Adoption LGBT: une petite fille de 18 mois meurt 2 semaines après avoir été adoptée par un couple homosexuel

L'article n'insiste pas vraiment sur cette adoption par deux hommes :

"Il avait mis entre parenthèses sa carrière de professeur de fitness pour être père au foyer et s'occuper de sa fille adoptive. C'est du moins l'image qu'aimait à donner de lui Matthew Scully-Hicks, Britannique de 31 ans, accusé de violences répétées ayant entrainé la mort de la petite Elsie, 18 mois. Depuis des mois, le père indigne "abusait de la fillette et l'agressait", ainsi que vient de l'établir la cour de Cardiff aujourd'hui chargée de le juger.

Avec son mari Craig, Matthew Scully-Hicks avait entamé les démarches en vue d'une adoption en septembre 2015. Une procédure officiellement reconnue huit mois plus tard. Mais moins de deux semaines après cette bonne nouvelle, la petite Elsie est morte des suites de traumatismes crâniens. L'enfant est décédé à l'hôpital universitaire de Wales, à Cardiff, ainsi que le rapporte le Daily Mail. Ses chances de survie étant nulles, son appareil de respiration artificielle a été débranché.

Après le décès tragique de la fillette, la police a saisi les appareils électroniques qui appartenaient à Matthew Scully-Hicks, notamment son iPad. Sur la tablette, les enquêteurs ont retrouvé des messages troublants, envoyés douze jours à peine après l'arrivée d'Elsie. A un de ses amis, l'accusé écrivait : "Je vis l'enfer avec Elsie ! Les repas et le coucher sont mon pire cauchemar en ce moment. Là, elle hurlait non-stop depuis dix minutes. Elle vient d'arrêter mais je doute que ce soit la dernière fois où je l'entendrai crier ce soir".

Le même jour, le 22 septembre 2015, Scully-Hicks envoyait à son mari Craig, un message où il traitait la petite de "psychopathe". Le lendemain, s'adressant encore à son conjoint, il décrivait l'enfant comme "Satan en grenouillère". Sans antécédents judiciaires, l'accusé s'était marié au Portugal en 2012. La même année, le couple avait décidé de demander l'agrément en vue d'une future adoption.

Interrogés par la police, les voisins du couple se souviennent des hurlements de la petite Elsie, de la musique poussée à plein volume pour couvrir ses cris et des insultes qui fusaient, quand Craig était au travail et que Matthew Scully-Hicks restait seul avec l'enfant "Je l'ai entendu crier : 'Tu vas fermer ta putain de gueule, petite conne !" raconte l'un d'eux.

Deux mois après son arrivée, le bébé s'était cassé la jambe. Une fois encore quand elle était seule avec l'accusé. "Quand son mari est rentré, Matthew Scully-Hicks lui a expliqué qu'elle était tombée dans la cuisine en jouant, qu'elle pleurait et qu'il l'avait prise dans ses bras pour la consoler. Et qu'après ça, elle 'avait l'air d'aller bien'" a expliqué le procureur devant la Cour lors des premiers jours du procès. S'inquiétant de son état, c'est Craig Scully-Hicks qui avait dû insister pour que la fillette soit amenée chez un généraliste. Après la mort d'Elsie, des radios de l'époque ont été réexaminées, montrant que la jambe de l'enfant était fracturée à deux endroits."Il est impossible qu'elle se soit fait ça toute seule avec une simple petite chute" a martelé le procureur

 

blessures

Un examen post-mortem a révélé qu'Elsie avait des saignements récents et plus anciens des deux côtés de son cerveau. Elle a eu des hémorragies dans les deux yeux et des fractures au crâne et aux côtes.

