Mestre (Venise) : bagarres répétées entre migrants

"Immigration bénie" dixit Bergoglio alias le pape François......

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On ne peut plus vivre comme ça, on ne peut pas continuer ainsi. La commune doit faire quelque chose !"

La personne qui parle fréquente chaque jour la gare de Mestre. Depuis des années. Il n'en peut plus d'être obligé d'assister et de supporter tout ça. Comme lui, d'autres commerçants et habitants de Mestre haussent le ton pour demander à être protégés, ne serait-ce que pour sortir de la gare ou pour traverser la rue. Il n'est pas difficile de se retrouver au milieu des rixes qui éclatent régulièrement. Par exemple, on ne sait pas pourquoi, en fin de journée, lundi dernier, une dizaine d'Africains se sont rués sur un des leurs. Ils l'ont roué de coups de pieds et de coups de poings sur le trottoir de la rue Monte San Michele, à deux pas de la station ferroviaire, un des endroits les plus fréquentés de la ville. Les autos se sont arrêtées et une passante s'est mise à hurler de peur.

"Ce sont des scènes incroyable, nous sommes dégoûtés par les situations qu'ils créent. Tout d'abord, dans cette rixe,  un des protagoniste a cassé une bouteille en verre sur la tête d'un autre, puis quelqu'un a pris un vélo et l'a lancé sur ses rivaux. Et c'est une situation coutumière : cela arrive à n'importe quelle heure de la journée. Lundi, dans leur furie, ils m'ont cassé une vitrine. Je suis dégoûté !"

Lundi, l'alarme a été lancée vers 18h quand toute cette violence a éclaté devant "l'African Asian Market" qui avait été l'objet de plusieurs contrôles par les carabiniers ces derniers jours. Un jeune Noir a été roué de coup de pieds et de poings. Mais, avant l'arrivée de la police, ils ont tous eu le temps de s'enfuir sans laisser de traces. Le jeune tabassé est arrivé à se débattre et est parti poursuivi par certains de ses agresseurs.

Mais actuellement il y aurait enfin plusieurs éléments qui permettraient une fois pour toute d'identifier ces individus : "C'est impressionnant, ajoute le riverain, ils boivent déjà tôt le matin, ils s'enivrent et perdent le contrôle. Et nous sommes dans le centre ville. N'importe qui pourrait se retrouver au milieu de ces rixes alors qu'il n'y est pour rien . Nous ne pouvons continuer à avoir peur de sortir de chez nous ou des magasins quand ils commencent leurs bagarres. [...]

 

Pour profiter en live de "l'évènement", il vaut la peine de cliquer sur le lien ci-dessous :

Article et vidéo (pour voir la vidéo, descendre tout en bas de l'article)

“Pour que les Africains reviennent développer leur pays.” Kemi Seba [vidéo]

NDR Vidéo à ne pas manquer
Kemi Seba, devant une salle comble, décrit avec subtilité, lors d'un discours mémorable au Théâtre de la Main d'Or, le concept de Supra-Négritude.

Il parle aussi des droits de chaque peuple à vivre sur la terres de ses ancêtres

Mais oui, si les Noirs qui ont appris des choses en Europe rentraient chez eux pour « moderniser/développer » leur pays , ceux-ci ne seraient pas la proie des prédateurs (chinois? et autres?)

Tous les économistes nous disent que l'Afrique est le continent le plus riche du monde et de l'Avenir, pour qui ? pour les Chinois ? ou pour les Africains ?

Sans doute "la crise" va-t-elle pousser les plus entreprenants à la re-migration .

TV5 nous a déjà montré des Marocains qui retournent monter leur entreprise au Maroc.

Les juifs ont réussi leur re-migration en Israël, pourquoi d'autres ne le pourraient-ils pas?

Au lieu de laisser croupir les demandeurs d'asile dans nos "centres" ne pourrions-nous pas faire comme le Fond Koweitien qui "aide les gens à s'aider eux-mêmes".

Sur TV5 on voit régulièrement des créateurs africains magnifiques, aidons-les !

Anne Lauwaert

Le vrai scandale d’Ebola

Par Bernard Lugan

Les médias nous disent que si l'Afrique ne parvient pas à combattre Ebola c'est parce qu'elle manque de médecins. Faux ! L'Afrique a des médecins, mais ils ont émigré en Europe ou aux Amériques. Ceux qui furent formés en Afrique sont partis vers des cieux meilleurs et ceux qui le furent en Europe y sont restés... La vérité est que l’Afrique exporte ses personnels médicaux alors qu’en moyenne, elle compte moins de 15 médecins pour 100 000 habitants contre 380 en France[1].
En 2008, le Center for Global Development chiffrait à 135 000 les personnels médicaux africains (médecins, infirmiers et autres) exerçant hors d'Afrique, dont 28_000 médecins originaires d'Afrique sud-saharienne. S'il n'y a pas de médecins au Liberia, en Sierra Leone, en Guinée et au Mali c'est parce que ces déserteurs ont abandonné leur continent pour aller s'employer dans les pays du Nord[2].

