Face à la déferlante de « revenantes » djihadistes, le centre de détention de Roanne ouvre une unité pour les femmes terroristes

post_thumb_default

 

DÉCRYPTAGE – Il s’agit du deuxième quartier de prévention de la radicalisation du pays après celui ouvert à Rennes il y a deux ans.

Répondre à la déferlante. Deux ans après l’ouverture du premier quartier de prévention de la radicalisation (QPR) à Rennes, une deuxième unité de 14 places ouvre à Roanne (Loire) ce mois de janvier. Un rééquilibrage géographique un peu vers le Sud, afin de gérer les flux de femmes terroristes revenant des zones de guerre. L’administration pénitentiaire a dû réaliser des travaux au pas de charge.

Outre la donne géographique, Roanne cochait bien des cases: «le fait d’être un centre de détention moderne, de disposer d’un quartier pour femmes qui n’était pas plein, avec des qualités bâtimentaires permettant d’assurer une bonne étanchéité avec le reste de la détention», détaille Laurent Ridel, directeur de l’administration pénitentiaire. «À cela s’ajoute une équipe de direction d’établissement dynamique et, au niveau de la région, des personnels qui ont acquis une bonne connaissance du phénomène djihadiste puisque, à Bourg-en-Bresse, il y a déjà un quartier de prévention de la radicalisation…

(…) Le Figaro

 

Extrait de: Source et auteur

Suisse shared items on The Old Reader (RSS)

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.