Avortement sans frontières: les partis danois veulent financer l’avortement des femmes polonaises

Les sociaux-démocrates « Enhedslisten » et « De Radikale » veulent que l'État danois réserve 20 millions de couronnes danoises sur quatre ans pour « aider » les femmes polonaises à avorter au Danemark, écrit un correspondant danois de Transylvanie, citant des informations locales. Le Parti libéral appuie également la proposition.

Ce n'est pas la première fois que les femmes polonaises sont « aidées » dans les soins de santé danois gratuitement.

La Pologne a modifié sa loi sur l'avortement, qui est désormais si stricte que les femmes ne peuvent se faire avorter que si la grossesse est due à un inceste ou à un viol, ou si la vie de la femme est en danger.

Les 20 millions de couronnes iront à l'organisation « Sexe et société », qui, en coopération avec l'association polonaise « Avortement sans frontières », permettrait l'avortement des femmes polonaises conformément à la loi danoise. Ce montant pourrait « aider » 165 femmes par an, écrit Politiken.

Seul le Parti populaire danois n'est pas favorable à cette proposition.

« Nous avons beaucoup à faire au sein de notre système de santé qui nécessiterait un budget plus important, nous pensons donc que l'argent ne peut pas être dépensé pour les citoyens d'autres pays », a déclaré à Politiken la porte-parole du Parti populaire danois pour les affaires de santé, Liselott Blixt.

Avant 1973, c'étaient les Danoises qui se rendaient en Pologne en tant que «touristes de l'avortement», explique le porte-parole radical Morten Helveg Petersen. Il ajoute que cette question doit être examinée à la lumière des « horreurs » qui se déroulent en Pologne. Nous considérons la loi polonaise anti-avortement comme une atteinte aux droits fondamentaux des femmes. Depuis la chute du communisme, il y a eu des lois très strictes sur l'avortement dans la Pologne à majorité catholique. Il est pratiquement interdit depuis 1993. Dans le pays, au cours des 30 dernières années, pratiquement tous les avortements ont été pratiqués en raison d'anomalies graves. L'exception à l'interdiction est désormais abolie. Les critiques pensent que le gouvernement polonais a profité du ralentissement de la pandémie pour mettre en œuvre sa politique impopulaire.Selon les agences d'aide et les médecins interrogés par The Guardian, les femmes polonaises « demandent de l'aide » à des cliniques en Allemagne, en Slovaquie et en République tchèque, payant 3 à 4 000 couronnes pour un avortement.

source: https://magyarnemzet.hu/kulfold/a-dan-partok-finansziroznak-a-lengyel-nok-abortuszaert-10107257/

traduction: Cenator

************

Regretter d'être MÈRE - analyse sociologique

La Carologie, (33:14)

Un rapport de l’UNICEF banalise l’effet de la pornographie sur les enfants

Cenator: Très clairement, la gauche mondialiste qui a pris le pouvoir dans les ONG onusiennes cherche à attaquer par tous les moyens la civilisation occidentale.

Les campagnes de propagande pour la déconstruction des genres, de la famille et les attaques contre la santé mentale des enfants se succèdent.

La sexualisation des enfants a commencé partout en Europe avec l’enseignement des théories du genre dès le plus jeune âge. Les forces déconstructionnistes ont une claire intention d’influencer l’orientation et l’identité des enfants.

Les progressistes ont une volonté évidente de dissoudre les mœurs, les données biologiques, d'ébranler toutes les bases de notre civilisation, son système immunitaire construit durant des millénaires, pour lui enlever sa capacité de se défendre.

Découlant de la guerre culturelle que la gauche mène contre la civilisation occidentale, les recherches liées aux sciences sociales sont pratiquement toutes idéologiquement biaisées et à fortiori celles qui se basent sur les sondages d'enfants, auxquels il est plus facile de faire dire ce qu’on veut.

Alors que dans les pays touchés par la révolution déconstructionniste, il y a déjà un gros problème avec les grossesses d’adolescentes, tout comme avec l’explosion des enfants qui demandent à entamer une transition de genre, cette nouvelle de l’UNICEF, qui banalise l’influence de la pornographie sur les enfants, amènera encore de toute évidence une aggravation de tous ces problèmes.

Nous aimerions savoir comment cette recherche s’est déroulée, et quel était l'âge des « sondés ». Ont-ils questionné les enfants après un visionnage de porno, et qu'ont-ils demandé (et comment) pour être en mesure de savoir si cela les avait perturbés ou rendus heureux ? C'est ahurissant!

Sans parler du fait que l’enfant n’est pas un animal de laboratoire qu’on peut simplement utiliser pour des "expériences scientifiques".
Ce genre d’étude ne devrait tout simplement même pas exister.

Les faits sont là : les principaux représentants des enfants, les parents et les enseignants ne souhaitent pas que les enfants regardent du porno ; que représentent alors ces chercheurs de l’UNICEF ? Que veulent-ils obtenir en classant l’accessibilité à la pornographie en ligne, comme faisant partie désormais des "droits humains des enfants", vitaux pour leur éducation sexuelle?

N'est-ce pas qu'un pas de plus pour contourner et amoindrir l'autorité parentale, pour étatiser l’éducation des enfants ?

Nous avons appris que des enfants de 19 pays européens auraient participé à ces "sondages". Parce que tout naturellement, cela ne marche qu’en Europe. Par exemple, Poutine, Orban auraient envoyé l'UNICEF sur les roses si cette dernière avait voulu interviewer les gosses sur leurs expériences avec le porno. Est-ce que l’UNICEF imagine un seul instant exporter ses conclusions au Pakistan ? Au Niger ? En Indonésie ? Ou en Chine ?

Mais l’UNICEF idéologiquement biaisée, comme toutes les ONG liées à l'ONU, ne s’occupe pas seulement de "sexualiser" des enfants mais aussi, comme le montre le rapport ci-dessous, de la promotion de l’avortement, ce qui est diamétralement à l'opposé de sa mission de base.