 

Bex: “Il arrive que des dealers soient interpellés des dizaines de fois sans résultats”

Une association a vu le jour pour reconquérir les rues de la localité du Chablais. Les autorités saluent l’initiative, mais rappellent la difficulté d’éradiquer le marché de la drogue

Depuis les grandes fenêtres du salon, Sandrine Moesching-Hubert montre un petit pont que les trafiquants, essentiellement des ressortissants africains, ont transformé en quartier général de leur commerce quotidien.

La nécessité du flagrant délit pour inculper un dealer complique la mission des agents. En outre, même quand les policiers y parviennent, c’est en vain: les prisons vaudoises sont surpeuplées et l’expulsion vers le pays d’origine des étrangers en situation illégale se heurte à toutes sortes d’obstacles. «Il arrive que des dealers soient interpellés des dizaines de fois sans résultats», note le capitaine Claude Ruchet, de la police du Chablais vaudois.

Source

Rappel: Le principal parti politique de Bex est le PS.

« Cette ethnie ne nous plaît pas » : les « réfugiés » africains en Italie refusent de vivre ensemble

En Italie, les « réfugiés » ne sont jamais contents. Sitôt débarqués par centaines de milliers par la Marine italienne et installés en centres d’accueil, « les réfugiés protestent ». Le titre est devenu récurrent à la une des journaux locaux. Le plus souvent, « les réfugiés protestent » contre leurs conditions d’hébergement ou encore contre les délais nécessaires au traitement de leurs dossiers. Vendredi matin, à Pomezia, dans le Latium, « les réfugiés » ont bloqué la route. « Le motif de cette manifestation n’est pas encore clair, mais il semble que les migrants [sic] protestaient contre le retard mis à leur reconnaître le statut de réfugié politique ; en outre, ils considèrent insuffisante la quantité de nourriture qui leur est fournie quotidiennement, et ils se plaignent de manquer de vêtements d’hiver ».

Suite

L’invasion de l’Europe s’intensifie à Melilla

Ces derniers jours, les Africains ont multiplié les attaques contre l’enclave espagnole au Maroc de Melilla : quatre au total depuis le début du mois. En plusieurs vagues, nuit et jour, plusieurs centaines d’envahisseurs ont lancé des assauts coordonnés, passant les barrières grillagées, et provoquant de violents combats avec les forces de l’ordre espagnoles. Hier, plusieurs envahisseurs ont réussi à pénétrer en territoire espagnol et ont été pris en charge par le Centre d’accueil temporaire pour les immigrants (CETI, Centro de Estancia Temporal de Inmigrantes), dont huit ont « accepté » (!) de recevoir des soins.

Suite et vidéos

Multiculturalisme à Reims: Violences extrême entre Tchétchènes et Africains

Cinq Tchétchènes ont été arrêtés après des violences communautaires exercées contre des Africains dans le quartier Croix-Rouge à Reims. Un étudiant béninois a perdu un œil.

«Les faits s’inscrivent dans une logique de règlements de comptes entre des communautés ethniques d’origine différente. » :  Quatre Tchétchènes accusés d’avoir participé à la sauvage agression d’un étudiant béninois de 19 ans, tabassé le mois dernier au terme d’une véritable chasse à l’homme lancée dans le quartier Croix-Rouge.

La victime a une main cassée, un œil crevé, définitivement perdu. Mis en examen pour« violences volontaires avec arme ayant entraîné une infirmité permanente », crime puni d’un maximum de quinze ans de réclusion, deux des Tchétchènes ont été écroués, les deux autres remis en liberté sous contrôle judiciaire strict.

L’union

Rome : 30 Africains assaillent un bus conduit par une femme

Photo ci-dessus : état du bus après l'attaque

 

Le bus est détruit et la conductrice sous le choc

Samedi, 30 Africains ont stoppé le bus 042 dans la zone San Vittorino et ont fracassé ses vitres à coups de pieds et de poings. La conductrice, non sans difficultés, est arrivée à fuir et à ramener le bus à Corcolle. (...)

Elisa raconte, encore terrorisée : "Ils étaient à l'arrêt et attendaient mon bus. Je me suis arrêtée et au moment où j'allais ouvrir les portes, l'un d'entre eux a jeté une bouteille de bière sur la voiture. A ce moment, j'ai démarré pour essayer de fuir".

Pourtant, le cauchemar n'est pas fini. Un groupe de 30 personnes, des Africains, ont bloqué la route dans le but de stopper la voiture. Ils ont assailli le bus à coups de poings et de pieds, jusqu'à ce que la conductrice arrive à s'enfuir jusqu'au hangar. (...)

