https://twitter.com/D4rc_/status/1417419385443074049
Blog Archives
France. Aïd-el-Kébir : une quarantaine de cadavres de mouton à la dérive sur le Rhône
D’importants moyens nautiques sont actuellement déployés par les sapeurs-pompiers sur le Rhône afin de récupérer des dizaines de cadavres de moutons qui flottent à la dérive.
Selon nos informations, l’alerte a été donnée à 1 heure du matin, ce vendredi 31 juillet : plusieurs animaux morts flottaient à la surface des eaux du Rhône à hauteur de Ternay (Rhône). Puis au fil des heures, les cadavres ont dérivé, emportés par le courant, jusqu’à hauteur de Vienne où les sapeurs-pompiers, avec l’aide de trois embarcations, récupèrent les moutons morts.
[...]
Italie. Fête islamique du sacrifice. Encore des tortures sur les animaux : un nouveau cas à Bologne avec des Tunisiens
Nous nous trouvons dans le petit village de Bentivoglio, à Bologne. Les deux Tunisiens sont sur la place centrale de l'interport (centre de chargement) lorsqu'ils commencent à pratiquer le rituel cruel, égorgeant les deux animaux. Mais un agent de sécurité remarque les deux migrants et signale immédiatement le cas [...]. Les deux "bouchers clandestins" voulaient profiter du fait que les entreprises soient fermées durant les vacances et pensaient qu'ils passeraient inaperçus.
Surpris par les carabiniers, les deux Tunisiens sont étonnés d'avoir des problèmes. Pour eux, il semble normal d'égorger les animaux sans étourdissement pendant la fête islamique du Sacrifice. En Italie, cependant, l'abattage clandestin est un crime.
Mais cette affaire n'est que la dernière d'une longue série. Toujours ces derniers jours, les carabiniers de Martino, dans la région de Bologne, ont surpris deux Marocains avec deux moutons : l'un immobilisé dans le coffre avec les jambes attachées, un autre sous le capot. Les deux migrants n'ont pas été en mesure d'expliquer d'où provenaient les deux animaux, n'étant pas en possession des documents d'origine. Ils ont également reçu une plainte, cette fois pour mauvais traitements infligés à des animaux.
Hier, cinq individus ont été arrêtés dans la province de Florence. Ils auraient procédé à des abattages clandestins, en massacrant plusieurs moutons et chèvres.
La fête islamique du Sacrifice
A l'occasion de cette fête, les musulmans sacrifient un mouton. Celui-ci est égorgé lors d'un rituel précis. Tout ceci, cependant, a lieu sans étourdissement préalable de l'animal. Par la suite, la viande est divisée de préférence en trois parties égales, dont l'une doit être consommée immédiatement par les membres de la famille.
(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)
“Pour la première fois en Allemagne”, les musulmans célèbrent la fête du sacrifice en pleine rue (Vidéo)
L'Aïd el-Kebir à Cologne.
Pour la première fois dans l'histoire de l'Allemagne, la fête du sacrifice se déroule également dans la rue.
Nos remerciements à notre lectrice
Salvini s’insurge contre le massacre de l’Aïd-El-Kébir : “A Naples en pleine rue, une petite chèvre attachée vivante et menée à l’abattoir.”
À Naples, un citoyen et la police sauvent une petite chèvre
Attachée et transportée dans une poussette pour la fête islamique du sacrifice. Une véritable torture subie par une petite chèvre à Naples, pour célébrer la fête musulmane de l'Aïd-El-Kébir.
Pendant la célébration islamique, il est de tradition d'abattre une vache ou un mouton, afin de se souvenir du sacrifice d'Abraham, après que Dieu ait décidé d'épargner son fils Ishmael.
C'était probablement l'intention d'un homme qui avait attaché les quatre jambes de l'animal pour éviter qu'il ne s'enfuit et le forcer, toujours en vie, à être transporté dans une poussette.
Oggi in tutta Italia i fedeli musulmani hanno celebrato la #festadelsacrificio, che prevede il #sacrificio di un animale, sgozzandolo.