En plus, avec la banalisation de la pornographie, qui deviendrait un droit humain, car selon le rapport, la pornographie aurait une dimension instructive - l’Unicef défend les productions pornos, alors que beaucoup de mineurs sont exploités, détruits par cette industrie et que les abus sur les jeunes femmes lors des tournages sont légion.

Et finalement, nous aurions tendance à devenir de mauvaises langues et à nous demander, après tant de scandales au sein des ONG ces derniers temps, s'il y a des milliardaires et grands donateurs de l’UNICEF  derrière cette banalisation de la pornographie ? Quelles personnes et agendas idéologiques vont-ils profiter de ces conclusions aberrantes et perverses ?

*****

14 mai 2021  WASHINGTON, D.C.i (C-Fam) Une agence des Nations Unies est à nouveau plongée dans la controverse pour un rapport récent suggérant qu’il n’y a aucune preuve concluante que les enfants exposés à la pornographie subissent des dommages.

Le rapport publié par le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF) traite de la manière dont la politique gouvernementale peut être utilisée pour protéger les enfants contre les contenus nuisibles, abusifs et violents en ligne.

Sa conclusion est basée sur une étude européenne de 19 pays de l’UE qui a révélé que dans la plupart des pays, la plupart des enfants qui ont vu des images pornographiques n’étaient «ni bouleversés ni heureux».

En fait, selon le rapport sur lequel l’UNICEF se fonde, 39% des enfants espagnols étaient heureux après avoir vu de la pornographie.

Les combattants du porno ne sont pas d’accord avec les données de l’UNICEF.

«Le rapport de l’UNICEF ignore le vaste corpus de recherches démontrant les méfaits de la pornographie pour les enfants. En ignorant les effets néfastes réels que la pornographie peut avoir, l’UNICEF joue à la roulette avec la santé et la sécurité des enfants », a déclaré Lisa Thompson, vice-présidente et directrice de l’Institut de recherche du Centre national sur l’exploitation sexuelle.

L’organisation de Thompson, qui fournit des recherches d’experts pour éclairer les décisions politiques visant à mettre fin aux abus et à l’exploitation sexuels des femmes et des enfants, a constaté que la pornographie peut être un moteur central de ces abus.

«La pornographie grand public contient des abus sexuels horribles, des viols, des incestes, du racisme – que les enfants ne devraient pas consommer», a poursuivi Thompson,

et «l’évaluation de l’UNICEF sur les impacts de la pornographie hardcore sur les enfants ne fait rien pour remettre en question le discours politique selon lequel la pornographie est bénigne, et, par conséquent, met les enfants en danger. ”

L’étude 2020 EU Kids Online a conclu que certains enfants et jeunes «recherchent intentionnellement du contenu sexuel» pour diverses raisons et que voir des images sexuelles «pourrait également représenter une opportunité» de fournir des réponses aux questions sur la puberté et l’identité sexuelle.

L’étude a encouragé à «voir les nuances» qui amènent les enfants à rechercher et à consulter du contenu sexuel en ligne.

L’UNICEF affirme que tout effort visant à empêcher les enfants d’accéder à la pornographie en ligne pourrait enfreindre leurs droits humains.

L’UNICEF fonde cette affirmation sur une interprétation large du Pacte international relatif aux droits civils et politiques.

L’UNICEF affirme également que demander une vérification de l’âge pour accéder à la pornographie en ligne peut empêcher les enfants d’accéder à ce qu’il appelle «une éducation sexuelle vitale».

Il convient de noter que les critiques affirment que «l’éducation sexuelle complète» est pornographique et nuisible aux enfants.

La publication de ce rapport par l’UNICEF intervient quelques jours à peine après que l’Agence américaine pour le développement international a annoncé le renouvellement de son partenariat de longue date avec l’UNICEF, engageant 300 millions de dollars supplémentaires en financement direct du programme.

Les États-Unis sont le plus grand donateur gouvernemental de l’UNICEF avec un financement 2020 atteignant près de 994 millions de dollars en programmes humanitaires et de développement.

L’UNICEF a généralement rejoint la campagne féministe des Nations Unies pour appeler à l’avortement.

L’agence pour les enfants a été fondée pour aider les enfants déplacés après la Seconde Guerre mondiale. Les critiques affirment que l’UNICEF s’est éloigné de sa vision fondatrice et que cet appel à l’accès des enfants à la pornographie sous le couvert des droits de l’homme et de l’éducation sexuelle souligne ce changement. À un moment donné, le Saint-Siège a mis fin à son don symbolique annuel à l’UNICEF.

source: https://c-fam.org/friday_fax/un-rapport-de-lunicef-affirme-que-la-pornographie-nest-pas-toujours-nocive-pour-les-enfants/

Suisse: Les hôpitaux utilisent des pilules abortives au-delà de leur autorisation

Une telle utilisation de cette pilule abortive est considérée comme une utilisation hors indication. Cette pratique bénéficie désormais d’un statut semi-officiel. [...]

Entre 10’000 et 11’000 avortements sont pratiqués chaque année en Suisse.

source: https://www.24heures.ch/les-hopitaux-utilisent-des-pilules-abortives-au-dela-de-leur-autorisation-778358666430

******

Pendant ce temps, la Hongrie se prépare pour vendredi prochain à une nouvelle "Marche pour la vie", une manifestation anti-avortement et pro-famille.

Marche pour la vie - Un mouvement civil contre l'avortement

Non seulement l'avortement a tué, mais il a imposé un fardeau incommensurable aux parents, causant un préjudice moral et matériel à la société - la campagne Marche pour la Vie, qui sera relancée le 4 juin, après son annulation de l'année dernière pour cause de coronavirus.

L'avortement a été considéré comme une intervention légale en Hongrie, sous la pression soviétique, depuis le 4 juin 1956, et depuis lors, un total de sept millions d'enfants, donc presque une nation entière de fœtus, sont morts de cette façon,

déclarait récemment à notre journal Zsuzsanna Görgey, porte-parole du mouvement. Le défilé est prévu chaque année pour le 4 juin, qui correspond d’une part à cet anniversaire, d’autre part aussi à celui du traité de Trianon, car ce grand nombre d'avortements peut être interprété comme une sorte de Trianon interne.