L'un des innombrables "accidents" pour lesquels le père maltraitant trouvait toujours une excuse. De même, un examen post-mortem a établi des traumatismes au niveau de la colonne vertébrale de la petite et de son cerveau qui "tendraient à prouver qu'elle a souffert du syndrome du bébé secoué" selon les spécialistes. Le 25 mai 2016, les mauvais traitements trouvent une issue fatale. L'accusé appelle une ambulance, expliquant que sa fille "est devenue faible et toute molle" quand il la changeait pour la mettre au lit. Quand les secours arrivent, Elsie est en arrêt cardiaque et allongée sur le sol. "Elle a hurlé de douleur et elle a perdu connaissance" leur raconte alors l'accusé qui dit ne rien comprendre. Pour les juges, il apparait désormais clairement quel'enfant a subi depuis son arrivée chez le couple une longue suite de coups et de "agressions" et n'a pas pu survivre à ce dernier épisode qui reste encore à éclaircir totalement. Si tout semble le désigner pour le moment comme auteur de ces violences à répétition, Matthew Scully-Hicks nie en bloc toute responsabilité dans sa mort. Son procès actuellement en cours devrait se clore dans deux semaines."

Source 

Nos remerciements à Victoria Valentini

Référendum contre la révision du droit de l’adoption – Début de la récolte de signatures –

Communiqué de presse / 28 juin 2016

ARGUMENTAIRE DU REFERENDUM :

● Oui à la famille naturelle avec une mère, un père et un (des) enfant(s)

Un enfant ne peut être conçu, conformément à la loi de la nature, que par un homme et une femme et ce, même s’il se considère comme appartenant aux deux genres. Les familles monoparentales et arc-en ciel ne sont pas voulues à l’origine comme telles, mais sont le résultat d’événements tragiques et douloureux. L’adoption de l’enfant d’un partenaire de même sexe consacre le principe d’une séparation d’avec au moins l’un des deux parents biologiques. Un droit de l’adoption fondé sur le principe de l’intérêt de l’enfant doit exclure toute adoption par un couple de même sexe.

● Oui au droit de l’enfant d’avoir une mère et à un père

Le nouveau droit rompt avec le principe selon lequel l’enfant adoptif a, lui aussi, le droit d’avoir une mère et un père, conformément à son origine naturelle. La nouvelle loi porte ainsi atteinte au bien de l’enfant et viole l’art. 11 de la constitution fédérale qui le garantit. L’adoption de l’enfant du partenaire enregistré consacre dans une certaine mesure le risque que l’un des parents de l’enfant soit éradiqué de la vie de ce dernier. Après un divorce éventuel de ses parents biologiques, l’enfant est donc exposé à vivre une séparation plus radicale encore d’avec son autre parent.

● Oui à la différence de la mère et du père comme condition naturelle

Il est prouvé que le développement de l’enfant est particulièrement favorisé quand il peut s’identifier par rapport à sa mère et à son père. L’enfant élevé dans une famille monoparentale peut souffrir du manque tragique de père ou de mère et chercher à le compenser de manière positive. Si l’on affirme que la famille composée de deux parents de même sexe est une famille complète simplement d’une forme différente, le manque (ou la perte) du père ou de la mère peut influencer négativement le développement psychosocial de l’enfant.

● Oui au lien avec la mère biologique et le père biologique

La nouvelle loi favorise la dissimulation de l’identité d’un des parents. Elle encourage le don d’ovules et le trafic indigne des mères porteuses à l’étranger. Elle trace en outre une voie royale à la reconnaissance, encore refusée par le Tribunal Fédéral en mai 2015, d’un enfant « né sans mère mais de deux pères ». Le recours à une mère porteuse représente une vente d’enfants et doit être combattu conformément à l’art. 35 de la Convention de l’ONU sur les droits de l’enfant. Selon l’art. 7 de la même convention, l’enfant a, dans la mesure du possible, « le droit de connaître ses parents et d’être élevé par eux ».