A Napoli questo capretto è stato salvato all'ultimo ma nel resto del Paese centinaia di migliaia di bestie sono state macellate senza pietà. pic.twitter.com/yXGkwjPgJU— Matteo Salvini (@matteosalvinimi) 21 août 2018
Des Marocains surpris dans des rituels d’égorgement halal dans la province de Florence
Deux troupeaux de chèvres et de moutons ont été trouvés par les Carabiniers dans la province de Florence où avaient lieu des abattages illégaux, réalisés avec la technique de l’abattage sans étourdissement, comme l’exige le sacrifice rituel islamique. Ces pratiques non autorisées causent de graves souffrances inutiles à l’animal abattu, car aucun instrument d’étourdissement n’est utilisé. Il y a aussi des risques de nature sanitaire, tant en ce qui concerne la sécurité du produit alimentaire que la salubrité des lieux utilisés. L’une des fermes contrôlées est située à Praticelli, à Castelfiorentino. Hier, au moment de l’arrivée des militaires, l’égorgement d’un mouton avait lieu sans étourdissement. Sur place, des hommes d’origine marocaine ont été identifiés, qui assistaient au massacre et procédaient ensuite à l’achat. Dans l’élevage, contrôlé par les inspecteurs de l’ASL, il y avait 59 chèvres et moutons, la plupart sans signes d’identification. Des animaux vivants, des carcasses et des outils d’abattage ont été saisis. Des tests ont également été menées dans un deuxième élevage, en dell’Ormicello à Empoli, où des Marocains occupés à découper 7 chèvres après les avoir égorgées. De nombreux moutons vivants non identifiables ont été retrouvés.
Guidominciotti.blog.ilsole24ore.com
Lastampa.it
Via Suavelos.eu
Brigitte Bardot dénonce avec courage l’Aïd el Kébir, la “fête du sacrifice” des musulmans : le massacre des moutons va commencer en Europe.
AïD EL-KEBIR – Comme chaque année, la militante de la cause animale Brigitte Bardot dénonce le rituel de l'abattage de la fête de l'Aïd el-Kebir.
Si pour les musulmans du monde entier l'Aïd el-Kébir est la fête islamique la plus importante de l'année, l'actrice et militante de la cause animale Brigitte Bardot voit celle que l'on appelle également l'Aïd el-Adha, en français la "fête du sacrifice", d'un tout autre oeil. À la veille du dixième jour du mois de dhou al-hijja (dernier mois du calendrier hégirien), qui n'est autre que la date de l'Aïd el-Kébir et qui se tiendra donc ce mardi 21 août 2018, Brigitte Bardot a tenu à dénoncer "l'atroce fête rituelle musulmane" que l'événement représente pour elle. Et pour cause, lors de l'Aïd el-Adha, les familles musulmanes qui le peuvent sacrifient généralement un animal. Le plus souvent, il s'agit d'un mouton. L'idée ? Commémorer la foi d'Ibrahim, ou Abraham pour les judéo-chrétiens, qui n'hésita pas à accepter de sacrifier son propre fils, Ismaël (ou Isaac), pour son Dieu. L'épisode raconte que ce dernier envoya finalement l'archange Gabriel substituer au dernier moment Ismaël par un mouton. À noter toutefois que d'autres pays, partisans des calculs astronomiques différents, ont quant à eux fixé la date de l'Aïd el-Adha au mercredi 22 août, ce qui est notamment le cas du Pakistan, du Maroc, et de l'Indonésie.
L'Aïd el-Kebir, une fête "atroce" pour Brigitte Bardot
Si le jour de l'Aïd el-Adha est synonyme de fête pour des millions de musulmans à travers la planète, pour Brigitte Bardot il s'agit d'un triste événement. En effet, chaque année, à l'approche de la fête de l'Aïd el-Kebir, la militante de la cause animale française Brigitte Bardot est en colère. Sur Twitter, la comédienne a publié un message dénonçant l'abattage des animaux. "Demain, mardi 21 août 2018 aura lieu l'atroce fête rituelle musulmane de l'Aïd el-Kebir où, partout dans le monde, seront égorgés, sans étourdissement, des millions de moutons et de chèvres au nom d'Allah", a-t-elle déclaré sur son réseau social. Plus qu'un jour de "révolte", c'est un jour de "deuil, de peine et de larmes" que représente l'Aïd el-Kebir, écrit-elle.