La militante pro-vie a également rappelé que l'avortement, en plus de tuer le fœtus, cause également un préjudice incommensurable à la société. On connaît bien aujourd'hui le syndrome dit post-avortement, qui provoque des problèmes mentaux prolongés pour une mère qui a eu un avortement (souvent aussi pour les pères qui ne voulaient pas d'avortement) ; ces problèmes peuvent conduire à une incapacité de travail ; ils peuvent poser des problèmes pour le fonctionnement d'une société et, plus largement, d'une économie.

Grâce à la politique familiale du gouvernement hongrois, le désir d'avoir des enfants a augmenté en Hongrie. Selon Zsuzsanna Görgey, alors qu'avant 2010, 48% des grossesses se terminaient par un avortement, ce chiffre n’est plus que de 25% selon les dernières statistiques. C'est un chiffre particulièrement bon en comparaison européenne, mais qui signifie tout de même que la vie d'un enfant conçu sur quatre est encore éteinte.

Soit dit en passant, la politique familiale hongroise est maintenant un exemple en Europe également. Des experts ont remarqué que la loi sur l’avortement introduite en Italie en 1978 a rapidement entraîné une baisse de la population, une augmentation des problèmes de santé publique et une aggravation de la charge budgétaire, et ont donc commencé à étudier le modèle hongrois. La Hongrie coopère également avec les pays du V4 en matière de protection familiale .

La Marche pour la vie est un événement public, tout le monde peut y paraticiper. Elle partira de la Place des Héros le 4 juin à 14 heures et se terminera au monument de 1956 dans le quartier de Tabán.

source: https://magyarnemzet.hu/belfold/ujra-az-elet-vedelmere-buzditanak-a-felvonulok-junius-4-en-9865628/

Traduction libre: Cenator

Une militante du mouvement pro-avortement en Argentine meurt des suites de son propre avortement.

Les médias hispanophones ont rapporté que la militante pro-avortement, , est décédée des suites de ce qu'elle avait appelé son avortement "de rêve". Elle était âgée de 23 ans et dirigeait la Jeunesse radicale de la municipalité de La Paz, dans la province de Mendoza. Sa mort a rallumé le débat sur l'avortement en Argentine et rappelé que l'avortement n'est pas une opération anodine.

(Ndt. Maria de Valle est décédée le 11 avril d'une septicémie, quatre jours après son avortement. Une enquête a été ouverte pour soupçon de mauvaise pratique médicale. Sources: 1, 2.)

La femme avait subi un avortement légal dans un hôpital local. L'opération s'est avérée fatale pour elle. Ce fait a choqué le public, car il s'agit du premier décès depuis l'adoption (par le Sénat), le 30 décembre 2020, de la nouvelle loi, très controversée, qui autorise l'avortement dans certains cas. Auparavant, l'avortement était illégal dans ce pays majoritairement catholique.

Le Dr Luis Durand, un chirurgien argentin, a tenu à rappeler que "l'avortement, même légal, n'est pas un acte médical. […] La mort de l'enfant est toujours brutale. On le brûle en injectant des substances dans l'utérus, ou on le retire par démembrement, ou encore on le soumet à des spasmes utérins extrêmes qui l'asphyxient."

Durand ajoute qu'une infection ou une septicémie peut apparaître chez les femmes qui prennent le médicament Misoprostol lorsque les médecins ne parviennent pas à extraire l'enfant complètement et que des restes en subsistent dans l'utérus.

"C'est pourquoi il est faux de croire qu'une telle opération est vraiment sûre", a-t-il ajouté.

Walter Sanchez Silva, journaliste à ACI Prensa, a relevé le silence des féministes autour de la mort de Maria del Valle Gonzalez Lopez.

Certains dénoncent un "deux poids deux mesures". La leader pro-vie Guadalupe Batallan a écrit sur Twitter: "Si Maria était morte à la suite d'un avortement clandestin, les féministes auraient dévasté la ville. Mais puisque Maria est morte après un avortement légal, sa mort a été effacée."

Elle souligne également que malgré ce que les femmes peuvent croire, il n'existe pas d'avortement sans risque.

[…]

Source: Argentinian pro-abortion leader dies during abortion procedure

Traduction libre Albert Coroz pour LesObservateurs.ch

Deuil National… en mémoire des 10 millions d’enfants avortés : à quand une politique de la vie ?

Nicolas Tardy-Joubert, nouveau Président de la Marche pour la Vie, publie une tribune dans Valeurs Actuelles, à l’occasion de la journée de deuil concernant l’ancien président (le jour même de la sacro-sainte laïcité…) :

Une journée de deuil national a été décrétée ce 9 décembre 2020 pour commémorer le décès de Valéry Giscard d’Estaing. Il s’était présenté à la Présidentielle en 1974 face à Mitterrand. Candidat dynamique, X, ENA, ancien ministre de l’Economie, il avait un parcours exceptionnel. Il mettait en avant sa sympathique famille sur les affiches de campagne. Il promettait une France moderne, une Europe réconciliée, des jours meilleurs après le choc pétrolier de 1973. La France est vite tombée sous le charme. Face à une gauche politiquement menaçante, la droite, toute la droite, comme un seul homme l’a élu au deuxième tour. Giscard à la barre. Il nous faisait sourire avec son accordéon, ses petits déjeuners avec les éboueurs de l’Elysée, ses visites quand il débarquait à l’heure du dîner chez les gens les plus simples pour écouter la France d’en bas. A 94 ans, VGE est mort et nous nous associons à la peine de sa famille.

Comme président de la République, il voulait imposer une certaine modernité, et dans son programme sociétal, il y avait la majorité à 18 ans, le divorce par consentement mutuel, et la légalisation de l’avortement.