 

Référendum contre la révision du droit de l’adoption – Début de la récolte de signatures

Avec la publication de la nouvelle loi sur l'adoption dans la feuille fédérale débute aujourd'hui le délai référendaire. Le comité interpartis et non confessionnel « Non à ce droit de l'adoption » lance aujourd’hui la récolte de signatures avec les arguments suivants :

Oui à la famille naturelle avec une mère, un père et un (des) enfant(s)

Une femme et un homme sont nécessaires à la conception naturelle d’un enfant. Les personnes de même sexe doivent aussi leur vie à une mère biologique et un père biologique.

Oui au droit de l’enfant à une mère et à un père

La loi viole le principe du droit qu’ont les enfants à avoir également un père et une mère, car cela traduit leur origine naturelle. Ainsi cela est contre le bien de l’enfant et l’article 11 de la Constitution Fédérale.

Oui à la différence de la mère et du père en tant que condition naturelle

Il est prouvé, que les enfants ont besoin d’un père et d’une mère pour un développement et identité idéale.

Oui au lien avec la mère biologique et le père biologique

La modification de la loi permet la suppression de la part d‘identité d‘un des parents. Elle offre la possibilité du don d‘ovocytes et est un encouragement à la vente inhumain de mères porteuses étrangères. De surcroît, le Tribunal Fédéral a refusé en mai 2015 d‘ouvrir la voie à la reconnaissance de „deux pères/aucune mère“.

Vous pouvez dès à présent télécharger les feuilles de signatures sur le site www.non-ce-droit-
adoption.ch ou les commander auprès de notre secrétariat, ainsi que d'autres moyens de documentation écrite.

Le comité est convaincu que ces investissements pour le bien de l'enfant et de la société dans son ensemble en valent la peine.

Jean-Philippe Gay-Fraret, Coprésident

Fritz Kohler, Coprésident

Pressesprecherin: Lisa Leisi

Le scandale des “enfants jetables” aux Etats-Unis

Par Camille Broyart

[...] Aux Etats-Unis, la réadoption est un phénomène très courant qui connaît même un essor depuis quelques années. Retour sur une pratique choquante.

Sur 100 00 enfants adoptés chaque année aux Etats-Unis, 1/4 sont abandonnés par leur famille adoptive, selon une estimation des services publics américains. En effet, dans ce pays, les parents adoptifs déçus ont deux possibilités pour se séparer de l'enfant. Ils peuvent, en toute légalité, "rendre" l'enfant ou lui trouver une autre famille. Les ex-parents justifient souvent cette séparation par une incompatibilité d'humeur, un enfant jugé trop caractériel ou trop effacé au sein de la famille. La réadoption profite également aux individus en mal d'enfant puisqu'elle est deux fois moins cher qu'une procédure classique (5 000 euros environ). Cette pratique aussi appelée "rehoming" n'est pas encadrée par la loi, le processus peut donc se répéter à l'infini.

Cède enfants de "seconde main"

La réadoption est d'autant plus cruelle que les procédés pour leur trouver une nouvelle famille sont surprenants. En effet, il n'est pas rare de voir des petites annonces sur internet, dans un journal ou des prospectus à ce sujet. Des agences spécialisées dans la réadoption ont même leur propre catalogue en ligne qui recense l'ensemble des profils d'"enfants disponibles". Ces derniers sont alors assimilés à des objets encombrants dont on souhaite se séparer car on se serait lassé.

ENFANTS EN VEDETTE VENDREDI : JESS & LIAM. Aujourd'hui, nous mettons à l'honneur 2 chers enfants : Jess et Liam.Cliquez sur la photo de chaque enfant pour plus d'informations. 2500$ Disponibles pour l'adoption !

