ce que les médias régionaux de Rhénanie du Nord-Westphalie ont fait du rapport de police : Ils ont expliqué que l'auteur était un "jeune homme de Lüdenscheid" ; cette remarquable formulation a été utilisée non seulement par la WDR et divers quotidiens de Cologne, mais aussi par le journal "DerWesten".

La manchette mentionnait déjà le "Sauerlander" [NDLR : "l'habitants de la région allemande de basse montagne du Sauerland"], qui avait entre-temps avoué avoir placé l'engin explosif dans les toilettes d'un train régional. Selon le portail, "son mobile est préoccupant" et "amer" : il avait agi "par mécontentement de sa situation sociale précaire", selon la police ; par son acte, il avait "voulu attirer l'attention du public". Tout cela aurait été tout à fait inoffensif - s'il n'y avait pas eu l'ancien président de l'Office pour la protection de la Constitution, Hans-Georg Maaßen, qui a gâché la belle idylle avec quelques informations de fond.

 

 

 

"Par souci d'exhaustivité: le Sauerländer est né en Syrie en 1999 et possède un permis de séjour en tant que demandeur d'asile."

Mais bon ! Ce que l'habitant de la région allemande de basse montagne du Sauerland ne sait pas : vous avez le blues, vous êtes insatisfait de votre vie, alors vous emballez une bombe à clous avec des explosifs et vous la mettez dans les toilettes de la gare. Cela peut arriver ! C'est probablement pour cette raison que la police de Cologne a libéré le jeune homme de 21 ans après ses aveux - par la plus haute instance du ministère public de Düsseldorf. L'Allemagne est comme ça...

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Journalistenwatch.com

Nos remerciements à Victoria Valentini

Berne: Alerte à la bombe. La place autour de l’Eglise du Saint-Esprit bouclée.

Une grande intervention des forces de l'ordre était en cours, vendredi après-midi, au centre-ville de la capitale. Une menace est à l'origine du déploiement.

Les forces de l'ordre ont bouclé vendredi en début d'après-midi la place de la gare à Berne, autour de l'église du Saint-Esprit, après une alerte à la bombe, annonce la police cantonale bernoise. Une personne a été arrêtée.

"Nous clarifions actuellement les choses", écrit la police cantonale sur son compte Twitter. "Pour des raisons de sécurité, les alentours de l'église du Saint-Esprit resteront fermés jusqu'à nouvel ordre."

Selon des témoins, les employés des bureaux environnants ont été évacués. D'après un journaliste de l'ats présent sur place, la police a demandé par mégaphone aux passants de quitter la place de la gare. Les lignes de bus et de tram sont momentanément interrompues et le trafic est paralysé.

 

Source Source2

Allemagne: Un explosif découvert sur un marché de Noël

La police allemande a annoncé dans un premier temps avoir découvert un explosif dans un paquet déposé dans une pharmacie, sur un marché de Noël, près de Berlin. Mais il n'est toujours pas clair s'il s'agissait d'un leurre ou d'un véritable explosif.

Massivement déployée, la police a évoqué dans un premier temps que le colis contenait des explosifs et a précisé sur Twitter avoir également ordonné d'évacuer une partie du centre-ville.

Poudre, clous et câbles mais un doute sur la présence d'explosifs

Selon le quotidien Märkische Allgemeine, qui cite une porte-parole de la police, le colis suspect contenait une boîte en métal, ouverte par un employé de la pharmacie. D'après le magazine Bild citant la police, l'objet contenait toutefois des câbles, une batterie, de la poudre blanche ainsi que des clous.

 

 

Les autorités régionales ont toutefois tempéré par la suite les affirmations de la police. «Il n'est pas clair s'il s'agit d'un leurre ou d'un explosif», a déclaré le ministre de l'Intérieur du Land (Etat régional) du Brandebourg, Karl-Heinz Schröter, sur la chaîne de télévision Ntv.

(...)