Aïd 2018 pic.twitter.com/lnHL6PD6LZ
— BRIGITTE BARDOT (@brigitte_bardot) 20 août 2018
Par ailleurs, l'actrice française condamne avec fermeté les autorisations de l'Etat : "Hélas, partout en France, une dérogation inacceptable autorise cette sanglante et primitive offrande lors d'un rituel qui exterminera par égorgement massif 250 000 moutons dans des souffrances inhumaines au 21ème siècle dans un pays laïc", a-t-elle ajouté. Brigitte Bardot appelle à agir contre les pratiques d'abattages. "Ma Fondation sera présente sur des sites clandestins pour sauver un maximum de moutons", conclut-elle. Et ce n'est pas la première fois que Brigitte Bardot fait part de son mécontentement concernant ce rituel religieux. Rappelons qu'en 2013, elle avait accusé le gouvernement "d'imposer aux Français de subir l'immonde sacrifice rituel musulman de l'Aïd el-Kebir".
(...)
Aïd el Kebir, un risque sanitaire très élevé
La fête musulmane de l’Aïd el Kebir qui se déroule ce 12 septembre soulève des critiques importantes de la part de certains professionnels de la santé animale en France. En effet, l’association Vigilance Halal présidée par le docteur Alain de Peretti, veut alerter, aujourd’hui, sur les risques sanitaires liés à l’égorgement de milliers d’ovins lors de la fête la plus importante de la religion musulmane.
Introduction de la Fièvre Catarrhale Ovine en France lors de l’Aïd el Kebir 2015
En 2015 la conséquence immédiate de l’Aïd el Kebir fut l’introduction de la fièvre catarrhale ovine (FCO) sur le territoire français. « Lors de l’Aïd du 24 Septembre 2015, 300.000 moutons environ ont été abattus, en majorité importés de zones « contrôlées » des Balkans infectées par le virus FCO ; les contrôles laxistes y permettent des trafics de moutons venant de Turquie et même au-delà » explique l’association Vigilance Halal avant d’ajouter que « le risque d’introduction de la FCO était donc maximum et en Juillet 2015, l’administration se fendait d’une directive auprès de tous les services sanitaires pour les alerter. Pourtant début Août, la directive annuelle aux préfets concernant l’Aïd ne mentionne pas le risque FCO ! Le premier cas de FCO survient début Septembre ; seuls les éleveurs français seront concernés par les mesures de restriction des déplacements d’animaux, et l’Aïd se passera sans encombre si bien qu’un mois après le premiers cas clinique, la moitié du territoire est touchée ! »
Le risque des abattoirs temporaires
Si l’abattage d’animaux en-dehors des abattoirs reste interdit (quoique difficilement contrôlable) durant l’Aïd el Kebir, Vigilance Halal soulève la question des abattoirs temporaires qui sont autorisés par l’État mais dont le contrôle par les autorités sanitaires reste problématique. D’ailleurs l’association a demandé au ministre de l’Agriculture, Stéphane Le Foll, le 6 juillet dernier, d’interdire purement et simplement ces abattoirs. Sans réponse du ministre, Vigilance Halal a déposé un référé au Conseil d’Etat ce mardi 6 septembre.
Du côté de l’État, le sujet n’est pas évoqué. Pourtant, à l’approche de l’Aïd el Kébir, les préfectures diffusent par voix de communiqué les consignes. Ainsi la préfecture des Pyrénées Orientales a rappelé que « l’abattage hors d’un abattoir agréé est interdit. L’abattage clandestin est sévèrement réprimé (délit passible de 6 mois d’emprisonnement et de 7 500 € d’amende) avec saisie des carcasses. La mise à disposition de locaux, de terrain, d’équipements permettant de réaliser un abattage hors abattoir est une complicité de délit et condamnable à ce titre ».
Jordi Vives, Les Observateurs.