Pire encore, dans un reportage diffusé sur France 5, une agence de Plennsylvanie va encore plus loin en présentant des adolescents orphelins d'une manière peu commune. Tel un concours de beauté, des ados défilent sur un tapis rouge et sous les applaudissements des adultes. La scène paraît irréelle, pourtant, les enfants sont bien en train de se "vendre" pour intégrer une famille. Si l'un d'entre eux a la chance d'avoir retenu l'attention d'une famille, il passe ensuite un entretien dans lequel il tentera une nouvelle fois de les convaincre. Après quoi, si l'enfant fait l'unanimité, il sera soumis à une période d'essai, comme quand on souscrit à un abonnement internet ou à une salle de gym... Selon les organisateurs, ce système de présentation permet une rencontre plus détendue. Mais lorsque l'on regarde de plus près ces enfants, ils sont terriblement stressés par l'idée de ne pas plaire.

 

Ce système cause de graves déséquilibres chez l'enfant et peut être à l'origine d'une dépression, d'un isolement et d'un manque certain de confiance en lui...

Des enfants en danger

L'aspect consumériste de cette démarche ne dérange pas. Ce qui a fait réagir l'Amérique, c'est les nombreuses affaires d'abus sexuel. En effet, aucune vérification n'est faite concernant les antécédents judiciaires des adoptants. Cela laisse alors le champ libre aux prédateurs sexuels qui profitent de ce système. Il y a quelques mois une affaire avait d'ailleurs mis en lumière ce business scandaleux lorsque le député républicain, Justin Harris, avait proposé ses jumelles de six ans à un de ses amis professeur. Celui-ci s'est avéré être un pédophile. Suite à ce drame, les deux petites ont réintégré un foyer et le député qui avait confié ses enfants a été obligé de démissionner.

Des mesures insuffisantes​

Un homme se bat pour encadrer et limiter cette pratique. Il s'agit de James Langevin, député du 2ème district de Rhode Island, lui-même adopté. Pour que le projet de loi qu'il rédige puisse être mis en place, il faudrait, selon ses estimations, 50 millions de dollars, une chose impossible dans le contexte actuel.
Pourtant, des changements simples peuvent être opérés comme vérifier les antécédents judiciaires et sociaux des parents adoptifs, interdire la publication de photos d'enfants ... mais, personne ne semble agir.

Source

À lire aussi : Etats Unis : Ils échangent leurs enfants adoptés !

 

Propagande homosexuelle du Temps: “Adoption de l’enfant du conjoint: une victoire pour les familles arc-en-ciel”

Les sénateurs ont ouvert ce mardi matin une porte vers l’adoption par les couples homosexuels. Avec une confortable majorité, le Conseil des Etats a adopté une révision du code civil très attendue par les associations LGBT et les familles arc-en-ciel. Quelques minutes avant ce vote global, les sénateurs avaient adopté par 25 voix contre 14, l’article le plus controversé: il ouvre la possibilité d’adopter l’enfant du conjoint ou du partenaire, que le couple ait conclu un partenariat enregistré ou fasse ménage commun depuis au moins trois ans.

Adoption gay, les pédiatres sonnent l’alarme : « Dommages psychiques chez les enfants »

C’est un sujet tabou chez les tenants des droits des homosexuels, du mariage pour tous, de l’utérus en location : les dommages psychiques chez les enfants élevés dans des couples de même sexe. Ces pourfendeurs de la famille traditionnelle qui veulent imposer, mus par des concepts totalement idéologiques et égoïstes, une égalité arbitraire et anti-naturelle à toute l’humanité, ferment les yeux consciemment sur les réalités naturelles.

Suite

Est-il encore possible de dire non à la “famille gay” sans être traité comme un criminel ?

Magdi-Cristiano-Allam-Io-Amo-lItalia-Par Magdi Cristiano Allam

Pour avoir critiqué sur ma page facebook  le parlement européen qui a approuvé le rapport qui rend légitime la "famille gay" et lui reconnait tous les droits, y compris celui d'adopter des enfants, on m'a traité d'homophobe, de raciste, de nazi de rétrograde et on m'a invité, moi, à retourner en Egypte, moi qui suit tellement fier d'être italien depuis 43 ans.