Source et article complet

Italie : Des bombes contre les migrants, nous risquons actuellement la guerre civile

De Turin à Tarante, en passant par les régions « rouges » (ndt les régions politiquement à gauche) et le Latium, de plus en plus de bombes explosent près des centres d’accueil et des hôtels qui logent les migrants

Par Francesco Curridori

Du nord au sud, en passant par les îles, la révolte contre le business de l’accueil des migrants envahit toute la botte. Les bombes ou les cocktails molotov, mais également des armes plus rudimentaires sont les moyens les plus utilisés par les citoyens pour stopper l’arrivée des migrants dans leurs villages.

La Sardaigne, l’île où la crise économique favorise la révolte

Le cas le plus récent et le plus marquant s’est passé jeudi de la semaine passée devant le centre de premier accueil de Dorgali, dans la province de Nuoro. Par chance les 64 occupants ne furent pas blessés même si l'explosion a fait un grand trou à l'extérieur du bâtiment.  Ce n'est pas le premier cas en Sardaigne, en fait cette aversion envers les réfugiés a déjà connu deux précédents. Le 11 octobre passé, l'ex caserne de Monastir, dans la province de Cagliari, a subi un attentat incendiaire suite à la décision du préfet de mettre à disposition ce bâtiment pour en faire un centre d'accueil. La même chose s'est produite à Burcei, également dans la province de Cagliari, aux premiers jours de septembre, quand une maison privée qui devait accueillir 25 migrants a été dévastée. En novembre, à Buddusò, un village de 4.000 habitants, un complexe de tourisme rural qui devait héberger des réfugiés, a été pris pour cible et dévasté par une bombe artisanale.

Les Sardes ont dépassé le seuil de tolérance. Ils considèrent cet afflux de migrants comme une invasion en bonne et due forme, et ceci dans une région qui a un des plus haut taux de chômage d'Italie. Le seuil de tolérance est dépassé et a eu une répercussion telle sur le Partito Democratico (ndt, le PD est le parti gouvernemental), autant au niveau national que régional, que le 4 décembre dernier, la Sardaigne a enregistré le taux le plus élevé de Non au référendum constitutionel.

La majorité du président PD Francesco Pigliaru, toujours plus fragile s'est effondrée le 26 juillet à l'occasion d'un vote sur le tourisme, grâce à un amendement qui avait été proposé par Forza Italia. Cet amendement refusait que des fonds régionaux aillent aux hôtels qui, plutôt que recevoir les touristes, accueillent des migrants.

Devant une telle règle de bon sens, et grâce au vote secret, même des conseillers de la majorité ont pu voter conformément à leur sentiment d'apartenance sarde. Mais cela n'a pas suffit à calmer les esprits.

Le 30 juillet, à Sassari, une villa, qui devait devenir un centre d'accueil pour migrants, a été attaquée par quelques individus qui ont mis le feu aux matelas qu'on avait amené quelques jours plus tôt.

La colère des citoyens du Latium et du Nord de l'Italie

Et pourtant, la Sardaigne n'est pas un cas isolé. Le 25 juillet, à Rocca di Papa, aux porte de Rome, une bombe a été lancée contre le mur d'enceinte d'une structure d'accueil destinée à héberger 500 Nord-Africains. En mai 2015,  toujours dans la province de Rome, des habitants de Marino, avaient fait irruption dans un immeuble qui, sur décision de la préfecture, avait été choisi pour loger 78 réfugiés.

D'autres faits similaires se produisent aussi dans le Nord. En Vénétie, il y a environ une semaine, des jeunes gens ont lancé trois feux de bengale contre le centre d'accueil extraordinaire "La Verdiana di San Vito di Legnago" dans la province de Vérone. Le 17 février de cette année, à Aselogna di Cerea, toujours près de Vérone, une bombe a explosé contre le portail d'une structure qui abrite une vingtaine de requérants d'asile. A la fin octobre 2016, à Prada di San Zeno di Montagnaun, un ancien hôtel a été touché par deux bombes artisanales. En décembre de la même année, au Frioul, une lettre de menace a été envoyée au syndic de Turriaco et une bombe incendiaire a été retrouvée dans les jardins de la rue du 5 Juin, à côté de l'ancienne caserne des carabiniers où devaient être accueillis 12 migrants.