Il semblerait que les assaillants se soient "fâchés" d'avoir attendu le bus trop longtemps...

(...)

Des membres du personnel de la compagnie de bus avaient déjà, depuis plusieurs semaines, envoyé une lettre où ils se plaignaient de problèmes d'insécurité en augmentation dans toute la zone et en particulier dans les régions périphériques. (...)

Source en italien

Nous en profitons pour vous rappeler ce que Kienge avait déclaré en son temps :

"Les migrants sont les acteurs principaux de l'économie, de la culture et de la société. L'Italie doit comprendre l'aspect culturel de l'immigration et tout ce qu'elle apporte au pays. Il faut des mesures concrètes pour éradiquer le racisme".

kyengeKyenge: i migranti sono attori principali di economia, cultura e società.
Kyenge: l’Italia deve capire l’aspetto culturale dell’immigrazione e l’apporto che da’ al Paese.
Kyenge: servono misure concrete per abbattere il razzismo

 

Italie : le dernier caprice des clandestins

Le dernier caprice des clandestins : nous ne voulons pas être avec des Egyptiens

Ragusa, le 8 septembre 2014

L'Italie fait de la place à tout le monde. On serre les dents. On se serre aussi la ceinture. Et, d'une difficulté à l'autre pour réussir à joindre les deux bouts, on se met à nu pour accueillir les immigrés.

Mais, comme le disaient les anciens "fait le bien et on l'oubliera". Parce que les sacrifices ne sont pas toujours appréciés à leur juste valeur.

Voila ce qui se passe à Pozzallo, dans la province de Ragusa : en les voyant dormir devant la Mairie, on pourrait supposer que ces 25 immigrés venant de Gambie et du Ghana n'ont pas trouvé de place. (...) Mais quand on apprend la vérité, la musique est tout autre. Le centre Cpsa où ils avaient été accueillis, n'a pas plu à ces immigrés. Le groupe ne supportait pas la présence d'Egyptiens. Ils ont demandé à être logés ailleurs, dans la paroisse du Rosaire. Et ils protestent. Et les policiers, comme d'habitude doivent s'en mêler comme s'ils n'avaient pas autre chose à faire.

"Le centre Cpsa est décentré, explique le syndic, Luigi Ammatuna. Les immigrés veulent rester en ville".......

Mais il n'y a plus de place nulle part (...)

Suite à une médiation, un accord a été trouvé. Ils iront dans la structure religieuse du Rosaire en attendant d'être transférés ailleurs.

Souvenons-nous qu'il y a quelques semaines, 22 migrants avaient été "gênés" par la présence de moustiques qui, selon eux, infestaient carrément la structure où ils avaient été accueillis, ici, dans la province de Ragusa......[...] il giornale

Source en italien (trad. pour Les Observateurs.ch par D. Borer)

Belluno (I) : les migrants protestent.

Belluno, protestations des migrants : nous voulons un meilleur endroit et de la nourriture africaine.

Hier après-midi, dans le centre de "La Secca" à Ponte nelle Alpi près de Belluno où sont logés des dizaines de clandestins, la situation a failli exploser. Les migrants, pour la plupart d'entre eux ici depuis 4 mois, se sont rassemblés dans la rue et ont commencé à manifester pour se plaindre des conditions dans lesquelles ils vivent.

"Nous ne voulons plus rester ici, aidez-nous" ont-ils demandé. La situation a failli dégénérer mais ils se sont calmés vers 18h30 grâce à l'intervention de médiateurs culturels.

Ces clandestins, tous des hommes de 20 à 30 ans arrivant d'Afrique, ont 5 exigences :

1) Un meilleur endroit

2) De la nourriture africaine

3) Une carte d'identité

4) Des soins médicaux

5) Des leçons d'italien

Ils parlent en plus de la vie humiliante qu'ils vivent depuis 4 mois, ici, dans le centre de Ponte nelle Alpi et crient : "Aidez-nous".

La situation s'est détériorée depuis que, dans le centre de La Secca, sont logées 40 personnes (la capacité du centre est de 20-24 places). Ils dorment à 20 dans une chambre, il n'y a qu'une douche et un bain par 2 étages. Ils ne font rien de toute la journée, ils sont fatigués et se sentent isolés. Ils n'ont qu'un rasoir pour 40.

Source en italien

France: Une bagarre entre migrants fait une cinquantaine de blessés

 

De nouveaux affrontements ont éclaté dans la nuit de lundi à mardi entre migrants africains dans la zone portuaire à Calais, dans le nord de la France, faisant une cinquantaine de blessés, dont un grave, a indiqué la préfecture.

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300 migrants impliqués

Selon un employé portuaire, environ 300 migrants étaient en train de se bagarrer aux abords du terminal ferry, aux alentours de 04H00.

 

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