Condamné pour discrimination raciale par le tribunal fédéral en 2020, le conseiller national Jean-Luc Addor (UDC/VS) fait recours auprès de la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH). Il estime que sa liberté d'expression a été bafouée.
Les faits pour lesquels Jean-Luc Addor a été condamné remontent au 22 août 2014. Ce jour-là, une fusillade à la mosquée de Saint-Gall fait un mort. Quelques minutes après, l'élu fédéral écrit "On en redemande!" sur ses comptes Twitter et Facebook.
[...] "Je suis avocat et mon devoir dans mon travail est d'utiliser les voies de droit à disposition. J'utilise tous les moyens légaux pour défendre ma liberté d'expression; c'est ma philosophie", souligne Jean-Luc Addor.
11. septembre 2020, Jean-Luc Addor, conseiller national, Savièse
Durant ces derniers mois alliant crise sanitaire et économique, nombre de certitudes ont vacillé. D’autres ont été renforcées. L’imprévisibilité de l’avenir, même proche, le besoin de prévoir les crises de toutes nature et la nécessité de protéger les emplois en font partie.
C’est dans ce contexte et en cette période, aussi chargée que décisive, que l’acquisition de nouveaux avions de combat se présente au corps électoral suisse.
Face à un avenir incertain, il faut se préparer à toute éventualité
De la crise dans laquelle le virus chinois nous a plongés, nous pouvons tirer, entre autres, une leçon : l’utilité et la nécessité, pour une armée, de rester un système global qui ne vaut, même pour des engagements particuliers, que par la somme cohérente et organisée de capacités multiples ; hier, aide en cas de catastrophe ou cyberdéfense ; cette année, sanitaire et protection de nos frontières et demain, qui sait dans un monde où la seule certitude est… l’incertitude ?
L’incertitude… Qui, justement, peut nous garantir que plus rien, à l’avenir, ne pourra nous menacer depuis les airs au point que seuls au monde dans ce cas, nous pourrions nous payer le luxe de résilier cette assurance que constitue une aviation moderne capable de défendre notre espace aérien et d’y faire la police ?
La vérité, c’est que la souveraineté est ou n’est pas ; elle est indivisible : sans moyens modernes de la garantir dans les airs aussi, nous ouvririons la voie à la dépendance et à la soumission.
Une opportunité pour la technologie suisse et l’emploi
En sus de contribuer à notre sécurité, la modernisation de notre flotte d’avions de combat donnera à notre industrie une occasion unique d’acquérir des technologies de pointe – et des emplois – à la faveur d’une collaboration industrielle qui profitera à raison de plus d’un milliard à la Suisse romande.
Contrairement à ce que d’aucuns imaginent, si nous ne modernisons pas à temps nos Forces aériennes, pas un sou, sur les 6 milliards en jeu, ne profitera à aucune des victimes du COVID. La Suisse se ridiculisera juste sur la scène internationale, où elle perdra sa crédibilité. Et nous offririons une victoire à ceux (le PS, les Verts et bien sûr le GSsA) qui ont pour programme d’abolir notre armée, au besoin tranche par tranche.
La manque de préparation est un risque bien réel
Terminons par un exemple. Il y a quelques années, de grands esprits ont fait ou laissé détruire les stocks de masques. Quand le Pays en a eu besoin, il n’y en avait pas. Eh bien, l’enjeu de cette votation, ce n’est rien d’autre que de décider aujourd’hui de commander les masques dont, demain, nous aurons peut-être besoin.
Le 27 septembre, votons donc résolument OUI à notre sécurité et à nos emplois, OUI à l’avenir du Pays !
24. juillet 2020, Jean-Luc Addor, conseiller national, Savièse
Il y a dix ans, en 2010, en acceptant l’initiative pour le renvoi des étrangers criminels, les Suisses ont donné au Parlement une mission claire : quel que soit leur statut, les étrangers condamnés pour des crimes graves ou qui abusent de nos assurances sociales ou de l’aide sociale doivent rentrer chez eux. Parce que le Parlement n’a pas voulu écouter le peuple, l’UDC a dû recourir à un moyen jamais vu auparavant : une seconde initiative populaire, pour mettre en œuvre effectivement la première. Craignant un second succès populaire de l’UDC, cette alliance troublante de la gauche, des verts (pour autant qu’ils ne soient pas juste un autre visage de la gauche) et des partis du centre-droit a concocté un contre-projet indirect : sous prétexte de proportionnalité, une révision du code pénal consistant en une version édulcorée de l’initiative avec comme clé de voûte une clause d’exception.