Et, beaucoup plus récemment, des actes similaires se sont produits en Lombardie. Une attaque à coup de cocktails Molotov contre l'hôtel Eureka à Vobarno, (province de Brescia). Ces évènements ont eu lieu début juillet et ont provoqué un incendie qui a détruit le rez-de-chaussée de cet hôtel qui devait recevoir des requérants d'asile. La même méthode a été utilisée fin mars pour endommager une petite villa à Cumignano sul Naviglio (province de Cremona).

Même au Piémont il y a eu des conflits entre Italiens et migrants. En novembre 2016 des Turinois, exaspérés par une situation qui se dégrade de plus en plus, on lancé deux engins explosifs contre les bâtiment ex Moi, occupé depuis des années par des centaines de nord-africains lesquels sont tout de suite descendus dans la rue où il y a eu de très violents affrontements. En septembre, une enveloppe contenant un engin explosif a été envoyé à l'agence de Voyage 747 qui s'occupe d'organiser le rapatriements de migrants.

Dans les régions gouvernées par la gauche, la colère contre les migrants monte au son d'engins explosifs

La "rouge Emilie" elle aussi a prouvé qu'elle n'en peut plus de cette arivée continue de migrants. Le 19 juillet, à Forli, deux bouteilles incendiaires ont été lancées sur le Cas (centre d'accueil extraordinaire), géré par la Croix Rouge qui hébergeait un seul migrant. En février, au centre d'accueil de Spadarolo, à Rimini, on a lancé des bouteilles : une vitre a été cassée et les ordures ont été éparpillées ce qui a sali les murs du bâtiment et le jardin. En mai 2016, à Parme, le siège d'un centre d'accueil pour réfugiés où vivaient une vingtaine de personnes, avait aussi été pris pour cible.

Dans les Marches, la plupart des agressions ont eu lieu en 2016, l'année où, à Fermo, Emmanuel Chidi a été tué suite à une dispute. Avant cet épisode, déjà une certaine intolérance montait face à l'arrivée continuelle de migrants. Cela s'est vérifié dans les premiers jours de mai avec un incendie volontaire contre l'hôtel Mark à Frontignano, qui était fermé depuis 10 ans et devait accueillir des réfugiés.

A Montottone, un petit village de la province de Fermo, une bombe a explosé devant l'église Santa Maria à l'endroit où sont accueilli les réfugiés. L'auteur de ce geste avait déjà sévi en avril à San Marco alle Paludi di Fermo.

Au Sud de l'Italie

Si on descend dans le sud de l'Italie, la situation n'est pas différente. En Calabre, à San Fernadino, un incendie probablement volontaire s'est déclaré début juillet dans un village de tentes. Toujours à San Fernandino, entre le 10 décembre et le 3 janvier 2016, 6 nord africains ont été agressés aux alentours de la date anniversaire de la révolte de Rosarno.

Dans les Pouilles, le dernier épisode de violence a eu lieu début juin quand une bombe a explosé près d'un centre d'accueil extraordinaire à Ginosa (province de Tarente).

 

Source : ilgiornale.it 

Traduction D. Borer pour les observateurs.ch

 

Espagne: Un Marocain prétend détenir une bombe et sème la panique dans un TGV (Vidéo)

Un individu disant être de nationalité marocaine a crée la panique, mercredi 2 mars dans l’après-midi à bord d’un TGV (Train à grande vitesse) reliant Barcelone à Gérone, en menaçant d’exploser une bombe qu’il prétendait avoir sur lui, indiquent plusieurs médias internationaux. L’incident s’est finalement avéré être une fausse alerte, informe El Periodico.

La police est intervenue dans la gare de Gérone pour arrêter le suspect. L’accès à la station a été interrompu pendant plusieurs minutes.

Ce sont les passagers qui ont donné l’alerte en tirant le signal d’alarme d’urgence installé dans le train. Ils ont indiqué qu’un homme d’apparence arabe était en train de proférer des menaces en français et en arabe et qu’il transportait une bombe, d’après le journal anglais Express.