La loi portée par VGE pour l’IVG dès la fin de 1974 se voulait compassionnelle, pour éviter les avortements clandestins, leurs complications, et une issue parfois fatale pour les femmes qui y recouraient. Sollicité pour présenter ce projet de loi, son Garde des Sceaux, Jean Lecanuet, centriste et démocrate-chrétien, avait refusé pour des motifs éthiques de le présenter à l’Assemblée Nationale. VGE a donc demandé à Simone Veil, ministre de la Santé, de le défendre. Il y eut des débats houleux à l’Assemblée. L’avortement devait rester l’exception. « Aucune femme n’y a recours de gaieté de cœur », disait Simone Veil. Cette loi qui voulait « sauver des vies » a ouvert une boite de Pandore. Ceci nous a collectivement entrainés dans une course folle, puisque dix millions d’avortements ont été enregistrés dans notre pays depuis 1975.

Le professeur de médecine Jérôme Lejeune, découvreur de la trisomie 21, s’était aussi courageusement opposé à cette loi. Comme chrétien, la défense de la vie dès la conception était pour lui un absolu. Comme scientifique il expliquait que, dès la rencontre des gamètes mâle et femelle, rien ne peut plus arrêter la vie, sauf un accident. Il a porté ce combat pour la défense du plus faible, pour celui qui est dans le sein de sa mère, qui vit et grandit, mais que l’on n’entend pas. Pour lui soigner, ce n’était pas éliminer le malade. Or la loi Veil porte en elle une disposition qui permet de faire un avortement jusqu’à la veille de la naissance dans le cadre d’une « interruption médicale de grossesse » pour un enfant handicapé. Aujourd’hui, alors qu’ils sont parfaitement viables, 96% des enfants trisomiques sont éliminés.

VGE et Simone Veil n’avaient probablement pas anticipé l’ampleur du désastre. Aujourd’hui, nous le constatons et que faisons-nous ? La réponse politique qui nous est imposée est qu’il faut toujours plus de droit à avorter, toute opposition devant être muselée. Les femmes ne sont pas suffisamment accompagnées pour l’accueil de la vie, mais trop souvent conditionnées. Le slogan « mon corps, mon choix » fait florès. Le délai de réflexion a été supprimé par l’Assemblée Nationale. Il n’existe pas, hélas, de politique de dissuasion de l’avortement. Il y a eu 232 000 avortements en France en 2019; un enfant sur quatre est porté disparu, des femmes sont meurtries.

Quand les femmes découvrent qu’elles attendent un enfant, c’est heureusement et le plus souvent la joie. Cela reste toujours une surprise ; c’est parfois un défi et peut créer de l’angoisse. Que faisons-nous alors pour aider économiquement les parents et toutes celles qui sont confrontées à ces difficultés ? La politique familiale est rabotée systématiquement, les aides financières bien trop basses, notamment pour les familles modestes.

Nous savons que des politiques bien orientées permettraient de réduire la peine. L’Allemagne, pays plus peuplé que la France, enregistre 100 000 avortements par an. Nos politiques toujours à la recherche de performance devraient s’intéresser aux méthodes qui fonctionnent ailleurs, et qui permettent d’accueillir dignement la vie. Notre objectif à court terme devrait être de réduire le nombre de morts de moitié. Au pays des droits de l’Homme, nous avons un devoir d’humanité et nous ne pouvons rester inactifs.

En cette journée de commémoration, nous voulons remettre au premier plan tous les membres de l’espèce humaine qui disparaissent dans un cri silencieux, et l’impérieux besoin d’avoir une grande politique nationale d’accueil de la vie.

La Marche pour la vie aura lieu le dimanche 17 janvier 2021. Toutes les informations sur https://enmarchepourlavie.fr/

Vote criminel : nos députés autorisent l’IVG à 9 mois !

Vote ahurissant à l’Assemblée nationale, en pleine nuit ! Un amendement surprise de dernière minute est présenté et adopté : si la mère est en état de crise psycho-sociale (sic) et qu’elle ne veut plus de son enfant au moment d’accoucher, on peut donc tuer le bébé à la naissance. Ils ont donc voté pour le droit à l’infanticide !

Offensive pro-avortement – le marxisme culturel des Démocrates américains qui colonise l’Europe

L’Europe doit réagir contre les «cliniques antiavortement» financées par les Etats-Unis

OPINION. Des cliniques obstétriques financées par les évangélistes américains et luttant contre l’avortement pullulent en Europe, montre une enquête d’OpenDemocracy. Il est temps pour Bruxelles de réagir, écrit Mary Fitzgerald, l’éditrice en chef du site d’information.

En Europe, lorsque l’on se rend dans un hôpital public pour consulter un médecin, on s’attend à recevoir des renseignements précis, étayés par des faits scientifiques. [...]

Appuyés par de puissants militants américains étroitement liés à l’administration du président Donald Trump, et qui bien souvent ressemblent à s’y méprendre à des cliniques similaires, la plupart de ces centres se targuent de donner des «conseils» impartiaux aux femmes enceintes. En fait, les effectifs y ont pour mandat de dissuader les femmes de recourir à des services d’avortement légal et, dans certains cas, d’accéder aux moyens de contraception. Dans la première enquête de ce type, OpenDemocracy a dressé la carte des dépenses mondiales, des réseaux et des activités de deux groupes antiavortement influents des Etats-Unis, Heartbeat International et Human Life International. A eux deux, ces organismes ont dépensé 13 millions de dollars depuis 2007 pour financer des centaines d’organismes dans le monde entier. [...]

article complet, réservé aux abonnés: https://www.letemps.ch/opinions/leurope-reagir-contre-cliniques-antiavortement-financees-etatsunis (abonnés)

 

Trump marchera contre l’avortement: une première

Le républicain sera le premier président américain à participer à la Marche pour la vie, organisée vendredi à Washington

Donald J. Trump

@realDonaldTrump

See you on Friday...Big Crowd! https://twitter.com/march_for_life/status/1091025377932263427 

March for Life

@March_for_Life

Hundreds of thousands of pro-life Americans made their voices heard this month. We are a pro-life generation. Thank you for marching for life!

Join us again at the March for Life on January 24, 2020. #whywemarch

Argentine, encore raté pour les partisans de l’avortement

On disait qu’ils seraient 30 000, 40 000, voire beaucoup plus… au final, ils ne sont que 3 700 à avoir fait les démarches pour annuler leur baptême en protestation contre le rejet du projet de loi légalisant l’avortement.