 

Je me pose une question : est-il encore possible de dire non à la "famille gay" sans être criminalisé ?

Je fais une distinction entre l'homosexualité et l'homosexualisme, comme je fais une différence entre la multiculturalité et le multiculturalisme.

L'homosexualité (comme la multiculturalité) est un fait qui existe depuis toujours, fait partie de notre réalité et de l'histoire du genre humain. Et j'affirme que chacun a un droit inaliénable à la vie, à la dignité et à la liberté.

Par contre, l'homosexualisme, comme le multiculturalisme, sont des idéologies qui veulent pouvoir gérer la pluralité en niant la vérité intrinsèque de la Nature et de la société, qui veulent remodeler la société et mettre au même niveau des réalité diverses en accordant à tout le monde les même droits en faisant donc totalement abstraction des conséquences sur la survie de notre société et de notre civilisation.

Je veux sauvegarder la famille naturelle, base de la société, fondée sur l'union d'un homme et d'une femme,  l'unique institution qui puisse garantir la survie de la communauté humaine et garantir à nos enfants de grandir dans un environnement sain, avec un père et une mère.

C'est pour cette raison que je dis non au mariage homosexuel et non à l'adoption d'enfants par des couples homosexuels.

Mais..... puis-je encore le dire sans être assailli de violences verbales ? Ou alors, dois-je prendre acte que nous sommes désormais soumis à la dictature du lobby homosexuel ?

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Source Magdi Cristiano Allam page fb en italien (résumé par D. Borer)

 

 

Vidéo de M.C.Allam pour les italophones
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Adoptions et GPA

Déclin de l’adoption internationale : «Les demandes de gestation pour autrui vont se développer»

En 2013, il y a eu trois fois moins d’adoptions internationales qu’en 2003, date à laquelle il y avait eu 40.000 adoptions internationales de mineurs dans le monde. Si la France est le troisième pays en matière d’adoption internationale, loin derrière les Etats-Unis*, le parcours est de plus en plus difficile pour les candidats. 20 Minutes a demandé à Jean-François Mignot, chercheur au Groupe d’étude des méthodes de l’analyse sociologique de la Sorbonne (Gemass), les raisons de cette «pénurie» d’adoptés internationaux.

Suite

Suisse: Les couples homos pourraient adopter eux aussi

Les couples homosexuels devraient aussi pouvoir adopter, mais uniquement les enfants des partenaires. Cette possibilité devrait aussi être offerte aux concubins. Le Conseil fédéral a remis vendredi au Parlement ce projet de réforme du droit de l'adoption.

Les personnes liées par un partenariat enregistré devraient pouvoir adopter l'enfant de leur partenaire. 

Avant que la Suisse ne s'engage dans la même voie, il faudra certainement, outre l'aval du Parlement, une votation populaire, les milieux conservateurs ayant déjà promis le référendum. Pas question pour eux de revenir sur les promesses faites lors de la votation de 2005: le peuple a accepté une loi sur le partenariat enregistré qui interdit aux couples homosexuels d'adopter.

Source

Adopte un clandestin !

Voilà la dernière trouvaille du gouvernement italien...

Le gouvernement serait en train d'évaluer la possibilité que des adultes puissent aussi être confiés à des familles contre une rétribution de 30 euros par jour.

"Trente euros par jours pour qui "adopte un clandestin" et l'accueille chez lui.
C'est le sujet sur lequel se pencherait le gouvernement Renzi pour pouvoir continuer  imperturbablement l'opération Mare Nostrum, résolvant par la même occasion un léger problème : ils ne savent plus où mettre les migrants que la Marine militaire va chercher jusque dans les eaux libyennes, directement dans les bras des passeurs.
C'est ce qu'a rapporté Ignazio Marino, syndic de Rome, qui a participé hier, au siège du Ministère de l'Intérieur, à une réunion ayant pour thème l'immigration.
Il a déclaré :
" Nous avons imaginé, avec le sous-secrétaire Manzione, que comme les enfants, les adultes pourraient être confiés à des familles contre rétribution de 900 euros par mois. Avec cet argent donné aux familles d'accueil, nous croyons pouvoir créer une situation qui nous permettra d'avoir à disposition plus de places d'accueil et favorisera l'intégration sociale"....
Source en italien (trad. pour lesobservateurs.ch par D. Borer)