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France: Alerte à la bombe à Vélizy 2 : opération de déminage en cours

Selon la préfecture des Yvelines, une opération de déminage est en cours au centre commercial Vélizy 2, et une évacuation partielle de la galerie est en cours. La circulation des bus a été arrêtée dans la zone.

Suite à une alerte à la bombe, le centre commercial Vélizy 2 est actuellement fermé et fouillé par les forces de l'ordre, à mesure que le public est progressivement évacué. Le service de déminage est sur place.

D'après un témoin contacté par RT France, les agents de sécurité auraient remarqué grâce au système de vidéo-surveillance deux suspects rentrer dans la galerie commerciale avec un colis et une cocotte-minute. L'auto-cuiseur aurait été retrouvé avec un explosif à l'intérieur

Velizy

 

Source

Suède: évacuation de deux trains près de Stockholm après une alerte à la bombe

Deux trains à Gothenburg et Södertälje, près de Stockholm, ont été évacués, jeudi, après une alerte à la bombe ayant causé une grande interruption du trafic de et vers la Capitale suédoise.

La première alerte à la bombe a eu lieu à 13 heures et visait un train express de Gothenburg provenant de Stockholm.

Les responsables ferroviaires ont arrêté le train juste avant d'atteindre Göteborg pour des raisons de sécurité, selon les médias locaux.

 

 

L’Administration suédoise du transport a confirmé la suspension du trafic ferroviaire de et vers Stockholm. Quelque 270 passagers étaient à bord des deux trains où une équipe de déminage a été dépêchée.

Source1 Source2

France: Elle menace de « poser une bombe » car on lui a servi un sandwich contenant du porc

L’affaire de la violente altercation survenue mardi à Cahors entre une cliente et des vendeuses de la Mie Câline, que nous relatons dans notre édition de ce jour, prend de nouvelles proportions.

À l’instar des responsables de cet établissement, la cliente impliquée dans ce dossier très sensible a également porté plainte au commissariat de Cahors. Elle ne nie pas les menaces de mort qu’elle a proférées à l’encontre des vendeuses, ni sa phrase choquante où elle annonçait qu’elle reviendrait et «poserait une bombe».

Dans le contexte actuel, chacun comprend aisément que ce type de menace verbale puisse profondément choquer et attiser les peurs.

En revanche, cette cliente assure qu’il y a eu un échange de jets d’objets la blessant au visage et qu’elle n’est donc pas la seule à avoir agi ainsi. La responsable du personnel de l’établissement confirme que l’une des vendeuses a en effet riposté. «Elle s’est simplement défendue», assure-t-elle.

La cliente ne décolère pas. Elle a justifié son attitude en indiquant que l’une des vendeuses lui avait, par erreur, servi un sandwich contenant du porc. «Je suis d’origine maghrébine», lâche-t-elle. L’enquête de police fera toute la lumière sur ce dossier. Les caméras de surveillance livreront aussi leur vérité et la justice tranchera. Mais les services compétents n’indiquent pas, pour l’instant, que les protagonistes de cette affaire auront à s’expliquer à la barre d’un tribunal.

La Dépêche

Bâle: Un islamiste suisse voulait-il fabriquer des bombes?

La police a découvert des produits chimiques destinés à la fabrication de bombes lors d'une perquisition chez un Bâlois radicalisé.

La Suisse a-t-elle échappé à un attentat à la bombe? Peut-être. En effet, la police a découvert chez un Suisse radicalisé de 31 ans, habitant à Arlesheim (BL), plusieurs produits chimiques destinés à la fabrication de bombes, écrit Blick jeudi.

La perquisition a été demandée par le Ministère public de la Confédération qui avait l'homme dans son viseur depuis un message privé posté sur Facebook. Un message dans lequel il écrivait, peu après les attentats de Paris de novembre dernier, que «la France l'avait bien mérité et qu'il devrait y avoir encore plus d'attaques dans ce sale pays

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