Presque tous avaient été baptisés par leurs parents et n’avaient jamais mis les pieds dans une église. La belle affaire.

Os jeté aux partisans de l’avortement, les députés vont plancher sur projet de séparation de l’Eglise et de l’Etat, notamment l’arrêt de son financement par les contribuables – en revanche, rien n’est prévu pour que cesse le financement par le contribuable des nombreuses organisations parasites  mortifères.

Source

A propos de Simone Veil

Simone-Veil-3

   
Michel Garroté  --  Simone Veil, qui avait porté la loi légalisant l'avortement en 1974, est décédée vendredi 30 juin 2017 au matin à l'âge de 89 ans. Elle dépénalisera l'avortement en songeant notamment aux femmes qui avaient recours aux avortements clandestins, tout en défendant une position d’équilibre qui faisait, à l'époque, de l’IVG, une exception et un dernier recours, ce qui n'est plus le cas aujourd'hui avec "l'avortement de confort" comme moyen de contraception, ce qui n'était le but visé en 1974.
-
Au demeurant, la formule "interruption volontaire de grossesse" est un peu hypocrite. Une "interruption" qualifie ce que l'on interrompt avant de le reprendre plus tard. Or, l'avortement, une fois réalisé, est irréversible. On l'a "interrompu", sans pouvoir le reprendre. "Interruption volontaire de grossesse", avec le mot "volontaire", c'est un peu démagogique : à quel point l'avortement est-il "volontaire", si le "planning familial" et la famille poussent une femme à avorter sans forcément lui décrire les conséquences ?
-
Lorsqu'elle a fait voter la loi sur la dépénalisation de l'avortement par le Parlement, elle était ministre de la Santé, dans le gouvernement Chirac, et, sous la présidence de Valéry Giscard d'Estaing. Elle était donc membre d'un gouvernement de droite et la loi est passée au Parlement avec les voix de la gauche.
-
C'est Giscard qui voulait cette loi et c'est lui qui a été chercher Simone Veil dans ce contexte. Il ne l'a pas nommée ministre de la Justice alors qu'il s'agissait d'une loi, la loi sur la dépénalisation de l'avortement (Simone Veil était juriste), mais ministre de la Santé (alors que Simone Veil n'était pas médecin). Valéry Giscard d'Estaing a choisi une femme, car il pensait que cela faciliterait l'acceptation de la loi en question, au motif de la "libération de la femme".
-
Née le 13 juillet 1927 à Nice dans les Alpes-Maritimes au sein d'une famille juive et laïque, et fille d'un architecte, Simone Jacob, Simone Veil est déportée, à l'âge de 16 ans, en 1944, à Auschwitz, avec sa famille. Elle rencontre à Sciences-Po son futur mari Antoine Veil. Le couple, marié en 1946, aura trois enfants. Antoine est décédé en avril 2013. Simone Veil commence en 1956 sa carrière dans la magistrature, comme substitut à l'administration centrale du ministère de la Justice.
-
Elle est la première femme à devenir secrétaire général du Conseil supérieur de la magistrature (1970-74). Entrée en politique en 1974, comme ministre de la Santé dans le gouvernement Chirac, elle le demeurera dans les trois gouvernements Barre, se voyant adjoindre la Sécurité sociale en 1977-78, et la Famille en 1978-79. Tête de liste UDF lors des premières élections au Parlement européen au suffrage universel en 1979, elle renonce à son poste ministériel pour devenir députée européenne puis présidente du Parlement européen (1979-1982).
-
Réélue en 1984 et 1989, Mme Veil siègera au Parlement à Strasbourg jusqu'en 1993. De 1993 à 1995, Mme Veil est ministre d'Etat, ministre des Affaires sociales, de la Santé et de la Ville, dans le gouvernement Balladur. Soutien de Raymond Barre à la présidentielle de 1988, elle rallie Edouard Balladur dans la course à l'Elysée en 1995. Elle soutient Nicolas Sarkozy en 2007. Les sondages l'ont à maintes reprises présentée comme "la femme préférée des Français", sachant qu'un sondage n'est jamais qu'un sondage...
-
A propos de Simone Veil et de l'IVG, Jeanne Smits, très critique, écrit notamment, sur son blog (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Son nom restera pour toujours lié à la loi dépénalisant l'avortement sous l'euphémisme ravageur, "interruption volontaire de grossesse". Simone Veil n'était certes pas seule dans cette entreprise de mort dont les loges ont revendiqué la paternité, et il peut sembler de mauvais goût de n'évoquer que cela dans cette petite « nécro » très parcellaire.
-
Jeanne Smits : Mais enfin, c'est un aspect de sa vie que la presse dans son ensemble juge déterminant pour lui « tresser des couronnes » aujourd'hui et elle-même n'a jamais exprimé de regrets. Au contraire, elle a avec quelque mépris souligné dans son autobiographie que les évêques de France étaient probablement plus soucieux de leur sécurité sociale à l'époque, en 1974, que d'une mobilisation générale contre une loi qui, parmi les premières en Occident, a donné une justification légale à l'assassinat des enfants dans le ventre de leur mère, moyennant force conditions [ndmg - à l'avortement] qui ont été mollement appliquées, voire pas du tout.
-
Jeanne Smits : A raison de quelque 200.000 victimes par an, mal an mal an, on arrive à près de 8,5 millions de petites vies supprimées avec la bénédiction du législateur, sans compter les effets épouvantables sur les femmes qui ont cru qu'avorter, cela ne se faisait sans doute pas « de gaieté de cœur » mais que c'était une sorte de droit.
-
Jeanne Smits : Peut-être Simone Veil a-t-elle, au fil des ans, regretté que cela devienne de plus en plus un droit légalement affirmé par l'élargissement constant des possibilités d'accès à l'IVG, à tel point que l'opposition à l'avortement pour des raisons morales est de plus en plus assimilée à une pression indue sur les femmes, et pénalisée [ndmg - Simone Veil l'a regretté et elle l'a fait savoir]. L'avortement devait être réservé aux cas graves et rester « exceptionnel », assurait-elle en 1974, ajoute Jeanne Smits (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
-
Michel Garroté pour Les Observateurs
-
http://leblogdejeannesmits.blogspot.ch/2017/06/deces-de-simone-veil-quelques.html
-

Une éminente médecin britannique préconise d’autoriser l’avortement en fonction du sexe

Le professeur d’obstétrique Wendy Savage a déclaré que les femmes devaient être informées du sexe de leur fœtus lorsqu’elles subissent une échographie. La rétention d’information « par crainte d’avortements en fonction du sexe » est « scandaleuse » selon elle. Agée de 81 ans, Wendy Savage est gynécologue obstétricien à la retraite et membre du comité d’éthique de l’association médicale britannique. Elle a pris la parole à titre personnel.