Dans le langage courant, une exception (La Palice l’aurait dit) devrait rester… exceptionnelle. C’est ce que les artisans de cette combine ont réussi à faire croire aux Suisses qui, en février 2016, leur ont fait confiance et ont préféré le contre-projet édulcoré à une initiative qui avait le mérite d’être claire.
Qu’est-il advenu de ces belles promesses ?
D’une manière générale, seuls 58% des étrangers qui devraient être obligatoirement renvoyés le sont effectivement. Autrement dit, près de la moitié restent chez nous, tranquillement, impunément. En d’autres termes encore, l’exception est devenue… la règle.
En fonction des situations, la réalité est encore plus choquante. Pour protéger les victimes, le peuple voulait renvoyer les étrangers condamnés pour des abus sexuels sur des enfants ? Eh bien, seuls 43,5% sont effectivement expulsés. Moins de la moitié ! Les Suisses voulaient renvoyer ceux qui abusent de nos assurances sociales ou de l’aide sociale ? Ils ne sont qu’environ… 5% à devoir rentrer chez eux !
De qui se moque-t-on ?
Grossièrement trompés en 2016, les Suisses vont-ils se souvenir de ceux qui ont alors abusé de leur confiance ? Voient-ils que ceux qui les ont trompés, ce sont les mêmes que ceux qui, de peur que les Suisses ne confirment leur vote de 2014, essaient de leur faire de semblables promesses en vue de la votation décisive du 27 septembre prochain sur l’immigration ? Se souviendront-ils alors de la valeur de leur parole ?
Plutôt que de nous abandonner à de vaines promesses, allons à la racine de problèmes sociaux importants que vivent les habitants, les travailleurs de ce Pays. Pour garantir l’emploi des travailleurs suisses face à la concurrence étrangère, pour limiter la surpopulation qui cause bétonnage excessif et surcharge de nos infrastructures de transports, pour éviter de continuer à nous entasser toujours plus nombreux dans un pays dont les limites et les ressources ne sont pas extensibles, disons OUI, le 27 septembre, à l’initiative qui propose de limiter vraiment l’immigration !
Mon intervention au Conseil national, au nom du groupe UDC, à l'entrée en matière du projet de loi sur les mesures policières de lutte contre le terrorisme
Mon intervention du 16 juin au Conseil national, comme porte-parole du groupe UDC, à l'entrée en matière sur le projet 18.071 "Terrorisme et criminalité organisée. Convention du Conseil de l'Europe".
Mon intervention du 4 juin 2020 au Conseil national comme rapporteur de la Commission de la politique de sécurité au sujet de la révision de la loi sur le service civil
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L'armée suisse "aura besoin de plus de personnel" dans le futur
L'armée suisse "aura besoin de plus de personnel" dans le futur Le Journal de 8h /22 sec. /à 08:00
Le chef de l'armée suisse Thomas Süssli met en garde, samedi dans le Blick, contre la diminution régulière des effectifs. "D'ici à la fin de la décennie, il manquera environ un quart de soldats", assure-t-il.
"Nous perdons chaque année quelques milliers de jeunes, qui devraient en fait être en service", déclare-t-il dans l'entretien. Et pour Thomas Süssli, il faut une discussion sur les capacités de l'armée: "Si la Suisse veut la même armée qu'aujourd'hui, les forces armées auront besoin de plus de personnel" dans le futur.
Service civil en cause?
Beaucoup de jeunes décident avant l'école de recrue (ER) de faire le service civil, explique le commandant de corps de 53 ans. "D'autres veulent aller à l'ER, mais ne sont pas autorisés à le faire pour des raisons médicales. Ensuite, des jeunes sortant de l'ER passent au service civil, souvent parce que cela est compatible avec leur profession".
Pour Thomas Süssli, l'armée doit s'orienter vers les nouvelles menaces. "Je veux une armée moderne, surtout en matière de culture et de numérisation".
Ces déclarations interviennent alors que les débats sur l'accès au service civil ont occupé le Parlement cette semaine.
Jean-Luc Addor pour la suspension de la libre circulation
9 mai 2020
Pour notre santé et pour les travailleurs de notre pays, il faut suspendre la libre circulation !
Une fois la propagation du virus stoppée, il faudra donc bien enrayer la crise économique et défendre les emplois des travailleurs de ce pays.