GPA : pas contents, ils ne veulent plus de leur enfant

Par Caroline Corbière de Riposte Laïque

ll était une fois un couple d’homosexuels Australiens qui passèrent commande auprès d’une jeune femme Thaïlandaise, pour qu’elle leur fasse un bel enfant. Des examens en cours de grossesse révélèrent la présence non pas d’un bébé mais de deux : une petite fille en bonne et due forme et un petit garçon atteint de trisomie 21. Ah ben non, alors !

Mais, croyante, la maman porteuse âgée de 21 ans refusa d’avorter, en d’autres termes ne voulut pas subir de triage d’embryon et, comme la nature l’avait voulu, mit au monde les jumeaux.

Eh bien, non seulement les Australiens mécontents embarqueront la petite fille en abandonnant le petit garçon malchanceux aux bons soins de sa mère, mais ils ne paieront que pour la bonne moitié de la transaction. A la jeune Thaïlandaise de prendre en charge les frais du bébé handicapé.

« Ne pensez pas qu’il ne s’agit que d’argent, confie-t-elle au Sydney Morning Herald. Si quelque chose tourne mal, personne ne vous vient en aide et si le bébé est abandonné de la société, nous devons en prendre la responsabilité. »

Nous voici donc devant l’une des conséquence dramatique et parfaitement prévisibles de l’autorisation de la GPA. Mais pourquoi, me direz-vous, être choqués par cette demande d’avortement quand elle émane d’un couple d’homosexuels et la comprendre quand il s’agit d’un père et d’une mère ? Parce que dans le premier cas, qu’on le déplore ou non, on est face à une situation de marchandage : un client, un produit. Alors que pour les seconds, il s’agit avant tout d’un problème de conscience : « Est-on assez solides pour faire face ? » L’amour suffira-t-il ou trop de difficultés finiront-elles par l’éroder ? Et les frères et sœurs ?

Bref, à des questions d’ordres existentiel et moral s’opposent le « satisfait ou remboursé » qui est le critère unique du marchandage.

« La procréation est devenue une pratique consumériste : l’enfant est un produit auquel on a le droit », confiait Jacques Tésart, l’un des pères d’Amandine, le premier bébé éprouvette, au journal La Croix, en avril dernier.

Un droit qui passe par celui de vouloir obtenir un enfant « de qualité », et de façon manufacturée », dérives déjà observées dans des pays étrangers, ne croyait pas si bien dire le professeur de biomédecine. La procréation médicale avec le triage des embryons qui s’ensuit, si elle permet aux couples à risque d’éviter de transmettre de graves maladies génétiques, aboutirait à sélectionner le futur enfant selon le sexe, des critères esthétiques spécifiques lesquels – dans l’hypothèse pessimiste – engendreraient une restriction de la diversité avec, à terme, l’anéantissement de l’espèce humaine.

Et pas d’élitisme esthétique et physique sans moyens financiers : » Nous irions ainsi vers une humanité à deux vitesses. Certains hommes seraient améliorés par diverses techniques, tandis que d’autres resteraient sur le bord de la route »

Exactement ce que viennent de faire les 2 pères Australiens  à leur petit garçon. Pas d’état d’âme avec le marchandage.

Caroline Corbières

http://www.20min.ch/ro/news/monde/story/L-enfant-sain-conserve–le-bebe-handicape-rejete-20795231


http://www.la-croix.com/Ethique/Sciences-Ethique/Sciences/Biomedecine-quelles-limites-2014-04-21-1139147