Il s’agit du « droit de savoir » des femmes, et de leur « droit de décider ». «Si une femme ne veut pas avoir un fœtus qui est d’un sexe ou de l'autre, la forcer ne sera bon ni pour l'enfant potentiel, ni pour la santé mentale de la mère », a-t-elle soutenu.

Wendy Savage a tenu ces propos alors que le Parlement vient de décriminaliser l’avortement dans ce pays (cf. L’avortement décriminalisé au Royaume-Uni). Sa prise de position intervient également alors que le Nuffield Council on Bioethics a expirmé ses craintes sur les dérives du dépistage prénatal non invasif (cf. Royaume-Uni et DPNI: le Conseil sur la Bioéthique craint des dérives) sur les avortements sélectifs.

Actuellement au Royaume-Uni, certains hôpitaux refusent de révéler le sexe du fœtus aux femmes lors de l’échographie à environ 20 semaines de grossesse[1]. Selon ces hôpitaux, le manque de personnel est en cause, ainsi que la fiabilité de l’information.

[1] Au Royaume-Uni, l’avortement est possible jusqu’à la 24ème semaine de grossesse.

Laurence Rossignol condamnera-t-elle Simone Veil ?

   
Michel Garroté - Récemment, la ministre totalitaire et commissaire politique Laurence Rossignol a lancé un amendement liberticide et halluciné qui vise, soit-disant, à sanctionner les sites Internet qui, sous couvert d’une présentation neutre et objective, seraient, dit-elle, des "paravents de groupes anti-IVG qui veulent dissuader les femmes qui souhaitent recourir à l’IVG" (cette première allégation est complètement débile). Or, dit-elle, les manipulations, les informations faussées délivrées sur des sites qui se font passer pour neutres portent atteinte au libre choix des femmes (cette deuxième allégation, elle aussi, est complètement débile ; la France est-elle devenue une deuxième Corée-du-Nord ?).
-
A ce propos, le site Internet catholique conservateur Le Salon Beige signale que le billet récemment publié par Thibaud Collin sur son blog est intéressant à double titre, par son contenu d'abord mais aussi car il permet de se replonger dans la Loi n° 75-17 du 17 janvier 1975 relative à l'interruption volontaire de la grossesse (dit loi Veil) ainsi que dans le discours prononcé par Simone Veil le 26 novembre 1974. C'est édifiant de voir à quel point la situation a empiré.
-
Voici quelques extraits du discours de Simone Veil qui pourraient presque désormais justifier sa présence à la prochaine Marche pour la Vie (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : "La loi garantit le respect de tout être humain dès le commencement de la vie. Il ne saurait être porté atteinte à ce principe qu'en cas de nécessité et selon les conditions définies par la présente loi" [Article n°1 de la loi]. "Je le dis avec toute ma conviction : l’avortement doit rester l’exception, l’ultime recours pour des situations sans issue. Mais comment le tolérer sans qu’il perde ce caractère d’exception, sans que la société paraisse l’encourager ? C’est toujours un drame et cela restera toujours un drame.
-
C’est pourquoi, si le projet qui vous est présenté tient compte de la situation de fait existante, s’il admet la possibilité d’une interruption de grossesse, c’est pour la contrôler et, autant que possible, en dissuader la femme. Le deuxième absent dans ce projet pour beaucoup d’entre vous sans doute, c’est le père. La décision de l’interruption de grossesse ne devrait pas, chacun le ressent, être entreprise par la femme seule, mais aussi par son mari ou son compagnon. Je souhaite, pour ma part, que dans les faits il en soit toujours ainsi. Enfin, le troisième absent, n’est-ce pas cette promesse de vie que porte en elle la femme ? Je me refuse à entrer dans les discussions scientifiques et philosophiques dont les auditions de la commission ont montré qu’elles posaient un problème insoluble.
-
Plus personne ne contexte maintenant que, sur un plan strictement médical, l’embryon porte en lui définitivement toutes les virtualités de l’être humain qu’il deviendra. Tout en évitant d’instituer une procédure qui puisse la détourner d’y avoir recours, le projet prévoit donc diverses consultations qui doivent la conduire à mesurer toute la gravité de la décision qu’elle se propose de prendre. Cette tâche de dissuasion et de conseil revient au corps médical de façon privilégiée. Il va sans dire que nous souhaitons que ces consultations soient le plus diversifiées possible et que, notamment, les organismes qui se sont spécialisés pour aider les jeunes femmes en difficulté puissent continuer à les accueillir et à leur apporter l’aide qui les incite à renoncer à leur projet.
-
Ensuite, l’interruption de grossesse ne peut être pratiquée que par un médecin. Mais il va de soi qu’aucun médecin ou auxiliaire médical ne sera jamais tenu d’y participer. Si l’on s’en tient aux principes généraux de la Sécurité sociale, l’interruption de grossesse, lorsqu’elle n’est pas thérapeutique, n’a pas à être prise en charge. Faut-il faire exception à ce principe ? Nous ne le pensons pas, car il nous a paru nécessaire de souligner la gravité d’un acte qui doit rester exceptionnel. Ce qu’il faut aussi, c’est bien marquer la différence entre la contraception qui, lorsque les femmes ne désirent pas un enfant, doit être encouragée par tous les moyens et dont le remboursement par la Sécurité sociale vient d’être décidé, et l’avortement que la société tolère mais qu’elle ne saurait ni prendre en charge ni encourager.
-
Rares sont les femmes qui ne désirent pas d’enfant ; la maternité fait partie de l’accomplissement de leur vie et celles qui n’ont pas connu ce bonheur en souffrent profondément. Si la loi est générale et donc abstraite, elle est faite pour s’appliquer à des situations individuelles souvent angoissantes ; que si elle n’interdit plus, elle ne crée aucun droit à l’avortement (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
-
Il est vrai que personne ne peut éprouver une satisfaction profonde à défendre un tel texte : personne n’a jamais contesté, et le ministre de la Santé moins que quiconque, que l’avortement soit un échec quand il n’est pas un drame. Alors, Laurence Rossignol condamnera-t-elle Simone Veil ?
-
Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
-
http://philosophe-chretien.blogs.la-croix.com/ivg-les-pierres-crieront/2016/09/29/
-