Les frontières protègent efficacement, l’Union européenne pas
Par quel moyen ? Celui-là même que le Conseil fédéral a identifié comme décisif pour préserver notre santé : le contrôle, au besoin par la fermeture de nos frontières. Car quand ça va mal, les frontières protègent.
Tous les pays signataires de l’Accord sur la libre circulation des personnes (ALCP) l’ont reconnu : sans aucun souci d’un quelconque intérêt commun, ils ont agi en ordre dispersé, dans l’unique souci de leurs intérêts nationaux. De son côté, l’Union européenne s’est montrée incapable de la moindre influence décisive dans la gestion de cette crise.
Le parlement vote la réouverture des frontières
Et voici qu’en acceptant une motion 20.3130 « Ouverture par étapes des frontières et rétablissement de la libre circulation des personnes », une majorité du Conseil national (sans l’UDC !) en appelle au rétablissement rapide de la libre circulation et à une gestion coordonnée de la pandémie dans l’espace Schengen ! Voici, de plus, que le Conseil fédéral lui emboite le pas en annonçant pour le 11 mai divers assouplissements des restrictions d’entrée en Suisse, cela sans aucun contrôle sanitaire d’entrée !
Et pourtant ! Cette libre circulation que le lobby mondialiste souhaite rétablir au plus vite : après avoir été une libre circulation du virus, il ne faut pas qu’elle devienne celle des chômeurs ! Nous n’avons pas le droit d’exposer les travailleurs de ce pays, déjà durement éprouvés par la crise, au risque de perdre leur emploi du fait d’une concurrence internationale exacerbée.
Les frontières nous protègent de façon décisive contre la propagation du virus. Elles protègeront tout aussi bien nos emplois !
Il faut agir maintenant pour protéger les travailleurs
La logique de l’action de ce lobby, malheureusement suivi par le Conseil fédéral, va ainsi à l’exact opposé des intérêts des travailleurs victimes de la crise : au lieu de les protéger en maintenant des contrôles adaptés à nos frontières, au besoin en suspendant pour une durée limitée l’application de l’ALCP, on veut les exposer au plus vite aux risques de la libre circulation des personnes, avatar européen de la mondialisation et d’une division internationale du travail dont cette crise aura marqué la faillite.
Pour l’UDC, seul parti à défendre vraiment les intérêts des travailleurs de ce pays, il est de notre devoir, comme le permet explicitement l’ALCP (art. 14 al. 2) en présence des « difficultés sérieuses » (c’est un euphémisme) que vivent les travailleurs, de les protéger en demandant immédiatement une réunion urgente du Comité mixte en vue de décider d’une suspension de l’application de l’ALCP pour la durée pendant laquelle la fermeture de nos frontières sera nécessaire pour enrayer la propagation du COVID-19 et préserver les travailleurs de notre pays des conséquences économiques de la crise. C’est ce que demande le groupe UDC dans une motion 20.3199.
Mon intervention du 5 mai 2020 comme rapporteur de la Commission de la politique de sécurité du Conseil national au sujet du service "Corona 20" de notre armée en appui aux cantons dans la lutte contre la pandémie🇨🇭🇨🇭🇨🇭
Dans une décision attendue et anticipée, le tribunal de district de Sion a rendu un verdict qui ne surprendra malheureusement personne en condamnant Jean-Luc Addor face aux islamophiles.
Notre justice s’est laissée instrumentaliser par les barbus les plus radicaux du pays, exactement comme cela s’est produit dans les pays voisins. C’est un tour de force particulièrement habile puisque, dans son message, Jean-Luc Addor n’avait même pas évoqué un règlement de compte entre musulmans, ni même la question de leur appartenance religieuse. Le problème soulevé, de manière ironique, concernait les effets indésirables de l’immigration difficile à intégrer et c’est l’accusation – et maintenant le Juge – qui, par un amalgame totalement abusif – soutient que Jean-Luc Addor a parlé de musulmans.
Si Jean-Luc Addor est condamné, ça n’est pas tant pour les quelques mots en cause, mais pour tout un engagement politique contre l’islamisation de la Suisse et de l’Europe. Voilà pourquoi ce jugement est politique. Le but est évident, faire taire toute critique légitime de l’islam et interdire de débattre de son emprise toujours plus néfaste sur notre société, avec la progression de revendications communautaristes.