Pourquoi on ne peut accepter les abattoirs temporaires de l’Aïd el Kebir
Par Alain de Peretti, vétérinaire
Pérenne ou temporaire un abattoir en raison de risques sanitaires et environnementaux reconnus, est une installation classée obligée de respecter des normes rigoureuses (d’où la disparition des petits abattoirs de proximité).
- Ces normes exigent des aménagements (sols et murs lisses pour faciliter la désinfection, circulation réglementée, dispositifs pour évacuer et traiter les effluents et les déchets -sang, eaux de lavage, peaux, viscères-) des matériels (chambre froide, extracteur de moelle épinière) et des procédures très strictes.
- Réglementairement, une carcasse doit sortir de l’abattoir à la température de 7 ° à cœur c’est-à-dire après 24h de frigo ce qui permet de détecter des problèmes sanitaires, or culturellement lors de l’Aïd chacun repart avec sa carcasse tiède.
- Depuis 10 ans, les pouvoirs publics autorisent la création d’abattoirs « temporaires » pour la fête de l’Aïd afin de satisfaire « l’attachement des musulmans à ce rite » (B. Cazeneuve). Improvisés pour 3 jours par des particuliers soit sous tente dans des lieux non prévus à cet effet ( carrière, parking…) soit dans des bâtiments désaffectés ou voués à d’autres activités (usine de poisson, grange, centre équestre…), ces abattoirs d’occasion sont évidemment hors normes alors que l’abattage rituel accroît les risques (voir notre document annexe sur les risques sanitaires de l’abattage rituel)
- Il y a 3 niveaux de classement selon le tonnage prévu mais tout organisateur d’abattoir temporaire doit disposer d’une autorisation préfectorale délivrée sur présentation d’un dossier. On constate que l’administration se contente de reconduire les autorisations chaque année alors même que des reportages sur quelques un de ces abattoirs (Trets, Bouches du Rhône …) donnent à voir un non respect manifeste des normes. Cécité voulue, manque de personnel, crainte des réactions ?
- Théoriquement une chaîne d’abattage doit être de bout en bout surveillée par un vétérinaire. La Cour des comptes a pointé le sous-effectif déjà flagrant en temps normal des services vétérinaires (rapport 2014), incapables donc de contrôler en plus ici où là (10 sites dans les Bouches-du-Rhône…) la provenance souvent douteuse de 250 000 bêtes et les conditions sanitaires de leur égorgement.
- Même problème pour les sociétés d’équarrissage seules habilitées à procéder à l’évacuation des déchets et déjà débordées au quotidien. Pour ce qu’on en sait, les matériaux hautement putrescibles peuvent rester des heures voire des jours dans des bennes exposées à l’extérieur. Une aubaine pour les rats (certains abattoirs temporaires optent d’ailleurs pour l’enfouissement sur place pourtant interdit).
- Extrait du discours-programme prononcé par B.Cazeneuve devant le Conseil français du culte musulman, (15/06/2015): « Bien des efforts sont déjà engagés en vue d’organiser des abattoirs provisoires dans les meilleures conditions (…) Ils restent en nombre insuffisant et les porteurs de projet sont trop souvent découragés par leur coût et la complexité de leur mise en place. A la suite de vos travaux, je propose qu’un groupe de travail rassemblant des responsables religieux, le ministère de l’Agriculture et le ministère de l’Intérieur soit constitué rapidement afin d’évaluer le dispositif actuel dans sa globalité et diffuser les bonnes pratiques qui le méritent » (à noter l’absence de professionnels de la santé ou de la boucherie). Donc, pour épargner soucis et dépenses aux« porteurs de projet » les préfets ont désormais pour consigne de chercher auprès des maires des sites possibles. La mise à disposition semble s’accompagner d’un «cahier des charges » mettant la commune à contribution notamment pour la fourniture d’électricité, la remise en état du site et la signalétique. Il est impossible pour l’instant de déterminer dans quelle mesure cette démarche interfère avec la procédure réglementaire d’autorisation. Il serait extrêmement grave que ce soit un moyen de contourner les textes en vigueur sur les installations classées !
Alain de Peretti / Article paru en premier sur Riposte Laïque
Vigilance Halal, Protection et respect de l’animal et du consommateur
BP 40003 33490 St Macaire