Avortement et Grand Remplacement

   
Michel Garroté - L'hebdomadaire français de droite Valeurs Actuelles nous informe (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Laurence Rossignol, ministre française des Droits des femmes, a annoncé qu’une série de mesures serait prise le 28 septembre afin de "faire cesser ces sites qui trompent les femmes" (ndmg - tromper sa femme, aaahhhrrrggg...), c’est-à-dire les sites qui tentent de les dissuader d’avorter en rappelant les conséquences des interruptions volontaires de grossesse (IVG) sur leur santé ainsi que les différentes solutions qui existent. L’activité de ces sites pourrait ainsi être considérée comme un "délit d’entrave numérique".
-
Valeurs Actuelles ajoute : "Nous avons déjà fait deux choses, comme réorganiser, avec Google en particulier, le référencement, de façon à ce que le site officiel, Ivg.fr, qui est celui du gouvernement, soit le premier accessible", a déclaré Laurence Rossignol (ndmg - un peu "foffolle", non ?) sur France Info. "Et maintenant, il existe des outils juridiques qui ont été créés pour dissuader et limiter l’impact de ces opposants à l’IVG. De mon point de vue, c’est un délit d’entrave numérique. Je ferai une annonce le 28 septembre, à l’occasion de la Journée internationale de défense des droits à l’IVG, pour faire reculer ces sites manipulateurs", précise Laurence Rossignol, citée par Valeurs Actuelles (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
-
De son côté, les experts du 'Club de Rome' préconisent de fortes primes pour les femmes occidentales ayant, au maximum, un enfant. Celles qui ont élevé, au plus, un enfant, devraient recevoir, selon les experts (hallucinés ?) du 'Club de Rome', lors de leur 50e anniversaire, une prime de 80'000 dollars (voir lien vers source en bas de page).
-
Interrogé par le quotidien français en ligne 'Présent', Jean-Yves Le Gallou, de son côté, estime notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : "Je n’ai pas d’estimations précises de la population extra-européenne présente en France. En revanche, nous avons une très bonne approximation des naissances non européennes grâce aux statistiques de dépistage de la drépanocytose, une maladie rare qui peut affecter les enfants non européens".
-
Jean-Yves Le Gallou : "21% des naissances n’étaient pas européennes en France en 2001, 37% des naissances ne l’étaient pas davantage en 2015 et 66% ne l’étaient pas en Ile-de-France (en 2015). Contrairement à ce qu’affirment les désinformateurs et à ce que feignent de croire les autruches, le Grand Remplacement n’est pas un fantasme, c’est un fait. Un fait démographique d’abord, un fait civilisationnel ensuite", conclut Jean-Yves Le Gallou (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
-
Dans un éditorial, Jean-Marie le Méné  --  président de la Fondation Jérôme Lejeune, éditorial publié dans la Lettre de la Fondation de septembre 2016  --  Jean-Marie le Méné donc, de son côté, écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : "A la question, 'la vie vaut-elle encore la peine d'être donnée ?', les différentes politiques conduites depuis cinquante ans répondent clairement "non'. D’où la succession ininterrompue, jusqu’à ce jour, de lois mortifères sur la famille, la contraception, l’avortement, la procréation artificielle, l’eugénisme et ces nouvelles formes de sacrifices humains que constituent les expériences sur l’embryon".
-
Jean-Marie le Méné : "Pour ne parler que des agressions contre le début de la vie, des dérives analogues s’ingéniant à hâter la fin de vie. L’Europe est entrée dans une sorte 'd’hiver démographique', non plus à cause d’une guerre, mais par un nihilisme fertile en raison du non-vivre. La 'disparition' française de 10 millions d’enfants (ndmg - par avortement), depuis plus de quarante ans, est l’objet d’une célébration permanente et fait notre 'fierté nationale'. Toute critique publique de cette hécatombe est formellement interdite au profit d’un masochisme auquel succombent les meilleurs".
-
Jean-Marie le Méné : "Il faudrait même se repentir, au nom d’un terrorisme de la bienveillance, d’évoquer ce cortège de morts, par égard à l’idéologie féministe et à ses prêtresses ; c’est-à-dire que ce sont bel et bien les victimes qui sont devenues les bourreaux. Les fruits de cette tragédie pour la France sont gravement sous-estimés : 'nous sortons de l’Histoire parce que nous sortons de la vie. Nous en sommes là, anémiés spirituellement et physiquement face aux nouvelles menaces", conclut Jean-Marie le Méné (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
-
Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
-
http://www.valeursactuelles.com/
-
http://www.focus.de/finanzen/news/konjunktur/bericht-an-club-of-rome-ein-prozent-ist-genug_id_5937188.html
-
https://present.fr/
-
www.fondationlejeune.org/
-

Alter-féminisme : Enfin !