Fait encore plus choquant, Jean-Luc Addor est condamné plus lourdement que le djihadiste de Troistorrents, par ailleurs ancien candidat sur une liste de gauche, qui était parti faire le djihad en Syrie et qui a même passé par les camps d’entrainement de l’Etat Islamique !
Cela démontre qu’une fois encore la justice valaisanne a préféré faire de la politique plutôt que du droit et renforce les doutes plus que sérieux quant à son indépendance. Un autre jugement récent a démontré que pour avoir un traitement impartial, un élu UDC a dû saisir, et gagner, devant la plus haute instance judiciaire du pays.
L’UDCVR maintient évidemment et renforce son soutien à Jean-Luc Addor face aux islamistes et à leurs soutiens.
Les juges parisiens ont condamné un directeur de publication suisse, suite à un article écrit par un Tunisien
Est-ce qu'on marche sur la tête au pays de Voltaire ? C'est la question que pose le député suisse Addor. Ce parlementaire helvétique refuse "que la #Justicefrançaise devienne la police mondiale de la pensée". Il écrit son indignation au Ministre de la Justice Jean-Jacques Urvoas, après que le citoyen suisse Alain Jean-Mairet,ait été victime depoursuiteset d’unecondamnation pénale devant la 17ème Chambre correctionnelle du Tribunal de Grande Instance de Paris. Alain Jean Mairet comparaissait en qualité de rédacteur responsable du site d’informations Riposte Laïque, édité par l'association Riposte Laïque Suisse.
Pourquoi une telle indignation au Parlement Fédéral Suisse ? Tout simplement parce que Jean-Luc Addor assimile cette condamnation d'un citoyen suisse àune véritable déclaration de guerre des juges Français contre la#liberté de la presse Suisse et contre la liberté de la presse en général. Il est vrai que le député Addor est un avocat réputé et redouté en Suisse, tout en assumant un mandat de député au Parlement fédéral.
Les juges ont-ils vocation à vérifier le contenu des articles de presse ?
Dans le très long courrier qu'il vient d'adresser au Ministre Français de la Justice, Jean-Luc Addor démontre que la "condamnation en France d'un citoyen suisse en raison du contenu d’un article écrit par un apostat tunisien et publié depuis la Suisse sur un site d’informations édité par une association ayant son siège en Suisse, fait fi de toute souveraineté territoriale". Le même député Jean-Luc Addor dénoncele motif de cette récente condamnation et conteste le raisonnement des juges Français. Son concitoyen Mairet aurait été sanctionné au motif que les articles diffusés sur ce site seraient accessibles en France…
Pour ce député, adepte de lasouveraineté suisse et del'indépendance mondiale de la pensée, cette condamnation, émise par des magistrats parisiens apparaît "comme une véritable révolution dans le domaine de l’application de la loi pénale dans l’espace, qui transforme la Justice française en une sorte de gendarme mondial de la liberté d’expression, pour ne pas dire de police mondiale de la pensée....". On peut être pour ou contre les articles diffusés par Riposte Laïque, mais leslimites à la liberté d'expression semblent bien mises à mal, comme le relève le député Addor. D'où cet émoi au parlement suisse, et cette prise de position, alors qu' Alain Jean-Mairet, qui a fait appel de cette condamnation, doit comparaître prochainement devant la Cour d’Appel de Paris.
Nous avons contacté, par téléphone, le cabinet du Garde des Sceaux Jean-Jacques Urvoas, afin d'obtenir une réaction du Ministre de la Justice. Embarras évident de notre interlocutrice, qui précise : "Le dossier Alain Jean-Mairet devant être examiné par les juges, nous respectons l'indépendance de ces derniers. Aucun commentaire ne sera fait". Dans une France où le Ministre Urvoas se transforme en "moine-soldat" de l'anti-terrorisme, où beaucoup de citoyens se demandent si nos mesures anti-terrorisme constituent un arsenal législatif adapté , l'intervention du député suisse Addor en faveur de la liberté de la presse, en plein Etat d'urgence, suscite bien des interrogations. Il est vrai que le Parlement Français abrite près de 900 députés et sénateurs.Pas un seul n'a posé cette question !
L'intervention du député suisse Addor semble avoirdéstabilisé la Chancellerie, confrontée à de plus en plus de sujets sensibles, dans un certain nombre de départements, où les habitants manifestent contre les migrants, de Calais à cette colère exprimée en Ardèche, département submergé par le chômage et les migrants . Or, ces manifestations sont relayées par le site Suisse Riposte Laïque, ce qui indispose bien des magistrats proches du pouvoir.
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