France-eugenie-bastie-therese-hargot-antigones-peggy-sastre

   
Michel Garroté - Le féminisme officiel, celui de Najat Belkacem et de Caroline de Haas, a du plomb dans l'aile (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : à droite comme à gauche, on déconstruit allègrement l'idéologie binaire antimecs. Au début des années 1990, le sexologue Christian Spitz alias « le Doc » a fait le bonheur des imitateurs par ses répliques cultes (« ton corps change », « ce n’est pas sale… ») répliques adressées aux ados dans l’émission de radio qu’il animait en tandem avec Difool. Mais les temps ont changé : les extraits du petit texte ci-dessous - paru sur Causeur sous la plume de Daoud Boughezala - en témoigne.
-
Daoud Boughezala (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : En effet, le vent tourne du côté du deuxième sexe. Une copine journaliste dans la presse féminine m’avait prévenu : « Des Antigones à Eugénie Bastié, j’observe un phénomène nouveau : des jeunes femmes idéologisées “nature et tradition”, sans serre-tête ni collier de perles, parfois même en bottes de moto ou avec des boucles dans le nez, qui s’attaquent au néoféminisme tendance Najat ». Ouh là ! pas d’amalgame, ma grande !
-
Daoud Boughezala : Quoi de commun entre la transhumaniste Peggy Sastre (un cas à part), la catho-décroissante Eugénie Bastié, la sexologue Thérèse Hargot et l’anticapitaliste de droite Iseul Turan (photo ci-dessus), porte-parole des Antigones ? Rien, sinon que ces jeunes femmes ne se reconnaissent aucunement dans le progressisme immense et rose que nous vend la gauche de gouvernement menée par le parti soci(ét)aliste et son rejeton Osez le féminisme.
-
Daoud Boughezala : Pour reprendre une terminologie à la mode, on pourrait taxer ces pétroleuses d’« antiféministes », selon la définition que le philosophe Antoine Compagnon donne des « antimodernes » : des modernes revenus des illusions de la modernité. Ainsi, nul n’entend contester la « première vague » du féminisme ayant ferraillé en faveur de l’égalité des droits à la fin du XIXe siècle. C’est à partir des années 1960 que le bât blesse.
-
Daoud Boughezala : Tout progrès ayant son revers, les « conquêtes » de la révolution sexuelle, considérée comme la « deuxième vague » du féminisme, de la pilule contraceptive au droit à l’avortement, font aujourd’hui l’objet d’attaques en règle. Quoique personne ne songe à remettre le dentifrice dans le tube, la critique des effets secondaires de la pilule, de la « banalisation » de l’IVG que portent Eugénie, Thérèse et Iseul fait désordre au pays du MLF, ajoute Daoud Boughezala (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
-
Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
-
http://www.causeur.fr/eugenie-bastie-therese-hargot-antigones-peggy-sastre-39722.html#
-

Les pro-vie européens montent en gamme

Dans la dynamique de l’initiative citoyenne Européenne ONE OF US/UN DE NOUS qui a réuni près de 2 millions de signatures en 2013, les associations européennes de défense de la vie, qui viennent de se constituer en Fédération, organisent leur premier grand événement public : le Forum Européen ONE OF US, qui se tiendra le samedi 12 mars 2016 à Paris.

Scandale de la vente d’organes issus de l’avortement aux Etats-Unis, dérives vers l’euthanasie, traite des femmes et des enfants par la GPA, avancée du transhumanisme : les menaces contre les plus faibles sont grandissantes partout dans le monde. Les deux millions de citoyens Européens qui ont signé l’initiative citoyenne Européenne ONE OF US veulent se réapproprier les valeurs humaines des fondateurs de l’Europe : le respect de la dignité de chaque être humain, quel que soit son stade de développement.

Une BD pour rappeler l’histoire de ONE OF US

Pour rappeler à tous les publics la genèse et les objectifs de ONE OF US, une bande-dessinée ludique et facile d’accès pour tous a été créé. Elle est publiée en 9 épisodes, pendant 9 jours ici, sur le site UN DE NOUS.FR et sur les réseaux sociaux :@UnDeNous (Twitter) et Un de Nous (Facebook).

Le marketing gauchiste du Pape François !



La revue de presse LSB souligne combien ce communiqué du père Lombardi, directeur de la salle de presse du Saint-Siège, est étonnant : « La brève rencontre entre Mme Kim Davis et François à la nonciature apostolique à Washington DC a provoqué des commentaires et discussions. Afin de contribuer à une compréhension objective de ce qui a transpiré je suis capable de clarifier les points suivants : François a rencontré plusieurs dizaines de personnes qui avaient été invitées par la Nonciature pour le saluer comme il se préparait à quitter Washington pour New York. Ces brèves rencontres se produisent sur toutes les visites papales et sont dues à la gentillesse et la disponibilité caractéristique du Pape. La seule vraie audience accordée par le pape à la nonciature était avec un de ses anciens élèves et sa famille. Le pape n'est pas entré dans les détails de la situation de Mme Davis et sa rencontre avec elle ne doit pas être considérée comme une forme de soutien de sa position dans l'ensemble de ses aspects particuliers et complexes ».

On aimerait, souligne LSB, que les services du père Lombardi adressent également des communiqués pour préciser que prendre comme lecteur à la messe pontificale à New York un ardent militant LGBT (Mo Rocca), rencontrer Mgr Gaillot et adresser ses « sentiments de spéciale considération et de respect » à Fidel Castro n'est pas non plus à interpréter comme un soutien.

Michel Garroté, 2 octobre 2015

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2015/10/etrange-communication-vaticane.html

   

Une féministe autoproclamée décide d’avorter car elle attend un garçon

[...]

Persuadée qu’elle attend une fille, Lana ne se pose jamais la question du sexe de son futur bébé. Mais lors d’un rendez-vous chez son gynécologue, son médecin lui apprend que l'enfant est un petit garçon. La jeune américaine est alors enceinte de 5 mois. Elle reste enfermée chez elle durant 3 jours et finit par prendre une décision impensable: haïssant les hommes, elle ne peut pas garder cet enfant. "Je savais ce qu’il me restait à faire, écrit Lana. Je ne pouvais pas amener un nouveau monstre sur Terre.[..]"

[...]

Article complet

WP2Social Auto Publish Powered By : XYZScripts.com